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Le Numérique en Santé: La télémédecine, appropriation des bonnes pratiques et accompagnement dans l'évolution des compétences des professionnels de santé

DPC

La télésanté permet un soin à distance grâce à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Plus particulièrement, la télémédecine fait l’objet d’une stratégie nationale de déploiement depuis 2011. Son développement est en plein essor car la télémédecine combine plusieurs avantages importants. En effet, elle permet notamment d’améliorer l’accès aux soins pour tous et notamment des personnes isolées géographiquement habitant dans des déserts médicaux, de diminuer le recours aux urgences et par conséquent, d’avoir pour effet de diminuer des hospitalisations évitables. De plus, le contexte sanitaire actuel nous a également fait prendre conscience de l’importance de la télémédecine en période de pandémie. Le recours à la télémédecine continuera à évoluer ces prochaines années, les pouvoirs publics ayant intégré au droit commun le remboursement notamment des actes de téléconsultation par l’Assurance Maladie. De plus, cette formation s'inscrit dans le cadre du plan France 2030 et répond aux exigences de la Stratégie de l'Accélération Santé Numérique (SASN). Ce développement de la télémédecine doit être accompagné par la formation des professionnels de santé afin de contribuer à l’amélioration de leurs compétences dans ce domaine. A l’issue de cette formation, les professionnels de santé  qui l’auront suivie sauront comment améliorer l’organisation de leur travail de télémédecine afin de s’approprier les bonnes pratiques de téléconsultations et mettre en place des indicateurs qualité dans le but de garantir une qualité et une sécurité optimales des prises en charge. Cette démarche passe par les objectifs opérationnels suivants : Comprendre les responsabilités professionnelles et médico-légales en télémédecine. Analyser l’organisation individuelle des prises en charge en télémédecine (organisation du travail, modification relationnelle des prises en charge, appréhension des situations cliniques, environnement technique requis). Développer une réflexion collective sur les points positifs et les points négatifs des sujets abordés. Echanger sur les incidents et évènements indésirables, savoir réagir et y remédier. Identifier et analyser les axes d’amélioration possible sur la qualité et la sécurité des soins en télémédecine après avoir Identifié et élaboré des indicateurs qualité et sécurité des soins. Durant cette formation, après un rappel des responsabilités juridiques, l’analyse des organisations individuelles couplée à une réflexion collectives basée sur l’étude des événements indésirables rencontrés doit permettre d’élaborer des indicateurs de qualité et de sécurité des soins qui contribueront à l’amélioration de la prise en charge des patients en télémédecine. La télésanté permet un soin à distance grâce à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Plus particulièrement, la télémédecine fait l’objet d’une stratégie nationale de déploiement depuis 2011. Son développement est en plein essor car la télémédecine combine plusieurs avantages importants. En effet, elle permet notamment d’améliorer l’accès aux soins pour tous et notamment des personnes isolées géographiquement habitant dans des déserts médicaux, de diminuer le recours aux urgences et par conséquent, d’avoir pour effet de diminuer des hospitalisations évitables. De plus, le contexte sanitaire actuel nous a également fait prendre conscience de l’importance de la télémédecine en période de pandémie. Le recours à la télémédecine continuera à évoluer ces prochaines années, les pouvoirs publics ayant intégré au droit commun le remboursement notamment des actes de téléconsultation par l’Assurance Maladie. De plus, cette formation s'inscrit dans le cadre du plan France 2030 et répond aux exigences de la Stratégie de l'Accélération Santé Numérique (SASN). Ce développement de la télémédecine doit être accompagné par la formation des professionnels de santé afin de contribuer à l’amélioration de leurs compétences dans ce domaine. A l’issue de cette formation, les professionnels de santé  qui l’auront suivie sauront comment améliorer l’organisation de leur travail de télémédecine afin de s’approprier les bonnes pratiques de téléconsultations et mettre en place des indicateurs qualité dans le but de garantir une qualité et une sécurité optimales des prises en charge. Cette démarche passe par les objectifs opérationnels suivants : Comprendre les responsabilités professionnelles et médico-légales en télémédecine. Analyser l’organisation individuelle des prises en charge en télémédecine (organisation du travail, modification relationnelle des prises en charge, appréhension des situations cliniques, environnement technique requis). Développer une réflexion collective sur les points positifs et les points négatifs des sujets abordés. Echanger sur les incidents et évènements indésirables, savoir réagir et y remédier. Identifier et analyser les axes d’amélioration possible sur la qualité et la sécurité des soins en télémédecine après avoir Identifié et élaboré des indicateurs qualité et sécurité des soins. Durant cette formation, après un rappel des responsabilités juridiques, l’analyse des organisations individuelles couplée à une réflexion collectives basée sur l’étude des événements indésirables rencontrés doit permettre d’élaborer des indicateurs de qualité et de sécurité des soins qui contribueront à l’amélioration de la prise en charge des patients en télémédecine. La télésanté permet un soin à distance grâce à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Plus particulièrement, la télémédecine fait l’objet d’une stratégie nationale de déploiement depuis 2011. Son développement est en plein essor car la télémédecine combine plusieurs avantages importants. En effet, elle permet notamment d’améliorer l’accès aux soins pour tous et notamment des personnes isolées géographiquement habitant dans des déserts médicaux, de diminuer le recours aux urgences et par conséquent, d’avoir pour effet de diminuer des hospitalisations évitables. De plus, le contexte sanitaire actuel nous a également fait prendre conscience de l’importance de la télémédecine en période de pandémie. Le recours à la télémédecine continuera à évoluer ces prochaines années, les pouvoirs publics ayant intégré au droit commun le remboursement notamment des actes de téléconsultation par l’Assurance Maladie. De plus, cette formation s'inscrit dans le cadre du plan France 2030 et répond aux exigences de la Stratégie de l'Accélération Santé Numérique (SASN). Ce développement de la télémédecine doit être accompagné par la formation des professionnels de santé afin de contribuer à l’amélioration de leurs compétences dans ce domaine. A l’issue de cette formation, les professionnels de santé  qui l’auront suivie sauront comment améliorer l’organisation de leur travail de télémédecine afin de s’approprier les bonnes pratiques de téléconsultations et mettre en place des indicateurs qualité dans le but de garantir une qualité et une sécurité optimales des prises en charge. Cette démarche passe par les objectifs opérationnels suivants : Comprendre les responsabilités professionnelles et médico-légales en télémédecine. Analyser l’organisation individuelle des prises en charge en télémédecine (organisation du travail, modification relationnelle des prises en charge, appréhension des situations cliniques, environnement technique requis). Développer une réflexion collective sur les points positifs et les points négatifs des sujets abordés. Echanger sur les incidents et évènements indésirables, savoir réagir et y remédier. Identifier et analyser les axes d’amélioration possible sur la qualité et la sécurité des soins en télémédecine après avoir Identifié et élaboré des indicateurs qualité et sécurité des soins. Durant cette formation, après un rappel des responsabilités juridiques, l’analyse des organisations individuelles couplée à une réflexion collectives basée sur l’étude des événements indésirables rencontrés doit permettre d’élaborer des indicateurs de qualité et de sécurité des soins qui contribueront à l’amélioration de la prise en charge des patients en télémédecine. La télésanté permet un soin à distance grâce à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Plus particulièrement, la télémédecine fait l’objet d’une stratégie nationale de déploiement depuis 2011. Son développement est en plein essor car la télémédecine combine plusieurs avantages importants. En effet, elle permet notamment d’améliorer l’accès aux soins pour tous et notamment des personnes isolées géographiquement habitant dans des déserts médicaux, de diminuer le recours aux urgences et par conséquent, d’avoir pour effet de diminuer des hospitalisations évitables. De plus, le contexte sanitaire actuel nous a également fait prendre conscience de l’importance de la télémédecine en période de pandémie. Le recours à la télémédecine continuera à évoluer ces prochaines années, les pouvoirs publics ayant intégré au droit commun le remboursement notamment des actes de téléconsultation par l’Assurance Maladie. De plus, cette formation s'inscrit dans le cadre du plan France 2030 et répond aux exigences de la Stratégie de l'Accélération Santé Numérique (SASN). Ce développement de la télémédecine doit être accompagné par la formation des professionnels de santé afin de contribuer à l’amélioration de leurs compétences dans ce domaine. A l’issue de cette formation, les professionnels de santé  qui l’auront suivie sauront comment améliorer l’organisation de leur travail de télémédecine afin de s’approprier les bonnes pratiques de téléconsultations et mettre en place des indicateurs qualité dans le but de garantir une qualité et une sécurité optimales des prises en charge. Cette démarche passe par les objectifs opérationnels suivants : Comprendre les responsabilités professionnelles et médico-légales en télémédecine. Analyser l’organisation individuelle des prises en charge en télémédecine (organisation du travail, modification relationnelle des prises en charge, appréhension des situations cliniques, environnement technique requis). Développer une réflexion collective sur les points positifs et les points négatifs des sujets abordés. Echanger sur les incidents et évènements indésirables, savoir réagir et y remédier. Identifier et analyser les axes d’amélioration possible sur la qualité et la sécurité des soins en télémédecine après avoir Identifié et élaboré des indicateurs qualité et sécurité des soins. Durant cette formation, après un rappel des responsabilités juridiques, l’analyse des organisations individuelles couplée à une réflexion collectives basée sur l’étude des événements indésirables rencontrés doit permettre d’élaborer des indicateurs de qualité et de sécurité des soins qui contribueront à l’amélioration de la prise en charge des patients en télémédecine.

Médecin Généraliste, Médecin urgentiste

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La télémédecine en médecine générale: appropriation des bonnes pratiques et accompagnement dans l'évolution des compétences des professionnels de santé. Formation distancielle

DPC

La télésanté permet un soin à distance grâce à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Plus particulièrement, la télémédecine fait l’objet d’une stratégie nationale de déploiement depuis 2011. Son développement est en plein essor car la télémédecine combine plusieurs avantages importants. En effet, elle permet notamment d’améliorer l’accès aux soins pour tous et notamment des personnes isolées géographiquement habitant dans des déserts médicaux, de diminuer le recours aux urgences et par conséquent, d’avoir pour effet de diminuer des hospitalisations évitables. De plus, le contexte sanitaire actuel nous a également fait prendre conscience de l’importance de la télémédecine en période de pandémie. Le recours à la télémédecine continuera à évoluer ces prochaines années, les pouvoirs publics ayant intégré au droit commun le remboursement notamment des actes de téléconsultation par l’Assurance Maladie. Cet accroissement de la télémédecine doit être accompagné par la formation des professionnels de santé afin de contribuer à l’amélioration de leurs compétences dans ce domaine. A l’issue de cette formation, les médecins généralistes qui l’auront suivie sauront comment améliorer l’organisation de leur travail de télémédecine afin de s’approprier les bonnes pratiques de téléconsultations et mettre en place des indicateurs qualité dans le but de garantir une qualité et une sécurité optimales des prises en charge. Cette démarche passe par les objectifs opérationnels suivants : Comprendre les responsabilités professionnelles et médico-légales en télémédecine. Analyser l’organisation individuelle des prises en charge en télémédecine (organisation du travail, modification relationnelle des prises en charge, appréhension des situations cliniques, environnement technique requis). Développer une réflexion collective sur les points positifs et les points négatifs des sujets abordés. Echanger sur les incidents et évènements indésirables, savoir réagir et y remédier. Identifier et analyser les axes d’amélioration possible sur la qualité et la sécurité des soins en télémédecine après avoir Identifié et élaboré des indicateurs qualité et sécurité des soins. Durant cette formation, après un rappel des responsabilités juridiques, l’analyse des organisations individuelles couplée à une réflexion collectives basée sur l’étude des événements indésirables rencontrés doit permettre d’élaborer des indicateurs de qualité et de sécurité des soins qui contribueront à l’amélioration de la prise en charge des patients en télémédecine.

Médecin Généraliste, Médecin urgentiste

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La télémédecine en médecine générale: appropriation des bonnes pratiques et accompagnement dans l'évolution des compétences des professionnels de santé

DPC

La télésanté permet un soin à distance grâce à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Plus particulièrement, la télémédecine fait l’objet d’une stratégie nationale de déploiement depuis 2011. Son développement est en plein essor car la télémédecine combine plusieurs avantages importants. En effet, elle permet notamment d’améliorer l’accès aux soins pour tous et notamment des personnes isolées géographiquement habitant dans des déserts médicaux, de diminuer le recours aux urgences et par conséquent, d’avoir pour effet de diminuer des hospitalisations évitables. De plus, le contexte sanitaire actuel nous a également fait prendre conscience de l’importance de la télémédecine en période de pandémie. Le recours à la télémédecine continuera à évoluer ces prochaines années, les pouvoirs publics ayant intégré au droit commun le remboursement notamment des actes de téléconsultation par l’Assurance Maladie. Cet accroissement de la télémédecine doit être accompagné par la formation des professionnels de santé afin de contribuer à l’amélioration de leurs compétences dans ce domaine. A l’issue de cette formation, les médecins généralistes qui l’auront suivie sauront comment améliorer l’organisation de leur travail de télémédecine afin de s’approprier les bonnes pratiques de téléconsultations et mettre en place des indicateurs qualité dans le but de garantir une qualité et une sécurité optimales des prises en charge. Cette démarche passe par les objectifs opérationnels suivants : Comprendre les responsabilités professionnelles et médico-légales en télémédecine. Analyser l’organisation individuelle des prises en charge en télémédecine (organisation du travail, modification relationnelle des prises en charge, appréhension des situations cliniques, environnement technique requis). Développer une réflexion collective sur les points positifs et les points négatifs des sujets abordés. Echanger sur les incidents et évènements indésirables, savoir réagir et y remédier. Identifier et analyser les axes d’amélioration possible sur la qualité et la sécurité des soins en télémédecine après avoir Identifié et élaboré des indicateurs qualité et sécurité des soins. Durant cette formation, après un rappel des responsabilités juridiques, l’analyse des organisations individuelles couplée à une réflexion collectives basée sur l’étude des événements indésirables rencontrés doit permettre d’élaborer des indicateurs de qualité et de sécurité des soins qui contribueront à l’amélioration de la prise en charge des patients en télémédecine.

Médecin Généraliste, Médecin urgentiste, Infirmier

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La maitrise des risques associés aux soins commence par une bonne organisation des Urgences

DPC

Orientations pluriannuelles prioritaires n°7 Maîtrise des risques associés aux actes et aux parcours de soins Il s’agit d’un programme intégré associant la gestion du risque (méthode HAS :gestion du risque en équipe) et de la formation continue ( méthode HAS : formation présentielle) Formation sur 21 heures 3 modules de 7 heures : Méthodes HAS : Gestion du risque en équipe, formation présentielle Prérequis : personnel du service d’urgence : médecins urgentistes et infirmières Contexte, résumé, objectifs, déroulé succinct. Les évènements indésirables associés aux soins et les évènements indésirables graves sont aujourd’hui trop nombreux et un nombre important de ceux-ci seraient évitables. Ils représentent non seulement un coût humain mais un réel coût économique (l’OCDE dans un rapport en 2017 estimait celui-ci à 15% des dépenses de santé). L’analyse de ces évènements faite par l’HAS montre que près de 30% d’entre eux sont dus à des facteurs humains voir d’équipes. Souvent la première entrée dans un établissement de santé se fait par le service des urgences. Les médecins de ville consultent de moins en moins sans rendez-vous, ils se déplacent peu à domicile, de plus les services des urgences pratiquent le tiers- payant ce qui correspond à une gratuité des soins. D’où l’extrême importance d’une organisation optimisée de ce service ce qui n’est généralement pas le cas. On y observe souvent un ou plusieurs des dysfonctionnements suivants: Des patients dont on peut se poser la question de leur présence dans un service d’URGENCES Une attente particulièrement longue Une absence de pré orientation Des patients sur des lits en attente d’une orientation Des soignants stressés Des patients excédés… A l’issue de cette formation qui est une action de Formation continue associée à une action de GDR, les personnels d’un service d’urgence qui l’auront suivie sauront comment améliorer l’organisation de leur service afin d’optimiser le parcours des patients, de faciliter le travail de l’équipe et d’éviter voir de limiter les EIAS. Cette démarche passe par les objectifs opérationnels suivants : Analyser l’organisation du service Développer une réflexion collective sur les points positifs et les points négatifs de cette organisation Identifier et analyser les risques en réfléchissant à la déclaration et la gestion des EIAS Savoir réagir aux situations imprévues Savoir mieux exploiter les ressources médicales, paramédicales et les autres. Mettre en place des « pare-feu » permettant de bloquer les EIAS. Proposer une organisation du service optimisée Ce programme de FC et de gestion des risques de 21 h se déroulera selon 3 modules de 7H. Il s’adresse au chef du service des urgences et à l’ensemble de l’équipe médicale et paramédicale qui devra s’engager durant les 3 modules - Module 1 : Etat des lieux du service et analyses des parcours de soins, selon la méthodologie de gestion des risques en équipe. Ebauche d’une organisation idéale des urgences Durant ce module l’équipe devra réfléchir à l’organisation du service afin d’en faire la description la plus détaillée possible. Elle fera également l’analyse a posteriori d’un EIAS Elle identifiera les causes organisationnelles du parcours de soins dans le cas d’espèce. L’équipe réfléchira aux améliorations et modifications à mettre en œuvre - Module 2 : Conceptualisation de l’organisation cible du service d’urgences de demain : méthodologie de formation présentielle L’équipe mènera une réflexion collective de service sur des cas cliniques Cas clinique 1 : circuit de traumatologie ambulatoire de l’accueil à la sortie (optimisation de la prise en charge et sécurisation du parcours) Cas clinique 2 : prise en charge médico-chirurgicale de gravité intermédiaire (analyse et sécurisation des procédures, du parcours et des interactions pluridisciplinaires dans l’ensemble de la prise en charge aux urgences) Cas clinique 3 : urgences vitales (évaluations des formations et des pratiques professionnelles ; analyse optimisation et sécurisation du parcours patients et des temps de prise en charge ; procédure d’interactions pluridisciplinaires ; évaluation et mises à jour des référentiels - Module 3 : Formalisation de l’organisation du service d’urgences : méthodologie de la gestion des risques en équipe. L’équipe conceptualisera un parcours cible avec les circuits possibles et pour chacun le risque de survenu d’un EIAS. Elle devra prévoir les procédures à mettre en œuvre en amont pour éviter ce risque. Elle prendra également en compte les difficultés et obstacles existant au sein du service et dans les autres services de l’établissement.

Médecin Généraliste, Médecin urgentiste

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La télémédecine en médecine générale: appropriation des bonnes pratiques et accompagnement dans l'évolution des compétences des professionnels de santé

DPC

La télésanté permet un soin à distance grâce à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Plus particulièrement, la télémédecine fait l’objet d’une stratégie nationale de déploiement depuis 2011. Son développement est en plein essor car la télémédecine combine plusieurs avantages importants. En effet, elle permet notamment d’améliorer l’accès aux soins pour tous et notamment des personnes isolées géographiquement habitant dans des déserts médicaux, de diminuer le recours aux urgences et par conséquent, d’avoir pour effet de diminuer des hospitalisations évitables. De plus, le contexte sanitaire actuel nous a également fait prendre conscience de l’importance de la télémédecine en période de pandémie. Le recours à la télémédecine continuera à évoluer ces prochaines années, les pouvoirs publics ayant intégré au droit commun le remboursement notamment des actes de téléconsultation par l’Assurance Maladie. Cet accroissement de la télémédecine doit être accompagné par la formation des professionnels de santé afin de contribuer à l’amélioration de leurs compétences dans ce domaine. A l’issue de cette formation, les médecins généralistes qui l’auront suivie sauront comment améliorer l’organisation de leur travail de télémédecine afin de s’approprier les bonnes pratiques de téléconsultations et mettre en place des indicateurs qualité dans le but de garantir une qualité et une sécurité optimales des prises en charge. Cette démarche passe par les objectifs opérationnels suivants : Comprendre les responsabilités professionnelles et médico-légales en télémédecine. Analyser l’organisation individuelle des prises en charge en télémédecine (organisation du travail, modification relationnelle des prises en charge, appréhension des situations cliniques, environnement technique requis). Développer une réflexion collective sur les points positifs et les points négatifs des sujets abordés. Echanger sur les incidents et évènements indésirables, savoir réagir et y remédier. Identifier et analyser les axes d’amélioration possible sur la qualité et la sécurité des soins en télémédecine après avoir Identifié et élaboré des indicateurs qualité et sécurité des soins. Durant cette formation, après un rappel des responsabilités juridiques, l’analyse des organisations individuelles couplée à une réflexion collectives basée sur l’étude des événements indésirables rencontrés doit permettre d’élaborer des indicateurs de qualité et de sécurité des soins qui contribueront à l’amélioration de la prise en charge des patients en télémédecine.

Médecin Généraliste, Médecin urgentiste, Infirmier

En présentiel

La maitrise des risques associés aux soins commence par une bonne organisation des Urgences

DPC

Orientations pluriannuelles prioritaires n°7 Maîtrise des risques associés aux actes et aux parcours de soins Il s’agit d’un programme intégré associant la gestion du risque (méthode HAS :gestion du risque en équipe) et de la formation continue ( méthode HAS : formation présentielle) Formation sur 21 heures 3 modules de 7 heures : Méthodes HAS : Gestion du risque en équipe, formation présentielle Prérequis : personnel du service d’urgence : médecins urgentistes et infirmières Contexte, résumé, objectifs, déroulé succinct. Les évènements indésirables associés aux soins et les évènements indésirables graves sont aujourd’hui trop nombreux et un nombre important de ceux-ci seraient évitables. Ils représentent non seulement un coût humain mais un réel coût économique (l’OCDE dans un rapport en 2017 estimait celui-ci à 15% des dépenses de santé). L’analyse de ces évènements faite par l’HAS montre que près de 30% d’entre eux sont dus à des facteurs humains voir d’équipes. Souvent la première entrée dans un établissement de santé se fait par le service des urgences. Les médecins de ville consultent de moins en moins sans rendez-vous, ils se déplacent peu à domicile, de plus les services des urgences pratiquent le tiers- payant ce qui correspond à une gratuité des soins. D’où l’extrême importance d’une organisation optimisée de ce service ce qui n’est généralement pas le cas. On y observe souvent un ou plusieurs des dysfonctionnements suivants: Des patients dont on peut se poser la question de leur présence dans un service d’URGENCES Une attente particulièrement longue Une absence de pré orientation Des patients sur des lits en attente d’une orientation Des soignants stressés Des patients excédés… A l’issue de cette formation qui est une action de Formation continue associée à une action de GDR, les personnels d’un service d’urgence qui l’auront suivie sauront comment améliorer l’organisation de leur service afin d’optimiser le parcours des patients, de faciliter le travail de l’équipe et d’éviter voir de limiter les EIAS. Cette démarche passe par les objectifs opérationnels suivants : Analyser l’organisation du service Développer une réflexion collective sur les points positifs et les points négatifs de cette organisation Identifier et analyser les risques en réfléchissant à la déclaration et la gestion des EIAS Savoir réagir aux situations imprévues Savoir mieux exploiter les ressources médicales, paramédicales et les autres. Mettre en place des « pare-feu » permettant de bloquer les EIAS. Proposer une organisation du service optimisée Ce programme de FC et de gestion des risques de 21 h se déroulera selon 3 modules de 7H. Il s’adresse au chef du service des urgences et à l’ensemble de l’équipe médicale et paramédicale qui devra s’engager durant les 3 modules - Module 1 : Etat des lieux du service et analyses des parcours de soins, selon la méthodologie de gestion des risques en équipe. Ebauche d’une organisation idéale des urgences Durant ce module l’équipe devra réfléchir à l’organisation du service afin d’en faire la description la plus détaillée possible. Elle fera également l’analyse a posteriori d’un EIAS Elle identifiera les causes organisationnelles du parcours de soins dans le cas d’espèce. L’équipe réfléchira aux améliorations et modifications à mettre en œuvre - Module 2 : Conceptualisation de l’organisation cible du service d’urgences de demain : méthodologie de formation présentielle L’équipe mènera une réflexion collective de service sur des cas cliniques Cas clinique 1 : circuit de traumatologie ambulatoire de l’accueil à la sortie (optimisation de la prise en charge et sécurisation du parcours) Cas clinique 2 : prise en charge médico-chirurgicale de gravité intermédiaire (analyse et sécurisation des procédures, du parcours et des interactions pluridisciplinaires dans l’ensemble de la prise en charge aux urgences) Cas clinique 3 : urgences vitales (évaluations des formations et des pratiques professionnelles ; analyse optimisation et sécurisation du parcours patients et des temps de prise en charge ; procédure d’interactions pluridisciplinaires ; évaluation et mises à jour des référentiels - Module 3 : Formalisation de l’organisation du service d’urgences : méthodologie de la gestion des risques en équipe. L’équipe conceptualisera un parcours cible avec les circuits possibles et pour chacun le risque de survenu d’un EIAS. Elle devra prévoir les procédures à mettre en œuvre en amont pour éviter ce risque. Elle prendra également en compte les difficultés et obstacles existant au sein du service et dans les autres services de l’établissement.