68 formations DPC UREMEC disponibles
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Médecin Généraliste
En présentiel
Souffrance au travail : Repérage et Accompagnement Thérapeutique et Social du Patient
DPC
Objectif Général : L’objet de ce DPC est de reconnaître et évaluer la part du travail dans la survenue de problèmes de santé et participer à sa prise en charge et à l’accompagnement bio-psycho-social du patient Objectifs spécifiques : Au décours de cette formation, le praticien doit être capable de : Repérer au décours d’un consultation chez un patient les signes d’appel d’un souffrance liée au travail Identifier les principales causes : - conditions de travail - facteurs humains et relationnels, - méthodes de management actuelles. Accompagner le patient sur le plan thérapeutique et dans son parcours administratif et social
Médecin Généraliste, Pédiatre
En présentiel
" La vaccination : De la promotion à l’amélioration de la couverture vaccinale"
DPC
Au terme de cette formation les participants devront être en capacité de : 1- Disposer d’informations à donner au patient pour améliorer la couverture vaccinale de la population et lever les freins à la vaccination. 2- S’approprier les nouvelles recommandations vaccinales et élaborer un calendrier vaccinal personnalisé en fonction de l’âge du patient et de ses pathologies. 3- Améliorer le parcours vaccinal en optimisant l’information donnée au patient sur son statut vaccinal. Objectifs : - Objectif 1 = Identifier les freins à la vaccination et donner au patient une information éclairée. - Objectif 2 = S’approprier les nouvelles recommandations vaccinales - Objectif 3 = Intégrer dans la pratique un «outil» pour mieux informer le patient sur son statut vaccinal.
Médecin Généraliste
En présentiel
Optimiser la prise en charge d’une douleur chronique : traitement pharmacologique et méthodes non médicamenteuse (hypnose, sophrologie, …)
DPC
En France, 12 millions de personnes souffrent de douleurs chroniques, 70 % ne reçoivent pas de traitement approprié et seulement moins de 3 % des patients bénéficient d’une prise en charge dans une structure douleur chronique (SDC). (1) Il est important pour une bonne prise en charge du patient, de bien définir le mécanisme de la douleur, le type de douleur et de mettre en place un traitement en adéquation avec la cause, le type et l’intensité. Cela doit pouvoir être effectué par l’ensemble des professionnels de santé prenant en charge des patients algiques à commencer par le médecin de premier recours. Selon la définition officielle de l’association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes. La douleur a des étiologies multiples, mais on peut distinguer 3 catégories de douleurs selon leur mécanisme physiopathologique : les douleurs nociceptives, les douleurs neuropathiques secondaires à une lésion neurologique et les douleurs dysfonctionnelles en lien avec un dysfonctionnement des systèmes de contrôle de la douleur, sans lésion identifiée. La douleur chronique est définie par l’IASP comme une douleur persistante au-delà du délai normal de guérison des tissus, généralement fixé à 3 mois. Elle n’a pas de finalité biologique et a des répercutions délétères chez le patient. (3) Cette formation doit permettre aux apprenants d’acquérir les bases nécessaires à une meilleure prise en charge des douleurs chroniques de l’adulte. Un traitement pharmacologique seul ne suffit pas toujours et pour que la prise en charge soit optimale, elle doit être globale. Des moyens non médicamenteux peuvent être associés. En effet, si les médicaments antalgiques restent la clé de voûte du traitement de la douleur, de nombreuses douleurs subaiguës et chroniques ne sont pas améliorées par les antalgiques, ou au prix d'effets indésirables non négligeables. Ainsi, les patients cherchent fréquemment des solutions non médicamenteuses. De multiples méthodes non médicamenteuses se sont développées depuis de nombreuses années. Elles ont toutes la même finalité : renforcer le contrôle endogène de la douleur. La multiplicité des traitements pouvant être proposés nécessite de la part du prescripteur, de connaître les mécanismes physiopathologiques et les indications de chacun pour orienter le patient vers le traitement le plus adapté à sa pathologie. Les douleurs chroniques complexes doivent bénéficier d'une évaluation et d'un suivi pluridisciplinaire dans une structure spécialisée. (1) La demande de prise en charge spécialisée n’est jamais un abandon de la prise en charge ambulatoire. Elle répond à des objectifs discutés entre le patient (et ses parents s’il s’agit d’un enfant) et le médecin prescripteur. Le parcours du patient douloureux devra préciser au mieux et pour chacun des 3 paliers (en distinguant ce qui relèvent de la ville, des consultations et des centres) : la typologie des patients, les professionnels concernés, les types d’actes et consultation réalisables, ainsi que les modalités et outils de communication et d’échanges entre les différents paliers. Le patient doit pouvoir changer de palier, dans les deux sens, en fonction de l’évolution de sa situation clinique, psychologique ou sociale. (2) Cette formation vise à permettre de soulager la douleur d’un patient chronique et à améliorer sa qualité de vie. Elle s’adresse à l’ensemble des professionnels de santé prenant en charge des patients algiques. OBJECTIFS : Objectif général : Amélioration de la qualité de vie, réduction des répercussions psychologiques et aide à la réinsertion affective, professionnelle et sociale du patient. Objectifs spécifiques 1- Différencier les processus physiopathologiques responsables d’une douleur chronique (nociceptif, neuropathique, psychogène) 2- Utiliser les échelles d’évaluation de la douleur adaptées à la situation du patient afin d’en caractériser la douleur et guider la prise en charge 3- Améliorer la qualité de vie du patient par une prise en charge thérapeutique adaptée à l’intensité de la douleur et à son mécanisme. 4- Identifier les principales thérapeutiques non médicamenteuses, leurs indications et leurs limites. 5- Proposer au patient une prise en charge adaptée et dans des délais acceptables, autant en ville que dans une structure douleur chronique (SDC)
Masseur-Kinésithérapeute, Infirmier
En présentiel
Place de l’Hypnose dans la prise en charge de la douleur pendant les soins
DPC
L’hypno analgésie qui est une des pratiques de l’hypno thérapie est une méthode antalgique permettant de mieux contrôler et gérer une douleur. L’hypno analgésie justifie une formation aux pratiques hypnotiques et au minimum à la psychologie du patient douloureux. L’hypnose peut donc être utilisée par des soignant non spécialisés en psychothérapie (médecin, infirmiers et paramédicaux) dans un cadre d’hypno analgésie ou pour soulager l’angoisse de certains soins. Dans le contexte d’un soin douloureux l’hypnose permet d’aider à contrôler l’intensité de la douleur, à mieux gérer cette douleur et les émotions qui l’accompagnent Elle aide le patient à trouver des ressources lui permettant de se mobiliser et devenir actif de sa prise en charge et ainsi mieux supporter la douleur. L’utilité d’atténuer la douleur médicalement parlant permet d’améliorer la prise en charge thérapeutique du soin, permet cette participation active du patient, et permet au soignant de mieux prendre en charge le traitement. Les patients comme les soignants sont aujourd’hui désireux de solutions qui n’intensifient pas la charge médicamenteuse, et qui améliorent le confort de vie de leurs patients. A cette problématique physiologique qu’est la douleur s’ajoutent les enjeux psychologiques, sociaux, culturels et émotionnels traversés par les patients atteints de douleurs Cette formation qui s’adresse aux infirmiers et paramédicaux se propose de faciliter la prise en charge d’un patient algique à l’occasion d’un soin douloureux. Le groupe sera composé de 15 participants au maximum. A l’issue de la Formation le participant doit être capable de : - Objectif spécifique 1 : Énumérer les différentes prises en charge de la douleur - Objectif spécifique 2 : Déterminer la place de l'hypno analgésie, ses indications et ses principes - Objectif spécifique 3 : Mettre en confiance le patient dans le cadre de son traitement par une écoute active - Objectif spécifique 4 : Énumérer les différents types d’induction en fonction des filtres du patient - Objectif spécifique 5 : Rédiger le protocole spécifique à la gestion de la douleur et à l’amélioration du confort
Infirmier
En présentiel
Contribuer à la mise en œuvre des directives anticipées et de la sédation en soins palliatifs
DPC
Les soins palliatifs nécessitent un travail d’équipe interdisciplinaire et interrogent la pratique soignante. Les soins palliatifs ne se limitent pas aux soins des derniers jours ou dernières semaines de vie mais peuvent être administrés précocement dans l’évolution d'une maladie grave, en phase avancée, d'évolution fatale, pour améliorer la qualité de vie du patient et celle de ses proches. Ils sont de la responsabilité et des compétences de tous les professionnels de santé et du secteur médico-social. L’approfondissement des concepts de fin de vie, directives anticipées, sédation profonde, permettra d’accompagner la personne en fin de vie, dans les dimensions éthique, déontologique et législative. Il optimisera son soutien et son positionnement dans l’accompagnement de la personne et de ses proches. L’objectif de cette formation est de permettre à l’infirmier(e) libéral(e) d’actualiser ses connaissances sur les soins spécifiques à la personne atteinte de maladie grave évolutive incurable, de développer des habiletés relationnelles. Objectifs : 1. Définir les soins palliatifs en lien avec l’exercice infirmier à domicile et en ambulatoire, au sein d’un équipe interdisciplinaire 2. Questionner la qualité de vie des patients, le sens de la vie, la limitation ou l’arrêt de traitements et la place de la sédation 3. Analyser les différents champs du droit pour asseoir les principes de dignité et de respect de la vie 4. Repérer les facteurs de vulnérabilité en amont de la phase terminale 5. Développer des habiletés relationnelles, dans un processus de réflexion éthique, en vue d’aborder les directives anticipées 6. Définir la sédation, son mode de mise en œuvre et les modalités de surveillance Organisation : La formation se déroule sur 7 h : • 9 h 00 – 9 h 15 : Accueil des Participants – Pré-Tests - Présentation de l’Intervenant et des Objectifs de la Formation • 9 h 15 – 10 h 00 : Échanges de Pratiques entre pairs : Étude et analyse en groupe de situations vécues • 10 h 00 – 11 h 00 (pause médiane 10 MNS) : Place et rôle du soignant au sein d’une équipe pluridisciplinaire : Groupe de Parole interactif – Intervention de l’Expert : Objectif 1 • 11 h 00 – 12 h 00 Les participants analysent en brainstorming « le sens de la vie » « la qualité de la vie » « la sédation » ; l’animateur synthétise les propositions et l’Expert apporte des informations validées. Objectif 2 • 12 h 00 – 13 h 00 : Repas • 13 h 00 – 13 h 45 : La législation sur les soins Palliatifs : Intervention de l’Expert et discussion interactive avec le Groupe : Objectif 3 • 13 h 45 – 14 h 30 : Le Groupe travaille sur 2 ou 3 Cas cliniques, analyse et propositions par l’Expert : Objectif 4 • 14 h 30 – 15 h 30 : Mises en situations : Travail sur les habilités relationnelles et directives anticipées – Discussions interactives avec l’Expert : Objectif 5 • 15 h 30 – 15 h 45 : Pause • 15 h 45 – 16 h 45 : Cas cliniques sur les indications et la mise en place de la sédation - Intervention de l’Intervenant avec support PPT et échanges interactifs : Objectif 6 • 16 h 45 – 17 h 00 : Questions Diverses - Post-Tests - Conclusions Bibliographie : 1) HAS – Décembre 2016 : Organisation des Parcours : l’essentiel de la démarche palliative 2) SFAP : Société française d’accompagnement et de soins palliatifs. www.sfap.org 3) MCO : médecine, chirurgie, obstétrique, SSR : soins de suite et de réadaptation 4) http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2655088/fr/comment-ameliorer-la-sortie-de-l-hopital-et-favoriser-le-maintien-a-domicile-des-patients-adultes-relevant-desoins-palliatifs
Médecin Généraliste
En présentiel
La souffrance au travail
DPC
L'évolution de l'environnement du travail, de l'organisation du travail, et des modes de gestion des hommes, introduit de nouvelles pathologies de travail à côté des pathologies traditionnelles dites physiques : il s'agit de pathologies mentales. Dans ce contexte d'émergence de nouvelles formes de mal-être au travail, le concept de souffrance au travail apparaît pertinent car il interroge le fonctionnement organisationnel et le rôle de la gestion des ressources humaines : La souffrance au travail naît d'une perte de ressources organisationnelles. L’évolution des conditions et des organisations de travail est associée à une prévalence croissante des facteurs de risque psychosociaux susceptibles de porter atteinte à la santé à la fois physique et mentale. Le syndrome d’épuisement professionnel n’est pas considéré comme une maladie dans les classifications de référence (CIM-10 et DSM-5). Il se rapproche d’autres situations non spécifiques telles que par exemple la souffrance au travail ou les effets du stress lié au travail. Après les affections de l’appareil locomoteur, la souffrance psychique causée ou aggravée par le travail est le 2e groupe d’affections d’origine professionnelle décrit dans la population salariée active française. Le burnout est un ensemble syndromique qui nécessite une démarche diagnostique. Celle-ci vise à caractériser la sévérité du trouble, son type diagnostique et ses liens avec les conditions de travail. Le syndrome d’épuisement professionnel n’est pas une maladie caractérisée. Ce syndrome peut se traduire par des manifestations plus ou moins importantes, d’installation progressive et souvent insidieuse, en rupture avec l’état antérieur, notamment : Émotionnelles, comportementales ou interpersonnelles, motivationnelles ou liées à l’attitude, ou physiques non spécifiques. L’analyse des conditions de travail est faite prioritairement avec le médecin du travail, ou le centre de consultation de pathologie professionnelle. Ce repérage peut être réalisé par le médecin traitant, le médecin du travail et l’équipe de santé au travail. Dans l’intérêt du patient et avec son accord, il est indispensable qu’un échange ait lieu entre le médecin du travail et le médecin traitant. L’objet de ce DPC est d’accompagner le médecin traitant dans sa démarche diagnostique devant un patient qui présente ces symptômes psychiques, pour les rattacher aux difficultés ressenties, mais pas toujours identifiées au travail Objectifs : Au décours de cette formation le praticien doit être capable de : 1. Repérer chez un patient une souffrance liée au travail et d’en identifier les principales causes aux conditions de travail, aux facteurs humains et relationnels. 2. Évaluer l’État Psychique du patient 3. Identifier les situations qui nécessitent la prescription d’un arrêt de travail suivant des règles rédactionnelles précises
Médecin Généraliste
En présentiel
Dépistage et Suivi de l’Évolution d’une Scoliose Idiopathique de l’Enfant
DPC
La scoliose est la plus fréquente des déformations rachidiennes. Il s’agit d’une déformation tridimensionnelle et irréductible du rachis, qui est dans la grande majorité́ des cas idiopathique. La scoliose idiopathique (SI) de l’adolescent est la scoliose la plus répandue. Sa prévalence varie entre 2 et 3% chez les enfants de 10 à 16 ans. Compte tenu de son potentiel d’aggravation et des possibles complications qui en résultent, sa prise en charge en soins primaires est primordiale. La HAS en 2017 recommandait que le dépistage soit réalisé́ par les médecins de premier recours. Néanmoins, aucune visite chez le MG ou le pédiatre n’est obligatoire après l’Age de 6 ans (sauf dans le cadre des vaccinations). Les bilans de santé réalisés par les médecins ou les infirmières scolaires dans le cadre des visites de médecine préventive scolaire doivent être réalisés au cours des 6 , 9 , 12 et 15 années. En pratique, seul l’examen de la 12e année est réellement pratiqué en milieu scolaire mais surtout le dépistage des scolioses n’est plus obligatoire et n’est quasiment jamais réalisé. Une scoliose de l’enfant ou de l’adolescent peut donc facilement passer inaperçue. Comme le révèlent les chiffres, le MG et la médecine scolaire ont un rôle important dans le dépistage. En effet, en France, le diagnostic initial de SI serait réalisé́ à 47% par le MG et à 29.5% par la médecine scolaire (14.5% sont diagnostiquées par les parents, 2% par le sport). « Plus on fait un diagnostic tôt chez un enfant, plus on a des chances de l’empêcher de s’aggraver. Donc des chances de la guérir. » Jean Débrousse, chirurgien orthopédiste pédiatrique. Bien qu’il n’existe pas de consensus concernant l’âge le plus propice (8/11 ans selon les études) au dépistage de la scoliose, il est admis qu’il faut le débuter le plus tôt possible avant la période pubertaire [2,47]. Les filles doivent être dépistées plus tôt que les garçons en raison d’un début de puberté́ plus précoce. Le dépistage concerne tous les enfants et les adolescents de la période pré́-pubertaire jusqu’à̀ la fin de la croissance. Outre l ‘examen clinique capital dans le dépistage de la SI, la radiographie du rachis entier debout de face et de profil a la place de choix dans l’analyse de la SI Elle est l’imagerie de première intention recommandée La radiographie est de préférence réalisée en incidence postéro- antérieure afin de diminuer l'irradiation gonadique, notamment chez les jeunes filles. Le but de la première radiographie est de confirmer le diagnostic de scoliose en mesurant la ou les courbures, mais aussi d’éliminer une cause organique par l’analyse précise des structures osseuses et des parties molles. La surveillance de la scoliose est capitale. Elle est liée à la pratique de radiographies régulières indispensables (une tous les 6 mois ou tous les ans pendant la période pubertaire) Malheureusement cette irradiation répétée n ‘est pas sans conséquence (Risque de cancer du sein par exemple pour la fille multiplié par 4). Le Système EOS permet une irradiation 45 fois moins importante avec des résultats en 3D capitaux pour le pronostic et l'évolutivité́ de la SI (un suivi entier lors de l ‘adolescence est largement moins irradiant qu‘un seul cliché standard) L’Objet de ce DPC est de permettre au Médecin traitant : - Le repérage d’un trouble scoliotique par examen clinique - La place de la radiographie dans le diagnostic et le suivi d’une scoliose de l’enfant - Le rôle du médecin généraliste dans le suivi d’une scoliose de l’enfant Objectifs : Au décours de cette formation le praticien doit être capable de : 1) Identifier par l’examen clinique les signes évocateurs d’une scoliose 2) Décrire les repères anatomo-radiographiques permettant le diagnostic de scoliose 3) Coordonner le suivi de la scoliose et accompagner les parents dans la prise en charge
Médecin Généraliste
En présentiel
Démarche diagnostique devant un problème de dysfonctionnement sexuel au cabinet du généraliste ?
DPC
Le généraliste est le premier interlocuteur du couple en cas de difficultés relationnelles et de problème sexuel Il n’est pas facile, pour nos patients, d’évoquer un problème sexuel, du fait de nombreux préjugés (personnels, familiaux religieux...) Avant d’oser parler d’une difficulté sexuelle, le patient en souffre beaucoup. Pourtant, des enquêtes ont montré que les patients souhaitent parler de leur troubles sexuels et qu’ils s’attendent a ce que leur praticien, qu’ils aimeraient plus « curieux », aborde le sujet. Lorsqu'un patient ose nous parler d'une difficulté sexuelle, c'est qu'elle est à l'origine d'une souffrance subjective marquée et qu'elle engendre des difficultés interpersonnelles importantes. Ce trouble interfère avec son épanouissement sexuel et l'empêche d'avoir des relations sexuelles satisfaisantes. Même si, le plus souvent, les dysfonctions sexuelles sont d'origine émotionnelle et sentimentale, il est important d'éliminer une étiologie somatique ou toxique avant d'approfondir la piste psychologique. Les dysfonctions sexuelles sont des phénomènes de santé non négligeables avec un impact potentiel sur la sexualité et la fertilité du couple et sa qualité de vie. Objectifs pédagogiques : 1- Général : Conduire une consultation de sexologie 2- Spécifiques : - Connaître les spécificités de la Cs de sexologie - Argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents - Citer les moyens thérapeutiques et accompagner le couple
Médecin Généraliste
En présentiel
La démarche diagnostique du Médecin Généraliste en présence d’un patient présentant des Vertiges
DPC
Le vertige est un des motifs de consultation les plus fréquents, tant en médecine générale que spécialisée. La définition du vertige varie selon les traditions médicales, mais aussi selon les différences culturelles, tant de la part du praticien que du patient. Une terminologie variée est utilisée par les patients pour exprimer un vécu qui est souvent difficile à décrire. De plus, la diversité des étiologies potentielles est grande et leurs fréquences respectives peuvent varier en fonction de la discipline médicale concernée. L’absence régulière d’anomalies dans les examens et la haute fréquence de l’anxiété chez les personnes souffrant de vertiges soulève souvent la question de troubles fonctionnels. Les thèmes de la définition précise des symptômes vestibulaires et de leur signification étiologique ou physiopathologique, ainsi que l’interface avec les troubles psychiatriques, continuent de provoquer des discussions animées et controversées. Chaque praticien applique dans sa pratique clinique, de manière explicite ou implicite, un arbre décisionnel, qui prend en compte le type de symptôme, des conceptions physiopathologiques et des probabilités. Cette formation se propose d’aider le Médecin Généraliste à établir une stratégie diagnostique pratique lui permettant de distinguer les Vertiges positionnels bénins de Vertiges traduisant une affection neurologique ou organique plus sévère Objectifs de cette Formation : Chez un sujet se plaignant de vertige : - Argumenter les principales hypothèses diagnostiques - Justifier les examens complémentaires pertinents.
Médecin Généraliste
En présentiel
Contribuer à la mise en œuvre des directives anticipées et de la sédation en soins palliatifs
DPC
Les soins palliatifs nécessitent un travail d’équipe interdisciplinaire et interrogent la pratique soignante. Les soins palliatifs ne se limitent pas aux soins des derniers jours ou dernières semaines de vie mais peuvent être administrés précocement dans l’évolution d'une maladie grave, en phase avancée, d'évolution fatale, pour améliorer la qualité de vie du patient et celle de ses proches. Ils sont de la responsabilité et des compétences de tous les professionnels de santé et du secteur médico-social. L’approfondissement des concepts de fin de vie, directives anticipées, sédation profonde, permettra d’accompagner la personne en fin de vie, dans les dimensions éthique, déontologique et législative. Il optimisera son soutien et son positionnement dans l’accompagnement de la personne et de ses proches. L’objectif de cette formation est de permettre au Médecin Généraliste d’actualiser ses connaissances sur les soins spécifiques à la personne atteinte de maladie grave évolutive incurable, de développer des habiletés relationnelles. Objectifs : 1. Questionner la qualité de vie des patients, le sens de la vie, la limitation ou l’arrêt de traitements et la place de la sédation (mise en œuvre, modalités de surveillance) 2. Analyser les différents champs du droit pour asseoir les principes de dignité et de respect de la vie 3. Développer des habiletés relationnelles, dans un processus de réflexion éthique, en vue d’aborder les directives anticipées