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Prise en charge des dysthyroïdies chez l’adulte :Hypothyroidies
DPC
Objectifs, Résumé de l’action et méthodologies OBJECTIFS Objectifs généraux : − Améliorer la prise en charge des patients en termes de réduction des conséquences morbides des hypothyroidies sous ou sur-traitées − Homogénéiser les pratiques médicales et biologiques sur le territoire national concernant le dépistage, le diagnostic, le traitement et le suivi des hypothyroïdies − Rationaliser l’usage des bilans thyroïdiens systématiques Objectifs pédagogiques et opérationnels Décrire les signes évocateurs d’une hypothyroïdie. Définir les examens complémentaires de première et de seconde intention en fonction de la recommandation HAS 2022 Adapter sa stratégie thérapeutique et le suivi en fonction de la recommandation HAS 2022 Déterminer les éléments de la décision partagée Résumé (Recommandation HAS 2022 ) L’incidence des perturbations thyroïdiennes est difficile à estimer dans la population générale adulte, les manifestations cliniques étant peu spécifiques. Plusieurs études ont montré que les femmes, essentiellement à partir de 40 ans, sont généralement plus affectées par les maladies thyroïdiennes que les hommes, chez qui leur survenue est plus tardive Entre 45 et 60 ans, le sex ratio F:H est de 1,45 Les maladies thyroïdiennes sont fréquentes dans la population générale ; elles représentent une fraction importante de la morbidité générale, en particulier dans la population féminine Parmi les dysthyroïdies, les hypothyroïdies sont les plus fréquentes : l’incidence globale (suivi moyen de 7,5 ans) des hypothyroïdies était estimée à 1,3 %, celle des hyperthyroïdies à 0,34 % et de 0,3 % pour les thyroïdites, pour une incidence globale des dysthyroïdies estimée à 2,0 % à 7,5 années. L’hypothyroïdie fruste, en général asymptomatique, évolue vers une hypothyroïdie avérée chez environ 3 % à 4 % des patients chaque année et ce d’autant plus que la TSH initiale est élevée. Selon les données du système national des données de santé, environ 3 millions de personnes utilisent un produit à base de lévothyroxine en France. Il apparait selon les différentes études que la prise en charge est peu conformes aux recommandations actuelles et fait l’objet d’une grande variabilité de pratiques en France, mais également d’écarts entre les pratiques cliniques et les recommandations internationales. Selon le rapport de l’ANSM en 2013, environ 30 % des patients suivis en médecine de ville avaient débuté un traitement par lévothyroxine sans dosage préalable de TSH. Objectifs, Résumé de l’action et méthodologies
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Prise en charge des dysthyroïdies chez l’adulte :Hyperthyroidies
DPC
Objectifs, Résumé de l’action et méthodologies OBJECTIFS Objectifs généraux : − Améliorer la prise en charge des patients en termes de réduction des conséquences morbides des hyperthyroïdies sous ou sur-traitées − Améliorer la prise en charge des patients en termes de réduction des conséquences morbides des hyperthyroïdies sous ou sur-traitées − Homogénéiser les pratiques médicales et biologiques sur le territoire national concernant le dépistage, le diagnostic, le traitement et le suivi des hyperthyroïdies − Rationaliser l’usage des bilans thyroïdiens systématiques Objectifs pédagogiques et opérationnels Décrire les signes évocateurs d’une hyperthyroïdie. Définir les examens complémentaires de première et de seconde intention en fonction de la recommandation HAS 2022 Adapter sa stratégie thérapeutique et le suivi en fonction de la recommandation HAS 2022 Déterminer les éléments de la décision partagée Résumé (Recommandation HAS 2022 ) L’incidence des perturbations thyroïdiennes est difficile à estimer dans la population générale adulte, les manifestations cliniques étant peu spécifiques. Plusieurs études ont montré que les femmes, essentiellement à partir de 40 ans, sont généralement plus affectées par les maladies thyroïdiennes que les hommes, chez qui leur survenue est plus tardive Entre 45 et 60 ans, le sex ratio F:/H est de 1,45 Les maladies thyroïdiennes sont fréquentes dans la population générale ; elles représentent une fraction importante de la morbidité générale, en particulier dans la population féminine Parmi les dysthyroïdies, l’hyperthyroïdie est également une affection à nette prédominance féminine pouvant survenir à n’importe quel âge, mais plus particulièrement entre 40 et 60 ans, affectant des personnes plutôt jeunes dans le cas de l’hyperthyroïdie basedowienne ou, au contraire, des personnes plus âgées lorsqu’elle est associée à un goitre ou à des nodules toxiques. L’incidence annuelle a été estimée à 0,46/1 000 dans la population féminine de la cohorte SU.VI.MAX tandis que chez les hommes, elle était le plus souvent estimée à moins de 0,1/1 000 par an dans d’autres études d’incidence L’hyperthyroïdie constitue l’ensemble des troubles liés à un excès d’hormones thyroïdiennes (thyroxine T4 ou triiodothyronine T3) au niveau des tissus cibles. On parle de syndrome de thyrotoxicose, auquel s’associent des troubles variés selon l’étiologie . La cause la plus fréquente d’hyperthyroïdie est la maladie de Basedow (70 % des causes d’hyperthyroïdie), plus répandue chez les femmes que chez les hommes. Les autres causes d’hyperthyroïdie sont les nodules thyroïdiens hypersécrétants : goitre multinodulaire toxique et adénome toxique. Les causes de syndrome de thyrotoxicose (excès d’hormones thyroïdiennes au niveau des tissus cibles) incluent les thyrotoxicoses iatrogènes, les thyrotoxicoses gestationnelles transitoires, les thyroïdites silencieuses et subaiguës de De Quervain qui sont en lien avec une inflammation du tissu thyroïdien et un relargage d’hormones thyroïdiennes dans la circulation sanguine Il apparait selon les différentes études que la prise en charge est peu conformes aux recommandations actuelles et fait l’objet d’une grande variabilité de pratiques en France, mais également d’écarts entre les pratiques cliniques et les recommandations internationales. Objectifs, Résumé de l’action et méthodologies
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Bon usage des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) (classe virtuelle)
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Résumé Le bon usage des médicaments représente un enjeu de santé publique majeur. Les accidents liés à un mauvais usage du médicament occasionnent chaque année plus de 10 000 décès, dont 7 500 chez les plus de 65 ans. Ils sont la cause de plus de 130 000 hospitalisations et près de 1,3 millions de journées d’hospitalisations. Alors que dans 45 à 70 % des cas ces accidents seraient évitables. Parmi ces prescriptions, celle des IPP est préoccupante. En 2019, plus de 16 millions de Français, soit environ un quart de la population, ont été traités par un IPP. Plus de la moitié des usages ne serait pas justifiée. Ces traitements sont souvent prescrits de manière trop systématique ou pour des durées trop longues. Dans ce contexte, la commission de la transparence a confirmé l’intérêt du maintien du remboursement de ces médicaments dans le cadre de leur AMM mais a rappelé qu’ils doivent être mieux et moins prescrits. Il a été identifié trois situations cliniques de mésusage des IPP : · En prévention des lésions gastroduodénales dues aux AINS chez des patients non à risque de complications gastroduodénales. · La durée de prescription dans le traitement du RGO est trop longue · Les prescriptions d’IPP sont trop fréquentes chez les personnes les plus âgées et les nourrissons ou les jeunes enfants : La recommandation AFSSAPS/SNFGE, relativement ancienne (2007) a été actualisée dernièrement par une fiche RBP et validée par le collège HAS le 8 sept 2022. Objectifs Objectifs généraux Améliorer sa prescription d’IPP conformément aux recommandations. Objectifs pédagogiques et opérationnels - Identifier les indications de prescription et de renouvellement - Identifier les effets indésirables des IPP - Définir les molécules et leurs posologies - Déterminer un protocole d’arrêt d’un traitement IPP
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Épisode dépressif caractérisé de l’adulte : Prescription des antidépresseurs. Classe Virtuelle
DPC
Publics Concernés ● Médecin généraliste ● Médecin gériatres Orientation(s) 24. Prise en charge précoce des troubles anxiodépressifs JUSTIFICATION DE LA CIBLE 1. Le public est-il concerné par la thématique ? Professionnels impliqués (HAS 2007) : La prise en charge des troubles anxieux est du domaine du médecin traitant et si nécessaire du psychiatre ; dans ce cas, la coopération avec le médecin traitant est indispensable. La collaboration du médecin traitant et du psychiatre est essentielle tout le long de la prise en charge. Le terme de médecin traitant doit etre pris dans le sens de l’Article L162-5-3 CSP, le médecin traitant choisi peut être un généraliste ou un spécialiste Pour les médecins généralistes, l es troubles anxiodépressifs sont très présents dans le contexte de soins primaires. Ainsi, une étude, menée en France en 2014, montrait que 82 % des médecins généralistes déclaraient prendre en charge chaque semaine, au moins, un trouble anxieux et 67 % un état dépressif [1] Une étude faite sur une population d’enfants et adolescents en aquitaine montre que la fréquence et les motifs de consultation ne discriminent pas les enfants déprimés des autres. Et il a été estimé que 70 % des diagnostics de dépression n'étaient pas faits lors de la consultation chez le généraliste. [2] Les gériatres, : L’anxiété généralisée et le trouble anxieux sont associés dans 50 à 70% des cas à une dépression chez le sujet âgé. [3] Chez la personne âgée de plus de 65 ans, la prévalence de la dépression est d’environ 15 %. Cependant, dans les services de soins somatiques qui leur sont dédiés, les symptômes dépressifs sont présents jusqu’à 37 % des patients. Trente pour cent d’entre eux ont une dépression majeure. L’hypochondrie est fréquente, concernant 65 % des personnes âgées dépressives. Aujourd’hui, on peut estimer que 60 à 70 % des états dépressifs des personnes âgées sont négligés, méconnus ou mal traités, en particulier chez les personnes très âgées. Dans la première étude paneuropéenne de la dépression, DEPRES (Depression Patient Research in European Society), portant il est vrai sur une population générale non gériatrique, seuls 57 % des malades ont sollicité une prise en charge médicale [4] Les dépressions de la personne âgée sont de pronostic réservé, puisque près de deux tiers des patients restent déprimés un an plus tard malgré le traitement. Il peut s’agir de formes endogènes et la notion de trouble bipolaire peut être retrouvée dans les antécédents. L’enjeu porte sur le repérage, l’investigation clinique et la prise en charge des patients présentant un trouble anxiodépressif qui présentent une forte complexité ; en effet, ces troubles peuvent se manifester par des symptômes psychiques, avec des variations de l’humeur et du comportement, mais aussi des symptômes physiques [5] ; les comorbidités sont fréquentes. Ceci peut rendre le diagnostic difficile et retarder la prise en charge adéquate des personnes qui en sont touchées. 2. Les objectifs pédagogiques sont atteignables et déclinables sur ce public Les trois objectifs de cette action relèvent du domaine du SAVOIR, et sont atteignables au cours de cette action d’amélioration et perfectionnement des connaissances. Ces objectifs sont évaluables au cours du pre post test et de l’ACC. Enfin, ces objectifs sont communs à l’ensemble de cette population et sont pertinents pour tous · Appréhender les signes d’alerte d’aggravation de la maladie dépressive. · Décrire les différentes thérapeutiques indiquées dans le syndrome dépressif. · Identifier les effets indésirables des différentes classes thérapeutiques utilisables 3. L’intervention de ce public correspond au processus de cet OP Ces différentes spécialités sont bien citées dans l’OP 24, et sont la recommandation HAS. [1] Dumesnil H, Cortaredona S, Cavillon M, Mikol F. Prise en charge de la dépression en médecine générale de ville. CAIRNinfo. 2014;9 [2] F Mathet , C Martin-Guehl , S Maurice-Tison , Le député Bouvard Prevalence of depressive disorders in children and adolescents attending primary care. A survey with the Aquitaine Sentinelle Network Encéphale .2003 septembre-octobre;29(5):391-400 [3] Boulenger JP, Ritchie K. Anxiété et démence. In : Michel BF, Touchon J, Pancrazi MP, Verdier JM, eds. Affect-Amygdale-Alzheimer, anxiété et démence. Marseille : Solal, 1999;109-14. [4] Tylee A., Gastpar M., Lepine J.P., Mendlewicz J. Identification of depressed patient types in the community and their treatment needs : findings from the DEPRES II (Depression Research in European Society II) survey. DEPRES Steering Committee. Int Clin Psychopharmacol. 1999;14(3):153-65. [5] Otheman Y & Al La fréquence des symptômes physiques dans les troubles anxio-dépressifs : transversale chez une population de 202 consultants psychiatriques Pan Afr Med J. 2018 ; 31 : 149. [1] Dumesnil H, Cortaredona S, Cavillon M, Mikol F. Prise en charge de la dépression en médecine générale de ville. CAIRNinfo. 2014;9 [2] F Mathet , C Martin-Guehl , S Maurice-Tison , Le député Bouvard Prevalence of depressive disorders in children and adolescents attending primary care. A survey with the Aquitaine Sentinelle Network Encéphale .2003 septembre-octobre;29(5):391-400 [3] Boulenger JP, Ritchie K. Anxiété et démence. In : Michel BF, Touchon J, Pancrazi MP, Verdier JM, eds. Affect-Amygdale-Alzheimer, anxiété et démence. Marseille : Solal, 1999;109-14. [4] Tylee A., Gastpar M., Lepine J.P., Mendlewicz J. Identification of depressed patient types in the community and their treatment needs : findings from the DEPRES II (Depression Research in European Society II) survey. DEPRES Steering Committee. Int Clin Psychopharmacol. 1999;14(3):153-65. [5] Otheman Y & Al La fréquence des symptômes physiques dans les troubles anxio-dépressifs : transversale chez une population de 202 consultants psychiatriques Pan Afr Med J. 2018 ; 31 : 149. [1] Dumesnil H, Cortaredona S, Cavillon M, Mikol F. Prise en charge de la dépression en médecine générale de ville. CAIRNinfo. 2014;9 [2] F Mathet , C Martin-Guehl , S Maurice-Tison , Le député Bouvard Prevalence of depressive disorders in children and adolescents attending primary care. A survey with the Aquitaine Sentinelle Network Encéphale .2003 septembre-octobre;29(5):391-400 [3] Boulenger JP, Ritchie K. Anxiété et démence. In : Michel BF, Touchon J, Pancrazi MP, Verdier JM, eds. Affect-Amygdale-Alzheimer, anxiété et démence. Marseille : Solal, 1999;109-14. [4] Tylee A., Gastpar M., Lepine J.P., Mendlewicz J. Identification of depressed patient types in the community and their treatment needs : findings from the DEPRES II (Depression Research in European Society II) survey. DEPRES Steering Committee. Int Clin Psychopharmacol. 1999;14(3):153-65. [5] Otheman Y & Al La fréquence des symptômes physiques dans les troubles anxio-dépressifs : transversale chez une population de 202 consultants psychiatriques Pan Afr Med J. 2018 ; 31 : 149.
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Repérage, diagnostic et accompagnement du Trouble déficitaire de l’attention avec ou sans Hyperactivité. En classe virtuelle
DPC
Résumé Les recommandations de bonnes pratiques professionnelles mettent fortement l’accent sur l’importance de mettre en œuvre des interventions précoces, dès suspicion d’un trouble du neuro-développement. La réalisation du repérage précoce implique des actions fortes en termes d’information et de sensibilisation des professionnels, comme en termes de formation, en particulier dans le contexte de la parution et de l’actualisation des RBP (RBP HAS « Conduite à tenir en médecine de premier recours devant un enfant ou un adolescent susceptible d’avoir un trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité », publiée en 2015). Un groupe de travail actuellement sur le thème « Trouble du neurodéveloppement/ TDAH : Diagnostic et prise en charge des enfants et adolescents - Note de cadrage » Ce séminaire est centré sur le Trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité. Le DSM-5 prend à son compte différents éléments de la description du TDA/H selon le DSM-IV. Mais il classe désormais le syndrome non plus parmi les troubles psychiatriques de l’enfant, comme le DSM-IV le faisait, mais parmi les troubles neurodéveloppementaux. Le Trouble Déficitaire de l'Attention avec ou sans Hyperactivité (TDA/H) concerne de 3 à 5 % d'enfants en âge scolaire. 50% de ces enfants sont en grave échec scolaire. L'hyperactivité de l'enfant est une des pathologies pour lesquelles le dépistage précoce peut permettre la mise en place de stratégies thérapeutiques dont l'efficacité à court et moyen terme a été démontrée. Ce repérage peut être réalisé par tous les cliniciens. [1] Les professionnels de santé sont peu ou pas formés à ce trouble et ont souvent des difficultés pour répondre aux questions des familles, apporter un soutien à l’enfant et l’orienter vers une prise en charge adaptée. Cette méconnaissance peut entraîner un retard diagnostique et/ou une absence de prise en charge, conduisant au fil du temps à une aggravation des conséquences psychologiques, scolaires et sociales chez l’enfant avec le risque à long terme de répercussions délétères sur la vie entière (difficultés dans les champs de l’emploi et du travail, désinsertion sociale, conduites addictives, etc.) Objectifs Généraux Identifier les enfants présentant un trouble déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité. (TDA/H) Être en capacité de les orienter au mieux dans le parcours de soins. EPP Systématiser le dépistage du TDAH Pédagogiques · Identifier les caractéristiques cliniques du TDA/H · S’approprier la démarche diagnostique du TDA/H (positifs, différentiels, comorbidités) et de connaître les signes d’alerte. · S’approprier des outils de repérage : L'échelle SNAP IV · Préciser les diverses prises en charge pouvant être proposées. (Médicamenteuses et non médicamenteuses, les accompagnements scolaires et ses aménagements et les PCO quand celles-ci seront opérationnelles après 7 ans). [1] « Conduite à tenir en médecine de premier recours, devant un enfant ou un adolescent ayant un trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité »HAS-2014. Dr Dominique GIRARDON, conceptrice du présent séminaire, présidente du groupe de travail Objectifs [1] « Conduite à tenir en médecine de premier recours, devant un enfant ou un adolescent ayant un trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité »HAS-2014. Dr Dominique GIRARDON, conceptrice du présent séminaire, présidente du groupe de travail [1] « Conduite à tenir en médecine de premier recours, devant un enfant ou un adolescent ayant un trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité »HAS-2014. Dr Dominique GIRARDON, conceptrice du présent séminaire, présidente du groupe de travail
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Idées et conduites suicidaires chez l’enfant et l’adolescent : prévention, repérage, évaluation et prise en charge – Classe virtuelle
DPC
Le suicide fait partie des causes de décès évitables. En France, le suicide est un enjeu majeur de santé publique. Les tentatives de suicide ont un fort impact psychologique et social sur la personne concernée et ses proches. Les enjeux d’une amélioration des pratiques professionnelles de prévention et de prise en charge des idées et conduites suicidaires des enfants et des adolescents sont une réduction de la fréquence des passages à l’acte, une réduction des handicaps et des incapacités, et une diminution des réitérations suicidaires. Cette formation est destinée à améliorer le repérage et la prise en charge du risque suicidaire de l’enfant et l’adolescent. Elle s’appuie sur la recommandation HAS Idées et conduites suicidaires chez l’enfant et l’adolescent : prévention, repérage, évaluation et prise en charge de septembre 2021
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En présentiel
Repérage de la maltraitance faite aux enfants, conduite à tenir
DPC
Objectifs Généraux Améliorer le repérage des situations de maltraitance ou de violences Connaitre les circuits de soins et juridiques Pédagogiques et opérationnels · Définir quelles sont les situations de maltraitance faite aux enfants. · Identifier les facteurs de risques maltraitance · Repérer les signes physiques, psychologiques, négligences de maltraitance · Clarifier le rôle de chacun et le circuit de l’information · Sensibiliser à la culture du signalement des informations préoccupantes et aux aspects législatifs et réglementaires · Rédiger un certificat de signalement. Résumé « Selon l’OMS La maltraitance de l’enfant s’entend de toutes les formes de mauvais traitements physiques et/ ou affectifs, de sévices sexuels, de négligence ou de traitement négligent, ou d’exploitation commerciale ou autre, entraînant un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l’enfant, sa survie, son développement ou sa dignité dans le contexte d’une relation de responsabilité, de confiance ou de pouvoir. » Plusieurs manifestations de maltraitance sont possibles concernant les enfants hormis les violences physiques proprement dites, d’autres sont plus spécifiques aux enfants : syndrome du bébé secoué, les violences psychologiques, les abus sexuels, les négligences Les séquelles ne sont pas seulement physiques, l’impact de la maltraitance sur le cerveau, sur la psychologie et sur le développement des enfants est largement documenté, les professionnels allant jusqu’à parler de psycho-traumatisme. Les professionnels doivent pouvoir acquérir des connaissances et des compétences sur les répercussions individuelles et collectives de la maltraitance et des violences sous ses diverses formes et notamment sur le développement et le devenir de la victime. Ils doivent ainsi être en mesure d’appréhender les différentes formes de violences pour mieux les repérer ainsi que les conduites à tenir, le cas échéant. La connaissance du cadre réglementaire et des dispositifs ou acteurs (institutionnels, associatifs) à mobiliser, les circuits de remontée des informations préoccupantes et des signalements ainsi que le parcours de protection des mineurs doit permettre aux professionnels d’agir face à des situations de maltraitance ou de violences identifiées. Objectifs Résumé
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En présentiel
Gestes pratiques en médecine générale : Initiation à la dermatoscopie dans le dépistage des tumeurs cutanées.
DPC
Objectifs Objectifs généraux · Mettre en œuvre, dans son exercice de médecine générale, le repérage et le dépistage dans le cadre des pathologies cutanées (cancéreuses ou non) Objectifs pédagogiques et opérationnels · Identifier la pathologie ou la situation nécessitant la réalisation d’une Dermatoscopie · Connaitre le cadre administratif et réglementaire de réalisation d’une dermatoscopie · Appréhender les risques et bénéfices d’une dermatoscopie · Réaliser une Dermatoscopie en se référant aux règles de bonnes pratiques · Identifier les éléments sémiologiques, à l’issue d’une dermoscopie, permettant de suspecter ou d’infirmer une lésion cutanée cancéreuse Résumé Avec plus de 8 000 nouveaux cas estimés, le mélanome cutané est le plus grave des cancers de la peau. Sa détection précoce permet sa guérison, car elle permet d’intervenir avant la phase d’extension métastasique (forme in situ et mélanome cutané de faible épaisseur). La diminution importante du nombre de médecin dermatologue, renforce le médecin généraliste dans une situation de premier recours afin de dépister des lésions qui peuvent être d’évolution rapide. Sa connaissance du problème et sa compétence à effectuer les premiers gestes diagnostics permettent d’orienter efficacement le patient dans un parcours de soins adapté. Cela passe par la connaissance des divers patrons, des règles de type ABCDE principalement mais pas exclusivement. Il est ainsi recommandé que le praticien apprenne à identifier les lésions élémentaires lui faisant suspecter, ou exclure une lésion cancéreuse cutanée et notamment mélanocytaire, afin, le cas échéant de l’adresser pour affirmer ou exclure ce diagnostic dans le cadre d’un parcours de soins.(HAS 2020) La HAS a, dans un rapport d’évaluation en 2007, abordé les indications de cet examen en termes de lésions mélanocytaires et patients à haut risque, les méthodes de surveillance dermoscopique et leur performance diagnostique, et a proposé une place pour la surveillance dans la stratégie actuelle de diagnostic dermoscopique des lésions pigmentaires et en définissant les conditions de réalisation. Cet acte est facilement réalisable au cabinet du médecin généraliste qui aura pris le temps de se familiariser avec les principes de cet examen La HAS mentionne que « le temps de prise en main et de formation à l’utilisation est bref (15-30 min) mais que l’acquisition de la compétence pour interpréter les images dermoscopiques est longue et nécessite une formation du praticien à la sémiologie spécifique de ces images ». [1] La dermoscopie a une sensibilité plus élevée que l'examen à l'œil nu (90% pour 71%)pour la détection des mélanomes sans avoir, généralement, une spécificité moins grande. La dermoscopie aide aussi à augmenter le degré de confiance des médecins de famille dans leur diagnostic préliminaire des lésions. (NHS 2012, HAS 2006) Cette formation à la dermoscopie vise à améliorer la stratégie diagnostique des médecins généralistes et améliorer significativement les orientations inutiles chez le dermatologue. [2] , notamment dans le cadre d’un parcours de soins [3] [1 ] HAS 2006.Stratégie de diagnostic précoce du mélanome ____________________________________________________________________________ [2] Fanny P. Gohard & Al. Évaluation de l'apprentissage de la dermoscopie après une journée de formation auprès de médecins généralistes français sur le dépistage des tumeurs cutanées Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - volume 1, Numéro 8, Supplément 1, décembre 2021 , Page A168 [3] Dinnes J Quel est le degré d’exactitude de la dermoscopie, par rapport à l'inspection visuelle de la peau pour diagnostiquer le cancer de la peau (mélanome) chez les adultes ? COCHRANE 4 décembre 2018 [1 ] HAS 2006.Stratégie de diagnostic précoce du mélanome ____________________________________________________________________________ [2] Fanny P. Gohard & Al. Évaluation de l'apprentissage de la dermoscopie après une journée de formation auprès de médecins généralistes français sur le dépistage des tumeurs cutanées Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - volume 1, Numéro 8, Supplément 1, décembre 2021 , Page A168 [3] Dinnes J Quel est le degré d’exactitude de la dermoscopie, par rapport à l'inspection visuelle de la peau pour diagnostiquer le cancer de la peau (mélanome) chez les adultes ? COCHRANE 4 décembre 2018 [1 ] HAS 2006.Stratégie de diagnostic précoce du mélanome ____________________________________________________________________________ [2] Fanny P. Gohard & Al. Évaluation de l'apprentissage de la dermoscopie après une journée de formation auprès de médecins généralistes français sur le dépistage des tumeurs cutanées Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - volume 1, Numéro 8, Supplément 1, décembre 2021 , Page A168 [3] Dinnes J Quel est le degré d’exactitude de la dermoscopie, par rapport à l'inspection visuelle de la peau pour diagnostiquer le cancer de la peau (mélanome) chez les adultes ? COCHRANE 4 décembre 2018
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En présentiel
Gestes pratiques en médecine générale : Réalisation et interprétation de l’électrocardiogramme
DPC
Le médecin généraliste est amené dans le cadre de ses missions à réaliser un certain nombre de gestes techniques. La nomenclature des actes de l’assurance maladie répertorie ces actes techniques et leurs modalités de remboursement lorsqu’ils sont réalisés par un médecin généraliste. L’ECG est un examen de routine mais qui reste parfois d’interprétation délicate en particulier par manque de pratique. Nous proposons de remettre à jour les connaissances, refaire le point sur la lecture d’un ECG normal puis de nous pencher sur les principales anomalies dont certaines vont nécessiter un recours rapide ou un avis cardiologique. Les aspects techniques, réglementaires et administratifs seront dans un premier temps abordés. Mais c’est la démarche diagnostique qui sera au cœur de ce DPC, et notamment la place de l’ECG comme élément du dossier médical du patient. Objectifs Objectifs généraux : Ø Etre en capacité de réaliser des électrocardiogrammes en respectant les règles de bonnes pratiques et le cadre règlementaire Ø Etre en capacité d’analyser et interpréter les résultats en se basant sur les référentiels Objectifs pédagogique s et opérationnels : Séquence 1 : Ø Identifier les circonstances et les conditions de réalisation d’un ECG Ø Décrire la mise en œuvre d’un ECG Ø Connaitre le cadre administratif et règlementaire Séquence 2 : ü Analyser un électrocardiogramme normal. ü Identifier les principales anomalies. ü Reconnaitre les urgences cardiologiques .
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Mixte
Examens du carnet de santé des enfants de 9 mois ; 24 mois ; 36 mois et 4 ans(COE)
DPC
Résumé Ce programme de DPC vise à permettre un dépistage des retards de développement, des troubles du langage et de la communication, des troubles de l’audition et de la vision dans le cadre des examens systématiques de suivi et de dépistage de l’enfant dont la liste est décrite dans le décret n° 2019-137 du 26 février 2019. Durant cette formation seront décrits les examens prévus dans le carnet de santé 9 mois, 24 mois, 36 mois, et 4 ans · Dépistage des retards de développement. · Dépistage des troubles du langage et de la communication (TSA). · L’âge optimum du dépistage des troubles du spectre autistique (TSA) se situe à 18 mois. Le repérage fait l’objet de recommandations publiées par la HAS 2018. · Dépistage des troubles auditifs · Dépistage des troubles visuels : · Les vaccinations obligatoires La nomenclature ayant évoluée elle permet de réaliser ces examens de façon optimum et valorisation Des outils de dépistages seront proposés et leur manipulation sera expérimentée durant la formation À l’issue de la formation le participant sera en capacité de réaliser en totalité les examens du carnet de santé de 9 mois, 24 mois, 36 mois et 4 ans. Objectifs Objectifs généraux. Maitriser la passation des examens obligatoires des enfants de 9 mois 24 mois 36 moi et 4 ans. Utiliser les tests de dépistage auditifs et visuels utilisables au cabinet. EPP Systématiser la réalisation adéquate des consultations de dépistage à 9 mois 24 mois 36 mois et 4 ans Objectifs pédagogiques Les objectifs seront déclinés a chacun de ces examens 9 mois 24 mois 36 mois et 4 ans · Identifier le calendrier des acquisitions neuromotrices · Préciser les acquisitions langagières (24 mois 36 mois 4 ans) · Réaliser les principaux tests simples permettant de dépister les troubles du développement neuromoteur, du langage et de la communication · S’approprier l’utilisation des tests courants de dépistage des troubles sensoriels visuels et auditifs · Identifier les difficultés devant orienter l’enfant vers un autre professionnel de santé (en fonction des anomalies repérées) et / ou le médecin scolaire et les plateformes de coordination et d’orientation · S’approprier le calendrier vaccinal Résumé Objectifs