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Médecin Généraliste
En présentiel
Troubles du spectre de l’autisme : Dépistage précoce et consultation dédiée en médecine générale.
DPC
Le dépistage précoce du trouble du spectre de l’autisme (TSA) est une priorité de la stratégie nationale 2018-2022. Le but de ce séminaire est de sensibiliser les médecins généralistes (MG) à l’importance de ce dépistage lors des examens systématiques du nourrisson de 0 à 24 mois : savoir mieux utiliser le carnet de santé en recherchant les items faisant suspecter un TSA, et en cas de doute, savoir utiliser l’outil de repérage plus avancé (M CHAT) dans le cadre d’une consultation de médecine générale dédiée. Telles sont les deux premières étapes du séminaire. Ce travail s’appuie sur un film auto-produit permettant de montrer quatre des traits possibles du TSA. Ainsi mises en images, ces discordances face à un développement normal seront travaillées en détail (le protolangage, la relation à l’objet, l’étrangeté, le stade du miroir). Dans un troisième temps, seront abordés la conduite à tenir du MG face à une suspicion de TSA, les premières investigations, les premiers intervenants à contacter. Ne seront pas envisagés dans ce séminaire, l’étiologie, l’épidémiologie de l’autisme ainsi que les traitements médicamenteux de type méthylphénidate, qui sont affaire de spécialistes. Objectifs généraux : Savoir dépister précocement un TSA (trouble du spectre de l’autisme). Savoir initier le parcours de soins en cas de détection d’un TSA. Objectifs spécifiques : 1. Savoir repérer lors des examens obligatoires du nourrisson un TSA, en utilisant les items du carnet de santé puis en cas de doute, le M CHAT * avant 30 mois. 2. Savoir conduire une consultation dédiée. 3. Savoir programmer les actions de première ligne (ORL, ophtalmo, orthophonie, psychomotricien). 4. Savoir éliminer une autre cause face un trouble de la relation évoquant un TSA.
Médecin Généraliste
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Troubles du spectre de l’autisme : Dépistage précoce et consultation dédiée en médecine générale.
DPC
Le dépistage précoce du trouble du spectre de l’autisme (TSA) est une priorité de la stratégie nationale 2018-2022. Le but de ce séminaire est de sensibiliser les médecins généralistes (MG) à l’importance de ce dépistage lors des examens systématiques du nourrisson de 0 à 24 mois : savoir mieux utiliser le carnet de santé en recherchant les items faisant suspecter un TSA, et en cas de doute, savoir utiliser l’outil de repérage plus avancé (M CHAT) dans le cadre d’une consultation de médecine générale dédiée. Telles sont les deux premières étapes du séminaire. Ce travail s’appuie sur un film auto-produit permettant de montrer quatre des traits possibles du TSA. Ainsi mises en images, ces discordances face à un développement normal seront travaillées en détail (le protolangage, la relation à l’objet, l’étrangeté, le stade du miroir). Dans un troisième temps, seront abordés la conduite à tenir du MG face à une suspicion de TSA, les premières investigations, les premiers intervenants à contacter. Ne seront pas envisagés dans ce séminaire, l’étiologie, l’épidémiologie de l’autisme ainsi que les traitements médicamenteux de type méthylphénidate, qui sont affaire de spécialistes. Objectifs généraux : Savoir dépister précocement un TSA (trouble du spectre de l’autisme). Savoir initier le parcours de soins en cas de détection d’un TSA. Objectifs spécifiques : 1. Savoir repérer lors des examens obligatoires du nourrisson un TSA, en utilisant les items du carnet de santé puis en cas de doute, le M CHAT * avant 30 mois. 2. Savoir conduire une consultation dédiée. 3. Savoir programmer les actions de première ligne (ORL, ophtalmo, orthophonie, psychomotricien). 4. Savoir éliminer une autre cause face un trouble de la relation évoquant un TSA.
Médecin Généraliste
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Prise en charge d'un patient déprimé, avec ou sans risque suicidaire, en médecine générale
DPC
1897 « Dans l'ordre de la vie, rien n'est bon sans mesure (...). Il en est ainsi des phénomènes sociaux. Si, (…), une individuation excessive conduit au suicide, une individuation insuffisante produit les mêmes effets. Quand l'homme est détaché de la société, il se tue facilement, il se tue aussi quand il y est trop (1). Comme nous le montre E. Durkheim, depuis plus de 100 ans la sociologie s’interroge sur le suicide nous aidant à mieux comprendre ce phénomène en y définissant ses différentes typologies. Initialement observateur impuissant, le médecin par ses actions thérapeutiques depuis 15 ans a bousculé cette fatalité. Le déclin du suicide est sans contexte depuis trente ans (2). Mais la France reste très mal placée, un des taux les plus élevé en Europe. De plus le profil des suicidés reste quasi identique. En France métropolitaine, en 2014, 8 885 décès par suicide ont été enregistrés, soit près de 24 décès par jour. Malgré une baisse de 26 % du taux de suicide entre 2003 et 2014, la France présente, au sein des pays européens, un des taux de suicide les plus élevés derrière les pays de l’Est, la Finlande et la Belgique (2). Nous sommes d’autant plus concernés que Les Hauts de France est la troisième région avec un taux de suicides élevé (2). Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, a inscrit la prévention et la promotion de la santé mentale dans la stratégie nationale de santé qui définit le cadre de la politique de santé pour les cinq prochaines années. Dans la continuité de Marisol Touraine, qui avait créé l’Observatoire national du suicide en 2013, elle a en particulier confirmé sa volonté de renforcer la compréhension et la prévention du suicide. En effet, le suicide est une cause majeure de décès prématurés (3). Le séminaire est bâti autour d’une consultation imaginée par nos soins avec trois fins possibles. Jouée, filmée et montée par des professionnels du cinéma, cette consultation virtuelle reflète trois typologies de déprimés. Le premier patient, médecin en burn-out, peut être pris en charge par le médecin généraliste. Cela sera l’occasion de reprendre la démarche diagnostic, le maniement des IRS, des anxiolytiques. Le second patient, plus fuyant, empêche une conduite aisée de l’entretien pour le médecin. Cela nous permet de revoir les aspects juridiques de cette prise en charge (4) afin que le médecin puisse efficacement se défendre en cas de litige. Le dernier patient impose une hospitalisation d’office, démarche rare avec un cadre juridique strict le MG doit maîtriser (5). L’échelle RUD est reprise dans les trois versions pour en montrer son utilité en MG (6)(7). Objectifs du séminaire : -Savoir évaluer le risque suicidaire d'un patient déprimé. -Savoir proposer voire imposer une hospitalisation chez un patient à haut risque suicidaire. -Savoir initier un traitement par IRS. -Connaître l'indication du traitement anxiolytique associé. -Savoir tenir son dossier médical pour répondre à une éventuelle mise en cause. -Savoir organiser une hospitalisation sous contrainte. (1) Le Suicide, Émile Durkheim,1897 (2) Suicide. L'envers de notre monde, Christian Baudelot (Auteur) Roger Establet (Auteur) Seuil, collection Points 08/02/2018 (3) SUICIDE Enjeux éthiques de la prévention, singularités du suicide à l’adolescence 3e rapport/février 2018 (4) Crise suicidaire : agir avant la tentative de suicide | ameli.fr https://www.ameli.fr/assure/sante/urgence (5 )Reconnaître la crise suicidaire - Ministère des Solidarités et de la Santé solidarites-sante.gouv.fr/prevention-en-sante/sante. (6) Quand référer aux urgences un patient présentant une crise suicidaire ... https://www.revmed.ch/ (7) Thèse : Difficultés rencontrées par les médecins généralistes ... - Dumas - CNRS
Médecin Généraliste
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Ostéoporose en médecine générale en 2018
DPC
Les fractures liées à une fragilité osseuse touchent surtout les femmes âgées. Ces fractures exposent à des douleurs et provoquent souvent une perte d’autonomie. Certains médicaments causent une fragilité osseuse ou exposent à un risque accru de chutes. La prévention des fractures liées à une fragilité osseuse repose sur de mesures non médicamenteuses, notamment la prévention des chutes et une activité physique. Chez une femme ménopausée qui a une ostéoporose confirmée et un atcd de fracture sans traumatisme important, un diphosphonate par VO tel que l’acide alendronique est le traitement préventif de premier choix des récidives de fractures. La balance bénéfices-risques de ce traitement est défavorable au-delà de 5 ans. Notre DPC a pour objectif d’améliorer la prise en charge de l’ostéoporose en soins primaires en donnant aux médecins généralistes des connaissances récentes d’aide à la démarche clinique et thérapeutique.
Médecin Généraliste
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Prévention cardio-vasculaire : que peut faire le MG en 2018 ?
DPC
Si la France en général est plutôt à bas risque cardio vasculaire, la région Haut de France a un taux de mortalité nettement supérieure à la moyenne française (1) (deuxième cause de mortalité) La prévention n’est pas chose aisée en MG. Le repérage est compliqué (2) mal interprété et conduit à un mésusage des statines en prévention primaire (3). De plus, la prescription des thérapeutiques non médicamenteuses validées a du mal à entrer dans les pratiques. En Avril 2011, un rapport de l’ Has a analysé les freins des quatre thérapeutiques non médicamenteuses reconnues en matière de prévention CV (4). Celui-ci souligne qu’elles sont « les parents pauvres » de la démarche thérapeutique. Mais ce rapport est déjà désuet sur la régulation du comportement alimentaire, la première thérapeutique NM.(4 bis). Pour aider le praticien, l’ HAS refait le point en Février 2017 (5) - Confirmation de l’intérêt en dépistage de l’outil SCORE (p19) - Importance des modifications du mode de vie en prévention globale - Valorisation du régime méditerranéen (p74) - Dissociation cholestérol alimentaire et RCV (p74) - Seuils de prise en charge médicamenteuse en prévention primaire et secondaire Juillet 2017, la Société Européenne de Cardiologie publie de nouvelles recommandations sur la prévention CV(6). Elle s’appuie aussi sur le calcul SCORE (tableau 3). Elle insiste sur l’activité physique (6 bis). Elle redonne les bases d’une alimentation saine (6 ter). Elle utilise le calcul du LDLc pour guider l’intensité de l’intervention face à une hypercholestérolémie. La revue Prescrire ne retient cette méthode dans la prévention secondaire (7). Il en est de même pour le CNGE(8). Ce DPC nous aidera à confronter nos pratiques par une auto audit initiale et une mise au point par un séminaire de mise en pratiques de ces nouvelles recommandations. (1)ARS Hauts de France http://www.orsnpdc.org /2016/03/24/la-region-en-surmortalite-par-maladies-cardiovasculaires/ (2)Plaidoyer pour le calcul du risque cardiovasculaire globale ; estimation du RCV global pa 14 médecins généralistes de la région Rhône-Alpes ; Exercer 2008 ;80 :32-1 (3)Communiqué de presse :Pour un bon usage des statines, HAS,14 février 2013 | (4) Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées, Avril 2011 (4) bis p 16(intérêt des omégas 3, réduction du cholestérol alimentaire) (5) Principales dyslipémies : stratégies de prises en charges, HAS février 2017 (6) recommandations de la société européenne de cardiologique sur la prévention CV 20/07/2017 (6 bis) « une activité physique régulière est le pivot de la prévention CV » (6 ter) tableau X (7) statine en prévention CV secondaire, La revue Prescrire, Mai 2017, Tome 37 N° 403, Page 355 (8) « les cibles de LDL ont un inconvénient majeur », revue « le généraliste » vendredi 31/03/2017, numéro 2791, page 21, Dr R Boussageon, CNGE
Médecin Généraliste
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Antiagrégants anticoagulants en MG
DPC
La prescription d’anticoagulants et antiagrégants est pluriquotidienne en médecine générale. Il convient de faire le point car : 1. 1 % de la population est sous anti vitamines k, ceux sont les plus grands pourvoyeurs d’accidents iatrogéniques. Leurs indications sont l’objet de recommandations, leur surveillance aussi. 2. Les ADO s’installent mais non sans questions à leur sujet, ADO et fonction rénale, ADO et antidote 3. Les antiagrégants plaquettaires ont leurs place tant en neurologie qu’en néphrologie et surtout en cardiologie. Quelles posologies, quelles associations, quelles durée, quelles protections gastriques ? Après une auto audit, nous serons aidés lors d’un séminaire d’une journée par une hématologue et un cardiologue pour reprendre les recommandations et les adapter à notre pratique quotidienne
Médecin Généraliste, Pédiatre
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Dépistage et prise en charge des anomalies orthopédiques de l’enfant
DPC
Les anomalies orthopédiques de l’enfant de la naissance à la puberté sont un motif de consultation fréquent. Un rapport récent estime à 1,6 million par an le nombre de consultations d’enfants ou d’adolescents pour un problème orthopédique. 65 % de ces consultations sont assurées par les médecins généralistes et les pédiatres. Une augmentation significative des diagnostics tardifs de LCH (triplement de leur nombre en dix ans) a été mise en évidence par une étude observationnelle de la SOFOP(1). La pathologie scoliotique touche jusqu’à 3% de la population à l’âge de 16 ans et constitue un problème majeur de santé publique en raison de ses conséquences fonctionnelles et esthétiques. Une meilleure connaissance de l’orthopédie de l’enfant et de l’adolescent permettra donc un dépistage de meilleure qualité des anomalies de l’appareil locomoteur et d’orienter ces jeunes patients vers un parcours de soins adapté et optimisé. 1. HAS 201 Methodes 1. auto audit ciblé une soirée trois mois avant le séminaire, remis d’une grille. Les participants durant les trois mois reprennent leurs dossiers d’orthopédie pédiatrique 2. séminaire une journée reprise de la grille analyse des pratique, reprise des acquis sous le regard d’un avis spécialisé (Chef de service orthopédique de l’ Hôpital Trousseau) Objectifs 1ère demi-journée : le nourrisson et le jeune enfant Objectifs : 1 – Savoir examiner les hanches des nourrissons 2 - Connaitre les manœuvres de dépistage d’une LCH 3 – Reconnaitre et analyser une anomalie morphologique des MI chez l’enfant 2e demi-journée : Rachis et MI du grand enfant et de l’adolescent Objectifs : 1 – Dépister les ILMI et les déformations de la colonne vertébrale 2 – Proposer une CAT devant ILMI ou déviation du rachis 3 – Savoir rapporter une rachialgie ou des douleurs des MI à leur cause