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Pharmacologie et Toxicologie Biologique : de l'analytique à la clinique
DPC
Contexte de l’action : Nous aborderons les nouveautés dans les disciplines de la Pharmacologie et de la Toxicologie biologique . Sur le versant analytique et qualité, nous aborderons les recommandations de l'EMA sur la validation d'une méthode analytique, ainsi que les normes 15189 du COFRAC et les relations entre les deux. Pour la Pharmacologie Biologique, nous aborderons : - Le périmètre de cette discipline en 2023 et les outils biologiques disponibles (STP, PG, Biomarqueurs) - Des exemples d'applications chez les patients vulnérables - Un exemple d'application dans les pathologies psychiatriques, mettant l'accent sur : - l'importance du choix de la méthode analytiques (multiparamétriques, délaie de rendu de résultat, …) - La validation biologique et l'interprétation des résultats - le dialogue clinico -biologique Pour la Toxicologie Biologique, nous aborderons : - Le périmètre de cette discipline en 2023 en lien avec les techniques analytiques les plus modernes. - Des exemples d'application pour le screening urinaire et sanguin des toxiques et la gestion des intoxications aigues. Objectifs pédagogiques : Objectifs : Apporter des connaissances globales sur les approches les plus récentes analytiques et clinico-biologiques en pharmacologie et toxicologie biologique, avec un focus sur les thématiques de l'optimisation des traitements psychotropes et de la recherche des causes d'intoxication aigue. 1. Connaitre les différents domaines de la Pharmacologie et de la Toxicologie Biologique est les évolutions récentes de ses disciplines 2. Pour le STP - Connaitre les recommandations de validation de méthode analytique pour une méthode quantitative multiparamétrique. - Identifier les performances analytiques nécessaires en fonction du contexte clinico-biologique et orienter le choix de la méthode de dosage. - Connaitre les nouvelles recommandations d'optimisations des traitements à l'aide du STP et de la pharmacogénétique (PG). 3. Pour le screening toxicologique : - Connaitre les recommandations de validation de méthode analytique pour une méthode qualitative multiparamétrique. - Identifier les performances analytiques nécessaires en fonction du contexte clinico-biologique et orienter le choix de la méthode de dosage. - Connaitre les principaux éléments clinico-biologiques d'interprétations du screening toxicologique sanguin et urinaire. Cette formation s’inscrit dans la lignée de l’évolution actuelle d'une prise en charge personnalisée des patients que ce soit au niveau la gestion de leurs traitements médicamenteux ou de la prise en charge d'intoxication aigue. Les disciplines de Pharmacologie et de Toxicologie Biologique sont des disciplines actuellement très forte expansion et de pus ne plus présenter en Biologie médicale de ville. Une connaissance approfondie de ces disciplines parait donc essentielle. Le biologiste a un rôle clef dans le parcours de soin du patient. Il doit être capable de : 1/ Maitriser la démarche du diagnostic et/ou du suivi biologique. La formation permettra à travers l’analyse de plusieurs uses cases (STP dans les populations vulnérables, STP des Psychotropes, et Screening toxicologique et prise en charge d'une intoxication aigues) de rappeler le périmètre des disciplines de Pharmacologie et de Toxicologie Biologique, de définir les critères de choix lors du développement d'une méthode analytique et de définir les éléments clés lors de l'interprétation des résultats et de la prise en charge des patients. Ainsi le biologiste se positionnera comme un acteur clef dans le suivi du traitement médicamenteux et le diagnostic d'intoxication aigue et reconnaîtra les signes biologiques alertant sur les signes potentiels de non efficacité ou de toxicité. 2/ Identifier également les impacts des différents facteurs de variabilités qui peuvent entrainer une modification de la prise en charge : - Sur le versant analytique : identifier les problématiques d'interférences analytiques - Sur le versant pharmacocinétique : identifier les facteurs de variabilité (démographiques physiopathologiques, environnementaux, …) - Sur le versant clinique : identifier les facteurs de variabilité de réponse au traitement et de gravité de l'intoxication Ainsi le biologiste se positionnera comme un acteur clef en identifiant les facteurs pouvant modifier la prise en charge du patient et en établissant un dialogue avec le clinicien en charge du patient. L’objectif est de faire du biologiste un expert dans l'optimisation des traitements et la prise en charge des intoxications aigues, partenaire averti du clinicien. 3/ Connaître l'évolution de ces disciplines biologiques et les nouveaux examens développés ainsi que les recommandations des sociétés savantes actuelles. Le biologiste pourra alors alerter avec pertinence le clinicien, et ceci en rapport avec les recommandations des sociétés savantes que nous reverrons. Résumé : Nous aborderons dans cette formation les activées de Pharmacologie et de Toxicologie Biologique. Sous un format interactif, nous présenterons des uses cases en décrivant cette activité du versant analytique (mise au point et validation de méthode) pour aller jusqu'au dialogue clinico-biologique : - STP et optimisation des traitements dans les populations vulnérables. - STP et optimisation des traitements psychotropes. - Screening toxicologique sang et urinaire et gestion des intoxications aigues .
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Place des biomarqueurs dans le diagnostic et la prise en charge des patients présentant une anémie
DPC
Objectifs pédagogiques : Le biologiste a un rôle clef dans la prise en charge initiale d’une anémie. Il s’agit pour lui de savoir quels examens complémentaires sont requis / nécessaires pour compléter les premiers résultats et adresser le patient dans le parcours de soin adapté. De plus, le biologiste médical est en première ligne pour alerter le médecin traitant en cas d’apparition d’une anémie lors des contrôles des numérations formules dans le cadre des suivis de patients. Il doit être capable de : 1/ Reconnaitre la présence et la sévérité d’une anémie. Alerter le clinicien pertinemment. 2/ Connaitre les biomarqueurs hématologiques et biochimiques permettant de caractériser une anémie pour mieux la définir et permettre ainsi une orientation diagnostique étiologique basée sur la caractérisation biologique de l’anémie. 3/ Savoir intégrer les différents biomarqueurs dans une démarche diagnostique étiologique alliant à l’analyse de ces paramètres biologiques certaines données cliniques = en fonction de l’âge du patient (de la pédiatrie à la gériatrie), de son état clinique (suivi de pathologies constitutionnelles, acquises, de carence, grossesse..) et de ses antécédents (IRC etc.). 3/ Participer activement à la prise en charge globale du patient en maitrisant et orientant la prescription des biomarqueurs pertinents dans le cadre du diagnostic et suivi d’une anémie. 4/ Savoir juger de la pertinence de la prescription médicale établie autour de l’exploration/ le suivi d’une anémie en fonction de l’état actuel de l’art. Pour cela, il doit savoir : - Contrôler et garantir la véracité des résultats du bilan sanguin - Connaître les différents biomarqueurs hématologiques, biochimiques, les nouveaux tests diagnostiques - Orienter et/ou établir un arbre décisionnel adapté - Connaître les impacts sur les paramètres érythrocytaires de différentes familles thérapeutiques utilisées en oncohématologie : chimiothérapies, immunothérapies, thérapies ciblées et soins de support (EPO et iTGFb), chélation. Le biologiste en fin de séquence sera capable de se positionner comme un acteur clef dans le parcours de soin global du patient : - En étoffant les données biologiques nécessaires à la prise en charge globale et optimale du patient, - En établissant un dialogue avec le clinicien et le patient, - En alertant avec pertinence le clinicien et le patient quand il se doit en accord avec les recommandations des sociétés savantes. Résumé : Nous allons à travers une série de cas cliniques voir les principales causes d’anémies (microcytaire, normocytaire et macrocytaire). Un raisonnement adapté sera proposé en fonction des différentes situations présentées. - Pour chaque cas clinique : Nous vous présenterons les paramètres biologiques pertinents pour orienter le diagnostic et discuterons les différents diagnostics différentiels. Nous verrons comment prendre en charge cette anémie et également comment suivre son évolution résolutive. - En pédiatrie, nous verrons comment le dépistage de certaines hémoglobinopathies est primordial et à quelle filière de soin il faudra adresser le patient pour une prise en charge optimale. - Nous discuterons de la prise en charge de l’anémie du sujet âgé ainsi que celle de la femme enceinte selon les recommandations de l’HAS. - Le biologiste doit se placer comme un véritable partenaire du corps médical dans le parcours de soin et il est crucial pour lui de connaître l’impact de certaines thérapeutiques (nouvelles thérapies ciblées) sur la lignée érythrocytaire. - Il apprendra également à distinguer les situations biologiques selon leur gravité afin d’adapter son discours face au patient et savoir quand le rassurer ou au contraire, quand l’alerter pour accélérer sa prise en charge efficiente . Exemple des problématiques abordées: Quelles sont les principales orientations diagnostiques et étiologiques devant une anémie microcytaire hypochrome chez une jeune femme ? Quelles sont les principales orientations diagnostiques et étiologiques devant une anémie normochrome macrocytaire chez une femme âgée ? Quelles sont les principales orientations diagnostiques et étiologiques devant une anémie normochrome régénérative? Quand faut-il évoquer une pathologie des globules rouges constitutionnelles ? Pourquoi le suivi du taux d’hémoglobine est important et quels sont les seuils pertinents à connaitre chez les patients atteints de pathologies hématologiques chroniques ? Quand faut-il s’alerter devant une anémie chez un sujet âgé ? Quand et comment l’explorer ? Quand faut-il s’alerter devant une anémie chez la femme enceinte ? Comment faut-il l’explorer ? - Quel suivi biologique chez un patient SMD avec chélation martiale ?
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Place des biomarqueurs dans le diagnostic et la prise en charge des patients présentant une thrombophilie
DPC
Contexte de l’action Cette formation est à destination de pharmaciens ou médecins biologistes exerçant dans les laboratoires d’analyses médicales. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques en hémostase et de l'approfondissement des connaissances sur les conditions pré-analytiques, sur les prestations de conseils en hémostase avec interprétation de bilans de thrombophilie. Objectifs pédagogiques Le bilan d’hémostase est un examen de pratique courante et fréquemment prescrit. Il permet le diagnostic et le suivi de pathologies constitutionnelles ou acquises de l’hémostase et d’assurer le suivi de traitements. Le biologiste a un rôle clef dans le parcours de soin du patient. Il doit connaitre les pratiques relatives à la prescription et à la réalisation des analyses biologiques s’inscrivant dans le cadre de la thrombophilie. 1. Rappeler les recommandations de bonne pratique pour le dosage des paramètres de l’hémostase La formation permettra de rappeler l’importance primordiale de la phase pré-analytique en hémostase, et de définir les recommandations nécessaires à l’harmonisation des pratiques sur cette étape pour les paramètres d’hémostase. 2. Définir les indications du bilan de thrombophilie La formation abordera les aspects relatifs aux patients et situations pouvant justifier la recherche d’une thrombophilie en passant en revue les propositions françaises (GFHT 2022) et les recommandations internationales. 3. Connaitre les marqueurs biologiques du risque thrombotique veineux La formation définira les marqueurs biologiques « standards » du bilan de thrombophilie, associant 5 anomalies constitutionnelles et 5 marqueurs du syndrome des antiphospholipides. Elle abordera par ailleurs la place des autres marqueurs biologiques du risque de thrombose veineuse (quels marqueurs ? pour quels patients ? dans quelles situations ?). 4. Connaitre les principes méthodologiques et interpréter les résultats du bilan de thrombophilie La formation traitera ensuite les aspects méthodologiques (analytiques) et les étapes à respecter pour la recherche et la mise en évidence de facteurs biologiques de risque de thrombose chez les patients avec une maladie thromboembolique veineuse. De nombreuses situations peuvent perturber l’interprétation du bilan de thrombophilie (traitement, proximité de l’épisode thrombotique, grossesse…). La formation proposera un guide d’interprétation du bilan de thrombophilie, en lien avec situations. 5. Connaitre la prise en charge des évènements thromboemboliques veineux La formation abordera les grands principes du traitement des épisodes thromboemboliques veineux et du suivi thérapeutique. La formation se terminera par l’étude de cas cliniques. Ces connaissances sont importantes afin de permettre au biologiste d’aider le clinicien dans sa démarche diagnostique mais également dans le suivi de ses patients. En effet, il doit se placer comme un véritable partenaire du corps médical dans le parcours de soin.
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Le bilan hépatique: la fibrose hépatique et ses marqueurs biologiques
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Contexte de l’action : Cette formation est à destination des biologistes médicaux libéraux (médecins et pharmaciens). Elle permet d’une part le maintien des connaissances fondamentales sur les fonctions physiologiques du foie. Elle s’inscrit d’autre part dans le cadre l’approfondissement des connaissances sur les marqueurs et scores innovants permettant ainsi l’amélioration des pratiques en termes de dépistage, diagnostic et suivi des pathologies hépatiques. Elle permet enfin de confronter les pratiques courantes aux dernières recommandations des sociétés savantes et aux données de la littérature. Objectifs pédagogiques : Le bilan hépatique complet est présent sur la majorité des prescriptions de biologie médicale. Il s’inscrit dans la stratégie courante de dépistage, diagnostic et suivi des pathologies hépatiques par les médecins généralistes. Son interprétation est une étape essentielle à la bonne prise en charge des patients afin d’orienter les cliniciens en fonction des signes cliniques observés. Le biologiste médical ayant un rôle clé dans le parcours de soins des patients ambulatoires, il doit être capable de : 1) Connaitre les différentes pathologies hépatiques révélées par des modifications biologiques des paramètres hépatiques. Le biologiste se positionnera comme un acteur clé du parcours de santé du patient en établissant un dialogue éclairé avec le clinicien. 2) Reconnaitre les situations d’altérations modérées du bilan hépatique et les différencier des situations d’urgences nécessitant une prise en charge sans délai. Le biologiste saura alors apprécier la gravité des différentes situations biologiques et adapter son discours face au patient afin de savoir le rassurer ou au contraire l’alerter, l’orienter et accélérer sa prise en charge. 3) Savoir recommander des examens complémentaires en vue de mesurer l’impact de la défaillance hépatique ou d’établir un diagnostic différentiel. L’objectif est de faire du biologiste un partenaire averti pour le clinicien en sachant lui conseiller les analyses complémentaires permettant d’aller plus loin dans le diagnostic ou l’évaluation du pronostic. 4) Savoir interpréter les scores permettant le dépistage de situations pathologiques infra-cliniques. En suivant les recommandations récentes et en utilisant les outils biologiques innovants, le biologiste pourra alerter le clinicien et le patient avec pertinence. Cette formation s’inscrit dans l’évolution actuelle de la prise en charge des patients par une médecine privilégiant la prévention et le dépistage et l’utilisation d’outils biologiques non invasifs.
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Innovation en mycologie médicale en 2022
DPC
Résumé et objectifs La Mycologie médicale est une discipline en évolution permanente avec des demandes de diagnostics de plus en plus fréquentes, parfois complexes. Les infections fongiques notamment invasives (IFI) sont en augmentation avec près d’un million de cas d’infections fongiques graves en France. La mortalité associée à ces IFI est élevée variant entre 27 à 40% selon les études. L’épidémie du COVID l’a malheureusement encore démontré, certains patients développent une nouvelle entité infectieuse: « COVID-19- APA » (Associated Pulmonary Aspergillosis). Le diagnostic en mycologie médicale ainsi que le suivi des patient est basée sur la combinaison de techniques conventionnelles de mycologie et des techniques innovantes et récentes telles que la Spectrométrie de masse (MALDI-TOF), Béta D Glucanes, Techniques de biologie moléculaire ( PCR, séquençage), T2MR Candida… Dans ce contexte, les objectifs de cette journée sont: (1) rappeler les fondamentaux de la mycologie médicale (2) exposer l’aspect indispensable des techniques les plus contemporaines pour établir des diagnostics complexes. Contexte de l’action Cette formation est à destination des biologistes médicaux qui souhaitent se remémorer la mycologie médicale et surtout actualiser leurs connaissances. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement des connaissances, des pratiques diagnostiques et des prises en charges thérapeutiques, autour de cas cliniques. Elle permet également de comparer les pratiques aux recommandations de la Société Savante au travers des échanges et interactions pendant ces programmes. Objectifs pédagogiques détaillés : Quelques soit les chapitres, il sera abordé et détaillé (1) Classification : levures, moisissures, dermatophytes (2) Tableaux cliniques (3) Approches biologiques (4) Prélèvements : Grattage, écouvillons, Crachats, LBA. (5a) Analyses socles : Cultures, Microscopie (5b) Analyses innovantes : MALDI TOF, Béta Glucanes, Séquençage (6) Interprétation : Sensibilité/Spécificité/Antifongigrammes (7) Conclusions adaptées aux cliniciens, conseils thérapeutiques.
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Suivi biologique de la femme enceinte
DPC
Contexte de l’action Le rôle du biologiste médical dans le parcours de soins du patient a été conforté et la prestation de conseils destinée soit au médecin prescripteur ou soit au patient est devenue une obligation pour les phases pré-analytique et post-analytique. Cette formation est à destination de Médecins et de pharmaciens Biologiste responsables de laboratoire de biologie médicale quelque soit leur mode d’exercice. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement des connaissances des pratiques diagnostiques autour de cas cliniques. Dans le cadre de la norme ISO 15189 le biologiste médical se doit de jouer un rôle de conseil pour la bonne utilisation des examens de biologie. Il doit ainsi fournir des résultats interprétés, commentés et intelligibles pour que les cliniciens puissent les utiliser de façon appropriée. En s’appuyant sur les récentes recommandations de Société Savante, de bonnes pratiques, des règles de la nomenclature des actes de biologie médicale et une mise au point de physiopathologie nous proposons de réaliser une journée de formation sur le thème « Suivi biologique de la femme enceinte ». La grossesse doit se dérouler sous une surveillance médicale attentive associée à un suivi biologique. Les risques relatifs de survenue de complications au cours de la grossesse ou de l’accouchement sont élevés en présence de certaines pathologies ou de certains antécédents. En fonction de la fréquence et de la nature du risque, certaines grossesses doivent faire l'objet d’investigations complémentaires afin d’orienter si besoin la femme vers un suivi adapté. Il est recommandé que tous les professionnels impliqués dans le suivi des grossesses (c’est le cas des biologistes médicaux) bénéficient d’une formation théorique et pratique adaptées et qu’ils exercent dans le cadre d’une collaboration ville-hôpital et, selon les possibilités locales, dans un réseau de périnatalité. Objectifs pédagogiques détaillés Apporter les connaissances nécessaires et spécifiques sur le thème du suivi biologique de la femme enceinte Connaître et comprendre l’adaptation des fonctions de l’organisme maternel, nécessaire au développement d’une grossesse (cardio-vasculaire, pulmonaire, rénale, métabolique, etc.) Connaître et comprendre les répercussions du développement d’une grossesse sur les différents appareils et systèmes maternels (métabolique, digestif, hématologiques, locomoteur, tissu conjonctif, etc.) Connaître et comprendre les recommandations du suivi d’une grossesse sans situation à risque ou relevant d’un faible niveau de risque (suivi A de la HAS) au cours des 3 trimestres : examens complémentaires biologiques obligatoires ou recommandés, proposer le diagnostic prénatal… Connaître et comprendre les recommandations du suivi d’une grossesse nécessitant un avis de type A1 ou de type A2, ou relavant d’un suivi de type B lorsque les situations à risque détectées permettent de statuer sur un niveau de risque élevé. Savoir objectiver ces situations à risques, connaître les examens biologiques complémentaires et savoir les interpréter dans les situations suivantes : Diabète gestationnelle ; Cholestase gravidique ; Rupture des membranes ; Dysgravidies ; Infections de type VIH, VHB, Toxo, CMV, Strepto B Connaître et comprendre les situations de fausses couches à répétitions : notion et interprétation des bilans de thrombophilie Connaître et comprendre la situation de la maladie trophosblastique gestationnelle : cas de la môle hydatiforme Connaître et comprendre les tests de dépistages de la T21 : présentation et interprétations des tests – présentation du DPNI 1/ Analyse des pratiques et revue des connaissances en début de session de formation par une série de QCM interactif. Un mois avant la formation, il sera transmis quelques articles fondamentaux sur le sujet ; une semaine avant nous transmettrons 20 QCM couvrant l’ensemble de la thématique exposée. Une correction interactive de ces QCM sera proposée en tout début de séance. 2/ Formation présentielle cognitive, exposés théoriques, Diaporamas illustrés par des cas cliniques L’ensemble des exposés illustrant les différents points abordés durant la formation seront accompagnés le plus souvent de bilans biologiques (sanguins et urinaires) à interpréter en fonction des éléments cliniques mis à disposition. 3/ évaluation des bonnes pratiques de laboratoire et des connaissances générales sur la thématique. Conclusion générale de la journée Une synthèse en fin de séance sera effectuée listant ainsi les principaux points biologiques important pour la pratique professionnelle. Vingt QCM seront proposés en fin de formation afin d’évaluer la clarté de la construction pédagogique, la cohérence de l’enchainement des séquences et si elles parviennent à atteindre les objectifs fixés.
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A propos de 4 hémopathies, suivi clinico-biologique en ambulatoire, nouveautés 2020/2021
DPC
Contexte de l’action : Nous aborderons les nouveautés dans le traitement des LMC: Panel d’accès à de nouveaux ITK ITK 3ème génération et risque cardio-vasculaire élevé avec surveillance biologique étroite nécessaire Ajout INTERFERON gamma et surveillance Pour la maladie de hogkin et les facteurs de croissance Les check-point inhibiteurs (anti PD1) et la surveillance biologique du risque d’auto-immunité Nouveautés dans la surveillance du traitement pour les 4 Hémopathies Pour le SMD/LAM : Place croissante du VENETOCLAX, agent anti-apoptotique (I BCL2). Surveillance ambulatoire rigoureuse (quotidienne au début) du risque de syndrome de lyse. Lien étroit ville-hôpital impératif. Place de la biologie moléculaire dans le diagnostic moléculaire des SMD. Pour la LLC : passage au chemo-free de plus en plus marqué. I du BCR et information nécessaire sur l’effet FLAIR attendu mais troublant. Inhibiteurs de BCL2 et syndrome de lyse. Arrivée des CAR-T cells. Surveillance de la MRD dans la surveillance. Place de la biologie moléculaire dans le choix de la stratégie thérapeutique à adopter chez les patients atteints de LLC au moment du diagnostic. Pour le myélome : De plus en plus de thérapies ciblées dont des 2ème et 3ème génération. Arrivée des CAR-T cells. Apport de la CMF dans la surveillance des patients en post autogreffe. Cette formation est à destination des biologistes médicaux (pharmaciens ou médecins) officiant dans les laboratoires privés d’analyses médicales. Elle s’inscrit dans le cadre de l’harmonisation des pratiques, le maintien et l’approfondissement des connaissances notamment sur les derniers algorithmes de prise en charge biologique des patients au diagnostic et au suivi ainsi que sur les dernières avancées thérapeutiques, autour de 4 cas cliniques d’hémopathies malignes. Elle permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations des différentes Sociétés Savantes correspondantes. Objectifs pédagogiques : Les hémogrammes sont des examens de pratique courante fréquemment prescrits dans le cadre de diagnostic et/ou de suivi d’hémopathie. Leur interprétation est une étape essentielle à la bonne prise en charge des patients pour orienter le clinicien en fonction de sa clinique. Le biologiste a un rôle clef dans le parcours de soin du patient. Il doit être capable de : 1/ Maitriser la démarche du diagnostic biologique. La formation permettra à travers l’analyse de 4 cas cliniques (LLC, Syndrome myélodysplasique, Myélome et Lymphome de Hodgkin) de rappeler les étapes clés du diagnostic biologique de ces 4 pathologies mais également de définir l’évolution des paramètres clés de l’hémogramme dans le suivi biologique des patients en cours du traitement instauré lors de ces hémopathies. Ainsi le biologiste se positionnera comme un acteur clef dans l’orientation diagnostique et reconnaîtra les signes biologiques alertant sur les signes potentiels de rechute de la maladie. 2/ Identifier également les impacts des différentes familles thérapeutiques utilisées en onco-hématologie : chimiothérapies, immunothérapies, thérapies ciblées et soins de support (EPO, G-CSF, Agonistes du TPO…) sur les paramètres biologiques. La formation permettra à travers l’analyse de 4 cas cliniques (LLC, Syndrome myélodysplasique, Myélome et Lymphome de Hodgkin) de rappeler les principales classes thérapeutiques utilisées dans ces hémopathies ainsi que leurs principaux modes d’action. Ainsi le biologiste se positionnera comme un acteur clef en établissant un dialogue avec le clinicien et le patient. L’objectif est de faire du biologiste un partenaire averti du programme d’éducation thérapeutique du patient. 3/ Connaître les nouveaux examens biologiques clés pour établir le pronostic de ces 4 hémopathies malignes ainsi que les recommandations des sociétés savantes actuelles. Le biologiste pourra alors alerter avec pertinence le clinicien et le patient quand il se doit, et ceci en rapport avec les recommandations des sociétés savantes que nous reverrons. Résumé : Nous aborderons les nouveautés dans le traitement des LCM : Panel d’accès à de nouveaux ITK ITK 3ème génération et risque cardio-vasculaire élevé avec surveillance biologique étroite nécessaire Ajout INTERFERON gamma et surveillance Pour la maladie de Hogkin et les facteurs de croissance Les check-point inhibiteurs (anti PD1) et la surveillance biologique du risque d’auto-immunité Et nous aborderons les nouveautés dans la surveillance du traitement des 4 hémopathies Pour le SMD/LAM :Place croissante du VENETOCLAX, agent anti-apoptotique (I BCL2). Surveillance ambulatoire rigoureuse (quotidienne au début) du risque de syndrome de lyse. Lien étroit ville-hôpital impératif. Place de la biologie moléculaire dans le diagnostic moléculaire des SMD. Pour la LLC : passage au chemo-free de plus en plus marqué. I du BCR et information nécessaire sur l’effet FLAIR attendu mais troublant. Inhibiteurs de BCL2 et syndrome de lyse. Arrivée des CAR-T cells. Surveillance de la MRD dans la surveillance. Place de la biologie moléculaire dans le choix de la stratégie thérapeutique à adopter chez les patients atteints de LLC au moment du diagnostic Pour le myélome : De plus en plus de thérapies ciblées dont des 2ème et 3ème génération. Arrivée des CAR-T cells. Apport de la CMF dans la surveillance des patients en post autogreffe. Nous allons à travers l’analyse de 4 cas cliniques (LLC, SMD, Myélome, Lymphome de Hodgkin) retraçant l’histoire d’un patient décrire : - son parcours diagnostique (signes cliniques, biologiques, imagerie..), - ses lignes thérapeutiques successives en fonction des recommandations des sociétés savantes et/ou publications et/ou protocole d’essai clinique - les ajustements réalisés à chaque étape du suivi biologique de sa maladie et de son traitement.
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Hémostase en 2021 : mise au point !
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Contexte de l’action Cette formation est à destination de pharmaciens ou médecins biologistes exerçant dans les laboratoires privés d’analyses médicales. Elle permettra d’approfondir les dernières nouveautés technologiques que sont : - les modules HIL - Les monomères de fibrines - La méthode bayésienne de Werfen concernant la validation de méthode Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques en hémostase et de l'approfondissement des connaissances sur les conditions pré-analytiques, sur les prestations de conseils en hémostase avec interprétation de bilans et sur les anticoagulants oraux directs. Objectifs pédagogiques Lors de cette formation nous approfondirons les nouveautés technologiques suivantes : 1- Le module HIL et les problèmes d’hémolyse et de sérum lipémique 2- Nouveauté dans le diagnostic des CIVD : monomère de fibrine de Stago 3- L’inférence bayésienne qui permet de mettre sous contrôle au regard des données à priori des fournisseurs sans période probatoire Le bilan d’hémostase est un examen de pratique courante et fréquemment prescrit. Il permet le diagnostic et le suivi de pathologies constitutionnelles ou acquises de l’hémostase et d’assurer le suivi de traitements. Le biologiste a un rôle clef dans le parcours de soin du patient. Il doit être capable de : - Maîtriser la phase pré analytique pour les examens d’hémostase. La formation permettra de rappeler l’importance primordiale de la phase pré-analytique en hémostase, et de définir les recommandations nécessaires à l’harmonisation des pratiques sur cette étape pour les paramètres d’hémostase. - Interpréter un bilan standard d’hémostase ainsi que des paramètres plus spécialisés (facteurs de la voie endogène et exogène, inhibiteurs de la coagulation). La formation permettra de définir le bilan préopératoire, d’identifier les anomalies qualitatives ou quantitatives, de connaitre les règles d’interprétation des tests d’hémostase en fonction du traitement, de la pathologie, …, de reconnaitre et identifier les interférences analytiques à l’origine de difficultés d’interprétation. - Connaitre les nouvelles molécules utilisées dans la prévention et le traitement des évènements thromboemboliques veineux notamment les anticoagulants oraux directs (AOD). La formation permet de faire un rappel sur l’utilisation de ces nouvelles thérapeutiques, sur l’impact de ces molécules sur les tests d’hémostase et sur l’utilité du dosage de leur activité. Ces connaissances sont importantes afin de permettre au biologiste d’aider le clinicien dans sa démarche diagnostique mais également et dans le suivi de ses patients. En effet, il doit se placer comme un véritable partenaire du corps médical dans le parcours de soin.
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L'HEMOGRAMME DANS TOUS SES ETATS : Nouveautés techniques et interprétationnelles
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Contexte de l’action : Nous étudierons en priorité les nouveautés intégrées au logiciel Sysmex : - CBC-O : CAT en cas de CCMH > 365 g/L. Arbre décisionnel détaillé lors de la présentation et qui repose sur une publication « Increased mean corpuscular haemoglobin concentration: artefact or pathological condition? » - De même nous détaillerons sur cette session : le monoscore qui a été publié par l’équipe de Besançon : qui permet d’orienter vers une LMMC en cas de persistance de monocytose. Cette formation est à destination des biologistes médicaux (pharmaciens ou médecins) officiant dans les laboratoires privés d’analyses médicales. Elle s’inscrit dans le cadre de l’harmonisation des pratiques dans l’interprétation des hémogrammes, le maintien et l’approfondissement des connaissances notamment sur les interférences analytiques et sur la connaissance des valeurs seuils utilisées dans les classifications diagnostiques des pathologies hématologiques. Elle permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations des différentes Sociétés Savantes correspondantes. Objectifs pédagogiques : Les hémogrammes sont des examens de pratique courante fréquemment prescrits dans le cadre de diagnostic et/ou de suivi d’hémopathie. Leur interprétation à la fois sur le plan quantitatif et qualitatif est fondamentale afin de guider au mieux le clinicien dans sa pratique quotidienne. En effet, toute variation sur une des 3 lignées hématopoïétiques doit nous interpeller et nous évoquer un possible état pathologique sous-jacent. Des explorations complémentaires pertinentes devront alors être prescrites afin de mieux orienter le clinicien dans sa recherche diagnostique. Le biologiste a un rôle clef dans le parcours de soin du patient. Il doit être capable de : 1/ Contrôler et garantir la véracité des résultats de l’hémogramme. La formation permettra de récapituler les principes technologiques des automates d’hématologie avec analyse de leurs performances et de leurs limites avec notamment l’étude des interférences analytiques. A l’issue de la formation, le biologiste sera capable de garantir la conformité des résultats quel que soit la situation. 2/ Définir les valeurs seuils de l’hémogramme normal en fonction de l’âge, du sexe et de l’ethnie. La formation reprendra l’ensemble des études publiées dans les sociétés savantes afin de rappeler les dernières recommandations dans l’établissement des valeurs de référence en France. A l’issue de la formation, le biologiste qui est souvent confronté en 1ère ligne aux interrogations et inquiétudes du patient saura interpréter les valeurs biologiques de l’hémogramme en fonction des caractéristiques de son patient (âge, sexe, ethnie) et catégoriser les anomalies qualitatives et/ou quantitatives. 3/ Identifier les anomalies de l’hémogramme nécessitant une prise en charge diagnostique et thérapeutique urgente La formation reviendra sur les valeurs d’alerte au regard des dernière recommandations des sociétés savantes mais également sur les mécanismes des cytopénies. Le biologiste en appliquant les consignes harmonisées au sein de la profession pour alerter le clinicien vis-à-vis de données biologiques anormales, saura distinguer les situations où il faudra accélérer la prise en charge (ex : avancer une consultation), ou au contraire, rassurer le patient qui pourra se permettre d’attendre sa prochaine consultation sans être exposé à une prise de risque dans ce délai. Il s’agit de transmettre les bases du rôle du biologiste dans les filières de soin tel que ceci est établi dans les programmes d’éducation thérapeutique. 4/ Aider les cliniciens dans sa démarche diagnostique en l’orientant vers des examens complémentaires pertinents La formation reviendra sur les mécanismes des cytopénies observées sur l’hémogramme et le biologiste saura à terme déduire les paramètres judicieux pour aider le clinicien dans la pertinence du choix d’ajout d’examens complémentaires pour accélérer la prise en charge et appliquer les dernières recommandations.
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Suivi biologique de la femme enceinte
DPC
Contexte de l’action Le rôle du biologiste médical dans le parcours de soins du patient a été conforté et la prestation de conseils destinée soit au médecin prescripteur ou soit au patient est devenue une obligation pour les phases pré-analytique et post-analytique. Cette formation est à destination de Médecins et de pharmaciens Biologiste responsables de laboratoire de biologie médicale quelque soit leur mode d’exercice. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement des connaissances des pratiques diagnostiques autour de cas cliniques. Dans le cadre de la norme ISO 15189 le biologiste médical se doit de jouer un rôle de conseil pour la bonne utilisation des examens de biologie. Il doit ainsi fournir des résultats interprétés, commentés et intelligibles pour que les cliniciens puissent les utiliser de façon appropriée. En s’appuyant sur les récentes recommandations de Société Savante, de bonnes pratiques, des règles de la nomenclature des actes de biologie médicale et une mise au point de physiopathologie nous proposons de réaliser une journée de formation sur le thème « Suivi biologique de la femme enceinte ». La grossesse doit se dérouler sous une surveillance médicale attentive associée à un suivi biologique. Les risques relatifs de survenue de complications au cours de la grossesse ou de l’accouchement sont élevés en présence de certaines pathologies ou de certains antécédents. En fonction de la fréquence et de la nature du risque, certaines grossesses doivent faire l'objet d’investigations complémentaires afin d’orienter si besoin la femme vers un suivi adapté. Il est recommandé que tous les professionnels impliqués dans le suivi des grossesses (c’est le cas des biologistes médicaux) bénéficient d’une formation théorique et pratique adaptées et qu’ils exercent dans le cadre d’une collaboration ville-hôpital et, selon les possibilités locales, dans un réseau de périnatalité. Objectifs pédagogiques détaillés Apporter les connaissances nécessaires et spécifiques sur le thème du suivi biologique de la femme enceinte Connaître et comprendre l’adaptation des fonctions de l’organisme maternel, nécessaire au développement d’une grossesse (cardio-vasculaire, pulmonaire, rénale, métabolique, etc.) Connaître et comprendre les répercussions du développement d’une grossesse sur les différents appareils et systèmes maternels (métabolique, digestif, hématologiques, locomoteur, tissu conjonctif, etc.) Connaître et comprendre les recommandations du suivi d’une grossesse sans situation à risque ou relevant d’un faible niveau de risque (suivi A de la HAS) au cours des 3 trimestres : examens complémentaires biologiques obligatoires ou recommandés, proposer le diagnostic prénatal… Connaître et comprendre les recommandations du suivi d’une grossesse nécessitant un avis de type A1 ou de type A2, ou relavant d’un suivi de type B lorsque les situations à risque détectées permettent de statuer sur un niveau de risque élevé. Savoir objectiver ces situations à risques, connaître les examens biologiques complémentaires et savoir les interpréter dans les situations suivantes : Diabète gestationnelle ; Cholestase gravidique ; Rupture des membranes ; Dysgravidies ; Infections de type VIH, VHB, Toxo, CMV, Strepto B Connaître et comprendre les situations de fausses couches à répétitions : notion et interprétation des bilans de thrombophilie Connaître et comprendre la situation de la maladie trophosblastique gestationnelle : cas de la môle hydatiforme Connaître et comprendre les tests de dépistages de la T21 : présentation et interprétations des tests – présentation du DPNI 1/ Analyse des pratiques et revue des connaissances en début de session de formation par une série de QCM interactif. Un mois avant la formation, il sera transmis quelques articles fondamentaux sur le sujet ; une semaine avant nous transmettrons 20 QCM couvrant l’ensemble de la thématique exposée. Une correction interactive de ces QCM sera proposée en tout début de séance. 2/ Formation présentielle cognitive, exposés théoriques, Diaporamas illustrés par des cas cliniques L’ensemble des exposés illustrant les différents points abordés durant la formation seront accompagnés le plus souvent de bilans biologiques (sanguins et urinaires) à interpréter en fonction des éléments cliniques mis à disposition. 3/ évaluation des bonnes pratiques de laboratoire et des connaissances générales sur la thématique. Conclusion générale de la journée Une synthèse en fin de séance sera effectuée listant ainsi les principaux points biologiques important pour la pratique professionnelle. Vingt QCM seront proposés en fin de formation afin d’évaluer la clarté de la construction pédagogique, la cohérence de l’enchainement des séquences et si elles parviennent à atteindre les objectifs fixés.