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Médecin Généraliste, Pédiatre, Psychiatre


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"Haut potentiel", "TDAH", "syndrome d'Asperger"... entre diagnostic médical et engouement sociétal, quel rôle pour le médecin dans le repérage clinique de ces pathologies ?

DPC

Contexte de l’action Les termes de “haut potentiel (intellectuel)”, “TDAH” et “syndrome d’Asperger” sont utilisés par les médecins mais également dans le langage courant, avec parfois des dérives de leur signification et leur emploi décalé dans les demandes de consultation des patients. Grandes lignes de contenu Il s’agira de rappeler la clinique de ces tableaux, leurs critères diagnostiques, chez l’enfant, l’adolescent et l’adulte, et de préciser les demandes et questions des patients autour de ces diagnostics, ainsi que les orientations thérapeutiques à privilégier. Objectifs Aspects cliniques et diagnostiques : - rappeler les symptômes, tableaux cliniques et leurs variantes - savoir repérer les signes précoces - identifier les comorbidités, les diagnostics différentiels pédopsychiatriques et psychiatriques - préciser les étiopathogénies et psychopathologies de ces entités cliniques - différencier les présentations cliniques à l’enfance et à l’adolescence Prise en charge : - connaître les principes de la coordination de la prise en charge par le médecin généraliste, le médecin scolaire, le pédiatre, le neuropédiatre et le pédopsychiatre - savoir repérer et prévenir les facteurs de risque - connaître le rôle essentiel du médecin généraliste et/ou pédiatre dans la prise en charge précoce et les orientations possibles - préciser les liens avec l’institution scolaire, les possibilités d’adaptation spécifique à l’école - connaître les dispositifs d’accompagnement existants, dont l’accompagnement socio-éducatif - rappeler les différences de la prise en charge chez l’enfant et chez l’adolescent

Médecin du travail, Médecin Généraliste, Psychiatre


E-learning

Classe virtuelle : « Burn-out » et syndrome post-traumatique : mécanismes communs et distincts, prises en charge

DPC

Contexte de l’action La fréquence du syndrome d’épuisement professionnel (ou burn-out) est en augmentation, et touche également les professions médicales. Grandes lignes de contenu Il s’agira de préciser le repérage des signes précoces, et les modalités de prise en charge, en coordination entre médecin du travail, médecin généraliste et parfois psychiatre. Trois intervenants (un médecin du travail, un médecin généraliste et un psychiatre) présenteront le syndrome de “burn-out” avec l’éclairage de leur spécialité et de leur expérience pratique, et préciseront les spécificités de ce syndrome pour les professions médicales. Objectifs - rappeler la clinique du “burn-out”, avec ses symptômes, le tableau clinique et ses variantes, le repérage des signes précoces - rappeler les facteurs de risque et leur prévention - identifier les diagnostics différentiels psychiatriques, les éventuelles comorbidités - différencier les formes dépressives et les formes post-traumatiques du “burn-out” - rappeler la clinique et la psychopathologie du syndrome post-traumatique (qu’est-ce qu’un traumatisme, quels en sont les effets psychiques?) - repérer la diversité des événements et facteurs à valeur traumatique : comment les repérer ? Quelle prise en charge spécifique ? - définir les modalités de coordination des soins, par le médecin généraliste, le médecin du travail et le psychiatre - identifier les spécificités du syndrome et de sa prise en charge dans les professions médicales

ORL, Chirurgien, Médecin Généraliste, Psychiatre


E-learning

Cliniques du corps mutilé et des prothèses. 3ème partie : Face et défigurations : entre images (de soi, du corps) et regards.

DPC

Contexte de l’action La clinique de la perte de l’intégrité de la face et de sa prise en charge est à la fois complexe, riche, spécifique et d’une portée générale sur le plan psychiatrique (rapport au traumatisme, à la perte touchant le corps, la face en particulier). Grandes lignes de contenu Il s’agira de préciser les spécificités de l'atteinte de l'intégrité de la face, avec les implications de l'identité représentée par le visage, tant au niveau de la clinique (dimension médicale, psychologique et psychiatrique) qu'au niveau de la prise en charge. Objectifs Aspects cliniques et diagnostiques : - connaître les formes cliniques des atteintes de la face selon l’origine de la mutilation - préciser les spécificités psychiatriques et psychologiques des atteintes de la face (visage et identité, relations sociales, acceptation et estime de soi) - repérer les pathologies psychiatriques secondaires Spécificités dans la prise en charge pluridisciplinaire : - rappeler les différentes formes de reconstruction chirurgicale possibles : chirurgie plastique, greffe de visage - préciser leurs avantages, inconvénients et limites : reconstruction ou construction d'un nouveau visage ? - préciser les spécificités de la “reconstruction” de l’intégrité visuelle du corps par la mise en place d’une prothèse esthétique - rappeler la complémentarité de la prise en charge chirurgicale et par prothèse - repérer les avantages, inconvénients et limites des prothèses : amovibilité de la prothèse (surveillance dans la prise en charge d'un cancer), deuil du visage d'avant - définir les complications psychiatriques et psychopathologiques (processus de deuil et d'acceptation) ; repérer les signes cliniques précoces d'un deuil pathologique - rappeler leur prise en charge spécifique

Chirurgien, Médecin Généraliste, Médecin MPR, Psychiatre


E-learning

Cliniques du corps mutilé et des prothèses 1ère partie : Mains - pieds (entre pertes et deuils)

DPC

Contexte de l’action La clinique de la perte de l’intégrité du corps et de sa prise en charge est à la fois complexe, riche, spécifique et d’une portée générale sur le plan psychiatrique (rapport au traumatisme, à la perte touchant le corps). Grandes lignes de contenu Il s’agira de préciser les différentes formes cliniques du corps mutilé, et les possibilités de prise en charge pluridisciplinaire et coordonnée. Objectifs Aspects cliniques et diagnostiques : - préciser les différentes formes cliniques de la mutilation du corps - selon l’origine de la “mutilation” : accidentelle, secondaire à un traitement chirurgical, malformation congénitale - selon l’âge : enfant, adolescent, adulte - selon les pathologies associées (traitement en cours d’une pathologie mettant en jeu le pronostic vital en particulier) - savoir évaluer les effets physiques et psychiques de la mutilation - quels sont les critères de gravité d’une mutilation ? - quels sont les effets secondaires physiques possibles ? - diversité et singularité des répercussions psychologiques - connaître les formes cliniques spécifiques selon les comorbidités psychiatriques Prise en charge : - rappeler les différents types de traitement, leurs avantages et leurs inconvénients - prothèses mécaniques - prothèses esthétiques - reconstruction chirurgicale (alternative à une prothèse) - préciser les modalités de la prise en charge pluridisciplinaire : - complémentarité de la prise en charge chirurgicale et par prothèse - coordination de la prise en charge avec une poursuite de traitement d’une pathologie cause de la mutilation (cancers en particulier) - place et modalités d’une prise en charge psychiatrique ou psychothérapique - la clinique de la relation avec le patient concerne tous les intervenants dans la prise en charge

Médecin Généraliste, Psychiatre


En présentiel

"No limit !" ? Addictions aux écrans et enjeux des limites dans la psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent

DPC

Contexte de l’action L’usage (“bénéfique”) des écrans fait partie de notre quotidien, mais les études scientifiques démontrent clairement les divers effets néfastes d’un usage excessif. Les médecins généralistes, pédiatres, pédopsychiatres, psychiatres, sont très souvent sollicités par les parents sur la question des limites à poser, et d’une aide lorsque leur enfant/adolescent s’oppose à ces limites. Grandes lignes de contenu Il s’agira de différencier usage raisonné et mésusage des écrans, de repérer les pathologies éventuelles corrélées aux mésusages, et de préciser les modalités de prise en charge. La difficulté parentale à poser des limites peut entraîner d’autres symptômes chez l’enfant, qui seront présentés, ainsi que leur prise en charge. Objectifs Aspects cliniques et diagnostiques : - préciser les fonctions de l’usage de l’écran pour l’enfant et l’adolescent - préciser les signes d’alerte d’un usage excessif (quand faut-il consulter un pédopsychiatre ?) - repérer les manifestations cliniques d’une “pathologie des limites” (chez l’enfant, chez l’adolescent) - savoir différencier les comorbidités et les diagnostics différentiels psychiatriques Prise en charge : - rappeler les facteurs de risque et leur prévention - distinguer deux formes de prise en charge : distinguer les situations nécessitant un suivi pédopsychiatrique et celles indiquant des entretiens de guidance parentale - rappeler l’importance et les moyens de mettre en oeuvre une coordination de la prise en charge par le médecin généraliste, le médecin scolaire et le pédopsychiatre/psychiatre - préciser les spécificités du travail avec les professionnels des institutions éducatives (Education Nationale, institutions médicosociales, Protection de l’Enfance)

Médecin Généraliste, Psychiatre


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Boulimies, hyperphagies, excès : cliniques et prises en charge

DPC

Contexte de l’action Seule une minorité de personnes souffrant de boulimie ou d’hyperphagie sont soignées pour ces affections (43% selon la note de cadrage de la HAS de 2015), alors que les complications somatiques, le risque de troubles psychiques associés ou secondaires et les répercussions sociales sont importants et aggravés par la durée d’évolution. Grandes lignes de contenu Il s’agira de rappeler la clinique de ces pathologies, de préciser les moyens d’aider les patients à évoquer leurs symptômes et à entrer dans une démarche de soins, et de préciser les modalités d’une prise en charge pluridisciplinaire, coordonnée, et singulière. Objectifs Aspects cliniques et diagnostiques : - Rappeler la distinction clinique de ces deux tableaux, et leurs différentes formes cliniques respectives - Repérer les signes précoces et signes d’appel : importance du rôle du médecin généraliste du fait de la difficulté des patients à parler de leur symptôme - Préciser les comorbidités psychiatriques : quels mécanismes psychopathologiques sous-jacents aux symptômes ? Prise en charge : - Repérer la pathologie et permettre d’entrer dans une démarche de soins - Connaître les recommandations de la HAS : parcours de soins et prise en charge pluridisciplinaire : coordination de la prise en charge par le médecin généraliste, le médecin nutritionniste et le psychiatre - Connaître les Indications et modalités d’une hospitalisation - Prendre en charge la dimension singulière du symptôme : importance de l’écoute de chaque intervenant, place et modalités de la psychothérapie

Médecin Généraliste, Pédiatre, Psychiatre


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"Haut potentiel", "TDAH", "syndrome d'Asperger"... entre diagnostic médical et engouement sociétal, quel rôle pour le médecin dans le repérage clinique de ces pathologies ?

DPC

Contexte de l’action Les termes de “haut potentiel (intellectuel)”, “TDAH” et “syndrome d’Asperger” sont utilisés par les médecins mais également dans le langage courant, avec parfois des dérives de leur signification et leur emploi décalé dans les demandes de consultation des patients. Grandes lignes de contenu Il s’agira de rappeler la clinique de ces tableaux, leurs critères diagnostiques, chez l’enfant, l’adolescent et l’adulte, et de préciser les demandes et questions des patients autour de ces diagnostics, ainsi que les orientations thérapeutiques à privilégier. Objectifs Aspects cliniques et diagnostiques : - rappeler les symptômes, tableaux cliniques et leurs variantes - savoir repérer les signes précoces - identifier les comorbidités, les diagnostics différentiels pédopsychiatriques et psychiatriques - préciser les étiopathogénies et psychopathologies de ces entités cliniques - différencier les présentations cliniques à l’enfance et à l’adolescence Prise en charge : - connaître les principes de la coordination de la prise en charge par le médecin généraliste, le médecin scolaire, le pédiatre, le neuropédiatre et le pédopsychiatre - savoir repérer et prévenir les facteurs de risque - connaître le rôle essentiel du médecin généraliste et/ou pédiatre dans la prise en charge précoce et les orientations possibles - préciser les liens avec l’institution scolaire, les possibilités d’adaptation spécifique à l’école - connaître les dispositifs d’accompagnement existants, dont l’accompagnement socio-éducatif - rappeler les différences de la prise en charge chez l’enfant et chez l’adolescent

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Classe virtuelle : « Burn-out » et syndrome post-traumatique : mécanismes communs et distincts, prises en charge

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Contexte de l’action La fréquence du syndrome d’épuisement professionnel (ou burn-out) est en augmentation, et touche également les professions médicales. Grandes lignes de contenu Il s’agira de préciser le repérage des signes précoces, et les modalités de prise en charge, en coordination entre médecin du travail, médecin généraliste et parfois psychiatre. Trois intervenants (un médecin du travail, un médecin généraliste et un psychiatre) présenteront le syndrome de “burn-out” avec l’éclairage de leur spécialité et de leur expérience pratique, et préciseront les spécificités de ce syndrome pour les professions médicales. Objectifs - rappeler la clinique du “burn-out”, avec ses symptômes, le tableau clinique et ses variantes, le repérage des signes précoces - rappeler les facteurs de risque et leur prévention - identifier les diagnostics différentiels psychiatriques, les éventuelles comorbidités - différencier les formes dépressives et les formes post-traumatiques du “burn-out” - rappeler la clinique et la psychopathologie du syndrome post-traumatique (qu’est-ce qu’un traumatisme, quels en sont les effets psychiques?) - repérer la diversité des événements et facteurs à valeur traumatique : comment les repérer ? Quelle prise en charge spécifique ? - définir les modalités de coordination des soins, par le médecin généraliste, le médecin du travail et le psychiatre - identifier les spécificités du syndrome et de sa prise en charge dans les professions médicales

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Cliniques du corps mutilé et des prothèses. 3ème partie : Face et défigurations : entre images (de soi, du corps) et regards.

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Contexte de l’action La clinique de la perte de l’intégrité de la face et de sa prise en charge est à la fois complexe, riche, spécifique et d’une portée générale sur le plan psychiatrique (rapport au traumatisme, à la perte touchant le corps, la face en particulier). Grandes lignes de contenu Il s’agira de préciser les spécificités de l'atteinte de l'intégrité de la face, avec les implications de l'identité représentée par le visage, tant au niveau de la clinique (dimension médicale, psychologique et psychiatrique) qu'au niveau de la prise en charge. Objectifs Aspects cliniques et diagnostiques : - connaître les formes cliniques des atteintes de la face selon l’origine de la mutilation - préciser les spécificités psychiatriques et psychologiques des atteintes de la face (visage et identité, relations sociales, acceptation et estime de soi) - repérer les pathologies psychiatriques secondaires Spécificités dans la prise en charge pluridisciplinaire : - rappeler les différentes formes de reconstruction chirurgicale possibles : chirurgie plastique, greffe de visage - préciser leurs avantages, inconvénients et limites : reconstruction ou construction d'un nouveau visage ? - préciser les spécificités de la “reconstruction” de l’intégrité visuelle du corps par la mise en place d’une prothèse esthétique - rappeler la complémentarité de la prise en charge chirurgicale et par prothèse - repérer les avantages, inconvénients et limites des prothèses : amovibilité de la prothèse (surveillance dans la prise en charge d'un cancer), deuil du visage d'avant - définir les complications psychiatriques et psychopathologiques (processus de deuil et d'acceptation) ; repérer les signes cliniques précoces d'un deuil pathologique - rappeler leur prise en charge spécifique

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Cliniques du corps mutilé et des prothèses 1ère partie : Mains - pieds (entre pertes et deuils)

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Contexte de l’action La clinique de la perte de l’intégrité du corps et de sa prise en charge est à la fois complexe, riche, spécifique et d’une portée générale sur le plan psychiatrique (rapport au traumatisme, à la perte touchant le corps). Grandes lignes de contenu Il s’agira de préciser les différentes formes cliniques du corps mutilé, et les possibilités de prise en charge pluridisciplinaire et coordonnée. Objectifs Aspects cliniques et diagnostiques : - préciser les différentes formes cliniques de la mutilation du corps - selon l’origine de la “mutilation” : accidentelle, secondaire à un traitement chirurgical, malformation congénitale - selon l’âge : enfant, adolescent, adulte - selon les pathologies associées (traitement en cours d’une pathologie mettant en jeu le pronostic vital en particulier) - savoir évaluer les effets physiques et psychiques de la mutilation - quels sont les critères de gravité d’une mutilation ? - quels sont les effets secondaires physiques possibles ? - diversité et singularité des répercussions psychologiques - connaître les formes cliniques spécifiques selon les comorbidités psychiatriques Prise en charge : - rappeler les différents types de traitement, leurs avantages et leurs inconvénients - prothèses mécaniques - prothèses esthétiques - reconstruction chirurgicale (alternative à une prothèse) - préciser les modalités de la prise en charge pluridisciplinaire : - complémentarité de la prise en charge chirurgicale et par prothèse - coordination de la prise en charge avec une poursuite de traitement d’une pathologie cause de la mutilation (cancers en particulier) - place et modalités d’une prise en charge psychiatrique ou psychothérapique - la clinique de la relation avec le patient concerne tous les intervenants dans la prise en charge