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Masseur-Kinésithérapeute


En présentiel

Prise en charge de la pubalgie : rééquilibrage musculaire et contrôle moteur au cœur de l'autonomisation du patient adulte

DPC

Objectifs généraux : A l’issue de la formation, le stagiaire sera en capacité de : • Connaitre les différents types de pubalgie • Apprendre et mettre en application les tests spécifiques • Elaborer des séances en respectant la progression de la prise en charge • Proposer des exercices à reproduire au domicile, en autonomisation Résumé : La qualité de la prise en charge masso-kinésithérapique de ce motif de consultation s’appuiera sur des connaissances anatomiques et biomécaniques, ainsi que sur la pertinence d’un diagnostic différentiel précis. A partir de mises en situation clinique, les participants seront amenés à mettre en place, en co-construction, un programme thérapeutique selon une démarche EBP s’appuyant sur des techniques pertinentes ayant pour finalité l’autonomie du patient Il sera notamment question d’apprécier la façon dont le patient perçoit sa pathologie et quels sont ses centres d’intérêt, afin de mobiliser des outils qui lui sont adaptés et auxquels il pourra adhérer. Une large partie pratique sera consacrée à l’élaboration des différentes étapes du programme de rééducation, avec une démonstration des techniques spécifiques permettant la reproductibilité des exercices par le patient à domicile. Cette Formation vous permet, dans le cadre de la lombalgie chronique, de réaliser, après un examen clinique précis, un diagnostic fonctionnel, un protocole de prise en charge efficace, avec comme finalité l’autonomisation des patients lombalgiques.

Masseur-Kinésithérapeute


En présentiel

Prise en charge de la douleur chronique du rachis par l’innovation technologique : réalité virtuelle et sérious games

DPC

Résumé : L’intervenant présentera les différents types de douleurs avec une importante partie sur la douleur chronique au sens de la maladie douloureuse. La population spécifique retenue pour cette action concerne les patients atteint de douleur chronique du rachis. Ensuite, l’enseignant reviendra sur les recommandations de la HAS sur la lombalgie de 2019 et l’importance du repérage des patients à risque de chronicisation de la douleur. Dans la continuité, les douleurs chroniques du rachis, principalement les lombalgies et cervicalgies seront abordées ainsi que les différents traitements proposés que l’on retrouve dans les recommandations professionnelles et la littérature. Une large partie sur l’évaluation du patient douloureux chronique (ou à risque de chronicisation) sera discutée en se référant aux dernières recommandations disponibles. Pour la thérapeutique et les techniques de prises en charges efficaces et innovantes, la réalité virtuelle et les différents outils seront d’abord présentés dans un temps pratique afin que les participants se familiarisent avec la technique. Pour compléter les soins par de la réalité virtuelle, l’action de formation abordera les sérious games, des jeux thérapeutiques permettant une activité physique dans un environnement ludique, bienveillant, avec détournement de l’attention. Ils permettent aussi de développer les capacités fonctionnelles du sujet dans un contexte qui respecte la fidélité fonctionnelle et cognitive du patient , avec association de la thérapie miroir globale. Une partie pratique sur l’utilisation des sérious games permettra aux participants de l’inclure dans le parcours thérapeutique afin de savoir mettre en place et construire un protocole thérapeutique complet pour leurs patients atteints de douleurs chroniques au niveau du rachis. Objectifs : • Mieux appréhender la douleur sous tous ses aspects, nociceptive, neuropathique et psycho fonctionnelle au sens de la maladie douloureuse. • Savoir repérer et évaluer un patient douloureux chronique (ou à risque de chronicisation) selon les dernières recommandations sur les pathologies du rachis. • Connaitre l’ensemble des approches non médicamenteuses de la prise en charge de la douleur et leur validité scientifique • Pouvoir utiliser certaines de ces approches comme la réalité virtuelle et s’approprier cette technique • Comprendre la relation entre la fatigue, le déconditionnement fonctionnel du patient et la douleur. • Promouvoir l’activité physique comme thérapeutique pour la prise en charge de la douleur. • Savoir proposer au patient de nouveaux modes de reconditionnement neuromusculaire par la pratique d’une activité physique en rééducation, avec des serious games. • Maitriser la mise en place d’un protocole de soins complet pour le douloureux chronique avec des expositions progressives aux contraintes mécaniques basées sur la réalité virtuelle puis les serious games.

Masseur-Kinésithérapeute


En présentiel

Rééducation du Syndrome Douloureux Régional Complexe et éducation thérapeutique pour une meilleure autonomie du patient

DPC

Résumé : Cette formation abordera la physiologie du système nerveux central et autonome, ainsi que la fonction des neurotransmetteurs pour comprendre les dysfonctionnements biologiques et physiques de l’algodystrophie, notamment sur l’ appareil musculosquelettique . Elle évoquera les différents traitements médicaux et paramédicaux. Elle permettra d’étudier chaque symptôme du Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC), et d’adapter le traitement à chaque stade de la pathologie, en fonction de la localisation articulaire . L’enseignement se centrera sur le diagnostic kinésithérapique, sur les bilans de la douleur et des dysfonctionnements musculosquelettiques. Il expliquera le raisonnement clinique pour élaborer l’arbre décisionnel des soins. Il développera les techniques appropriées à chaque étape du syndrome. Les techniques d’Imagerie et de thérapie miroir pour influer sur la plasticité cérébrale seront mises en pratique. L’éducation thérapeutique incitera le patient à lutter contre l’exclusion du mouvement et de la fonction, le guidera dans le traitement de sa douleur. A la phase de la diminution, voire de la disparition de la douleur, l’auto-rééducation et l’apprentissage d’une gymnastique globale lui permettra de retrouver son autonomie plus rapidement. Objectifs : Généraux : • Améliorer les pratiques dans une thématique, « LE SYNDROME DOULOUREUX COMPLEXE de TYPE 1 » qui englobe des atteintes de l’appareil musculo squelettique très fréquemment rencontrées dans l’activité quotidienne des MK et source de séquelles fonctionnelles importantes • Proposer une prise en charge qui permette une autonomie la plus rapide possible du patient dans cette pathologie particulière qui favorise un certain « désengagement du patient » • Construire un programme de soins adapté aux spécificités des atteintes et de la région intéressée, toujours en sollicitant la participation active du patient, aux différentes phases. • Prévenir les récidives, et limiter les séquelles grâce à un programme d’auto rééducation et de prévention en fin de traitement Spécifiques : • Comprendre le SDRC physiologie du système nerveux central et autonome, rôle des neurotransmetteurs. Physiopathologie et conséquences sur la fonction corporelle. • Lister les traitements associés • Bilanter les différents symptômes du SDRC • Mettre en place un arbre décisionnel pour le choix et la mise en oeuvre des techniques de rééducation les plus appropriées en fonction des symptômes et de la région atteinte • Les actions sur la plasticité cérébrale par l’imagerie, la thérapie miroir, la neurostimulation. • Les mobilisations aidées et la gymnastique douce, pour une meilleure autonomisation. • L’ergothérapie • Faciliter l’autonomisation du patient, en développant l’éducation thérapeutique - Motiver le patient, solliciter son adhésion au traitement - Apprentissage de l’auto rééducation avec des exercices en complément des séances - Proposer des Aides techniques pour aider la fonction - Expliquer la surveillance et l’adaptation des orthèses indiquées (statiques ou dynamiques) - Proposer un programme d’auto rééducation de fin de traitement

Masseur-Kinésithérapeute


En présentiel

Prise en charge kinésithérapique de la Douleur chronique dans le cadre de la Fibromyalgie de l’adulte : comprendre et agir par les thérapeutiques non médicamenteuses validées

DPC

Résumé : Cette formation s’attachera à donner au MK les clés pour comprendre, avec le patient, les mécanismes globaux de la douleur, l’évaluer dans sa complexité, afin de la prendre en charge efficacement. La douleur perçue par nos patients doit être analysée finement pour limiter au mieux le passage à la chronicité en identifiant les facteurs de risque que nos patients peuvent présenter. Dans ce contexte, la Fibromyalgie sera tout particulièrement abordée comme l’illustration parfaite de la complexité du phénomène douloureux. Au cours de la formation des exemples concrets et inspirés de la réalité seront abordés. A l’issue de la formation, le kinésithérapeute sera en capacité de prendre en charge des patients douloureux chroniques, ou à risque de chronicisation, participant par là-même, à favoriser et améliorer les prises en charge non médicamenteuses. Objectifs : Généraux : - Faciliter les prises en charge non médicamenteuses de la douleur chronique - Faciliter l’appropriation par le kinésithérapeute, d’une prise en charge plus globale - Améliorer la compétence du kinésithérapeute et la qualité de sa prise en charge sur la fibromyalgie - Permettre au kinésithérapeute de se prévaloir auprès des prescripteurs, en tant qu’acteur de la prise en charge de cette pathologie spécifique pour améliorer les parcours de ces patients ; Spécifiques, en permettant au professionnel : - Acquérir les savoirs actualisés de la physiologie, physiopathologie des processus douloureux - Connaitre les différents symptômes de la FIBROMYALGIE - Maîtriser les bilans spécifiques de la douleur chronique dans la fibromyalgie : • Connaitre les facteurs spécifiques de chronicisation • Connaitre les indicateurs utilisables pour évaluer la dimension « douleur » • Maitriser les critères permettant de définir la typologie douloureuse et les conséquences fonctionnelles, professionnelles, personnelles ou sociales • Avoir la capacité de faire un bilan précis de la douleur du patient en recherchant tous les critères spécifiques à la douleur chronique et à son évolution • Élaborer un diagnostic kinésithérapique et la prise en charge qui en découle jusqu’à obtention des objectifs fixés. - Avoir la capacité de conduire un entretien motivationnel et s’approprier les principes de l’alliance thérapeutique - Proposer des prises en charge personnalisées pour les patients fibromyalgiques : • Apprendre à développer avec le patient des stratégies utiles pour la prise en charge de la douleur et la prévention des risques de chronicisation voir de rechute • Développer l’autonomisation du patient FIBROMYALGIQUE face aux crises douloureuses • Construire un traitement de la douleur en tenant compte des différentes dimensions bio-psycho-sociales • Proposer une « éducation » du patient et/ou de son entourage

Masseur-Kinésithérapeute


En présentiel

Drainage lymphatique manuel et bandages de compression, chez l’adulte, pour œdème veineux et lymphatiques des membres

DPC

Objectifs : Généraux : L’intention générale du projet, du point de vue de la pratique libérale et institutionnelle, est, pour le kinésithérapeute apprenant, d’acquérir ou de perfectionner ses techniques de Drainage lymphatique manuel dans le traitement des œdèmes veineux et des lymphœdèmes. De ce fait, l’offre de soins sera améliorée, tant en qualité de la prestation que pour l'accès aux soins. Amener le professionnel à mobiliser, en situation de soins, différents savoirs et capacités conformes aux données actuelles de la science et aux publications et recommandations de l’HAS : - savoir de connaissances ; - savoir de techniques pratiques ; - savoir-faire opérationnel ; - savoir relationnel. Par ailleurs, sensibiliser le professionnel au contexte socio-économique de la santé afin qu’il intègre l’aspect économique dans sa réflexion au quotidien lors des prises en charge des patientes. Spécifiques , en permettant au professionnel : - d’optimiser l'efficacité des techniques de Drainage lymphatique manuel dans le traitement des œdème  veino-lymphatiques en prenant en compte : - le bilan-diagnostic kinésithérapique et l’élaboration d’une fiche de synthèse ; - l'évolution des techniques modernes qui sont plus performantes ; - le choix judicieux des techniques en fonction de l'aspect clinique des œdèmes ; - l'association d'un bandage de compression personnalisé pour que le résultat soit optimum ; - l’évaluation des résultats ; - de réviser les techniques de base du DLM et des compressions vasculaires ; - d’acquérir les nouvelles modalités pratiques du DLM Résumé : - Actualisation des données anatomiques de la circulation de retour et des données de la physiologie et physiopathologique veineuse et lymphatique - Pratique des techniques de base du DLM (Membre Inférieur  et Supérieur). - Adaptation des techniques à des aspects cliniques spécifiques - Améliorer les compétences par l’actualisation des techniques manuelles  des œdèmes des membres inférieurs et supérieurs. - Prévention des lymphœdèmes et phléboedèmes des membres. - Bilan et Stratégie thérapeutique et évaluation des résultats par le bilan. - Méthodes d'exploration fonctionnelle vasculaire - Connaissances des effets de bandages compressifs sur le réseau veineux, lymphatique et le milieu interstitiel. - Pratique des différentes modalités de compressions vasculaires (multicouches simplifiés, bas, manchons...) - Adaptation et personnalisation des compressions avec les nouveaux matériaux. - Actualités des dernières publications lymphologiques internationales. - Modalités légales de la prescription kinésithérapique des bandages et orthèses vasculaires

Masseur-Kinésithérapeute


En présentiel

La lombosciatalgie : bilan, management thérapeutique, et autonomisation du patient adulte, selon les recommandations actuelles

DPC

Objectifs : 1) Généraux : a.Améliorer les techniques de diagnostic et de traitement appliquées aux pathologies musculo-squelettiques du rachis lombaire et particulièrement à la lombosciatalgie b.Proposer une prise en charge qui permette une autonomie la plus rapide possible et complète du patient c.Mettre en place une progression de la stratégie thérapeutique avec une participation active du patient selon les différentes phases de la rééducation d.Prévenir les récidives grâce à un programme de prévention basé sur la responsabilisation et des ateliers d’auto-rééducation à effectuer seul par le patient 2) Spécifiques : permettre au professionnel de : e.Réaliser un bilan diagnostic validé spécifique à la lombosciatalgie f.Identifier et différencier les principales causes de lombalgies avec irradiations dans le(s) membre(s) inférieur(s) g.Générer une procédure de modification de s ymptômes reproductible en autonomie par le patient et savoir interpréter les résultats obtenus h.Construire un traitement en accord avec les résultats du bilan et les recommandations actuelles i.Identifier et s’adapter aux différentes phases de la rééducation de la lombosciatalgie j.Proposer un programme d’auto-rééducation post-traitement afin de responsabiliser et autonomiser le patient au quotidien Résumé : Contexte et anatomie fonctionnelle - Identifier les populations à risques et la répartition des lombalgies dans la population adulte - Déterminer les mécanismes lésionnels possibles - Connaitre l’anatomie fonctionnelle du rachis lombaire et du matériel nerveux périphérique - Comprendre le rôle du disque intervertébral et de la musculature profonde Le bilan - Réaliser une anamnèse spécifique au rachis lombaire et aux douleurs radiculaires associées - Réaliser un score fonctionnel validé - Savoir identifier, lire et interpréter des imageries du rachis lombaire - Être capable d’effectuer une analyse statique et dynamique du rachis lombaire - Connaitre, réaliser, et interpréter des tests de force du rachis lombaire - Connaitre, réaliser, et interpréter des tests neurologiques du membre inférieur - Mettre en place un diagnostic différentiel et des règles de prédiction clinique La procédure de modification de symptômes (P.M.S) - Connaitre et appliquer les dernières recommandations de la HAS - Modifier positivement les symptômes du patient par des processus logiques issus du bilan - Proposer traitement en accord avec les recommandations actuelles et les résultats de la P.M.S La mobilisation articulaire - Identifier les directions de mobilités du rachis lombaire ainsi que différentes forces applicables - Construire une stratégie de progression des forces selon les symptômes du patient - Mettre en place des ateliers d’auto-rééducation à réaliser en autonomie par le patient La mobilisation neurale - Connaitre les recommandations actuelles - Connaitre les différentes modalités de mobilisation neurale et leur indication - Mettre en place des ateliers d’auto-rééducation à réaliser en autonomie par le patient Le renforcement musculaire - Connaitre les recommandations actuelles - Proposer des ateliers de renforcement du rachis lombaire cohérents - Mettre en place des ateliers d’auto-rééducation à réaliser en autonomie par le patient La décompression axiale ou traction lombaire - Analyser la littérature ainsi que les recommandations, et apporter un regard critique sur les pratiques actuelles Physiopathologie de la lombosciatalgie - Connaitre et identifier les différents mécanismes à l’origine de douleurs lombaires irradiantes dans le(s) membre(s) inférieur(s) - Connaitre les différentes classifications en imageries, et mettre en relation physiopathologie et résultats d’imagerie médicale - Relier des observations cliniques subjectives et objectives à un raisonnement thérapeutique Stratégie d’évolution de traitement - Connaitre et identifier les différentes phases symptomatologiques de la lombosciatalgie - Proposer une progression de prise en charge cohérente avec les symptômes du patient Management thérapeutique et autonomisation du patient - Identifier les différentes causes d’échec de traitement et savoir y remédier - Être capable d’informer et de responsabiliser le patient en le rendant acteur de sa rééducation - Proposer du matériel pédagogique adapté - Mettre en place des stratégies d’autonomisation du patient cohérentes avec sa situation personnelle, professionnelle, et psychosociale

Masseur-Kinésithérapeute


En présentiel

Amélioration du process de rééducation du genou douloureux, traumatique et post-opératoire

DPC

Résumé : La première partie de la formation sera consacrée à une actualisation des connaissances anatomiques, biomécaniques et physiologiques pour mieux comprendre les facteurs de risques et la physiopathologie, tant sur les traumatismes que pour les douleurs de genou du patient adulte. Ensuite, une partie importante traitera de l’évaluation du patient dans le cadre du traitement conservateur, de sa pathologie et des modalités de mise en place d’un plan de soins partagé et co-construit avec le patient. L’intervenant insistera sur l’évaluation des capacités fonctionnelles où, dès cette étape, le bilan diagnostic kinésithérapique doit permettre de déterminer les critères d’adhésion et d’observance à la thérapeutique active adaptée au patient . Des mises en situation clinique, autour des pathologies du genou, amèneront les participants à mettre en place, en co-construction, d’un programme thérapeutique selon une démarche EBP s’appuyant sur des techniques pertinentes ayant pour finalité l’autonomie du patient . Il sera notamment question d’apprécier comment le patient perçoit sa pathologie et quels sont ses centres d’intérêt, afin de mobiliser des outils qui lui sont adaptés et auxquels il peut adhérer. Une large partie pratique sera consacrée à l’élaboration des différentes étapes du programme de rééducation après entorse du genou ou dans le cadre des douleurs de genou, avec une démonstration des techniques passives et évolution vers l’apprentissage des manœuvres auto-induites reproductibles par le patient à domicile . Ces points seront adossés à une analyse critique selon les récentes recommandations de pratiques professionnelles. Cette phase aura pour but d’interpeller les participants sur les limites de la thérapeutique passive et la pertinence de les compléter systématiquement par une approche active. L’intervenant présentera des outils simples, afin de les rendre accessibles à tous les praticiens quelle que soit la situation professionnelle et surtout aux patients, dans une démarche active. Cela doit représenter la finalité de la démarche soins . Les techniques actives seront présentées pour lutter contre les douleurs, améliorer la mobilité articulaire, développer la force musculaire et favoriser la stabilité articulaire. L’intervenant insistera sur les supports nécessaires à l’éducation du patient et sur les modalités de suivi de sa la progression et de son l’évolution à chaque étape de la prise en charge. Ces indicateurs permettront, aux participants, d’avoir une comparaison avec les résultats attendus afin de déterminer les critères de fin de la rééducation. L’ensemble de cette approche active du patient permettra de limiter les récidives avec la mise en place d’ un programme d’auto-rééducation qui se poursuivra au terme des séances de kinésithérapie. Cette approche, d’abord développée autour des prises en charge conservatrices, sera ensuite déclinée pour les rééducations dans le cadre d’une chirurgie ligamentaire ou prothétique. Une présentation sera faite des différentes chirurgies ligamentaires et des possibilités de parcours de soins. Pour la chirurgie prothétique, les parcours seront présentés et les participants pourront apprécier durant les phases pré et post-opératoires, l’intérêt de placer le patient comme véritable acteur de sa prise en charge et de son parcours de soin. La gestion des complications et les syndromes douloureux du genou seront aussi présentés. Pour ces différentes prises en charge, l’intervenant proposera des schémas de traitement, au travers de cas cliniques, de jeux de rôles et de larges temps pratiques, respectant la même démarche visant à l’autonomisation du patient. Les participants, au terme de cette action de DPC, doivent être en capacité de faire évoluer leur pratique vers une prise en charge orientée sur l’autonomisation du patient et cela, quelle que soit la pathologie du genou de l’adulte. Objectifs : Objectifs généraux L’intention générale du projet, du point de vue de la pratique libérale et institutionnelle, est pour le kinésithérapeute formé, de modifier sa pratique afin de proposer des techniques actives en rééducation, facilement réalisables par le patient à domicile. Lors de l’élaboration du diagnostic kinésithérapique, le participant devra savoir mettre en place une démarche réflexive qui dépasse la pathologie et surtout qui analyse le contexte bio-psycho-social du patient, afin de déterminer au cas par cas des facteurs de risques et des critères d’adhésion et d’observance à la thérapeutique active. Le participant sera en mesure d’apprécier les limites des thérapies strictement passives et saura co-construire un programme de rééducation autonomisant, selon la démarche EBP, avec des outils simples et accessibles au patient afin de permettre la reproduction des exercices à domicile . Le participant pourra élaborer les différentes étapes d’un programme de soins et cela, quel que soit le profil du patient mais aussi, quelle que soit sa pathologie du genou. Amener le professionnel à mobiliser, en situation de soins, différents savoirs et capacités conformes aux données actuelles de la science et aux publications et recommandations de l’HAS : - savoir de connaissances ; - savoir de techniques pratiques ; - savoir-faire opérationnel ; - savoir relationnel. Par ailleurs, sensibiliser le professionnel à l’intérêt de l’autonomisation du patient et son impact sur le contexte socio-économique de la santé afin qu’il intègre l’aspect économique dans sa réflexion au quotidien lors des prises en charge des pathologies du genou. Objectifs spécifiques Objectifs principaux : - Savoir réaliser un bilan diagnostic kinésithérapique en prenant en compte le patient dans sa dimension bio-psycho-sociale en identifiant les facteurs de risques et les critères d’adhésion et d’observance du patient à la thérapeutique active . - Pouvoir co-construire et élaborer pour les pathologies du genou de l’adulte, un programme thérapeutique selon la démarche EBP. - Connaitre les limites de la prise en charge exclusivement passive et comprendre l’importance et la pertinence des techniques mises en œuvre pour aboutir à une autonomie du patient . - Mettre en place des outils simples et efficaces en rééducation selon les recommandations de bonnes pratiques professionnelles, pour autoriser une approche active et transposable au domicile du patient. Objectifs secondaires : - Avoir une approche fonctionnelle et actualisée de la physiopathologie du genou ainsi que les différentes possibilités thérapeutiques conservatrices et chirurgicales - Elaborer un programme de soins avec une vision sur l’ensemble du traitement et les résultats attendus à chaque phase de la prise en charge. - Trouver des alternatives aux techniques passives et savoir les remplacer par des techniques actives , simples mais tout autant efficaces et cela, quel que soit l’environnement et les outils à disposition. - Savoir mettre en place un programme d’éducation du patient avec des supports adaptés, à chaque étape de la prise en charge avec l e maintien de la motivation du patient dans sa prise en charge . - Pouvoir définir des critères de fin de la rééducation en fonction des résultats attendus. - Savoir mettre en place d’ un programme d’auto-rééducation à domicile .

Masseur-Kinésithérapeute


En présentiel

Rééducation de la main et du poignet : Education thérapeutique et auto-rééducation

DPC

Résumé : Les pathologies de la main et du poignet peuvent être simples, comme une entorse digitale, mais entraînant parfois des troubles de la fonction manuelle et de la dextérité ; elles peuvent être complexes, touchant la motricité (lésions osseuses, articulaires, musculaires, tendineuses, nerveuses), touchant la trophicité (troubles de la sensibilité, de la vascularisation, de la peau). La main et le poignet sont aussi concernés par de nombreux troubles musculo squelettiques et maladies dégénératives. Ces pathologies peuvent être la cause de douleurs chroniques : arthrose, neuropathie… Cette formation permettra de mieux maîtriser la rééducation des patients adultes présentant ces pathologies. Elle améliorera la connaissance de l’anatomie et la physiologie de la main et du poignet pour mieux comprendre la fonction complexe de cet « organe ». Elle abordera les autres traitements : chirurgie, ergothérapie, orthèses… Les bilans spécifiques seront enseignés en pratique et cerneront la physiopathologie, ils évalueront la perte d’autonomie dans la vie quotidienne, professionnelle et de loisirs. Pour chaque cas clinique elle indiquera le choix de techniques de rééducation appropriées (arbre décisionnel), cette formation accroîtra le raisonnement clinique. Elle enseignera les protocoles de soins validés concernant, les traumatismes de la main et du poignet (plaies des tendons, entorses, fractures, plaies des nerfs), concernant la main rhumatismale (maladie de Dupuytren, rhizarthrose) et les troubles musculosquelettiques (rééducation proprioceptive). Elle fera une large part à l’éducation thérapeutique pour la prévention des troubles musculosquelettiques et l’apprentissage de l’auto-rééducation. Elle aidera à prescrire ou créer des aides techniques, pour redonner plus rapidement une autonomie aux patients . Objectifs : Généraux : - Améliorer les pratiques dans une thématique, « rééducation de la main », qui englobe des atteintes de l’appareil musculo squelettique très fréquemment rencontrées dans l’activité quotidienne des MK ; - Proposer une prise en charge adaptée et personnalisée qui permette une autonomie la plus rapide possible du patient ; - Construire un programme de soins avec l a participation active du patient aux différentes phases - Maintenir la guérison ou Prévenir les récidives grâce à un programme d’auto-rééducation  et de prévention en fin de traitement Spécifiques : - Mettre à niveau les connaissances anatomo-physio-pathologiques de la main et du poignet nécessaires à l’adaptation des techniques de prise en charge - S’approprier en pratique les bilans adaptés aux pathologies touchant cette région du corps. - Déterminer les moyens techniques de rééducation à privilégier en fonction des spécificités de chaque catégorie de lésions, ou de pathologies, en fonction de éléments atteints - Apprendre et pratiquer les protocoles, en prenant en compte les différentes recommandations - Favoriser l’adhésion du patient aux différents stades de la prise en charge, à travers l’éducation thérapeutique pour qu’il comprenne mieux sa pathologie et effectuer une auto rééducation à chaque stade de la prise en charge - Savoir Prescrire des aides techniques (orthèses) pour améliorer l’autonomie du patient. - Proposer et apprendre au patient un programme d’auto-rééducation de fin de traitement adapté aux éventuelles séquelles ou récidives de la pathologie

Masseur-Kinésithérapeute


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Dyskinésies scapulaires et troubles neuromusculaires du membre supérieur de l’adulte, kinésithérapie et auto-rééducation en vue de l’autonomisation du patient

DPC

Objectifs : Les troubles neuro musculo-squelettiques sont contagieux d'un tissu, d'une articulation voire même d'un membre supérieur à l'autre. Les chiffres de la CNAM depuis 30 ans l’expriment clairement. Nombreux sont les patients cumulant les maladies professionnelles. Avoir l'opportunité de traiter un patient pour des dyskinésies scapulaires, c'est aussi prévenir l’arrivée de la décompensation suivante. En effet, en donnant les clés de compréhension et les moyens d’action au patient, nous lui permettons de prendre en charge par sa proactivité non seulement sa pathologie, son éventuelle récidive mais aussi la prévention des troubles musculo-squelettiques à venir. L’autonomisation du patient est donc indispensable pendant sa rééducation. Elle sera réorientée en cours de prise en charge pour lui servir au long cours dans la gestion de sa santé physique et mentale. Les dyskinésies scapulaire sont des pathologies marquées essentiellement par la douleur qui, devenue chronique, sera un facteur de désocialisation et de déconditionnement important. Le nomadisme médical et les durées de soins retrouvés dans la littérature montrent que le diagnostic différentiel et la prise en charge ne sont pas toujours optimaux et conformes aux données de la science. Un raisonnement clinique fondé sur les données de la littérature permet d’orienter le patient dans sa prise en charge en rééducation et de le guider dans sa gestion lors de son activité professionnelle, de loisir ou à la maison quant à son ressenti et ses exercices à effectuer. L’analyse des retours et les échanges autour de sa proactivité donne aussi l’occasion de moduler, de corriger mais aussi souvent encourager le patient dans cette voie qu’il associe légitimement à l’amélioration de sa fonction et de sa douleur. Il est donc indispensable de savoir impliquer le patient dans son traitement et requérir sa proactivité pour la conduite du traitement, comme pour la reprise dans de bonnes conditions. La prise en charge globale doit intégrer la stabilisation proximale du membre supérieur et une correction de la posture rachidienne. Ce travail initié lors de la rééducation au cabinet, doit être travaillé par le patient par des exercices pluriquotidiens et entretenu par des routines de feedbacks et d’autocorrection. Les séances de rééducation, si elles ont pour objectif initial le traitement de ces dyskinésies scapulaires, ont besoin de l’autonomisation du patient pour améliorer sa proactivité lors de ses soins spécifiques mais aussi pour changer ses habitudes posturales, de sédentarité, d’activités physiques, de diététique ou d’hydratation… et ainsi cela permet aussi de prévenir les autres troubles neuro musculo-squelettiques. Résumé : Les troubles neuro-musculo-squelettiques du membre supérieur de l’adulte sont responsables de 200 jours d’arrêt dans les cas de maladies professionnelles en France et touchent globalement 3% de la population. Ils sont corrélés à une dyskinésie dans plus de 50% des canaux carpiens, 68% des épicondylalgies latérales et la plupart des pathologies d’épaule. Si leurs diagnostics différentiels requièrent un raisonnement clinique précis, le traitement nécessite l’entière participation du patient. Cette proactivité initiée et adaptée au fur et à mesure du traitement devra se transformer en une véritable autonomisation pour lutter contre une désadaptation plus globale sur l’ensemble du corps, majorée bien souvent par la sédentarité. Le traitement kinésithérapique de ces dyskinésies scapulaires doit donc inclure cette autonomisation du patient en le guidant le temps du traitement afin qu’il puisse l’installer durablement dans son quotidien et ainsi prévenir les récidives et des pathologies connexes du membre supérieur et du rachis cervico-dorsal. Après un rappel des incidences des dyskinésies scapulaires , nous aborderons les différents facteurs de risques. Nous suivrons un cas clinique d’une pathologie d’épaule en élaborant ensemble le raisonnement clinique conduisant aux diagnostics différentiels. En effet chacun d’entre eux demande une prise en charge en rééducation et en proactivité différente selon les tissus concernés (tendon, nerf, capsulo-ligamentaire). L’évolution des signes cliniques avec la rééducation donnera aussi lieu à des remises en cause de diagnostic et des ajustements de traitement et d’exercices à domicile. En parallèle de la rééducation, nous construirons dans un premier temps avec le patient un programme adapté à ses besoins curatifs. Puis nous établirons en fonction de bilans plus globaux un programme d’exercices pour corriger et entretenir sa santé physique. L’autonomisation du patient est l’objectif principal de cette prise en charge. Elle permettra la guérison de troubles neuro-musculo-squelettique et la prévention des récidives ou même l’apparition d’autres troubles musculo-squelettiques. Cette autonomisation dans une routine d’exercices et d’entretien sera aussi une aide précieuse pour le reconditionnement et le retour à une vie sociale et professionnelle.

Masseur-Kinésithérapeute


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Les épicondylalgies de l’adulte, de la rééducation à l’autonomisation du patient

DPC

Objectifs : Les troubles neuro musculo-squelettiques sont contagieux, d'un tissu à l’autre, d'une articulation et voire même d'un membre supérieur à l'autre. Les chiffres de la CNAM depuis 30 ans l’expriment clairement. Nombreux sont les patients cumulant les maladies professionnelles. Avoir l'opportunité de traiter un patient pour une épicondylalgie latérale, c'est aussi prévenir l’arrivée de la décompensation suivante. En donnant les clés de compréhension et les moyens d’action au patient, nous lui permettons de prendre en charge, par sa proactivité, non seulement sa pathologie du coude, son éventuelle récidive mais aussi la prévention des troubles musculo-squelettiques à venir. L’autonomisation du patient est donc indispensable, pendant et après sa rééducation. Elle sera réorientée en cours de prise en charge pour lui servir au long cours dans la gestion de sa santé physique et mentale. Les épicondylalgies sont des pathologies marquées essentiellement par la douleur qui, devenue chronique, est un facteur de désocialisation et de déconditionnement important. Le nomadisme médical et les durées de soins retrouvés dans la littérature montrent que le diagnostic différentiel et la prise en charge ne sont pas toujours optimaux et conformes aux données de la science. Un raisonnement clinique fondé sur les données de la littérature permet d’orienter le patient dans sa prise en charge en rééducation et de le guider dans sa gestion lors de son activité professionnelle, de loisir ou à la maison quant à son ressenti et les exercices à effectuer. L’analyse des retours et les échanges autour de sa proactivité donne aussi l’occasion de moduler, de corriger mais aussi souvent d’encourager le patient dans cette voie qu’il associe légitimement à l’amélioration de sa fonction et de sa douleur. Il est donc indispensable de savoir impliquer le patient dans son traitement et de requérir sa proactivité pour la conduite du traitement, comme pour la reprise dans de bonnes conditions. La prise en charge globale doit intégrer la stabilisation proximale du membre supérieur et une correction de la posture rachidienne. Ce travail, initié lors de la rééducation au cabinet, doit être reproduit par des exercices pluriquotidiens et entretenu par des routines de feedbacks et d’autocorrection. Objectifs Généraux : Les séances de rééducation, si elles ont pour objectif initial le traitement de cette épicondylalgie, ont besoin de l’autonomisation du patient pour sa proactivité lors de ses soins spécifiques mais aussi pour changer ses habitudes posturales, de sédentarité, d’activités physiques, de diététique ou d’hydratation… et ainsi cela permet aussi de prévenir les autres troubles neuro -musculo-squelettiques. L’intention générale du projet, du point de vue de la pratique libérale et institutionnelle, est, pour le kinésithérapeute formé, de modifier sa pratique afin de proposer des techniques actives de rééducation facilement appropriables et réalisables par le patient à son domicile. Lors de l’élaboration du diagnostic kinésithérapique, le participant devra savoir mettre en place une démarche réflexive qui dépasse la pathologie et surtout qui analyse le contexte bio-psycho-social du patient, afin de déterminer au cas par cas les facteurs de risques et les critères d’adhésion et d’observance à la thérapeutique active. Le participant sera en mesure d’apprécier les limites des thérapies strictement passives et saura co-construire un programme de rééducation selon la démarche EBP avec des outils simples et accessibles au patient afin de permettre la reproduction des exercices à domicile. Amener le professionnel à mobiliser, en situation de soins, différents savoirs et capacités conformes aux données actuelles de la science et aux publications et recommandations de l’HAS : - savoir de connaissances ; - savoir de techniques pratiques ; - savoir-faire opérationnel ; - savoir relationnel. Par ailleurs, sensibiliser le professionnel à l’intérêt de l’autonomisation du patient et son impact sur le contexte socio-économique de la santé afin qu’il intègre l’aspect économique dans sa réflexion au quotidien lors des prises en charge des épicondylalgies . Objectifs Spécifiques : A l’issue de la formation, le kinésithérapeute sera en capacité de : a. Améliorer les techniques de kinésithérapie appliquées aux épicondylalgies b. Réaliser et maîtriser un bilan validé. c. Reconnaître les symptômes, les signes cliniques et de décrire la pathologie des épicondylalgies. d. Produire un raisonnement clinique. e. Mettre en place une stratégie thérapeutique avec une participation active du patient. f. Construire un traitement à partir du bilan en proposant des exercices adaptés. g. De proposer des exercices d’auto-rééducation afin d’autonomiser le patient. h. De mettre en œuvre une action de prévention des récidives grâce à un programme d’auto rééducation post soin. Résumé : Les épicondylalgies de l’adulte sont responsables de 200 jours d’arrêt de travail, par épisode, dans les cas de maladies professionnelles en France et touchent globalement 3% de la population. Si leurs diagnostics différentiels requièrent un raisonnement clinique précis, le traitement nécessite l’entière participation du patient. Cette proactivité initiée et adaptée au fur et à mesure du traitement devra se transformer en autonomisation pour lutter contre une désadaptation plus globale sur l’ensemble du corps majorée bien souvent par la sédentarité. Le traitement kinésithérapique de ces épicondylalgies doit donc inclure cette autonomisation du patient en le guidant le temps du traitement afin qu’il puisse l’installer durablement dans son quotidien et ainsi prévenir les récidives d’épicondylalgies et des pathologies connexes du membre supérieur et du rachis cervico-dorsal. Après un rappel des incidences des troubles musculo-squelettiques, nous aborderons les différents facteurs de risques. Nous centrerons la formation sur les différentes épicondylalgies en élaborant ensemble le raisonnement clinique conduisant aux diagnostics différentiels. En effet chacun d’entre eux demande une prise en charge en rééducation et en proactivité différente selon les tissus concernés (tendon, nerf, capsulo-ligamentaire). En parallèle de la rééducation, nous construirons dans un premier temps avec le patient un programme adapté à ses besoins curatifs. Puis nous établirons en fonction de bilans plus globaux un programme d’exercices pour corriger et entretenir sa santé physique. L’autonomisation du patient est l’objectif principal de cette prise en charge. Elle permettra la guérison de l’épicondylalgie et la prévention des récidives ou l’apparition d’autres troubles musculo-squelettiques. Cette autonomisation dans une routine d’exercices et d’entretien sera aussi une aide précieuse pour le reconditionnement et le retour à une vie sociale et professionnelle.