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Aide-soignant, Infirmier
En présentiel
Le soignant et la prise en charge de la douleur aiguë de l’adulte
DPC
L’obligation de prise en charge de la douleur par les établissements de santé est inscrite dans la loi depuis 1995, son soulagement est un droit fondamental pour toute personne et la lutte contre celle-ci, une priorité de Santé Publique depuis 2004. Prévenir et prendre en charge la douleur est une obligation professionnelle pour tout soignant mais aussi une pratique impérative dans la démarche de certification des établissements de santé pour la qualité des soins . La douleur, définie comme « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes » est toujours personnelle, subjective et son expression peut prendre différentes formes . De plus, à partir du constat réalisé par le CLUD : - carence de protocoles d’antalgie ou d’analgésie sédation dans les services - insuffisance de prescription anticipée - absence de recours routinier du personnel paramédical aux protocoles thérapeutiques en cas de défaut de prescription médicale - les choix thérapeutiques en matière d’antalgie sont également hétérogènes dans, et entre les services, ce qui occasionne souvent une rupture de la continuité de prise en charge lors du parcours du patient dans l’établissement. - la traçabilité de l’intensité de la douleur fait appel à des documents différents pour certains services - Insuffisance de réévaluation - Des outils ou thérapies ne sont pas connus de certains secteurs d’activités, malgré la pertinence de ces pratiques pour ces unités (MEOPA, morphine, PCA…). Il est donc nécessaire que les soignants disposent de connaissances actualisées et d’outils d’évaluation adaptés, validés et partagés au sein des équipes dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de prise en charge de la douleur aiguë chez l’adulte. L’objectif est d’améliorer la reconnaissance et la prise en charge de la douleur aiguë chez l’adulte et utiliser les outils d’évaluation afin de : - Comprendre la douleur. - Connaître et pratiquer les outils d’évaluation - Connaître les recommandations de bonnes pratiques relatives à la prise en charge de la douleur. - Initier les stratégies soignantes de prise en charge - Connaitre et savoir utiliser les traitements médicamenteux et non médicamenteux - Garantir la rapidité de mise en place et la qualité de l’antalgie (douleur aiguë) aux urgences et/ou tout au long du parcours de soins. Harmoniser les pratiques algologiques en privilégiant la construction de protocoles pour la prise en charge de la douleur aiguë de l’adulte.
Aide-soignant, Infirmier
En présentiel
Prévention et prise en charge de la douleur aiguë induite par les soins
DPC
Ø L’obligation de prise en charge de la douleur par les établissements de santé est inscrite dans la loi depuis 1995, son soulagement est un droit fondamental pour toute personne et la lutte contre celle-ci, une priorité de Santé Publique depuis 2004. Ø Prévenir et prendre en charge la douleur est une obligation professionnelle pour tout soignant mais aussi une pratique impérative dans la démarche de certification des établissements de santé pour la qualité des soins. Ø La douleur induite : se dit d’une douleur, de courte durée, causée par le médecin ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles d’être prévenues par des mesures adaptées. Ø Les situations douloureuses peuvent être prévenues mais nécessitent l’implication de tous et une organisation pluridisciplinaire institutionnelle. Il est donc nécessaire que les soignants disposent de connaissances actualisées et d’outils d’évaluation adaptés, validés et partagés au sein des équipes dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de prise en charge de la douleur induite par les soins. Les objectifs de l'action de formation : améliorer la reconnaissance, l’évaluation et la prise en charge des douleurs aiguës induites par les soins : Ø Identifier les situations de soins, les mobilisations et les examens complémentaires qui peuvent provoquer des douleurs Ø Garantir la continuité et la qualité de l’antalgie tout au long de l’hospitalisation du patient et de son parcours de soins Ø Harmoniser les pratiques algologiques en privilégiant la construction de protocoles pour la prise en charge interdisciplinaire de la douleur induite par les soins Mettre en conformité les pratiques antalgiques de chaque service (traçabilité, protocoles) par des rencontres pluridisciplinaires inscrites dans une démarche qualité (cas cliniques avec mises en situation basées sur l’utilisation de scénarii (jeux de rôle)).
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Infirmier
En présentiel
Le soignant et la prise en charge de la douleur aiguë de l'enfant
DPC
L’obligation de prise en charge de la douleur par les établissements de santé est inscrite dans la loi depuis 1995, son soulagement est un droit fondamental pour toute personne et la lutte contre celle-ci, une priorité de Santé Publique depuis 2004 . Prévenir et prendre en charge la douleur est une obligation professionnelle pour tout soignant mais aussi une pratique impérative dans la démarche de certification des établissements de santé pour la qualité des soins . La douleur, définie comme « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes » est toujours personnelle, subjective et son expression peut prendre différentes formes . Un enfant perçoit, comprend et exprime la douleur différemment selon son âge et en ce sens, les 0-15 ans constituent un groupe très hétérogène. « Une douleur niée ou non prise en charge est mémorisée par l’enfant quel que soit son âge », aussi, repérer, prévenir, soulager la douleur aiguë de l’enfant représente un défi quotidien pour les équipes soignantes (8,9) . De plus, à partir du constat réalisé par le CLUD : - carence de protocoles d’antalgie ou d’analgésie sédation dans les services - insuffisance de prescription anticipée - absence de recours routinier du personnel paramédical aux protocoles thérapeutiques en cas de défaut de prescription médicale - les choix thérapeutiques en matière d’antalgie sont également hétérogènes dans, et entre les services, ce qui occasionne souvent une rupture de la continuité de prise en charge lors du parcours du patient dans l’établissement. - la traçabilité de l’intensité de la douleur fait appel à des documents différents pour certains services - Insuffisance de réévaluation - Des outils ou thérapies ne sont pas connus de certains secteurs d’activités, malgré la pertinence de ces pratiques pour ces unités (MEOPA, morphine, PCA…). Il est donc nécessaire que les soignants disposent de connaissances actualisées et d’outils d’évaluation adaptés, validés et partagés au sein des équipes dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de prise en charge de la douleur aiguë chez l’enfant. L’objectif est d’améliorer la reconnaissance et la prise en charge de la douleur aiguë chez l’enfant et utiliser les outils d’évaluation afin de : - - Comprendre la douleur de l’enfant - - Connaître et pratiquer les outils d’évaluation - - Connaître les recommandations de bonnes pratiques relatives à la prise en charge de la douleur chez l’enfant - - Initier les stratégies soignantes de prise en charge - - Connaitre et savoir utiliser les traitements médicamenteux et non médicamenteux - - Garantir la rapidité de mise en place et la qualité de l’antalgie (douleur aiguë) aux urgences et/ou tout au long du parcours de soins de l’enfant - Harmoniser les pratiques algologiques en privilégiant la construction de protocoles pour la prise en charge de la douleur aiguë chez l’enfant.
Médecin réanimateur, Médecin urgentiste, Infirmier
En présentiel
Simulation pluri professionnelle à la prise en charge des voies aériennes supérieures
DPC
Depuis plusieurs années, la Société Française d’Anesthésie-Réanimation (SFAR) ainsi que le Collège Français de Médecine d’Urgence (CFMU)) organisent des Recommandations pour la Pratique Clinique (RPC) dans le domaine de la prise en charge des voies aériennes supérieures. La nécessité de devoir intuber un patient pour assurer la prise en charge de ses voies aériennes est une situation fréquemment rencontrée au bloc opératoire, mais également en réanimation et dans le domaine de l’urgence. Il existe néanmoins des particularités propres à chaque spécialité selon les situations cliniques rencontrées. Ainsi, il est différent d’intuber un patient dans un cadre programmé pour une intervention au bloc opératoire que d’intuber un patient sur le bord de la route en pleine nuit, allongé sur le sol. Même si les situations rencontrées diffèrent, le risque de complication liées à ce geste est important. En France, les bris dentaires sont responsables de 40 % des plaintes dirigées contre les anesthésistes-réanimateurs. Leur incidence au cours d’une anesthésie générale est estimée entre 0,02 et 0,1 %. Des incidences allant jusqu’à 0,2 % ont été rapportées lors des intubations trachéales réalisées dans un contexte d’urgence. Ces situations sont gérées par différents professionnels de santé devant travailler en équipe et communiquer de façon claire pour une prise en charge efficace dans une situation critique. Nous savons également, grâce aux données issues des démarches d’accréditation médicale et les analyses des Evènements Indésirables Associés aux Soins (EIAS) menées par la Haute Autorité de Santé (HAS), que 27% des causes profondes des EIAS relèvent de facteurs humains et plus particulièrement de problématiques d’équipe. La communication entre professionnels est considérée comme la première cause de défaillance de l’équipe. On propose donc une approche innovante pour améliorer la qualité de la Prise en Charge des voies aériennes supérieures et renforcer la capacité à réagir aux situations imprévues comme l’intubation difficile : la simulation pluri professionnelle en groupe restreint. Le CHITS s’est équipé en 2020 d’un plateau technique de 100 m2 composé d’une salle de simulation équipée de mannequins de moyenne et haute technicité ainsi que de simulateurs procéduraux, dans un environnement recréant l’environnement de travail habituel. Une régie informatique et une salle de débriefing, équipées d’un système audio-vidéo de haute qualité permettent la retransmission en direct de la mise en situation simulée. La prise en charge des voies aériennes d’un patient est une situation fréquemment rencontrée en anesthésie/réanimation, aux urgences et en milieu pré hospitalier. Néanmoins, certaines difficultés plus ou moins prévisibles peuvent venir complexifier cette prise en charge, générant stress et erreurs pour l’ensemble du personnel soignant. Les objectifs de cette formation sont : 1. de former les équipes soignantes dans le cadre d’une démarche pluri professionnelle 2. de permettre une prise en charge adaptée du patient nécessitant une prise en charge des voies aériennes supérieures, en renforçant et en améliorant le travail en équipe et la communication 3. de repérer, identifier et prévenir les risques d’Evénements Indésirables dans le processus de Prise en Charge des voies aériennes supérieures 4. de connaitre et mettre en pratique les algorithmes de prise en charge de l’intubation difficile prévue et imprévue, de la ventilation impossible 5. de favoriser le développement des compétences non techniques d’une équipe pluri professionnelle
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 10 autres
En présentiel
Diminuer le risque infectieux : maîtriser les outils d'analyse des pratiques professionnelles
DPC
Les pratiques de prévention des infections doivent être améliorées, en effet les signalements des infections sont de plus en plus fréquents. Ceci est dû pour partie à l’amélioration de la culture du signalement dans l’établissement, mais aussi pour partie au défaut de maîtrise des risques infectieux dans les services de soins médicaux et chirurgicaux. La maîtrise du risque infectieux doit être renforcée et les compétences des professionnels doivent être développées. Par ailleurs, les professionnels sensibilisés sur ces questions souhaitent améliorer leurs connaissances sur la maîtrise du risque infectieux. Les objectifs du programme dans ce contexte sont de prévenir, repérer, identifier, analyser et traiter le risque infectieux : reconnaître les infections et promouvoir les mesures de prévention de ces infections : Actualiser les connaissances des professionnels de santé sur les outils et les méthodes adaptés à l’évaluation du risque infectieux et sur les outils d’évaluation a priori et a posteriori de la gestion des risques Réaliser un diagnostic des pratiques relatives à la prévention des infections Mettre en place des moyens de prévention Définir collégialement des axes d’amélioration visant à réduire le risque infectieux Élaborer et mettre en œuvre des actions d’amélioration avec des suivis d’indicateurs (audit clinique ciblé)
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Manipulateur ERM, + 35 autres
En présentiel
Concepts, enjeux et méthodes de gestion des risques associés aux soins
DPC
Depuis plusieurs années un système de signalement des événements indésirables est en place dans l’établissement. Les déclarations ont largement progressé, avec 10 fois plus de déclarations en 2017 qu’en 2006. Plusieurs référents ont été formés à l’analyse des causes systémiques au sein des pôles. Il convient à présent de déployer cette démarche dans tous les secteurs d’activité et spécifiquement les secteurs à risque, afin que la maîtrise des risques associés aux soins s’ancre de façon pérenne dans le quotidien des équipes et alimente le système institutionnel de management de la qualité et de la sécurité des soins via le Plan d’Actions Qualité Sécurité des Soins. Dans ce contexte, les objectifs du programme sont de: - Améliorer la connaissance des obligations réglementaires des établissements de santé sur la qualité et la sécurité des soins - Développer et pérenniser une culture de gestion des risques au sein des équipes à partir d’une réflexion collective sur la déclaration et la gestion des évènements indésirables associés aux soins, représentations positives et négatives de la déclaration - Promouvoir les outils d’analyse systémique de gestion des risques - Savoir repérer, identifier, hiérarchiser et traiter les risques a priori et les risques a posteriori en utilisant les différentes méthodes de gestion a priori et a posteriori - Connaître les différentes méthodes d’analyse des événements indésirables - S’engager dans une organisation apprenante afin de renforcer la capacité des équipes à réagir aux situations imprévues
Sage-Femme, Médecin réanimateur, Gynécologue, Infirmier
En présentiel
Simulation pluri professionnelle à la prise en charge anesthésique et obstétricale des urgences du per-partum
DPC
Depuis plusieurs années, le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) organise des Recommandations pour la Pratique Clinique (RPC) dans le domaine de la gynécologie et de l’obstétrique. Le per-partum est une période sensible car source potentielle de complications impactant le devenir maternel et fœtal, même si la morbi mortalité du per-partum n’a jamais été aussi faible en France. Les urgences du per-partum représentent donc un enjeu de santé publique. Le ratio de décès maternel est encore de 10.3 pour 100 000 naissances. L’incidence d’hospitalisation en service de réanimation pour morbidité maternelle sévère est de 3.6 pour 1000 accouchements. Ces situations sont gérées par différents professionnels de santé devant travailler en équipe et communiquer de façon claire pour une prise en charge efficace dans une situation critique. Or nous savons grâce aux données issues des démarches d’accréditation que 27% des causes profondes des Evènements Indésirables Associés aux Soins relèvent de facteurs humains et de problématiques d’équipe. La communication entre professionnels est considérée comme la première cause de défaillance de l’équipe. On propose donc une approche innovante pour améliorer la qualité de la Prise en Charge des urgences du per-partum et renforcer la capacité à réagir aux situations imprévues : la simulation pluri professionnelle en groupe restreint. Le CHITS s’est équipé en 2020 d’un plateau technique de 100 m2 composé d’une salle de simulation équipée de mannequins de moyenne et haute technicité ainsi que de simulateurs procéduraux, dans un environnement recréant l’environnement de travail habituel. Une régie informatique et une salle de débriefing, équipées d’un système audio-vidéo de haute qualité permettent la retransmission en direct de la mise en situation simulée. Les objectifs de cette formation sont : 1. de former les équipes soignantes dans le cadre d’une démarche pluri professionnelle 2. de permettre une prise en charge adaptée de la parturiente en situation de détresse, en renforçant et en améliorant le travail en équipe et la communication 3. de repérer, identifier et prévenir les risques d’Evénements Indésirables dans le processus de Prise en Charge des urgences du per partum 4. de connaitre et mettre en pratique les algorithmes de prise en charge de l’hémorragie de la délivrance, de l’arrêt cardiorespiratoire (ACR), de l’éclampsie, de la procidence du cordon, de la césarienne code rouge 5. de favoriser le développement des compétences non techniques d’une équipe pluri professionnelle
Sage-Femme, Infirmier
En présentiel
Conduite pratique de l'allaitement maternel : de la grossesse au sevrage
DPC
Les équipes intervenant dans les pôles et services de Gynécologie et Pédiatrie sont constituées par différentes catégories professionnelles avec un nombre important d’agents. L’augmentation de l’activité et des personnes accueillies (pathologies, prématurité, précarité, contexte social compliqué) demande une adaptation des pratiques afin de permettre un accompagnement harmonisé. Pour harmoniser les pratiques et assurer un accompagnement des problématiques de santé de la femme dès le début de grossesse, durant les séjours d’hospitalisation et au-delà du retour à domicile, ces différents acteurs doivent être formés au suivi de la grossesse et à l’accompagnement à la parentalité, notamment à l’allaitement maternel. L’objectif de la prise en charge des soins dans les différents services de maternité, néonatologie, pédiatrie et urgences pédiatriques est de favoriser l’allaitement maternel dans les six premiers mois de vie comme le préconise l’OMS et la HAS. La promotion de l’allaitement maternel est donc une des préoccupations des pôles Gynécologie et Pédiatrie.
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 44 autres
En présentiel
Ethique du soin, éthique clinique, bioéthique
DPC
En conformité avec la loi du 4 mars 2002 qui demande aux établissements de santé de mener “en leur sein une réflexion sur les questions éthiques posées par l'accueil et la prise en charge médicale”, il existe au C.H.I.T.S. une Commission d’éthique. La Commission d’éthique du C.H.I.T.S., la COMETIC, propose d’élargir le champ des professionnels sensibilisés à la réflexion éthique. - Sensibiliser les professionnels à la réflexion éthique - Connaître les principes éthiques de base qui règlent la conduite des soignants - Mettre en place une culture de la réflexion éthique avec prise en compte de la bientraitance - Contribuer à la prévention du risque d’épuisement professionnel en donnant un sens éthique à la démarche de soin.
Médecin réanimateur, Cardiologue, Dermatologue, + 23 autres
En présentiel
Prise en charge palliative, pour qui ? pourquoi ? comment ?
DPC
L’Unité de Soins Palliatifs a été créée au Centre Hospitalier de Toulon sur le site de la Seyne à l’occasion des réorganisations qui ont accompagnées le déménagement vers le site de Sainte Musse soit en 2012. Les pratiques des professionnels n’ont pas encore suffisamment évoluées pour permettre la prise en charge effective de tous les patients relevant de soins palliatifs pour deux raisons principales : • les professionnels de santé sont en difficulté pour identifier les patients relevant de soins palliatifs • les soins palliatifs sont souvent assimilés à des soins de fin de vie.