Logo App'Ines

329 formations DPC CNQSP disponibles

Recherches populaires

HypnosePathologies neuro-musculosquelettiquesDouleursSport

Affiner votre recherche

Financement

Organisme de formation

Format

-


Mixte

Dépression résistante : prévention et traitement

DPC

La prescription d’antidépresseur est une pratique quotidienne des psychiatres, tant chez les hospitaliers que les psychiatres, la connaissance de leur bon usage conformément aux recommandations et aux subtilités pharmacologiques qui les caractérisent est indispensable. Leur maniement adéquat est souvent la clé de la réussite de leur usage ; a contrario le risque de pseudo-résistance par mésusage est fréquent. Au-delà, la problématique de la dépression résistance est bien réelle et nécessite une connaissance des outils spécifiques qui peuvent être employés face à ces situations. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC, en présentiel, a pour objectif principal d’améliorer la connaissance des antidépresseurs pour éviter le passage en forme résistante et le cas échant pour savoir appréhender cette situation : approche pharmacopratique - de l’efficacité aux effets indésirables - comprendre, choisir, modifier, identifier, gérer, avec pour objectifs spécifiques plus particulièrement : - Comprendre l’effet des antidépresseurs - Connaitre les effets indésirables des antidépresseurs et les adaptations à réaliser pour éviter les situations de pseudo-résistance - Maîtriser la diversité d’indication des antidépresseurs et approfondir les connaissances sur la base des données de la littérature - Connaitre les recommandations nationales et internationales en situation de dépression résistante - Adopter un usage rationnel des antidépresseurs dès les prescriptions de premières lignes de prescription et en situation de pharmacorésistance

-


Mixte

Repérage et prise en charge des adultes présentant un TDAH non diagnostiqué dans l’enfance

DPC

Cette formation est à destination des psychiatres, quel que soit leur mode d’exercice. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement des connaissances des pratiques diagnostiques et des prises en charges thérapeutiques dans le contexte du TDAH chez les patients adultes. La problématique des difficultés diagnostiques sera particulièrement travaillée du fait des comorbidités fréquentes avec d’autres pathologies psychiatriques mais aussi avec les TSA puisqu’il existe des facteurs de vulnérabilité et des mécanismes communs entre TSA et TDAH et que 58 à 85 % des sujets atteints de TSA présentent des symptômes compatibles avec un TDAH. L'enseignement se base sur des exposés et autour de cas cliniques. Il permet également de comparer les pratiques constatées aux données de la littérature et des recommandations internationales, au travers des échanges pendant ces programmes. Objectifs spécifiques de l’action DPC : - Connaître la clinique du TDAH de l’adulte, ses spécificités, et la procédure diagnostique (outils, questionnaires…) - Savoir bien différentier un TSA et un TDAH - Identifier un TDAH dans le cadre de comorbidités (troubles de l'humeur, usage de substances, troubles de la personnalité, troubles du sommeil), ainsi que de comprendre comment le TDAH peut modifier la prise en charge du patient adulte - Connaître les principes des prises en charge médicamenteuses et psychothérapeutiques du patient adulte présentant un TDAH isolé et/ou avec comorbidité

-


Mixte

Dépistage précoce de la maladie d’Alzheimer parmi les patients souffrant de troubles psychiatriques et mise en place de la prise en charge

DPC

La démographie populationnelle allonge la durée de vie des patients, y compris des patients avec troubles psychiatriques. Les troubles psychiatriques sont des facteurs de risques indépendants de diagnostic de troubles cognitifs majeurs (TCM) dont les étiologies les plus fréquentes dans ce type de population sont la maladie d’Alzheimer et vasculaire bien que les mécanismes soient multiples. La dépression est un facteur de risque de maladie d’Alzheimer et de démence vasculaire ou bien dite “mixte”. Par ailleurs, de nombreuses maladies dégénératives deviennent symptomatiques par des symptômes psychiatriques d’apparition tardifs tels que la maladie à corps de Lewy, certains sous types de dégénérescence lobaire fronto-temporale mais aussi la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson. Il devient alors crucial pour les psychiatres de pouvoir repérer les détériorations cognitives faisant évoquer une maladie d’Alzheimer, des troubles vasculaires et de les différencier d’autres maladies dégénératives. Le chevauchement et l’atypie sémiologique de certaines présentations cliniques des intrications psychiatriques, neurologiques et gériatriques rendent parfois certains diagnostiques très difficiles, avec des enjeux d’adaptation de milieu de vie, d’éthique mais aussi de coordination des soins et des parcours, en lien avec les réseaux sanitaires gériatriques (Unité Cognitivo-Comportementale (UCC), Unité de soins longue durée (USLD), Unité Hébergement Renforcée (UHR)) et médico-social existants (ehpad, accueil de jour, dispositif d’appui et de coordination, plateforme de répit, équipes spécialisées Alzheimer (ESA), maison des aînés et des aidants (soutien aux aidants)). Les enjeux de iatrogénie des psychotropes sont aussi au cœur des réflexions avec les connaissances maintenant robustes, à l’échelle populationnelle, des sur-risques associés à des prescriptions inappropriées de psychotropes. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC L’objectif global de la formation est d’améliorer le repérage précoce de la maladie d’Alzheimer chez les patients souffrant de troubles psychiatriques : Connaître les symptômes cognitifs et comportementaux de la maladie d’Alzheimer et des atteintes microvasculaires et les principaux diagnostics différentiels (Dégénérescence lobaire fronto-temporale, maladie à corps de Lewy et maladie de Parkinson) Connaitre les grandes fonctions cognitives et les grands principes de leur screening ‘au lit du patient, ou au cabinet de ville, leurs évaluations standardisées mais aussi le retentissement sur l’autonomie au quotidien. Identifier les plaintes cognitives qui doivent faire évoquer une atteinte des fonctions cognitives relevant de la maladie d’Alzheimer. Savoir accompagner la prise en charge globale, coordonnée et individualisée Appliquer les références HAS d’évaluation et traitements des symptômes psychologiques et comportementaux des démences : appliquer les grands principes de soins non médicamenteux et médicamenteux. Connaître et expliquer les pistes de recherche de traitement médicamenteux dans la maladie d’Alzheimer. Suivre l’algorithme diagnostique en cas de situations diagnostiques complexes (intrication maladies psychiatriques et neurologiques, notamment les examens para-cliniques imagerie, marqueurs de plaques amyloïdes dans le LCR).

-


Mixte

Évaluation et prise en charge des personnes faisant l’objet de Soins Pénalement Ordonnés (SPO)

DPC

Les soins pénalement ordonnés (SPO) sont à la fois une catégorie de sanction pénale et une modalité particulière de soins psychiatriques. Il s’agit de mesures prononcées par la Justice, contre des auteurs d’infractions responsables de leurs actes, dans un objectif de protection de la société et de prévention de la récidive. Il existe trois formes de SPO distinctes : l’obligations de soins (OS), l’injonction de soins (IS) et l’injonction thérapeutique (IT). Ces soins sont fréquemment rencontrés par les psychiatres, car fréquemment prononcés par la Justice. Ils requièrent d’être bien connus des professionnels de santé, pour permettre une mise en œuvre rigoureuse, tant sur le plan judiciaire, que médical. Objectifs : L’objectif général de cette action DPC est d’acquérir les connaissances et compétences nécessaires pour être en mesure d’assurer le suivi de patients placés sous main de Justice, faisant l’objet de soins pénalement ordonnés. Avec pour objectifs spécifiques de : - Connaître le contexte légal de la mise en œuvre des soins pénalement ordonnés (SPO) - Connaître les différents types de SPO et leurs modalités de mises en œuvre. - Connaître les différents acteurs des SPO et leurs rôles. - Acquérir les connaissances et compétences nécessaires pour être en mesure d’assurer le suivi de patients placés sous main de Justice, faisant l’objet de soins pénalement ordonnés. - Maîtriser la notion de consentement dans le cadre des SPO - Connaître les conséquences du non-respect du cadre des SPO pour la personne condamnée - Connaître les missions du psychiatre traitant et du psychiatre médecin coordonnateur

-


Mixte

Thérapeutiques non médicamenteuses des cauchemars : indications et mises en œuvre

DPC

Cauchemars et comportements anormaux au cours du sommeil ont une prévalence élevée chez l’adulte (entre 2 et 8 % de cauchemars en population générale, entre 2 et 3 % de terreurs nocturnes, et autour de 4 % chez l’adulte de somnambulisme). Alors que chez l’enfant ces phénomènes sont très fréquents (prévalence des cauchemars occasionnels autour de 75%, du somnambulisme entre 15-40%, des terreurs nocturnes à 14%) et le plus souvent bénignes, les patients adultes n’en font pas toujours état spontanément car ces troubles du sommeil sont rarement le motif premier de leur demande de soin. Considérés comme symptômes de la pathologie psychiatrique, ils sont souvent banalisés et font rarement l’objet d’une exploration plus poussée. Les cliniciens peuvent avoir du mal à différencier les situations relevant d’une variante de la normale ou celles qui seront associées à une psychopathologie ; ou encore les situations qui demanderont des compléments d’examens ou des enregistrements du sommeil. Pourtant, on les retrouve souvent associés au suicide, au trouble du stress post-traumatique (TSPT), aux troubles de personnalités…. Le traitement des cauchemars en particulier est avant tout psychothérapique. La RIM (répétition d’imagerie mentale) est recommandée pour ses effets sur les cauchemars récurrents, dont ceux liés aux TSPT, mais aussi sur les psychopathologies qui leur sont associées (troubles du sommeil, de l’humeur, anxiété…). Il s’agit d’une méthode rapide et simple à appliquer en individuel ou en groupe de thérapie. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Devant c ette symptomatologie fréquemment associée aux troubles psychiatriques, dont la prise en charge ne bénéficie pas de consensus à l’heure actuelle, cette formation DPC a pour but de : - Comprendre les mécanismes sous-jacents - D’aider le professionnel de santé confronté à ce type de plainte d’avoir une démarche évaluative, - Proposer un guide de prise en charge. Avec pour objectifs spécifiques : la prise en compte, la conduite à tenir et la prise en charge des cauchemars et d’autres parasomnies en psychiatrie.

-


En présentiel

Groupe d'analyse des pratiques en matière de Prévention, repérage, diagnostic et prise en charge des troubles psychiatriques chez la personne âgée

DPC

En se basant sur la pratique de terrain et sur la littérature scientifique, les GAP permettent : • D’élaborer nos attitudes thérapeutiques en intégrant à notre savoir-faire les connaissances académiques. • De stimuler une réflexion sur les différents « cadres thérapeutiques in vivo » que nous offrons à nos patients. • De participer à la transmission du savoir-faire. • De discuter des « modes diagnostiques et thérapeutiques » • D’améliorer la prise en charge de nos patients par une réflexion collective

-


En présentiel

GAP: Prise en charge précoce des troubles anxiodépressifs

DPC

Objectifs poursuivis : Évaluer les pratiques actuelles en matière de diagnostic et de traitement des troubles anxiodépressifs. Identifier les écarts entre les pratiques courantes et les recommandations basées sur les preuves. Améliorer la coordination et la collaboration entre généralistes et psychiatres pour une prise en charge optimale des patients. Promouvoir des pratiques cliniques de haute qualité et réduire les variations de soins.

Médecin Généraliste, Psychiatre


Mixte

Repérage, accompagnement et prise en charge par intervention brève des jeunes 15-25 ans, buveurs excessifs d’alcool

DPC

La recrudescence des pratiques de consommation d’alcool fort en un temps record ou « binge drinking » chez les jeunes les conduisent souvent jusqu’à l’hôpital. Elles peuvent aussi être repérées par les proches comme des conduites « à risque » nécessitant l’avis d’un médecin. Les résultats des études sur le binge drinking objectiv ent des altérations cognitives mais aussi des déficits dans le traitement des stimulations émotionnelles, pouvant être impliqués, selon P Maurage, dans le développement ultérieur et le maintien des troubles liés à l’usage d’alcool (1). Selon les études, jusqu’à 92% des patients admis à l’hôpital avec une alcoolémie positive présente un mésusage d’alcool (2)(3). L’arrivée à l’hôpital, pour des conséquences directes ou indirectes d’une alcoolisation n’est donc que très rarement une arrivée fortuite (4). L’hôpital et/ou la consultation de médecine générale reste un lieu privilégié de repérage et de dépistage des troubles liés à l’usage d’alcool chez les jeunes. Passé ce repérage (5), les intervenants restent souvent démunis et la tentation d’une intervention culpabilisante ou « paternaliste », souvent contre-productive, est facile. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette action de formation DPC destinée aux professionnels hospitaliers ou libéraux en contact avec un public jeune a pour objectifs de : · Permettre un repérage précoce en population générale des buveurs excessifs chez les 15-25 ans · Former à l’utilisation en pratique du Repérage Précoce et à l’Intervention Brève (RPIB) · Redéfinir les objectifs de l’intervention brève · Rappeler les fondamentaux motivationnels et s’approprier la posture professionnelle adéquate à l’intervention brève · Présenter, à travers une modélisation, les principes d’intervention brève visant les jeunes consommateurs d’alcool

Psychiatre


Mixte

Les soins pénalement ordonnés : des soins sous contrainte ?

DPC

Les soins pénalement ordonnés (SPO) sont à la fois une catégorie de sanction pénale et une modalité particulière de soins psychiatriques. Il s’agit de mesures prononcées par la Justice, contre des auteurs d’infractions responsables de leurs actes, dans un objectif de protection de la société et de prévention de la récidive. Il existe trois formes de SPO distinctes : l’obligations de soins (OS), l’injonction de soins (IS) et l’injonction thérapeutique (IT). Ces soins sont fréquemment rencontrés par les psychiatres, car fréquemment prononcés par la Justice, mais ils requièrent d’être bien connus des professionnels de santé, pour permettre une mise en œuvre rigoureuse, tant sur le plan judiciaire, que médical et thérapeutique. Objectifs : L’objectif général de cette action DPC est d’acquérir les connaissances et compétences nécessaires pour être en mesure d’assurer le suivi de patients placés sous main de Justice, faisant l’objet de soins pénalement ordonnés. Avec pour objectifs spécifiques de : 1. Acquérir une compréhension approfondie des Soins Pénalement Ordonnés (SPO) - Définir le Soins Pénalement Ordonnés et leur contexte légale en France - Explorer les raisons pour lesquelles des SPO sont ordonnés - Examiner les preuves scientifiques concernant l’efficacité des SPO dans la réhabilitation des patients 2. Connaitre les différents types de SPO et leurs modalités de mise en œuvre - Présenter les principaux types de SPO, tels que l’hospitalisation d’office, la semi-liberté, le placement à domicile sous contrôle judiciaire - Discuter des critères d’admissibilité pour chaque type de SPO - Mettre en évidence les meilleures pratiques basées sur des études scientifiques pour la mise en œuvre de ces modalités 3. Comprendre les différents acteurs des SPO et leurs rôles - Identifier les professionnels de santé, les autorités judiciaires et les services sociaux impliqués dans le processus des SPO - Expliquer les responsabilités et les collaborations nécessaires entre ces acteurs - Présenter des études de cas illustrant la coordination réussie entre les différents intervenants

Psychiatre


Mixte

Conduite à tenir pour la prescription de psychotropes chez une femme enceinte ou en âge de procrééer

DPC

La prescription de psychotropes durant une grossesse est un sujet très actuel de santé publique. En France, près de 3% des femmes prennent des anti-dépresseurs durant une grossesse, par exemple (Bénard-Laribière et al., 2018). Améliorer les connaissances à propos de la prescription des psychotropes chez la femme en âge de procréer, la femme enceinte et en cas d’allaitement maternel est donc une nécessité. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC a pour objectif principal d’approfondir les connaissances de la prescription des psychotropes afin d’améliorer la prise en charge de la femme enceinte ou en âge de procréer, avec pour objectifs spécifiques de : · Améliorer les capacités à analyser le rapport bénéfice/risque, pour la femme enceinte et l’enfant à naitre, d’une prescription de psychotropes en période périnatale · Fournir les connaissances nécessaires au développement du travail en coordination avec les professionnels de la périnatalité partenaires dans le soin de la femme et du nouveau-né afin d’optimiser les parcours de soins complexes en psychiatrie périnatale. La prescription de psychotropes durant une grossesse est un sujet très actuel de santé publique. En France, près de 3% des femmes prennent des anti-dépresseurs durant une grossesse, par exemple (Bénard-Laribière et al., 2018). Améliorer les connaissances à propos de la prescription des psychotropes chez la femme en âge de procréer, la femme enceinte et en cas d’allaitement maternel est donc une nécessité. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC a pour objectif principal d’approfondir les connaissances de la prescription des psychotropes afin d’améliorer la prise en charge de la femme enceinte ou en âge de procréer, avec pour objectifs spécifiques de : · Améliorer les capacités à analyser le rapport bénéfice/risque, pour la femme enceinte et l’enfant à naitre, d’une prescription de psychotropes en période périnatale · Fournir les connaissances nécessaires au développement du travail en coordination avec les professionnels de la périnatalité partenaires dans le soin de la femme et du nouveau-né afin d’optimiser les parcours de soins complexes en psychiatrie périnatale. La prescription de psychotropes durant une grossesse est un sujet très actuel de santé publique. En France, près de 3% des femmes prennent des anti-dépresseurs durant une grossesse, par exemple (Bénard-Laribière et al., 2018). Améliorer les connaissances à propos de la prescription des psychotropes chez la femme en âge de procréer, la femme enceinte et en cas d’allaitement maternel est donc une nécessité. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC a pour objectif principal d’approfondir les connaissances de la prescription des psychotropes afin d’améliorer la prise en charge de la femme enceinte ou en âge de procréer, avec pour objectifs spécifiques de : · Améliorer les capacités à analyser le rapport bénéfice/risque, pour la femme enceinte et l’enfant à naitre, d’une prescription de psychotropes en période périnatale · Fournir les connaissances nécessaires au développement du travail en coordination avec les professionnels de la périnatalité partenaires dans le soin de la femme et du nouveau-né afin d’optimiser les parcours de soins complexes en psychiatrie périnatale.