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Médecin Généraliste, Psychiatre


Mixte

Repérage, accompagnement et prise en charge par intervention brève des jeunes 15-25 ans, buveurs excessifs d’alcool

DPC

La recrudescence des pratiques de consommation d’alcool fort en un temps record ou « binge drinking » chez les jeunes les conduisent souvent jusqu’à l’hôpital. Elles peuvent aussi être repérées par les proches comme des conduites « à risque » nécessitant l’avis d’un médecin. Les résultats des études sur le binge drinking objectiv ent des altérations cognitives mais aussi des déficits dans le traitement des stimulations émotionnelles, pouvant être impliqués, selon P Maurage, dans le développement ultérieur et le maintien des troubles liés à l’usage d’alcool (1). Selon les études, jusqu’à 92% des patients admis à l’hôpital avec une alcoolémie positive présente un mésusage d’alcool (2)(3). L’arrivée à l’hôpital, pour des conséquences directes ou indirectes d’une alcoolisation n’est donc que très rarement une arrivée fortuite (4). L’hôpital et/ou la consultation de médecine générale reste un lieu privilégié de repérage et de dépistage des troubles liés à l’usage d’alcool chez les jeunes. Passé ce repérage (5), les intervenants restent souvent démunis et la tentation d’une intervention culpabilisante ou « paternaliste », souvent contre-productive, est facile. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette action de formation DPC destinée aux professionnels hospitaliers ou libéraux en contact avec un public jeune a pour objectifs de : · Permettre un repérage précoce en population générale des buveurs excessifs chez les 15-25 ans · Former à l’utilisation en pratique du Repérage Précoce et à l’Intervention Brève (RPIB) · Redéfinir les objectifs de l’intervention brève · Rappeler les fondamentaux motivationnels et s’approprier la posture professionnelle adéquate à l’intervention brève · Présenter, à travers une modélisation, les principes d’intervention brève visant les jeunes consommateurs d’alcool

Psychiatre


Mixte

Les soins pénalement ordonnés : des soins sous contrainte ?

DPC

Les soins pénalement ordonnés (SPO) sont à la fois une catégorie de sanction pénale et une modalité particulière de soins psychiatriques. Il s’agit de mesures prononcées par la Justice, contre des auteurs d’infractions responsables de leurs actes, dans un objectif de protection de la société et de prévention de la récidive. Il existe trois formes de SPO distinctes : l’obligations de soins (OS), l’injonction de soins (IS) et l’injonction thérapeutique (IT). Ces soins sont fréquemment rencontrés par les psychiatres, car fréquemment prononcés par la Justice, mais ils requièrent d’être bien connus des professionnels de santé, pour permettre une mise en œuvre rigoureuse, tant sur le plan judiciaire, que médical et thérapeutique. Objectifs : L’objectif général de cette action DPC est d’acquérir les connaissances et compétences nécessaires pour être en mesure d’assurer le suivi de patients placés sous main de Justice, faisant l’objet de soins pénalement ordonnés. Avec pour objectifs spécifiques de : 1. Acquérir une compréhension approfondie des Soins Pénalement Ordonnés (SPO) - Définir le Soins Pénalement Ordonnés et leur contexte légale en France - Explorer les raisons pour lesquelles des SPO sont ordonnés - Examiner les preuves scientifiques concernant l’efficacité des SPO dans la réhabilitation des patients 2. Connaitre les différents types de SPO et leurs modalités de mise en œuvre - Présenter les principaux types de SPO, tels que l’hospitalisation d’office, la semi-liberté, le placement à domicile sous contrôle judiciaire - Discuter des critères d’admissibilité pour chaque type de SPO - Mettre en évidence les meilleures pratiques basées sur des études scientifiques pour la mise en œuvre de ces modalités 3. Comprendre les différents acteurs des SPO et leurs rôles - Identifier les professionnels de santé, les autorités judiciaires et les services sociaux impliqués dans le processus des SPO - Expliquer les responsabilités et les collaborations nécessaires entre ces acteurs - Présenter des études de cas illustrant la coordination réussie entre les différents intervenants

Psychiatre


Mixte

Conduite à tenir pour la prescription de psychotropes chez une femme enceinte ou en âge de procrééer

DPC

La prescription de psychotropes durant une grossesse est un sujet très actuel de santé publique. En France, près de 3% des femmes prennent des anti-dépresseurs durant une grossesse, par exemple (Bénard-Laribière et al., 2018). Améliorer les connaissances à propos de la prescription des psychotropes chez la femme en âge de procréer, la femme enceinte et en cas d’allaitement maternel est donc une nécessité. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC a pour objectif principal d’approfondir les connaissances de la prescription des psychotropes afin d’améliorer la prise en charge de la femme enceinte ou en âge de procréer, avec pour objectifs spécifiques de : · Améliorer les capacités à analyser le rapport bénéfice/risque, pour la femme enceinte et l’enfant à naitre, d’une prescription de psychotropes en période périnatale · Fournir les connaissances nécessaires au développement du travail en coordination avec les professionnels de la périnatalité partenaires dans le soin de la femme et du nouveau-né afin d’optimiser les parcours de soins complexes en psychiatrie périnatale. La prescription de psychotropes durant une grossesse est un sujet très actuel de santé publique. En France, près de 3% des femmes prennent des anti-dépresseurs durant une grossesse, par exemple (Bénard-Laribière et al., 2018). Améliorer les connaissances à propos de la prescription des psychotropes chez la femme en âge de procréer, la femme enceinte et en cas d’allaitement maternel est donc une nécessité. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC a pour objectif principal d’approfondir les connaissances de la prescription des psychotropes afin d’améliorer la prise en charge de la femme enceinte ou en âge de procréer, avec pour objectifs spécifiques de : · Améliorer les capacités à analyser le rapport bénéfice/risque, pour la femme enceinte et l’enfant à naitre, d’une prescription de psychotropes en période périnatale · Fournir les connaissances nécessaires au développement du travail en coordination avec les professionnels de la périnatalité partenaires dans le soin de la femme et du nouveau-né afin d’optimiser les parcours de soins complexes en psychiatrie périnatale. La prescription de psychotropes durant une grossesse est un sujet très actuel de santé publique. En France, près de 3% des femmes prennent des anti-dépresseurs durant une grossesse, par exemple (Bénard-Laribière et al., 2018). Améliorer les connaissances à propos de la prescription des psychotropes chez la femme en âge de procréer, la femme enceinte et en cas d’allaitement maternel est donc une nécessité. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC a pour objectif principal d’approfondir les connaissances de la prescription des psychotropes afin d’améliorer la prise en charge de la femme enceinte ou en âge de procréer, avec pour objectifs spécifiques de : · Améliorer les capacités à analyser le rapport bénéfice/risque, pour la femme enceinte et l’enfant à naitre, d’une prescription de psychotropes en période périnatale · Fournir les connaissances nécessaires au développement du travail en coordination avec les professionnels de la périnatalité partenaires dans le soin de la femme et du nouveau-né afin d’optimiser les parcours de soins complexes en psychiatrie périnatale.

Psychiatre


Mixte

TDAH de l’adulte : clinique et prise en charge

DPC

Le TDAH de l'adulte est un trouble qui est encore peu reconnu en France. Les études épidémiologiques suggèrent pourtant qu'il concerne 3% des adultes, et qu'il est associé à une grande prévalence d'autres troubles psychiatriques, avec des conséquences sociales, familiales et professionnelles importantes. Les psychiatres d'adultes connaissent mal ce diagnostic (parfois difficile à poser du fait des comorbidités), et les moyens thérapeutiques à appliquer. Souvent les soins se focalisent sur les comorbidités, avec un risque de mauvaise réponse thérapeutique, ou de diagnostic inadéquat de trouble de la personnalité́, entrai n ant potentiellement une stigmatisation et des difficultés d'accès aux soins. L'enjeu de cette formation est d'aborder de manière interactive les aspects diagnostiques et thérapeutiques du TDAH de l'adulte, afin de favoriser sa prise en compte par les psychiatres. Cette formation s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement des connaissances des pratiques diagnostiques et des prises en charges thérapeutiques dans le contexte du TDAH chez les patients adultes, soit pour le relai entre l'adolescence et l'âge adulte, ou lors d'un diagnostic initial chez l'adulte. L'enseignement se base sur des exposés et autour de cas cliniques. Il permet également de comparer les pratiques constatées aux données de la littérature et des recommandations internationales, au travers des échanges pendant ces programmes. Objectifs spécifiques de l’action DPC : - Connaître la clinique du TDAH de l’adulte, ses spécificités, et la procédure diagnostique (outils, questionnaires…) - Identifier un TDAH dans le cadre de comorbidités (troubles de l'humeur, usage de substances, troubles de la personnalité, troubles du sommeil), ainsi que de comprendre comment le TDAH peut modifier la prise en charge - Connaître les principes des prises en charge médicamenteuses et psychothérapeutiques

Psychiatre


En présentiel

Le sevrage tabaco-cannabique en psychiatrie

DPC

Le tabac et à un moindre degré le cannabis, sont les addictions les plus fréquentes des patients atteints de schizophrénie. Le tabagisme des patients schizophrènes est plus fréquent qu’en population générale, de l’ordre de 60 à 90 %, de même que l’usage du cannabis allant de 20 à 40 %, selon les études et les pays. Contrairement aux idées reçues, la majorité des patients souhaitent réduire ou arrêter. Mais du fait d’avoir une consommation également plus sévère et du fait de leur pathologie, ils essayent moins souvent d’arrêter et réussissent plus difficilement. Ils ont besoin d’un accompagnement plus soutenu, et d’être protégé dans des situations à risque comme une hospitalisation en psychiatrie. La moitié des patients de psychiatrie décèdent d’une pathologie liée au tabagisme. De nombreuses rechutes sont attribuables à l’usage du cannabis. Les patients fumeurs requièrent des dosages plus élevés pour certains antipsychotiques, augmentant les risques d’effets secondaires. La défume est donc un enjeu majeur pour les patients schizophrènes. Cette formation traite des particularités du sevrage tabaco-cannabique chez les patients psychotiques, des médicaments validés, des techniques fonctionnelles de psychothérapie et de l’importance du suivi des patients. Elle aborde aussi l’utilisation de la cigarette électronique dans le sevrage tabaco-cannabique. Objectifs : Modifier les idées reçues des praticiens concernant le tabagisme et l’usage du cannabis qui peuvent freiner la prévention et la prise en charge. Savoir évaluer les usages et les conduites addictives des patients schizophrènes. Connaître les principes d’une prise en charge globale. Pouvoir interroger les règlements et pratiques des services et établissements concernant le tabac et le cannabis

Psychiatre


Mixte

Antidépresseurs et dépression résistante : quels enjeux ?

DPC

La prescription d’antidépresseur est une pratique quotidienne des psychiatres, tant chez les hospitaliers que les psychiatres, la connaissance de leur bon usage conformément aux recommandations et aux subtilités pharmacologiques qui les caractérisent est indispensable. Leur maniement adéquat est souvent la clé de la réussite de leur usage ; a contrario le risque de pseudo-résistance par mésusage est fréquent. Au-delà, la problématique de la dépression résistance est bien réel et nécessite une connaissance des outils spécifiques qui peuvent être employés face à ces situations. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC, en présentiel, a pour objectif principal d’améliorer la connaissance des antidépresseurs pour éviter le passage en forme résistante et le cas échant pour savoir appréhender cette situation : approche pharmacopratique - de l’efficacité aux effets indésirables - comprendre, choisir, modifier, identifier, gérer et plus particulièrement : - Comprendre l’effet des antidépresseurs - Connaitre les effets indésirables des antidépresseurs et les adaptations à réaliser pour éviter les situations de pseudo-résistance - Maîtriser la diversité d’indication des antidépresseurs et approfondir les connaissances sur la base des données de la littérature - Connaitre les recommandations nationales et internationales en situation de dépression résistante - Adopter un usage rationnel des antidépresseurs dès les prescriptions de premières lignes de prescription et en situation de pharmacorésistance

Psychiatre


Mixte

Les idées suicidaires chez l’enfant et l’adolescent

DPC

Le suicide reste la 2e cause de décès chez les jeunes français après les AVP. Les tentatives de suicide sont le premier facteur de risque de décès par suicide. La crise Covid a augmenté les troubles anxieux et dépressifs, source importante de crises suicidaires. Mieux repérer les crises suicidaires pour proposer une meilleure prise en charge permet de diminuer le nombre de tentatives de suicides. Apprendre à repérer, orienter voire désamorcer les jeunes en cirse suicidaire est donc indispensable pour diminuer le nombre de décès chez les jeunes. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC a pour objectif principal d’améliorer la prise en charge des jeunes en crise suicidaire, et plus particulièrement de: Repérer les jeunes en crise suicidaire : accueillir le jeune en crise, savoir observer les éléments comportementaux et entendre les propos suicidaires, fournir des outils pratiques et des techniques d’entretien Orienter convenablement : après l’évaluation savoir déterminer l’urgence, la dangerosité et les facteurs de risque de passage à l’acte suicidaire, orienter de façon adaptée Désamorcer le passage à l’acte : proposer les attitudes et orientations adaptées selon l’urgence et la problématique rencontrée Le suicide reste la 2e cause de décès chez les jeunes français après les AVP. Les tentatives de suicide sont le premier facteur de risque de décès par suicide. La crise Covid a augmenté les troubles anxieux et dépressifs, source importante de crises suicidaires. Mieux repérer les crises suicidaires pour proposer une meilleure prise en charge permet de diminuer le nombre de tentatives de suicides. Apprendre à repérer, orienter voire désamorcer les jeunes en cirse suicidaire est donc indispensable pour diminuer le nombre de décès chez les jeunes. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC a pour objectif principal d’améliorer la prise en charge des jeunes en crise suicidaire, et plus particulièrement de: Repérer les jeunes en crise suicidaire : accueillir le jeune en crise, savoir observer les éléments comportementaux et entendre les propos suicidaires, fournir des outils pratiques et des techniques d’entretien Orienter convenablement : après l’évaluation savoir déterminer l’urgence, la dangerosité et les facteurs de risque de passage à l’acte suicidaire, orienter de façon adaptée Désamorcer le passage à l’acte : proposer les attitudes et orientations adaptées selon l’urgence et la problématique rencontrée

Psychiatre


Mixte

Prescriptions médicamenteuses en addictologie

DPC

Les prescriptions médicamenteuses dans le champ des addictions sont souvent complexes en raison de plusieurs paramètres : · des patients, souvent complexes, présentant, outre leur(s) conduite(s) addictive(s), des comorbidités fréquentes : somatiques, psychiatriques et sociales. Se pose aussi, de plus en plus, la question du traitement de l’addiction aux antalgiques opioïdes ou encore des problèmes difficiles posés par les patients douloureux sous TSO. · de l’objectif thérapeutique : sevrage d’un ou plusieurs produits, prévention de la rechute, ou réduction des risques et des dommages : réduction de consommation, substitution, prise en charge de comorbidités, risque de transfert de dépendance... · du ou des produits concernés, en sachant que la polyaddiction est le cas le plus fréquent, notamment chez les patients les plus sévèrement atteints, qui sont ceux qui bénéficient le plus des traitements médicamenteux et que cette polyaddiction est source de complexité́. On dispose pour ces traitements d’une palette de médicaments, différents selon les produits : - Alcool : acamprosate, naltrexone, nalméfène, baclofène, disulfirame - Tabac : substitution nicotinique, varénicline, bupropion - Héroïn e : buprénorphine HD, méthadone... Leurs rapports bénéfices/risques sont variables. Leur prescription est encore souvent imparfaite en termes d’indication, de posologie, de durée, de personnalisation... limitant les résultats avec des risques de survenue d’effets indésirables. Il existe de nombreux référentiels nationaux et internationaux concernant l’utilisation de ces médicaments. Cependant, chaque patient est particulier et une adaptation est indispensable. L’optimisation de l’utilisation de ces médicaments est un enjeu crucial. OBJECTIFS DE LA DEMARCHE DPC L’objectif principal de cette formation DPC est de mettre à jour ses connaissances permettant au participant à la fin de la formation de : - Connaître les mécanismes d’action des médicaments disponibles - Connaître les principes sous-tendant leur utilisation : notion de craving... - Connaître leurs indications, posologies, durée de traitement - Connaître les référentiels de prescription - Savoir adapter en pratique ces médicaments aux principales situations cliniques rencontrées - Connaître les moyens pour améliorer l’observance - Connaître leur rapport bénéfices/risques : efficacité́ attendue et effets indésirables

Psychiatre


Mixte

La prise en charge des mauvais rêves n’est plus ou pas un cauchemar

DPC

Cauchemars et comportements anormaux au cours du sommeil ont une prévalence élevée chez l’adulte (entre 2 et 8 % de cauchemars en population générale, entre 2 et 3 % de terreurs nocturnes, et autour de 4 % chez l’adulte de somnambulisme). Alors que chez l’enfant ces phénomènes sont très fréquents (prévalence des cauchemars occasionnels autour de 75%, du somnambulisme entre 15-40%, des terreurs nocturnes à 14%) et le plus souvent bénignes, les patients adultes n’en font pas toujours état spontanément car ces troubles du sommeil sont rarement le motif premier de leur demande de soin. Considérés comme symptômes de la pathologie psychiatrique, ils sont souvent banalisés et font rarement l’objet d’une exploration plus poussée. Les cliniciens peuvent avoir du mal à différencier les situations relevant d’une variante de la normale ou celles qui seront associées à une psychopathologie ; ou encore les situations qui demanderont des compléments d’examens ou des enregistrements du sommeil. Pourtant, on les retrouve souvent associés au suicide, au trouble du stress post-traumatique (TSPT), aux troubles de personnalités…. Le traitement des cauchemars en particulier est avant tout psychothérapique. La RIM (répétition d’imagerie mentale) est recommandée pour ses effets sur les cauchemars récurrents, dont ceux liés aux TSPT, mais aussi sur les psychopathologies qui leur sont associées (troubles du sommeil, de l’humeur, anxiété…). Il s’agit d’une méthode rapide et simple à appliquer en individuel ou en groupe de thérapie. OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Devant cette symptomatologie fréquemment associée aux troubles psychiatriques, dont la prise en charge ne bénéficie pas de consensus à l’heure actuelle, cette formation DPC a pour but de : - Comprendre les mécanismes sous-jacents - D’aider le professionnel de santé confronté à ce type de plainte d’avoir une démarche évaluative, - Proposer un guide de prise en charge. Avec pour objectifs spécifiques : la prise en compte, la conduite à tenir et la prise en charge des cauchemars et d’autres parasomnies en psychiatrie.

Psychiatre


Mixte

Les addictions aux jeux vidéo et usages problématiques des écrans : mieux repérer et prendre en charge

DPC

Depuis 2018, l’OMS reconnait l’existence du trouble du jeu vidéo : « comportement lié à la pratique des jeux vidéo ou des jeux numériques, qui se caractérise par une perte de contrôle sur le jeu, une priorité accrue accordée au jeu, au point que celui-ci prenne le pas sur d’autres centres d’intérêt et activités quotidiennes, et par la poursuite ou la pratique croissante du jeu en dépit de répercussions dommageables. Le comportement doit être d’une sévérité suffisante pour entrai n er une altération non négligeable des activités personnelles, familiales, sociales, éducatives, professionnelles ou d’autres domaines importants du fonctionnement, et en principe, se manifester clairement sur une période d’au moins 12 mois. » OBJECTIFS DE l’ACTION DPC Cette formation DPC, en présentiel, a pour objectif principal d’améliorer le repérage et la prise en charge des addictions aux jeux vidéo et à l’usage des écrans et plus particulièrement : - Savoir définir le trouble du jeu vidéo et les usages problématiques des écrans, - Connaître les caractéristiques des jeux et des écrans qui augmentent le risque d’addiction et d’usage problématique, - Savoir repérer et évaluer le trouble du jeu vidéo et les usages problématiques des écrans à l’aide d’échelles et d’outils validés, - Savoir dépister les troubles comorbides les plus fréquents pour adapter les prescriptions, - Savoir repérer et prendre en charge les conséquences sur la santé, - Connaître les bonnes pratiques (recommandations HAS) liées aux écrans, - Savoir orienter vers des professionnels de santé spécialisés dans ce type d’addiction (psychologues, etc.) pour améliorer le parcours des usagers en difficulté avec leur comportement lié aux écrans.