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Masseur-Kinésithérapeute
Mixte
Les dérangements de l’articulation temporo-mandibulaire : de la prise en charge kinésithérapique à l’autonomisation du patient adulte
DPC
Résumé: Autrefois appelés syndrome de Costen puis SADAM et DAM, les désordres temporo-mandibulaires (DTM) sont des pathologies largement répandues et d’expression clinique variée. Souvent mal diagnostiqués et négligés malgré les plaintes récurrentes des patients, les dérangements temporo-mandibulaires conduisent à un nomadisme médical éprouvant. Ces pathologies ont un impact dans la vie du patient. Placer le patient comme acteur de sa rééducation permet de maximiser les chances de la réussite du traitement. Notre formation s’adresse aux kinésithérapeutes qui souhaitent acquérir les notions élémentaires nécessaires à la prise en charge des patients adultes qui souffrent de dysfonctionnements des ATM, que la symptomatologie soit musculaire ou articulaire. Un des aspects essentiels de cette prise en charge est la réalisation d’un bilan-diagnostic complet prenant compte la globalité des facteurs étiologiques. Le raisonnement clinique qui en découle s’appuie sur les nouveaux protocoles thérapeutiques qui permettent de stabiliser les résultats en impliquant et responsabilisant le patient. Objectifs : Permettre à l’apprenant de prendre en charge et d’accompagner un patient adulte présentant un dérangement temporo-mandibulaire dans ses différentes expressions cliniques. Actualiser les connaissances anatomiques et physiologiques de l’appareil manducateur Connaître la pathologie : tableau clinique, facteurs étiologiques, Etre capable de réaliser un bilan spécifique permettant d’établir diagnostic différentiel et raisonnement clinique Construire un plan de traitement adapté : soulagement des symptômes douloureux, récupération des mobilités, éducation fonctionnelle Appréhender le rôle du kinésithérapeute dans la prise en charge de ces patients à court et long terme : Informer, encadrer, autonomiser, accompagner, orienter Autonomiser le patient : notion d’entretien motivationnel, de progression, de suivi et d’exercice de rééducation.
Médecin Généraliste
Mixte
Prescription de l’activité physique et sportive - deuxième partie
DPC
L’INSERM a publié en 2008 une large expertise collective, intitulée « activité physique, contextes et effets sur la santé », confirmant que les APS (Lire partout : Activités Physiques et Sportives) bien conduites sont favorables à la santé. En 2019, l’INSERM publie une nouvelle expertise intitulée « activité physique, prévention et traitement des maladies chroniques » concernant diverses pathologies chroniques, cardio-vasculaires, respiratoires, métaboliques, ostéo-articulaires, cancéreuses, psychiatriques, et démontre que l’APS peut avoir un rôle thérapeutique pour des maladies avérées dont le pronostic est fréquemment sévère. En complément des travaux scientifiques, le législateur rédige l’article 144 de la loi du 26.1.2016 permettant aux médecins traitants, dans le cadre des protocoles de soins, de prescrire une activité physique adaptée (APA) aux malades atteints d’affections de longue durée. Cet article de loi est modifié par l’article 2 de la loi du 2 mars 2022 visant à démocratiser le sport en France qui précise que « dans le cadre du parcours de soins des personnes atteintes d'une affection de longue durée ou d' une maladie chronique ou présentant des facteurs de risques et des personnes en perte d'autonomie, le médecin intervenant dans la prise en charge peut prescrire une activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient. » (Article L1172-1 du Code de la Santé Publique). Cependant il s’avère qu’actuellement peu de médecins traitants prescrivent une APS à leurs patients. Ils ne connaissent pas les bienfaits des APS dans le cadre des maladies chroniques et plus généralement dans celui des personnes fragiles et de l’ensemble de la population, ce qui en limite les modalités de prescriptions. Les médecins ont pourtant plusieurs outils pour les aider à prescrire des activités physiques. Outre les 2 expertises de l’INSERM, ils ont divers ouvrages pratiques, des référentiels produits et encore en cours par la HAS ainsi que les Recommandations de l’OMS mises à jour en 2020. Le Comité Médicosport santé du CNOSF (Comité National Olympique et Sportif Français), regroupant des experts d’une société savante, la Société Française de Médecine de l’Exercice et du Sport (SFMES), des experts universitaires et ceux de la Commission médicale du CNOSF, a élaboré un ouvrage, le « Médicosport-santé » (MSS) qui a la spécificité de rassembler les programmes sport-santé adaptés par de nombreuses Fédérations sportives à la prévention primaire, secondaire et tertiaire de maladies chroniques. Une deuxième spécificité est que la totalité du MSS est accessible en version numérique, d’accès libre. Cet ouvrage informatisé est à double entrée : partir d’une pathologie pour ouvrir sur diverses disciplines sportives possibles, ou partir d’un sport pour en connaitre les bienfaits pour la santé, les indications, contre-indications médicales et les adaptations pour les maladies chroniques et pour plusieurs états de santé (enfants, personnes avancées en âge, grossesse et post-partum). Malgré ces outils, les prescriptions médicales se développent difficilement. D’où l’objectif de proposer aux médecins un enseignement pratique en ligne, en adéquation avec leurs contraintes professionnelles, ce qui leur permet de répondre à leur obligation triennale de développement professionnel continu (DPC). Cette formation répond au thème prioritaire numéro 1 « Promotion des comportements favorables à la santé, incluant l’alimentation saine et l’activité physique régulière. ») Par ailleurs la stratégie nationale Sport Santé 2019-2022 (Ministère des sports et Ministère des solidarités et de la santé) a pour objectif « d’améliorer l’état de santé de la population en favorisant l’activité physique et sportive de chacun, au quotidien, avec ou sans pathologie, à tous les moments de la vie ». Objectif pédagogique global : • Identifier et savoir utiliser les aides à la prescription d’activités physiques et sportives en vue d’accompagner les patients dans leur parcours de soins. - Objectifs pédagogiques spécifiques : • S’inscrire dans une démarche d’EPP afin d’acquérir et/ou d’améliorer des compétences et mesurer la transformation de ses pratiques en évaluant, en début et en fin de formation, son raisonnement et sa démarche clinique dans un contexte similaire aux conditions d’exercice. • Prescrire des disciplines sportives en s’appuyant sur le MSS en prévention primaire, secondaire et tertiaire • Identifier et s’approprier les arguments pour soutenir le choix spécifique de disciplines sportives avec l’aide du MSS • Connaitre et savoir mettre en œuvre la prescription d’APS face aux patients souffrants de : De diabète de type 2 D’insuffisance respiratoire chronique, dont la broncho pneumopathie chronique obstructive De maladies cancéreuses De rhumatismes inflammatoires De fibromyalgies De troubles psychiques De maladies neurodégénératives (SEP, Parkinson) o Ainsi que pour Les personnes avancées en âge Les enfants et les adolescents
Médecin Généraliste
Mixte
Prescription de l’activité physique et sportive - Première partie
DPC
L’INSERM a publié en 2008 une large expertise collective, intitulée « activité physique, contextes et effets sur la santé », confirmant que les APS (Lire partout : Activités Physiques et Sportives) bien conduites sont favorables à la santé. En 2019, l’INSERM publie une nouvelle expertise intitulée « activité physique, prévention et traitement des maladies chroniques » concernant diverses pathologies chroniques, cardio-vasculaires, respiratoires, métaboliques, ostéoarticulaires, cancéreuses, psychiatriques, et démontre que l’APS peut avoir un rôle thérapeutique pour des maladies avérées dont le pronostic est fréquemment sévère. En complément des travaux scientifiques, le législateur rédige l’article 144 de la loi du 26.1.2016 permettant aux médecins traitants, dans le cadre des protocoles de soins, de prescrire une activité physique adaptée (APA) aux malades atteints d’affections de longue durée. Cet article de loi est modifié par l’article 2 de la loi du 2 mars 2022 visant à démocratiser le sport en France qui précise que « dans le cadre du parcours de soins des personnes atteintes d'une affection de longue durée ou d' une maladie chronique ou présentant des facteurs de risques et des personnes en perte d' autonomie, le médecin intervenant dans la prise en charge peut prescrire une activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient. » (Article L1172-1 du Code de la Santé Publique). Cependant il s’avère qu’actuellement peu de médecins traitants prescrivent une APS à leurs patients. Ils ne connaissent pas les bienfaits des APS dans le cadre des maladies chroniques et plus généralement dans celui des personnes fragiles et de l’ensemble de la population, ce qui limite les modalités de prescriptions. Les médecins ont pourtant plusieurs outils pour les aider à prescrire des activités physiques. Outre les 2 expertises de l’INSERM, ils ont divers ouvrages pratiques, des référentiels produits par la HAS et encore en cours ainsi que les Recommandations de l’OMS mises à jour en 2020. Le Comité Médicosport santé du CNOSF (Comité National Olympique et Sportif Français), regroupant des experts d’une société savante, la Société Française de Médecine de l’Exercice et du Sport (SFMES), des experts universitaires et ceux de la Commission médicale du CNOSF, a élaboré un ouvrage, le « Médicosport-santé » (MSS) qui a la spécificité de rassembler les programmes sport-santé adaptés par de nombreuses Fédérations sportives à la prévention primaire, secondaire et tertiaire de maladies chroniques. Une deuxième spécificité est que la totalité du MSS est accessible en version numérique, d’accès libre. Cet ouvrage informatisé est à double entrée : partir d’une pathologie pour ouvrir sur diverses disciplines sportives possibles, ou partir d’un sport pour en connaitre les bienfaits pour la santé, les indications, contre-indications médicales et les adaptations pour les maladies chroniques et plusieurs états de santé (enfants, personnes avancées en âge, grossesse et post-partum). Malgré ces outils, les prescriptions médicales se développent difficilement. D’où l’objectif de proposer aux médecins un enseignement pratique en ligne, en adéquation avec leurs contraintes professionnelles, ce qui leur permet de répondre à leur obligation triennale de développement professionnel continu (DPC). Cette formation répond au thème prioritaire numéro 1 « Promotion des comportements favorables à la santé, incluant l’alimentation saine et l’activité physique régulière. ») Objectif pédagogique global : • Identifier et savoir utiliser les aides à la prescription d’activités physiques et sportives en vue d’accompagner les patients dans leur parcours de soins. - Objectifs pédagogiques spécifiques : • S’inscrire dans une démarche d’EPP afin d’acquérir et/ou d’améliorer des compétences et mesurer la transformation de ses pratiques en évaluant, en début et en fin de formation, son raisonnement et sa démarche clinique dans un contexte similaire aux conditions d’exercice. • S’approprier les outils d’aide à la prescription d’APS notamment le MSS • Savoir se situer dans le cadre réglementaire relatif à la prescription d’APS • Identifier les différentes modalités d’APS et de typologie des sports. • Prescrire des disciplines sportives en s’appuyant sur le MSS en prévention primaire, secondaire et tertiaire • Identifier et s’approprier les arguments pour soutenir le choix spécifique de disciplines sportives avec l’aide du MSS • Connaitre et savoir mettre en œuvre la prescription d’APS face aux patients souffrants : D’obésité et surpoids De coronaropathie et/ou hypertension artérielle D’insuffisance cardiaque D’Asthme sévère D’Arthrose et/ou de lombalgie chronique D’AVC avec séquelles o Ainsi que pour Les Femmes enceinte et en post-partum
Infirmier
Mixte
Prise en charge et surveillance des patients atteints de pathologies cardiaques
DPC
Selon le ministère de la Santé, les maladies cardiovasculaires sont la 1re cause de mortalité dans le monde, la 2e en France après le cancer, ce qui représente 140000 morts par an. La Fédération française de cardiologie dénombre quant à elle 2,2 millions de patients en affection de longue durée, 20 millions de personnes à risque cardiovasculaire. Les pathologies cardiovasculaires, par leurs diversités (valvulopathies, insuffisances cardiaques, troubles du rythme, coronaropathies, embolies pulmonaires, hypertension artérielle, AOMI…), le caractère urgent en cas de décompensation, le rôle déterminant des soignants dans la mise en œuvre et la surveillance de leurs traitements (en particulier les anticoagulants), nécessitent de la part des infirmier(e)s, des connaissances et des compétences précisent. Quel que soit son mode d'exercice, libéral, hospitalier, scolaire, du travail, la profession infirmière est en première ligne pour dépister, alerter, accompagner, prévenir et éduquer aux maladies cardiovasculaires et à leurs conséquences pour les patients qui en sont porteurs. Ce sont des acteurs compétents pour agir face aux situations aiguës de décompensation (infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébrale, insuffisance cardiaque décompensée, troubles du rythme avec retentissement hémodynamique). Ils savent identifier les signes cliniques d'alarme et donner l'alerte avant de débuter les premiers soins de secours. Leur ancrage disciplinaire leur ouvre également le champ pour penser les questions de santé dans une approche globale du patient. Les séances d'éducation thérapeutique qu'ils prodiguent sont toujours inscrites dans une volonté d'être au plus proche des besoins exprimés par le patient et son entourage en adéquation avec les principes de la HAS. Enfin se sont historiquement des agents de la prévention qui s'engagent avec leurs patients pour les accompagner au sevrage tabagique, alcoolique, à perdre du poids, à renouer avec une activité physique et une alimentation variée et adaptée aux besoins. Cette formation vise à donner aux infirmier(e)s les dernières connaissances et recommandations en matière de prévention, de soins, de surveillance et d'éducation des patients atteints de pathologies cardiaques et notamment ceux traités par anticoagulant. Ceci pour que la pratique de ces professionnels de santé soit une pratique basée sur les preuves. En renouvelant leurs connaissances, en les remobilisant dans un milieu pédagogique favorable, ils seront ainsi plus à même d'identifier précocement les signes cliniques nécessitant l'appel d'un médecin. Cette formation permet d'actualiser les connaissances et pratiques des infirmiers afin : - Améliorer l’efficience de la prise en charge des patients souffrant de pathologies cardiaques. - Sécuriser les parcours de soins et identifier les risques des anticoagulants. - Renforcer la pertinence des actions infirmière en matière d'éducation et de prévention des facteurs de risques. Objectifs pédagogiques Objectif pédagogique global Permettre à l’apprenant de savoir prendre en charge et surveiller les patients atteints de pathologies cardiaques en se basant sur les recommandations de bonnes pratiques sur les pathologies cardiovasculaires . Objectifs pédagogiques spécifiques - S'inscrire dans une démarche d'EPP afin d'acquérir et/ou d'améliorer des compétences et mesurer la transformation de ses pratiques en évaluant, en début et en fin de formation, son raisonnement clinique dans un contexte similaire aux conditions d'exercice. - Connaitre la physiologie cardiaque et les principes de régulation de la tension artérielle - Connaitre la physiopathologie des maladies cardiovasculaires - Connaitre les facteurs de risques associés aux maladies cardiovasculaires - Savoir identifier les signes de décompensation d’une maladie cardiovasculaire - Savoir quelles sont les recommandations à mettre en œuvre en cas de signes de décompensation d’une maladie cardiovasculaire - Connaitre les moyens de prévention des maladies cardiovasculaires - Connaitre les moyens de prévention de décompensation des maladies cardiovasculaires - Connaitre les traitements des maladies cardiovasculaires - Connaitre les traitements anticoagulants, leurs surveillances, leurs effets secondaires - Connaitre les différents dispositifs de prévention et d'éducation contre les maladies cardiovasculaires (HAS, Assurance Maladie, Fédération Française de Cardiologie…) - Mesurer la qualité d'une pratique à l'aide de critères explicites, objectifs et de comparer les résultats au référentiel.
Infirmier
Mixte
Repérage et prise en charge des patients porteurs de stomies
DPC
Entre 80 000 et 100 000 personnes vivent avec une stomie et environ 16 000 stomies sont réalisées chaque année en France. Une stomie est l’abouchement chirurgical d’un organe creux principalement au niveau de la peau de l’abdomen. Elle peut être digestive ou urinaire, temporaire ou définitive en fonction de la pathologie et des objectifs thérapeutiques. Le but est de permettre l’alimentation (gastrostomie, jéjunostomie) ou d’évacuer les effluents de type selles et/ou urines (iléostomie, colostomie, urostomie), lorsque les voies naturelles ne le permettent plus. Le recueil des effluents nécessite le port d’un appareillage adhésif spécifique sur l’abdomen appelé communément poches de stomies. 75% des patients stomisés recensé sont porteurs de colostomies et le cancer colorectal en est la cause prédominante devant les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), la Rectocolite Hémorragique (RCH) et la maladie de Crohn (MC). Les stomies urinaires représentent environ 3000 patients et sont principalement de deux types : urétérostomies non continente (Bricker) ou les dérivations externes continentes, ces dernières évitent l’appareillage externe et les conséquences qui en découlent telles que les fuites, les complications cutanées, la perte de l’estime de soi…. Ici, les pathologies en cause sont variées : les cancers de vessie, les vessies neurologiques, les traumatismes de la moëlle épinière ou encore les traumatismes post-accidentels. De plus en plus de patients seront amenés à bénéficier d’une chirurgie ambulatoire, ce qui engendrera un afflux de soins post opératoire immédiat dont les infirmiers et infirmières à domicile vont devoir faire face. De ce fait, cela demandera une actualisation ou un renforcement de connaissances et de compétences sur des points précis avec des surveillances spécifiques réalisées habituellement en établissement de santé comme les risques immédiats liés à l’anesthésie (nausées, vomissements, vigilance, fonction cognitives), liés à la chirurgie (infectieux, hémorragiques, thromboemboliques, complications chirurgicales), liés à la douleur résiduelle de la prévention de la douleur induite lors des soins, risques enfin directement liés aux spécificités chez certaines populations de patients, notamment pour les personnes âgées, les personnes handicapées et les enfants. De plus, les patients stomisés sont souvent confrontés aux difficultés d’ordre physique, psychologique et organisationnel. Plusieurs facteurs doivent être pris en considération, tels que la modification du schéma corporel et les répercussions qui en découlent et qui sont d’ordre sociales, professionnelles, sociales, familiales ainsi que la vie de couple. Dans ces situations, il convient de mettre en place des soins infirmiers adéquates et de favoriser l’éducation du patient qui auront pour objectifs de prévenir l’apparition de complications précoces (occlusion, hémorragie, éviscération, nécrose) et tardives (prolapsus, sténose, éventration). Ainsi, la connaissance des différents appareillages existants permettra également d’ajuster la fréquence et/ou d’ajuster les soins infirmiers à dispenser face aux fuites, aux problèmes cutanés, aux odeurs et leur bonne tenue. La revalorisation de certains pansements courants, dont les stomies est prévue dans l’avenant à la Convention Nationales des Infirmiers et infirmières libérales, reconnaissant ainsi une dimension plus importante de ce type de soins au regard d’un autre pansement courant. Il instaure de nouveaux rôles dans le domaine post-opératoire. La surveillance clinique et l’accompagnement post opératoire à domicile pour les patients inclus dans un dispositif de développement de chirurgie ambulatoire ou RAAC, des actes spécifiques post-opératoires le plus souvent réalisés jusqu’à aujourd’hui en établissement de santé pourront être réalisés lors de sortie précoce du patient. Cette action de formation est destinée aux IDE dans le but de leur permettre de repérer et de savoir prendre en charge des patients porteurs de stomies. Objectif pédagogique global Savoir repérer et prendre en charge les patients porteurs de stomies en se basant sur les recommandations des bonnes pratiques, afin de sécuriser le parcours des patients et améliorer la qualité des prises en soins. Objectifs pédagogiques spécifiques Les objectifs principaux de transformation des pratiques, des processus et résultats de soins ciblés sont les suivants : · Acquérir et/ou d’améliorer les compétences et mesurer la transformation de ses pratiques en soins de stomie · Connaitre les origines de la stomathérapie · Comprendre le fonctionnement de l’appareil digestif pour savoir évaluer cliniquement les stomies · Différencier les différentes stomies existantes dans le but d’acquérir les bonnes pratiques de prises en soins · Repérer les complications post opératoire immédiat ; reconnaitre les complications tardives adapter les bonnes pratiques · Savoir prendre en charge les patients porteurs de stomies Mesurer la qualité́ d'une pratique à l'aide de critères explicites, objectifs et de comparer les résultats au référentiel.
Masseur-Kinésithérapeute
Mixte
Pathologies rachidiennes : rééducation et autonomisation du patient adulte
DPC
On estime que 80 % des gens seront amenés à souffrir d’un mal de dos au cours de leur vie. Chaque année, 15 à 20 % des adultes souffrent de douleurs lombaires, représentant ainsi l’une des principales causes de handicap dans la population active. De plus, l’activité moyenne d’un masseur-kinésithérapeute est composée pour plus de 50 % de prises en charges de pathologies musculo-squelettiques. Qu’elles soient traumatiques ou non, les pathologies rachidiennes y sont largement représentées. Celles-ci amènent les patients à des situations de désadaptation fonctionnelle, entrainant des arrêts de travail de plus en plus fréquents et menant à une sédentarité dangereuse. A l’aube d’une ère ou le télétravail risque d’accroitre encore cette sédentarité, et, où le vieillissement de la population est inéluctable, les masseurs-kinésithérapeutes se doivent d’améliorer leur pratique professionnelle sur la prise en charge des pathologies rachidiennes et d’amener le patient vers l’autonomisation. Cette formation au format mixte se décline en 9 modules, et permet d’acquérir les bases nécessaires pour pouvoir prendre en charge un patient adulte présentant une pathologie rachidienne. Après des vignettes cliniques permettant de faire un premier état de vos connaissances, nous ferons un point sur l’anatomie et la biomécanique du rachis. Nous continuerons avec la présentation de différentes pathologies intéressant cette partie du corps humain avant de passer aux modules concernant le Bilan Diagnostic Kinésithérapique et la rééducation à proprement parler. Nous ne manquerons pas de vous proposer quelques exercices permettant de mener vos patients vers l’autonomisation. Une deuxième vignette clinique vous permettra d’évaluer votre progression. Enfin un outil de mesure de la qualité de nos pratiques professionnelles vous sera proposé. Des rappels anatomiques aux cas pratiques, en insistant sur les différentes pathologies rachidiennes, cette formation permettra donc aux plus jeunes de nos confrères de mieux appréhender la rééducation du rachis, et à nos confrères les plus chevronnés de revoir et d’actualiser leurs fondamentaux. Objectif pédagogique global · Prendre en charge des patients adultes présentant des pathologies rachidiennes. Objectifs pédagogiques spécifiques · Évaluer ses connaissances initiales sur le rachis en général, · Comprendre l’importance de se former sur le rachis, · Connaître l’épidémiologie des pathologies rachidiennes et leurs répercussions sur la vie quotidienne, · Maîtriser l’anatomie du rachis, · Mieux appréhender les concepts biomécaniques régissant le rachis, · Saisir l’étendue des différentes pathologies rachidiennes, · Savoir réaliser un examen clinique complet et précis, · Pouvoir établir un Bilan Diagnostic Kinésithérapique, · Maîtriser les différents aspects du diagnostic différentiel, · Être capable de mettre en place un programme de rééducation adapté, · Être informé des recommandations de l’HAS concernant le rachis, · Savoir s’adapter face à l’évolution d’un patient, · Autonomiser un patient et le rendre acteur de sa rééducation,
Médecin Généraliste, Neurologue, Rhumatologue
Mixte
Amélioration du parcours de soins des patients adultes souffrant de douleurs chroniques
DPC
Les douleurs chroniques sont une pathologie fréquente en médecine, puisque 31% de la population adulte présente des douleurs depuis plus de 3 mois. 20% de la population française présente des douleurs chroniques modérées à sévères selon l’étude STOPNET [1] . La prévalence des douleurs chroniques en France est en aggravation, principalement en lien avec le vieillissement de la population. Les douleurs chroniques ont des étiologies multiples : lombalgie, cervicalgies, douleurs d’arthrose, douleurs neuropathiques, fibromyalgie, douleurs post-opératoires. La prise en charge des douleurs chroniques est complexe, car elle nécessite une prise en charge globale de la personne, une compréhension de tous les mécanismes participant à cette douleur, et une prise en charge de chacun de ces éléments identifiés. La prise en charge associe en général des traitements médicamenteux et des traitements non médicamenteux, qui sont souvent ceux les plus efficaces sur le long terme. Les traitements médicamenteux ont une efficacité limitée et sont à risque d’effets secondaires comme ce qui a été illustré avec la crise des opioïdes dans certains pays. Les traitements non médicamenteux nécessitent une pédagogie pour permettre une bonne compréhension et transmission de leurs mécanismes d’action, afin de permettre une efficacité sur le long terme. Plusieurs recommandations françaises ont permis récemment de guider le praticien dans la prise en charge des douleurs chroniques : - Prise en charge de la lombalgie (recommandation HAS illustrant notamment comment identifier les patients à risque de chronicité, et comment gérer les patients ayant des douleurs rachidiennes chroniques) [2,3] - Prise en charge des douleurs neuropathiques (recommandations de la société française d’évaluation et du traitement de la douleur) [4] - Bon usage des médicaments opioïdes (recommandation de la HAS, sur l’usage et le mésusage des médicaments opioïdes, notamment chez les patients ayant des douleurs chroniques) [5] Néanmoins la prise en charge de la douleur chronique en France est sous-optimale et est souvent limitée à une majoration des traitements opioïdes, avec notamment une majoration de l’utilisation de l’oxycodone. De 2004 à 2017, la prescription d’opioïdes forts a été majoré de 88% et celle de l’oxycodone de 1180% [6] . Il est donc nécessaire d’informer les médecins sur les différentes modalités de prise en charge des douleurs chroniques, selon l’étiologie de la douleur, selon le profil du patient, et selon les ressources disponibles localement. Cette formation a pour objectif d’identifier les patients adultes ayant des douleurs chroniques ou à risque de chronicité, de préciser le rôle des praticiens de première et seconde ligne, d’optimiser le parcours de soin quand nécessaire ainsi que les de prendre en charge via des techniques médicamenteuses et non médicamenteuses. Objectif pédagogique global: Identifier et prendre en charge les patients adultes présentant des douleurs chroniques Objectifs pédagogiques spécifiques : - S’inscrire dans une démarche d’EPP afin d’acquérir et/ou d’améliorer des compétences et mesurer la transformation de ses pratiques en évaluant, en début et en fin de formation, son raisonnement et sa démarche clinique dans un contexte similaire aux conditions d’exercice. - Connaitre les principaux diagnostics différentiels à évoquer devant des douleurs diffuses ou musculo-squelettiques chroniques - Identifier les patients à risque de chronicisation - Connaitre les mécanismes et les principales étiologies favorisant les douleurs chroniques chez l’adulte - Connaitre les outils d’évaluation des douleurs et mettre en place des objectifs partagés - Connaitre l’information et l’éducation à apporter aux patients adultes ayant des douleurs chroniques - Savoir prescrire et conseiller les traitements non médicamenteux dans la prise en charge des douleurs chroniques - Savoir prescrire et conseiller les traitements médicamenteux opioides et des douleurs neuropathiques pour la prise en charge des douleurs chroniques - Savoir prescrire ou déprescrire les traitements opioïoides lors de situations ou des patients à risque - Connaitre les situations particulières: exemple de la gestion des douleurs rachidiennes dans le cadre du travail, ou chez une femme enceinte - Savoir orienter si nécessaire le patient douloureux chronique dans un parcours de soin pluridisciplinaire - Connaitre les traitements de recours des douleurs chroniques - Mesurer la qualité́ d'une pratique à l'aide de critères explicites, objectifs et de comparer les résultats au référentiel
Infirmier
Mixte
Consultation d’annonce infirmière en oncologie
DPC
Le cancer représente en France la première cause de décès chez l’Homme et la deuxième chez la femme. L’Annonce d’une maladie grave est un choc pour le patient mais aussi très éprouvant pour le médecin. L’annonce déclenche plusieurs mécanismes de défenses mettant à l’épreuve la relation de soin. Depuis 2003 la France a mis en place des plans cancers destinés à l’amélioration des pratiques et de la prise en charge du patient atteint de cancer. Le dispositif d’annonce est la mesure n° 4 du plan cancer de 2003. Ce dispositif a été mis en place dans le but de structurer la prise en charge du patient, de l’annonce du cancer à l’après traitement afin d’apporter les meilleures conditions d’annonce possible ainsi qu’un accompagnement de qualité. Il comprend : · Un temps médical d’annonce du diagnostic et de proposition de traitement · Un temps d’articulation entre le médecin de ville pour une bonne coordination entre l’établissement de soins et le médecin traitant. · Un temps d’accompagnement pour lui et pour ses proches par un soignant qui va les informer sur ses droits et sur les associations et les réseaux pouvant l’aider. Ce temps d’accompagnement pour lui et ses proches est organisé lors d’une consultation d’annonce infirmière après l’annonce médicale. Le parcours de formation est destiné aux infirmiers prenant en charge des patients suite à l’annonce d’une maladie cancéreuse. Cette formation est nécessaire pour les infirmiers car l’isolement de certains patients empêche de bénéficier de cet entretien qui est essentiel au dispositif d’annonce. Nous allons au cours de cette formation nous intéresser à l’articulation de cette consultation ; aux notions qui doivent être connues ; aux mécanismes qu’il est important de reconnaître et aux savoir-faire et savoir-être qu’il est nécessaire de comprendre et d’acquérir pour mener un entretien de qualité. A la fin de ce parcours, l’apprenant sera capable de mener une consultation infirmière · Objectif pédagogique global : · Savoir mener une consultation infirmière après l’annonce d’un cancer. - Objectifs pédagogiques spécifiques : · Mesurer les connaissances, idées et représentations de la consultations infirmière. S’inscrire dans une démarche d’EPP afin d’acquérir et/ou d’améliorer des compétences . · M esurer la transformation de ses pratiques en évaluant, en début et en fin de formation, son raisonnement et sa démarche clinique dans un contexte similaire aux conditions d’exercice . · Connaître l’épidémiologie du cancer en France. · Connaitre le contexte réglementaire, les plan s cancer et les dernières recommandations · Comprendre et reconnaître les différentes étapes de la consultation médicale lors de l’annonce d’un diagnostic de cancer. · Prendre connaissance de l’importance du rôle infirmier après l’annonce d’un diagnostic de cancer · Savoir évaluer les besoins d’un patient · Être capable de reconnaitre les mécanismes de défense · Adopter une bonne posture · Comprendre et utiliser les méthodes de communication . · Connaître le rôle des différents acteurs qui interagissent dans l’annonce d’un cancer. · S’inscrire en tant que professionnel dans le dispositif d’annonce au sein d’une équipe pluridisciplinaire
Médecin Généraliste
Mixte
Bon usage des antibiotiques
DPC
Les antibiotiques ne sont pas des médicaments comme les autres. Ils sont utilisés pour détruire des bactéries et non pour traiter un symptôme ou guérir d’une maladie non infectieuse. Introduits dans l’organisme, les antibiotiques atteignent toutes les bactéries hébergées dans celui-ci, commensales et pathogènes. L’objectif de ce parcours de formation porte sur « le juste usage des antibiotiques », chaque prescription devant être réfléchie en mettant en balance : 1. Les effets bénéfiques à court terme pour le patient, objectif prioritaire s’il est effectivement atteint d’une infection bactérienne ; 2. Les effets néfastes pour le patient sur ses flores commensales ; 3. Les effets néfastes pour l’écologie bactérienne par la sélection de bactéries multirésistantes. L’augmentation des résistances bactériennes représente une menace de santé publique avec un nombre croissant de situations d’impasse thérapeutique. Le premier effet « indésirable » de toute prescription d’antibiotique est la sélection de résistances. Toute utilisation d’antibiotique, en médecine humaine ou vétérinaire, a un impact sur l’évolution de l’écologie bactérienne et sur l’émergence de résistances. Les mésusages et sur-usages des antibiotiques en France participent à l’émergence de bactéries résistantes : des disparités régionales existent, à titre d’exemple les régions du Nord sont plus consommatrices que les régions Rhône-Alpes ou Pays de la Loire. Dans 40% des cas leur prescription est contraire aux recommandations. OBJECTIFS PEDAGOGIQUES - Objectif pédagogique global : · Connaitre et appliquer les recommandations et bonnes pratiques relatives à la prescription, l’utilisation et la surveillance d‘antibiothérapies en vue de prévenir les phénomènes de résistance. - Objectif pédagogiques spécifiques : · Acquérir et/ou améliorer des compétences et savoir mesurer la transformation de ses pratiques en évaluant, en début et en fin de formation, son raisonnement et sa démarche clinique dans un contexte similaire aux conditions d’exercice. · Comprendre les phénomènes d’antibiorésistance et identifier leurs retentissements · Connaitre l’état des lieux de l’antibiorésistance en France · Remobiliser les connaissances pharmaceutiques en antibiothérapie en vue des bonnes pratiques · Identifier les antibiothérapies impertinentes et susceptibles de générer des résistances. Connaitre et appliquer les leviers de réduction d’antibiothérapies notamment pour les pathologies courantes · Connaitre et s’approprier les modalités et recommandations de bonnes pratiques en lien avec la prescription d’antibiotiques · Identifier et appliquer les stratégies pluridisciplinaires pour le bon usage des antibiotiques · Comprendre les phénomènes de transmission et d’expansion conduisant à la résistance aux antibiotiques. · Savoir se situer dans les orientations ministérielles en lien avec la prévention de l’antibiorésistance · Acquérir les compétences nécessaires pour limiter l’antibiothérapie aux Infections dont l’origine bactérienne est probable ou documentée et réduire le risque d’une prescription impertin
Gériatre, Gynécologue, Neurologue, + 8 autres
Mixte
Prescription de l’activité physique et sportive - deuxième partie
DPC
L’INSERM a publié en 2008 une large expertise collective, intitulée « activité physique, contextes et effets sur la santé », confirmant que les APS (Lire partout : Activités Physiques et Sportives) bien conduites sont favorables à la santé. En 2019, l’INSERM publie une nouvelle expertise intitulée « activité physique, prévention et traitement des maladies chroniques » concernant diverses pathologies chroniques, cardio-vasculaires, respiratoires, métaboliques, ostéo-articulaires, cancéreuses, psychiatriques, et démontre que l’APS peut avoir un rôle thérapeutique pour des maladies avérées dont le pronostic est fréquemment sévère. En complément des travaux scientifiques, le législateur rédige l’article 144 de la loi du 26.1.2016 permettant aux médecins traitants, dans le cadre des protocoles de soins, de prescrire une activité physique adaptée (APA) aux malades atteints d’affections de longue durée. Cet article de loi est modifié par l’article 2 de la loi du 2 mars 2022 visant à démocratiser le sport en France qui précise que « dans le cadre du parcours de soins des personnes atteintes d'une affection de longue durée ou d' une maladie chronique ou présentant des facteurs de risques et des personnes en perte d'autonomie, le médecin intervenant dans la prise en charge peut prescrire une activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient. » (Article L1172-1 du Code de la Santé Publique). Cependant il s’avère qu’actuellement peu de médecins traitants prescrivent une APS à leurs patients. Ils ne connaissent pas les bienfaits des APS dans le cadre des maladies chroniques et plus généralement dans celui des personnes fragiles et de l’ensemble de la population, ce qui en limite les modalités de prescriptions. Les médecins ont pourtant plusieurs outils pour les aider à prescrire des activités physiques. Outre les 2 expertises de l’INSERM, ils ont divers ouvrages pratiques, des référentiels produits et encore en cours par la HAS ainsi que les Recommandations de l’OMS mises à jour en 2020. Le Comité Médicosport santé du CNOSF (Comité National Olympique et Sportif Français), regroupant des experts d’une société savante, la Société Française de Médecine de l’Exercice et du Sport (SFMES), des experts universitaires et ceux de la Commission médicale du CNOSF, a élaboré un ouvrage, le « Médicosport-santé » (MSS) qui a la spécificité de rassembler les programmes sport-santé adaptés par de nombreuses Fédérations sportives à la prévention primaire, secondaire et tertiaire de maladies chroniques. Une deuxième spécificité est que la totalité du MSS est accessible en version numérique, d’accès libre. Cet ouvrage informatisé est à double entrée : partir d’une pathologie pour ouvrir sur diverses disciplines sportives possibles, ou partir d’un sport pour en connaitre les bienfaits pour la santé, les indications, contre-indications médicales et les adaptations pour les maladies chroniques et pour plusieurs états de santé (enfants, personnes avancées en âge, grossesse et post-partum). Malgré ces outils, les prescriptions médicales se développent difficilement. D’où l’objectif de proposer aux médecins un enseignement pratique en ligne, en adéquation avec leurs contraintes professionnelles, ce qui leur permet de répondre à leur obligation triennale de développement professionnel continu (DPC). Cette formation répond au thème prioritaire numéro 1 « Promotion des comportements favorables à la santé, incluant l’alimentation saine et l’activité physique régulière. ») Par ailleurs la stratégie nationale Sport Santé 2019-2022 (Ministère des sports et Ministère des solidarités et de la santé) a pour objectif « d’améliorer l’état de santé de la population en favorisant l’activité physique et sportive de chacun, au quotidien, avec ou sans pathologie, à tous les moments de la vie ». Objectif pédagogique global : • Identifier et savoir utiliser les aides à la prescription d’activités physiques et sportives en vue d’accompagner les patients dans leur parcours de soins. - Objectifs pédagogiques spécifiques : • S’inscrire dans une démarche d’EPP afin d’acquérir et/ou d’améliorer des compétences et mesurer la transformation de ses pratiques en évaluant, en début et en fin de formation, son raisonnement et sa démarche clinique dans un contexte similaire aux conditions d’exercice. • Prescrire des disciplines sportives en s’appuyant sur le MSS en prévention primaire, secondaire et tertiaire • Identifier et s’approprier les arguments pour soutenir le choix spécifique de disciplines sportives avec l’aide du MSS • Connaitre et savoir mettre en œuvre la prescription d’APS face aux patients souffrants de : De diabète de type 2 D’insuffisance respiratoire chronique, dont la broncho pneumopathie chronique obstructive De maladies cancéreuses De rhumatismes inflammatoires De fibromyalgies De troubles psychiques De maladies neurodégénératives (SEP, Parkinson) o Ainsi que pour Les personnes avancées en âge Les enfants et les adolescents