Logo App'Ines

81 formations DPC FORMUNOF disponibles

Recherches populaires

HypnosePathologies neuro-musculosquelettiquesDouleursSport

Affiner votre recherche

Financement

Organisme de formation

Format

Médecin Généraliste


En présentiel

Prise en charge des cancers urologiques en médecine générale : Dépistage, diagnostic et orientation_Classe virtuelle

DPC

Les principaux cancers en urologie (vessie, prostate et rein) comptent pour plus de 20% des nouveaux cancers diagnostiqués en 2015. Ils s’accompagnent généralement de peu de symptômes, or une prise en charge retardée entraine une importante diminution de la survie des patients. Les connaissances des facteurs de risque des tumeurs urologiques et de leurs symptômes, associées à une optimisation des examens complémentaires réalisés pour confirmer et faire le bilan de la maladie permettent d’orienter précocement ces patients vers l’urologue. Une actualisation des recommandations concernant la prise en charge des cancers urologiques a été réalisée en 2018 par l’association française d’urologie (AFU) afin de rester au fait des dernières avancées dans le domaine. Le cancer de la prostate est un cancer dont le diagnostic se fait au décours du dépistage personnalisé à chaque patient. Les modalités du dépistage sont en évolution permanente, par exemple, une IRM de la prostate est maintenant recommandée avant toute réalisation de biopsies lorsqu’elles sont indiquées. La connaissance des enjeux et des modalités de ce dépistage est une priorité afin de permettre un suivi conjoint entre médecin généraliste et urologue. Le cancer de la vessie et des voies excrétrices supérieures sont deux maladies distinctes avec des tableaux cliniques initiaux pouvant être identiques et pouvant entraîner un retard diagnostique. L’uro-scanner l’examen d’imagerie clé sur lequel repose ce diagnostic, les modalités de prescription de cet examen doivent donc être comprises par le médecin généraliste afin d’être correctement interprétées par le radiologue. Enfin, le diagnostic du cancer du rein est fait dans plus de 80% des cas de manière fortuite. Le bilan d’extension doit être réalisé rapidement afin de permettre au patient une prise en charge optimale et ne pas délayer son traitement. Le médecin généraliste occupe une place centrale dans le dépistage, le diagnostic, mais aussi l’orientation des patients atteint d’un cancer urologique. Les objectifs de la formation sont : 1) Sensibiliser les médecins au dépistage individuel du cancer de la prostate 2) Améliorer la pertinence de la prescription de l’IRM de la prostate 3) Identifier les symptômes évocateurs d’un cancer des voies urologiques 4) S’approprier les dernières recommandations concernant la prise en charge des cancers urologiques

Médecin Généraliste


E-learning

Démarche diagnostique et prise en charge des dysfonctionnements thyroïdiens en médecine générale_classe virtuelle

DPC

L’hypothyroïdie touche 4 à 8% de la population générale et jusqu’à 16% des patients de plus de 60 ans. Près de 13% des femmes françaises présentent un goitre et 19% des nodules lors d’une échographie de la thyroïde. Étant donné la prévalence des pathologies thyroïdiennes, leur disparité et la source d’inquiétude qu’elle peuvent représenter parfois au sein de la population (scandale du changement de formule du Levothyrox, exposition à des facteurs environnementaux, questionnement sur les cancers de la thyroïde) il est indispensable que les médecins généralistes confrontent leurs pratiques aux recommandations les plus récentes. De surcroit, dans un contexte économique contraint et dans un souci d’efficience les médecins doivent pourvoir prescrire des examens complémentaires qu’ils soient biologiques ou radiologiques de façon juste et argumentée, en évitant le dépistage systématique qui n’est pas recommandé et éviter ainsi des examens et des traitements inutiles avec un cout social et psychologique loin d’être négligeable. Objectifs pédagogiques : 1. Évoquer et diagnostiquer une dysthyroïdie (rappel clinique) 2. Choisir les examens complémentaires nécessaires et suffisants afin de faire le bon diagnostic (biologie et examens de radiologie) 3. Initier le ou les traitements adaptés en collaboration avec un endocrinologue si besoin 4. Répondre aux questions des patients et de leurs familles qui sont souvent demandeurs d’informations sur les problèmes thyroïdiens et sur les traitements (changement de galénique du levothyrox). 5. Assurer le suivi de ces pathologies chroniques, en étroite collaboration avec les médecins spécialistes concernés : endocrinologues, anatomo-pathologistes, médecins de médecine nucléaires. Ce programme améliorera leur pratique devant une dysthyroïdie (hypo ou hyperthyroïdie), une anomalie morphologique (goitre, nodule, adénome) ou encore leur permettra de faire face à un cas complexe : terrain auto-immun, VIH+, iatrogénie thyroïdienne, et particulièrement au cours d’une grossesse…

Médecin Généraliste


En présentiel

Prise en charge des cancers urologiques en médecine générale : Dépistage, diagnostic et orientation

DPC

Les principaux cancers en urologie (vessie, prostate et rein) comptent pour plus de 20% des nouveaux cancers diagnostiqués en 2015. Ils s’accompagnent généralement de peu de symptômes, or une prise en charge retardée entraine une importante diminution de la survie des patients. Les connaissances des facteurs de risque des tumeurs urologiques et de leurs symptômes, associées à une optimisation des examens complémentaires réalisés pour confirmer et faire le bilan de la maladie permettent d’orienter précocement ces patients vers l’urologue. Une actualisation des recommandations concernant la prise en charge des cancers urologiques a été réalisée en 2018 par l’association française d’urologie (AFU) afin de rester au fait des dernières avancées dans le domaine. Le cancer de la prostate est un cancer dont le diagnostic se fait au décours du dépistage personnalisé à chaque patient. Les modalités du dépistage sont en évolution permanente, par exemple, une IRM de la prostate est maintenant recommandée avant toute réalisation de biopsies lorsqu’elles sont indiquées. La connaissance des enjeux et des modalités de ce dépistage est une priorité afin de permettre un suivi conjoint entre médecin généraliste et urologue. Le cancer de la vessie et des voies excrétrices supérieures sont deux maladies distinctes avec des tableaux cliniques initiaux pouvant être identiques et pouvant entraîner un retard diagnostique. L’uro-scanner l’examen d’imagerie clé sur lequel repose ce diagnostic, les modalités de prescription de cet examen doivent donc être comprises par le médecin généraliste afin d’être correctement interprétées par le radiologue. Enfin, le diagnostic du cancer du rein est fait dans plus de 80% des cas de manière fortuite. Le bilan d’extension doit être réalisé rapidement afin de permettre au patient une prise en charge optimale et ne pas délayer son traitement. Le médecin généraliste occupe une place centrale dans le dépistage, le diagnostic, mais aussi l’orientation des patients atteint d’un cancer urologique. Les objectifs de la formation sont : 1) Sensibiliser les médecins au dépistage individuel du cancer de la prostate 2) Améliorer la pertinence de la prescription de l’IRM de la prostate 3) Identifier les symptômes évocateurs d’un cancer des voies urologiques 4) S’approprier les dernières recommandations concernant la prise en charge des cancers urologiques

Médecin Généraliste


En présentiel

Urgences vitales au cabinet médical : premiers gestes d’urgence en attendant les secours.

DPC

Les médecins généralistes omnipraticiens de ville, peuvent être amenés à faire face à une situation de détresse vitale dans différentes circonstances. Elle peut faire suite à un geste technique thérapeutique au cabinet comme les infiltrations, les anesthésies locales ou la pose d’un stérilet mais aussi par la mauvaise orientation d’un patient qui se présente directement au cabinet en situation de détresse, détresse qui peut rapidement décompenser vers un arrêt cardio respiratoire. La soudaineté et la gravité de ces situations pouvant mettre en jeu le pronostic vital des patients, nécessitent d'avoir des gestes adaptés, précis et rapides. Ces situations sont certes rares mais très stressantes et nécessitent un entraînement régulier et répété pour pouvoir y faire face de manière adaptée. Ainsi, le fait d’être mieux formé et préparé à la mise en place des mesures de réanimation est capitale pour la survie de ces patients sans séquelles. L'appel des secours, permettant le relai avec une prise en charge hospitalière, doit être le plus rapide et le plus efficace possible. L'utilisation d'un défibrillateur automatique a montré une augmentation considérable de la survie préhospitalière des patients. C'est dans cette optique que les défibrillateurs deviendront obligatoires dès 2022 dans les établissements recevant du public de catégorie 5 (2), dont les cabinets de groupe feront partis. Cette formation présentielle d’une journée comportera une phase théorique reprenant les principales causes de détresses pouvant être rencontrées en cabinet de médecine de ville et se poursuivra par des ateliers pratiques de mise en situation en petits groupes de 6-8 stagiaires. Ces ateliers seront structurés selon les recommandations de la HAS (briefing-mises en situations-débriefing). OBJECTIFS DE L’ACTION A l’issue de cette formation, les stagiaires disposeront des outils nécessaires pour faire face à une situation inopinée de détresse vitale au sein de leur cabinet de médecine en attendant l’arrivée des équipes spécialisées du SAMU. Objectifs : 1) Identifier une situation de détresse vitale chez l’adulte et évaluer les signes de gravité d’une situation clinique 2) Constituer une trousse d’urgence et définir le matériel de réanimation minimum recommandés et adaptés à l’exercice professionnel de la médecine en cabinet. 3) Appliquer les premiers gestes à entreprendre selon la situation clinique en utilisant les ressources humaines et matérielles disponibles, gérer les positions d'attente 4) Savoir réaliser un Massage Cardiaque Externe et utiliser un défibrillateur s’il y a lieu 5) Transmettre un message d’alerte adapté aux différents services de secours (SAMU, Sapeurs- Pompiers…)

Médecin Généraliste, Médecin urgentiste


En présentiel

Régulation d’appels d’urgence : mises en situation

DPC

La loi d’août 2004 a rendu incontournable la régulation médicale de l’accès aux soins en dehors des heures d’ouverture des cabinets médicaux. Les médecins engagés depuis quelques mois dans cet exercice nouveau souhaitent professionnaliser leur réponse afin de passer d’une régulation de clientèle dont les patients sont identifiés à une régulation globale s’adressant à l’ensemble de la population. Cette professionnalisation doit passer d’un exercice empirique à l’appropriation de la conduite à tenir définie par la Charte de la Régulation (Guide d’aide à la régulation de SAMU Centre 15). La régulation médicale est un acte spécifique qui se situe dans la cadre de la médecine de premier recours. Cet acte met en relation un appelant en situation d’urgence (vraie ou ressentie) et un médecin qui doit interpréter le message, et mettre en œuvre les moyens d’action nécessaire, sans participer lui-même directement à la réponse sur le terrain. L’efficacité de la régulation passe par le respect de procédures qui en sont le préalable indispensable. Le but de la régulation médicale n’est pas l’établissement d’un diagnostic, même probable, mais l’appréciation d’un degré de gravité permettant de déterminer l’importance et la rapidité des secours à apporter (5). A partir de la demande exprimée par l’appelant en langage courant, le médecin régulateur doit traduire en langage médical le problème posé et en déterminer le degré de gravité. Il utilise à cette fin des techniques de communication et des protocoles décisionnels (1). Objectifs pédagogiques : - Acquérir les bases de la communication non verbale, en situation émotionnellement difficile - Reconnaître dans le langage et le vocabulaire de l’appelant les mots et les phrases utiles à la prise de décision médicale - Formuler à l’appelant, en langage court et synthétique, sa décision et les motifs de sa décision - Vérifier que l’on s’est bien compris

Médecin Généraliste


En présentiel

Régulation de l’urgence : Optimisation de la gestion des appels et de la prise en charge des patients

DPC

La loi d’août 2004 a rendu incontournable la régulation médicale de l’accès aux soins en dehors des heures d’ouverture des cabinets médicaux. (1) Les médecins engagés depuis quelques mois dans cet exercice nouveau, souhaitent professionnaliser leur réponse afin de passer d’une régulation de clientèle dont les patients sont identifiés, à une régulation globale s’adressant à l’ensemble de la population. Cette professionnalisation doit passer d’un exercice empirique à l’appropriation de la conduite à tenir définie par la Charte de la Régulation (Guide d’aide à la régulation de SAMU Centre 15) (2). La régulation médicale est un acte spécifique d’une prise en charge particulière, qui se situe dans la cadre de la médecine de premier recours. Cet acte met en relation un appelant en situation d’urgence (vraie ou ressentie) et un médecin qui doit interpréter le message, et mettre en œuvre les moyens d’action d’une prise en charge nécessaire et rapide, sans participer lui-même directement à la réponse sur le terrain. L’efficacité de la régulation passe par le respect de procédures qui en sont le préalable indispensable. Le but de la régulation médicale n’est pas l’établissement d’un diagnostic, même probable, mais l’appréciation d’un degré de gravité permettant de déterminer l’importance et la rapidité des secours à apporter. (3 et 4) A partir de la demande exprimée par l’appelant en langage courant, le médecin régulateur doit traduire en langage médical le problème posé et en déterminer le degré de gravité. Il utilise à cette fin des techniques d’interrogatoire par téléphone, permettant d’évoquer des hypothèses diagnostics ; et des protocoles décisionnels, permettant de déterminer la prise en charge la plus appropriée Cette formation portera sur un rappel des missions des régulateurs et des principes de base de la régulation et sur les techniques de communication au téléphone en situation. Objectifs pédagogiques : - Connaître la législation sur la PDS et la régulation des appels d’urgence, - Situer l’organisation locorégionale et la hiérarchie des effecteurs, - Discerner urgence vitale, urgence ressentie et situation non urgente, - Orienter correctement l’appelant dans la chaîne de secours (SAMU, pompiers, ambulance), - Rassurer et apporter des réponses et des conseils d’attente, y compris thérapeutique s’il y a lieu, - Suivre la réponse à l’appel jusqu’à sa conclusion et s’assurer que la réponse a été bien adapté.

Gériatre, Médecin Généraliste


E-learning

Dépistage des cancers cutanés par télé-expertise (par Smartphone)

DPC

Dans un contexte de baisse de la démographie médicale (1), de vieillissement de la population (2), et d’augmentation de l’incidence des cancers cutanés (3), les délais de prise en charge des mélanomes et des carcinomes cutanés s’allongent, aggravant leur pronostic et leur coût de traitement. Parallèlement, la formation et la sensibilisation des médecins de 1er recours au dépistage des cancers cutanés ont montré leur efficacité (4). Le développement de la télé-expertise en dermatologie est une solution séduisante pour améliorer l’accès aux soins et réduire les délais de prise en charge diagnostique et thérapeutique des cancers cutanés. Les stratégies de télémédecine permettent, par des échanges sécurisés entre différents acteurs soignants, d’organiser l’adressage des patients, notamment en zones à faible densité médicale. Dans ce but, nous avons créé une application Smartphone sécurisée, permettant la prise de photos de lésions cutanées suspectes par les médecins généralistes, avec l’aide de l’ARS IDF (5). Sur l’année 2018, 40% des photos envoyées par le médecin traitant au dermatologue de proximité correspondaient à des cancers cutanés ou des lésions précancéreuses, traitées ainsi rapidement. Ce fort pourcentage a été obtenu grâce à une formation présentielle des médecins généralistes au dépistage des cancers cutanés et à l’usage de la télé-expertise. En effet, l’expert requis est dépendant de ce qui lui est envoyé par le requérant. Il existe un réel besoin de formation des acteurs de 1er recours : dans une étude néerlandaise, 44% des tumeurs cutanées adressées pour avis en dermatologie par le médecin généraliste étaient bénignes et 28% des lésions adressées avec diagnostic de probable tumeur cutanée bénigne étaient en fait malignes (6). Cette formation présentielle approfondie est chronophage et non réalisable dans le cadre du déploiement régional voir national de la télé-expertise des cancers cutanés. Une formation en E-Learning peut répondre à l’exigence de formation préalable à l’utilisation de la télé-expertise. De plus, celle-ci va être remboursée par la CPAM pour tous nos patients en 2020 et les offres de ce type d’application de télé-expertise par Smartphone vont se multiplier avec nécessité pour les médecins de premiers recours de se former au dépistage des cancers cutanés et à la prise de photos afin d’optimiser la pertinence des demandes de télé-expertises. Enfin, il est démontré que l’usage de la télémédecine pour le dépistage des cancers cutanés permet une formation continue efficace pour les médecins généralistes, améliorant leur performance diagnostique des lésions cutanées suspectes dans le temps (7). Objectifs généraux Cette formation en E-Learning a pour but de sensibiliser les médecins de premier recours au dépistage des cancers cutanés, à la reconnaissance des populations à risque de cancers cutanés, à donner les clés pour envoyer le meilleur angle photographique et les informations cliniques utiles au dermatologue dans le cadre de demandes de télé-expertise par Smartphone afin que celui-ci puisse répondre de façon pertinente. Les objectifs pédagogiques de cette action sont : 1. Repérer la population à risque de cancers cutanés. 2. Reconnaitre les cancers cutanés (mélanomes et carcinomes basocellulaires et épidermoïdes) et les distinguer des tumeurs bénignes en particulier naevus et kératoses séborrhéiques. 3. Optimiser la prise de photo par Smartphone : qualité de l’image, angle de prise de vue, plans, fond, éclairage. 4. Connaitre les données essentielles utiles à la pratique de la télé-expertise (consentement, données cliniques, sécurisation des données de santé, assurance)

Médecin Généraliste


En présentiel

ECG en médecine générale - De l'ischémie aux troubles du rythme

DPC

Près de la moitié des médecins généralistes déclare posséder un électrocardiogramme. L’ECG est un examen simple, non invasif et très utile. Sa bonne interprétation permet d’améliorer le parcours de soin du patient, de diminuer les passages aux urgences ou un recours inutile à un avis spécialisé. Néanmoins, pour que son utilisation soit pertinente et fiable, certaines sociétés savantes considèrent qu’il faudrait au moins faire et interpréter une centaine d’ECG par an afin de maintenir un bon niveau de compétences. Ces interprétations vont être encore améliorées par la miniaturisation et la performance des nouveaux appareils, la possibilité de la télémédecine / télé expertise qui permettent l’exportation facile des tracés. Ainsi, il apparaît indispensable que les connaissances des médecins soient entretenues par une formation régulière afin qu’ils soient encouragés à investir encore davantage le champ du diagnostic électrocardiographique que ce soit devant une douleur thoracique ou un trouble du rythme ou de la conduction. OBJECTIFS DE L’ACTION A l'issue de la formation, les participants devront être capables de : 1) S’assurer de la qualité du tracé électrocardiographique 2) S’assurer de la normalité du tracé électrocardiographique 3) Savoir interpréter un électrocardiogramme devant une douleur thoracique 4) Faire le diagnostic de fibrillation auriculaire à l’électrocardiogramme devant des palpitations 5) Authentifier un trouble de la conduction (bloc de branche, BAV,…).

Gynécologue, Médecin Généraliste, Pédiatre


En présentiel

Contraception et prévention des MST en particulier chez les adolescents et les jeunes adultes

DPC

Jamais, les possibilités pour la population de s’informer n’a été aussi grande avec en plus à sa disposition des applications d’aide à l’observance (pilule contraceptive par exemple). Jamais, les efforts d’éducation à la santé sexuelle en milieu scolaire et dès le primaire n’ont été aussi importants, et, pourtant, le nombre d’IVG ne baisse pas depuis des années, environ 200 000 par an avec une augmentation chez les moins de 25 ans. Par ailleurs la même hausse est observée dans cette population cible pour les MST avec une recrudescence des conduites sexuelles à risque dans certains milieux. Il existe donc une probable insuffisance de pédagogie envers les patients de la part des professionnels de santé tant sur la diversité des moyens de contraceptions existants et de protection contre certaines MST que sur les explications à fournir afin que la femme (mais aussi l’homme) puisse choisir en toute connaissance de cause la juste contraception. Ainsi, l’HAS a publié plusieurs guides de recommandations en ce sens. En novembre 2017 sur les « stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme » et plus particulièrement chez l’adolescente en avril 2018. Ces recommandations font l’état des lieux des méthodes contraceptives et reposent sur l’idée centrale que pour être bien acceptée et bien suivie, la méthode contraceptive doit être adaptée à chaque femme et choisie avec elle. Une consultation sur la contraception doit aussi être l’occasion d’ouvrir un dialogue autour des principales MST et les moyens de s’en protéger. Ce programme ouvert tant aux généralistes qu’aux pédiatres a pour objectif de mettre en avant leur rôle fondamental dans la prévention et la délivrance de conseils OBJECTIFS PEDAGOGIQUES 1/ Apprécier le niveau d’information d’une patiente vis à vis de la contraception ainsi que ses croyances et réticences afin de l’accompagner dans la démarche de choix de cette contraception. 2/ Evaluer les facteurs de risques et contre-indications absolues ou relatives aux différents modes de contraception. 3/ Expliquer les avantages et inconvénients des différents modes de contraception et établir avec la patiente une balance personnalisée des avantages/inconvénients afin de l‘aider à choisir une contraception adaptée. 4/ Informer les femmes de la prévention des MST et du dépistage du cancer du col de l’utérus. Aborder les questions relatives à la sexualité. 5/ Expliquer de façon claire la conduite à tenir en cas d’oubli ou d’échec d’un mode contraceptif oral et l’utilisation de la contraception d’urgence.

Médecin Généraliste


En présentiel

Juste prescription de l’imagerie en médecine générale

DPC

L’imagerie accompagne au quotidien le médecin généraliste dans sa pratique. C’est un examen complémentaire souvent nécessaire, parfois indispensable, mais qui peut aussi se révéler inutile voir dangereux si certains risques ou contre-indications ne sont pas évalués et pris en compte. Dans un contexte économique de plus en plus contraint, il apparaît nécessaire que le médecin puisse s’appuyer sur un outil validé afin de le guider sur une juste prescription (la plus adaptée à la pathologie à explorer dans le principe de justification, en évitant les prescriptions inutiles). Celle-ci doit aussi inclure la prise en compte des risques liés aux rayonnements ionisants en limitant les examens les plus irradiants. Cette formation a donc pour principal objectif de développer la pertinence de la stratégie de prescription qui est une caractéristique essentielle du bon exercice de la médecine. Objectifs de l’action : A l’issue de la formation, les participants seront capables de : 1) Assurer une prescription pertinente de l’imagerie en médecine générale en fonction de la pathologie suspectée. 2) S’interroger et donc prévenir les risques liés aux Radiations Ionisantes (RI) en évitant les prescriptions inutiles ou inappropriée. 3) Justifier les demandes d’examens radiologiques, en particulier pour les femmes enceintes 4) Donner les informations cliniques indispensables sur le patient au radiologue afin de bien orienter l’examen et ainsi éviter la conversion de prescription 5) Utiliser le guide du bon usage des examens d’imagerie médicale pour choisir l’examen : o Le plus adapté à la pathologie du patient o Le moins irradiant o Présentant le meilleur rapport coût / efficacité