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Aide-soignant, Ergothérapeute, Masseur-Kinésithérapeute, Infirmier


En présentiel

Prise en charge des troubles du comportement en EHPAD

DPC

Les troubles du comportement des personnes âgées démentes représentent une préoccupation majeure pour les soignants exerçant en institution du fait de leur fréquence et de la difficulté à en assurer une prise en charge adaptée pour éviter la contention chimique autant que possible. Cette formation présentielle d’une durée de 2 jours correspond à un programme intégré associant formation cognitive privilégiant les échanges interactifs et la participation de chaque stagiaire. Dans un premier temps, sont rappelés les effets du vieillissement, les principales caractéristiques des maladies neuro-dégénératives, les différents troubles du comportement susceptibles d’être observés, leur type de survenue et la nécessaire adaptation des pratiques des soignants face à chacun d’entre eux. Puis sont développées les modalités visant à assurer leur prise en charge, attitudes et comportements des soignants, communication verbale et non verbale. Une place importante est faite aux différentes techniques de thérapies non médicamenteuses. Une séance d’analyse des pratiques par GAP permet à chaque stagiaire d’apprécier ses besoins d’amélioration de ses pratiques et de définir ses axes d’amélioration. Cette formation donne lieu à une évaluation par pré et post test des transferts de connaissances. Objectifs pédagogiques :  Objectifs principaux : • Améliorer la qualité de vie des personnes âgées présentant un trouble du comportement • Améliorer les pratiques professionnelles dans une optimisation de la prise en charge des personnes âgées présentant une démence • Améliorer la qualité du travail des soignants en institution gériatrique  Objectifs secondaires : • Analyser sa pratique professionnelle autour de la prise en charge des personnes atteintes de démence, • Permettre au personnel de soins de savoir reconnaitre les différents types de démence, • Acquérir les connaissances concernant le processus démentiel, • Être capable d’identifier et d’évaluer les différents troubles du comportement, • Savoir prendre en charge les troubles du comportement dans le souci du respect du bien-être du patient, • Comprendre les besoins relationnels des personnes désorientées, • Définir l’approche non médicamenteuse, • Découvrir les différents types d’approches non médicamenteuses,

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

Le développement de la bientraitance

DPC

 Objectifs généraux : • Développer une culture Bientraitance  Objectifs spécifiques : • Prendre conscience des modes de survenue et des conséquences des situations de maltraitance • Identifier les risques de maltraitance • Identifier la posture des professionnels dans le cadre règlementaire : donner du sens • S’engager dans l’amélioration de la pratique individuelle et collective autour du concept de bientraitance au sein de son service • Savoir analyser sa pratique individuelle et collective au regard de la bientraitance et acquérir la méthodologie pour la mise en œuvre de la bientraitance

Infirmier


En présentiel

Le tutorat des étudiants dans la réforme LMD

DPC

La formation se déroule sur 4 jours non consécutifs. L’étape 1, cognitive, qui alterne apports théoriques (référentiel de formation, les théories de l’apprentissage, l’évaluation, la compétence, les éléments législatifs…) et pédagogies actives qui permettent des mises en lien concrètes avec les pratiques professionnelles. Ce séquences favorisent par ailleurs l’interaction entre les participants, les exercices pratiques, les jeux de rôle, la familiarisation avec les documents liés au tutorat (portfolio, feuilles d’évaluation, objectifs et projets de stage…) et comprennent l’élaboration d’outils adaptés. La deuxième étape consistera à réaliser une Analyse de la Pratique Professionnelle afin de trouver des pistes explicatives et compréhensives aux situations professionnelles rapportées et développer une posture réflexive. Enfin, la quatrième journée, organisée à distance, permettra de mesurer la transférabilité des savoirs acquis entre les deux temps de formation. Objectifs pédagogiques : • Connaitre le référentiel de formation et les missions des différents acteurs • S’approprier les concepts et éléments théoriques en lien avec le tutorat : accompagnement, théories de l’apprentissage, compétence, évaluation, mais également les outils dont dispose le tuteur • Accompagner le processus de professionnalisation à partir des objectifs de l’étudiant et l’analyse de situations de soins (démarche réflexive dans un contexte de pluridisciplinarité). • Acquérir une posture de tuteur

Aide-soignant, Diététicien, Ergothérapeute, + 5 autres


En présentiel

Perte d’autonomie de la personne âgée

DPC

Résumé de la formation : Cette action de DPC se propose d’accompagner les soignants exerçant en EHPAD à l’analyse de leurs pratiques professionnelles sur le repérage, le partage et le suivi des risques de perte d’autonomie, élément fondamental de la qualité de vie en EHPAD. Elle répond à une demande de formation de l’ARS PACA dans le cadre des CNR 2017. Elle vise, en s’appuyant résolument sur la recommandation de l’Anesm parue en 2017sur cette thématique et sur les 7 fiches repères qui l’accompagnent, à mettre en place un dispositif de veille pour repérer tout signe d’alerte, le partager avec les acteurs de l’EHPAD et en assurer le suivi. Cette action DPC présentielle d’une durée de 2 jours repose sur une méthode pédagogique cognitive, privilégiant la réalisation d’ateliers et de travail en groupe. Elle débute par un temps d’appropriation de l’enjeu que représente la perte d’autonomie et par la présentation de la recommandation de l’Anesm. Puis, pour assurer le repérage des risques, les participants travaillent en ateliers sur chacune des 7 fiches repères : nutrition, chutes, iatrogénie médicamenteuse, souffrance physique, souffrance psychique, troubles cognitifs et comportementaux, aide aux aidants. Par la création d’une grille de repérage simplifiée, cette formation veut procurer aux soignants un outil pour adapter ses pratiques professionnelles au parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d’autonomie et en améliorer la pertinence et l’efficience. Dans un dernier temps, un travail en groupe aura pour objet d’améliorer le partage des informations recueillies avec les différents acteurs de l’EHPAD et d’assurer le suivi pour chaque risque concerné tel que recommandé dans les fiches repères. Une troisième journée optionnelle est proposée, comportant une journée d’analyse de cas qui confère à cette formation la forme d’un programme intégré de DPC. Elle intervient après une intersession d’au moins 1 mois au cours de la laquelle la grille de repérage sera utilisée par chaque participant. L’APP qui porte sur les pratiques en termes de repérage des risques de perte d’autonomie fait appel selon le formateur soit à une méthode par GAP, soit à un audit clinique ciblé. A l’issue, un plan d’améliorations des pratiques du groupe est élaboré par l’ensemble des participants. L’objet de cette formation est donc de s’approprier la recommandation de l’ANESM « Repérage des risques de perte d’autonomie ou de son aggravation pour les personnes âgées », ses différents outils, grâce à une démarche d’analyse des pratiques professionnelles engagée par les participants autour du formateur.  Objectifs principaux : • Améliorer la qualité de vie des résidents en EHPAD • S’approprier la recommandation de l’ANESM portant sur la perte d’autonomie des personnes âgées en EHPAD  Objectifs spécifiques • Savoir identifier les risques de perte d’autonomie • Savoir partager avec la coordination les signes d’alerte de perte d’autonomie • Savoir adapter ses réponses et ses pratiques au risque de perte d’autonomie observé pour en assurer le suivi • Savoir repérer la fragilité des aidants • S’approprier un outil pour permettre l’analyse des pratiques professionnelles en matière de risques de perte d’autonomie

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

La maladie d'Alzheimer

DPC

Résumé de la formation : Ce programme intégré éligible au DPC se propose d’accompagner et d’améliorer les pratiques des équipes soignantes face à des personnes âgées atteintes de maladie d’Alzheimer ou maladie apparentée. D’une durée de 2 jours consécutifs réalisés en présentiel, ce programme privilégie les exercices interactifs et les ateliers de travail en petits groupes basés sur des situations concrètes et se déroule en deux étapes. Dans un premier temps il s’agit à partir d’une synthèse actualisée des différentes données scientifiques, de décrire précisément la maladie d’Alzheimer et les troubles apparentés, et les répercussions sur les personnes atteintes de ces pathologies, ce premier temps doit permettre d’identifier les différentes démences et les troubles du comportements engendrés par ces maladies. Dans un deuxième temps il s’agit de réfléchir aux différents modes de communication adaptée pour établir une relation d'aide de qualité avec les patients et les aidants. Ce temps doit permettre de personnaliser les soins et de proposer à partir des moyens non médicamenteux une prise en charge favorisant l’autonomie et la qualité de vie des personnes tout au long de leur vie.  Objectifs principaux  Améliorer la qualité de vie des personnes âgées atteintes de la maladie d’Alzheimer.  Savoir identifier les répercussions de la maladie sur le comportement des personnes.  Permettre aux professionnels de développer leurs connaissances et d’acquérir les techniques pour adapter les attitudes professionnelles adaptées.  Améliorer la qualité des relations avec les patients et leur entourage.  Objectifs spécifiques  Permettre au personnel de soins de savoir reconnaitre les différents types de démence et acquérir les connaissances concernant le processus démentiel.  Analyser sa pratique professionnelle autour de la prise en charge des personnes atteintes de démence.  Être capable d’identifier et d’évaluer les troubles du comportement.  Savoir prendre en charge les troubles du comportement dans le souci du respect du bien-être du patient.  Améliorer les pratiques dans une optimisation de la prise en charge pour préserver l’autonomie des personnes âgées présentant une démence.  Favoriser le maintien de l’autonomie : vers une autre approche du soin  Mettre en place des conditions favorables à une relation de soins qui implique le patient et l’entourage.  Élaborer, en utilisant des techniques d’écoute et de communication pertinentes, des réponses avec le patient et l’accompagner dans la mise en place de projets adaptés aux situations liées à la maladie d’Alzheimer.

Aide-soignant, Ergothérapeute, Psychomotricien, Infirmier


En présentiel

La culture du prendre soin en EHPAD

DPC

• Contexte - Le ministère de la santé a inscrit la qualité de vie au travail pour les soignants dans une stratégie nationale de prévention de la souffrance au travail et de l’épuisement professionnel depuis 2016. Les conditions dans lesquelles les professionnels exercent leur travail et leur capacité à s’exprimer et à agir sur le contenu de celui-ci déterminent la perception de la qualité de vie au travail (QVT) qui en résulte (ANI, juin 2013). La qualité de vie au travail repose sur différents facteurs : le contenu du travail, la capacité d’expression et d’action, les conditions de travail, produisant ainsi chez l’individu la perception de sa propre qualité de vie au travail. Le secteur de la gérontologie est très impliquant pour les professionnels, les difficultés y sont nombreuses, mais les motivations ne manquent pas. La motivation est un moteur d’action complexe, sous tendue par des processus internes d’un côté et des agents environnementaux de l’autre. Il est demandé aux professionnels d’accompagner les résidents de manière personnalisée, dans une logique de bientraitance, de respect de la dignité et des besoins des personnes âgées accueillies. La culture du prendre soin en EHPAD repose sur des nombreux piliers que cette formation se propose d’explorer. • Objectifs généraux - Cette formation vise à améliorer la qualité de vie des résidents, des familles et des professionnels en secteur gériatrique en intervenant sur la culture du prendre soin, le cadre de l’intervention et les valeurs fondamentales qui sous-tendent l’accompagnement des personnes âgées. • Déterminer les facteurs de la qualité de vie au travail chez le soignant • Identifier les sources de charge psychologique • Comprendre ce qui impacte le soignant au quotidien • Mieux se connaitre pour limiter l’effet des situations vécues • Apprendre à se préserver au quotidien par des outils issus de la psychologie positive et des thérapies cognitives et comportementales

Aide-soignant


En présentiel

Gestion de l’agressivité De la personne âgée présentant des troubles du comportement

DPC

Ce programme fournit les clés de réponse sur les attitudes des soignants face à des situations d’agressivité de la part des personnes âgées ou de leurs familles. Il se déroule en 3 étapes présentielles sur 2 jours. Il débute par une analyse des pratiques à partir de situations vécues par les participants qui a pour but d’identifier en groupe les difficultés rencontrées et les axes d’amélioration à apporter. Une étape cognitive permet ensuite de rappeler l’ensemble des connaissances utiles à la gestion de l’agressivité. Plusieurs ateliers portent enfin sur une mise en situation des participants et incluent l’appropriation des approches non médicamenteuses, des modes de communication et la création de protocoles utiles pour assurer des attitudes reproductibles dans ce domaine générateur de stress et de conflits.  Connaitre les différents troubles pour mieux comprendre l’agressivité des personnes âgées présentant des troubles du comportement  Comprendre les mécanismes de l’agressivité  Adopter une communication et une attitude adaptées pour prévenir l’apparition de l’agressivité  Connaitre les outils de prise en charge non-médicamenteuse pour améliorer « la prise en soin »  Instaurer une communication de qualité avec les proches pour une approche collaborative de la personne âgée désorientée

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

La charge psychologique du soignant

DPC

• Contexte - Le ministère de la santé a inscrit la qualité de vie au travail pour les soignants dans une stratégie nationale de prévention de la souffrance au travail et de l’épuisement professionnel depuis 2016. Les conditions dans lesquelles les professionnels exercent leur travail et leur capacité à s’exprimer et à agir sur le contenu de celui-ci déterminent la perception de la qualité de vie au travail (QVT) qui en résulte (ANI, juin 2013). La qualité de vie au travail repose sur différents facteurs : le contenu du travail, la capacité d’expression et d’action, les conditions de travail, produisant ainsi chez l’individu la perception de sa propre qualité de vie au travail. Dans le contenu du travail, l’accompagnement de la charge psychologique représente un enjeu important en termes de prévention des risques psycho-sociaux. Le secteur de la gérontologie, en EHPAD, à l’hôpital ou lors d’un accompagnement à domicile est très impliquant pour les soignants, les difficultés y sont nombreuses, mais les motivations ne manquent pas chez les professionnels. La motivation est un moteur d’action complexe, sous tendue par des processus internes d’un côté et des agents environnementaux de l’autre. Le soignant est soumis à une charge psychologique de par son activité et son implication. En effet, cette charge psychologique liée à la responsabilisation, les relations avec les patients et leurs familles, la confrontation avec des situations difficiles, peut altérer la qualité de vie au travail du soignant et bouleverser son propre équilibre. La valorisation, le soutien des équipes, l’autonomie au travail et l’implication dans les décisions sont autant de facteurs de protection face aux risques psycho-sociaux. • Objectifs généraux - Cette formation vise à améliorer la qualité de vie au travail des soignants en secteur gériatrique en intervenant sur la charge psychologique. Il s’agit d’identifier les composantes de la charge psychologique du soignant, de lui apprendre à moduler les sources d’impact pour pouvoir se préserver, sur du long terme, et ainsi à garder le plaisir à prendre soin des autres, sans pour autant devenir soi-niant. • Déterminer les facteurs de la qualité de vie au travail chez le soignant • Identifier les sources de charge psychologique • Comprendre ce qui impacte le soignant au quotidien • Mieux se connaitre pour limiter l’effet des situations vécues • Apprendre à se préserver au quotidien par des outils issus de la psychologie positive et des thérapies cognitives et comportementales

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

REPERAGE PRECOCE ET PRISE EN CHARGE DE LA DENUTRITION DE LA PERSONNE AGEE EN EHPAD

DPC

Le facteur nutritionnel apparait majeur au regard du risque de perte d’autonomie ou de son aggravation chez la personne âgée (ANESM, 2016). La nutrition est reconnue comme un soin et la question nutritionnelle est aujourd’hui au cœur de la prise en charge des personnes âgées. Au-delà des connaissances techniques précises que le soignant doit acquérir, cette question de la nutrition de la personne âgée fait également appel à la qualité du temps alimentaire portée aussi bien par les aliments proposés que par le service et la posture du soignant. La prévention du risque de dénutrition et les mesures visant à la corriger sont donc essentielles à connaitre pour tout soignant en EHPAD. Les objectifs généraux de cette formation sont les suivants : - Comprendre l’importance de l’alimentation comme facteur d’équilibre donnant du sens et du plaisir à la vie de chacun. - Comprendre que l’état nutritionnel est un facteur de perte d’autonomie en EHPAD impliquant donc chaque soignant. - Acquérir les bases de la prise en charge de la dénutrition chez la personne âgée. Cette action de DPC de 2 jours en présentiel, destinée aux professionnels soignants exerçant en EHPAD, est réalisée selon une approche pédagogique cognitive (formation continue) privilégiant les échanges et exercices interactifs. Cette approche théorique et pratique a pour objet : - Connaitre les grandes fonctions de l’alimentation chez le sujet âgé et ses besoins nutritionnels spécifiques. - Savoir repérer les situations à risque de dénutrition et mettre en place des mesures préventives. - Connaitre les différents outils de dépistage et diagnostiques de la dénutrition. - Connaître les stratégies de prise en charge de la dénutrition et les moyens disponibles. - Savoir utiliser les différentes stratégies de prise en charge en fonction de l’évaluation de l’état nutritionnel du patient. - Savoir adapter l’alimentation en fonction de situations particulières. - Appréhender les facteurs qualité qui favorisent l’alimentation de la personne âgée. - Travailler sur la posture du soignant lors de l’aide aux repas. - Comprendre l’alimentation comme facteur de bientraitance et de thérapie non médicamenteuse La formation débute par un état des lieux de la situation nutritionnelle des personnes âgées en EHPAD exposant les définitions relatives à la nutrition et les besoins nutritionnels des personnes âgées. L’accent est ensuite mis sur le repérage de la dénutrition par les soignants en s’appuyant sur les fiches repères éditées par l’ANESM et sur les outils qu’il convient d’utiliser en procédant à des exercices pratiques. Les stratégies de renutrition et leurs modalités pratiques incluant la correction des facteurs de risque font ensuite l’objet d’un travail interactif réalisé en atelier permettant d’envisager la conduite à tenir face à diverses situations. Une place importante est faite à l’intégration de cette démarche dans un cadre qualitatif soulignant le facteur bientraitant de cette prise en charge nutritionnelle : ceci passe par une réflexion éthique menée en groupe autour de la bientraitance nutritionnelle institutionnelle et par des jeux de rôle autour de la posture du soignant lors des repas. Une évaluation des acquis sur vignettes cliniques permet d’apprécier la progression des connaissances de chaque participant. Objectifs Objectifs généraux : - Comprendre l’importance de l’alimentation comme facteur d’équilibre donnant du sens et du plaisir à la vie de chacun. - Comprendre que l’état nutritionnel est un facteur de perte d’autonomie en EHPAD impliquant donc chaque soignant. - Acquérir les bases de la prise en charge de la dénutrition chez la personne âgée. Objectifs spécifiques : - Connaitre les grandes fonctions de l’alimentation chez le sujet âgé. - Connaitre les besoins nutritionnels spécifiques du sujet âgé. - Savoir repérer les situations à risque de dénutrition et transmettre les données utiles comme les troubles de la déglutition. - Connaitre les différents outils de dépistage et diagnostiques de la dénutrition. - Savoir mettre en place des mesures préventives de la dénutrition. - Connaître les stratégies de prise en charge de la dénutrition et les moyens disponibles. - Utiliser les différentes stratégies de prise en charge en fonction de l’évaluation de l’état nutritionnel du patient. - Savoir adapter l’alimentation en fonction des situations particulières. - Appréhender les facteurs qualité qui favorisent l’alimentation de la personne âgée. - Travailler sur la posture du soignant lors de l’aide aux repas. - Comprendre l’alimentation comme facteur de bientraitance et de thérapie non médicamenteuse

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

La bientraitance pour un accompagnement de qualité

DPC

 Objectifs généraux : • Améliorer la pertinence des soins dans une culture bientraitante et rédiger la Charte bientraitance du service de soins infirmiers à domicile (SSIAD).  Objectifs spécifiques : • Prendre conscience des modes de survenue et des conséquences des situations de maltraitance • Identifier les risques de maltraitance en lien avec la patientèle du SSIAD • S’engager dans l’amélioration de la pratique individuelle et collective autour du concept de bientraitance au sein du SSIAD • Savoir analyser sa pratique individuelle et collective au regard de la bientraitance • Elaborer et proposer une charte de bientraitance au sein du SSIAD La prévention de situations maltraitantes dans l’exercice des services de soins infirmiers à domicile (SSIAD) constitue, pour les professionnels de santé concernés, un enjeu majeur eu égard à la fréquence de situations à risques. Plusieurs outils ont été proposés en particulier par la HAS pour permettre de s’évaluer et pour accompagner une réflexion constructive de chaque professionnel. Ce programme DPC est réalisé sur 2 jours en présentiel : un temps d’intersession de 15 jours de mener une réflexion sur ses pratiques au quotidien en termes de comportement et d’attitudes bientraitantes. Il fait appel essentiellement appel à une approche pédagogique cognitive privilégiant les échanges et les débats interactifs. Il débute par une phase cognitive de 1 journée qui permet de rappeler et de préciser l’ensemble des connaissances utiles dans ce domaine en mettant l’accent sur l’identification des situations à risques, la relation à l’éthique, la communication au sein de l’équipe de soins. L’intersession permettra à chaque participant de choisir un axe d’amélioration individuel et le mettre en pratique. Au cours de la journée de formation qui suit l’intersession, chaque participant, au sein de petits ateliers, met en perspective les acquis de sa formation dans sa pratique et travaille à l’élaboration de la mise en place de process favorisant la culture bientraitante pour une meilleure prise en soin du patient. La formation aboutit à l’élaboration d’une charte de bientraitance issue des travaux menés par le groupe. L’évaluation du transfert des connaissances se fait en utilisant une grille de pré et post test d’une vingtaine de questions.