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Communiquer avec la personne atteinte de maladie d’Alzheimer ou apparentée

DPC

« L’amélioration de la qualité de vie et la réponse aux attentes des personnes touchées par une maladie neurodégénérative constituent une priorité nationale de santé » (Plan Maladies neurodégénératives 2014-2019). La maladie d’Alzheimer entraîne des troubles de la communication à l’origine de nombreuses perturbations relationnelles et comportementales. Ces difficultés s’aggravent avec l’augmentation des troubles cognitifs et du langage, fragilisent les patients et déstabilisent les soignants dans leur communication avec le malade. Chacun des interlocuteurs est perturbé. La formation proposée s’inscrit dans le cadre des recommandations de bonnes pratiques de l’ANESM visant l’amélioration de l’accompagnement de la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre pathologie apparentée. L’enjeu est de permettre aux professionnels de mettre en œuvre des interventions non médicamenteuses facilitant la communication avec la personne malade et d’agir en prévention ou gestion des comportements troublés. Elle vise l’acquisition de connaissances, de techniques et le développement de compétences de communication verbale et non verbale que le professionnel pourra utiliser dans l’accompagnement au quotidien suivant les stades d’évolution de la maladie. Elle s’appuie sur l’approche psycho-sociale de la Validation qui est inscrite dans le registre des thérapies par empathie et figure parmi les interventions non médicamenteuses recommandées par l’ANESM (Livre blanc : unités de soins, d’évaluation et de prise en charge Alzheimer. Décembre 2015. pp.84--87. Publié dans L’Année Gérontologique : 29, IV, 2015). La méthode Validation a pour objectif principal d’instaurer ou maintenir la communication avec la personne désorientée. Elle contribue à réduire l’anxiété et le stress et prévenir les comportements troublés. En améliorant la communication, cette approche contribue à préserver la dignité du malade, à le revaloriser tout autant qu’à reconnaitre et revaloriser le travail des soignants. Cette action de formation vise à : - Approfondir la connaissance de la maladie et de ses répercussions - Développer les capacités d’observation sur l’état de la personne malade et ses changements - S’approprier une méthode relationnelle et des outils de communication verbaux et non verbaux adaptés à la personne et à son état de santé - Analyser, ajuster et développer les pratiques et postures professionnelles favorables à la qualité de l’accompagnement et du soin du malade Alzheimer.

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

Bientraitance : agir au quotidien

DPC

La promotion de la bientraitance est au cœur des préoccupations de l’ensemble des établissements et services des secteurs sanitaire, social et médico-social. En 12 ans, la loi 2002-2 a permis des avancées réelles sur le terrain. Les outils pour promouvoir le respect de l’usager existent et il importe de les repérer, d’en comprendre le sens et de les faire vivre. Au-delà du cadre des politiques sociales et des recommandations posées, le soin et l’accompagnement nous invitent à l’ajustement permanent. La bientraitance ne peut être définie ni comme une doctrine, ni comme un ensemble de prescriptions, mais comme une attitude, une disposition fondamentale qui nécessite implication et travail réflexif individuel et collectif. Observer et s’observer, appréhender la globalité d’une situation, identifier et évaluer les risques pour mieux y remédier (…) sont au cœur d’une démarche de bientraitance visant la qualité de la relation, de l’accompagnement et des soins. La formation se décline en 3 étapes :  Etape 1 : Situer sa pratique en regard du cadre juridique, éthique et de l’évolution attendue des pratiques d’accompagnement et de soin (1,5 jours)  Etape 2 : Questionner la bientraitance dans les pratiques afin de prévenir les situations de maltraitance (1/2 journée)  Etape 3 : Promouvoir la bientraitance dans les pratiques au quotidien (2 jours) Elle alterne les activités : - Analyse des pratiques L’analyse des pratiques est sollicitée à la fois en tant « qu’apport » par le partage du capital d’expériences des uns et des autres et en tant que pratique didactique qui cherche à développer la capacité des membres d’une équipe à observer, se questionner, réfléchir et échanger sur les pratiques. - Acquisition / Actualisation de connaissances et compétences - Evaluation des pratiques et acquis de formation pour faciliter le transfert des apports de formation en situation professionnelle La pédagogie utilisée se veut active et participative. L’expérience et le vécu professionnels sont un facteur majeur d’apprentissage. La démarche pédagogique s’appuie donc sur les interrogations et observations amenées par les participants. Cette approche permet de dynamiser les réflexions et d’induire les actions à venir. Elle se doit de privilégier des propositions réalistes et pragmatiques afin de favoriser le transfert des acquis en situation de travail. - Alternance d’apports théoriques et d’échanges - Travail de représentation à partir de brainstorming - Analyse des pratiques professionnelles à partir des situations concrètes - Etude de cas et travail d’observation à partir de vignettes cliniques - Mises en situation et expérimentations de techniques - Travail à partir de témoignages écrits ou de supports vidéo

Aide-soignant


En présentiel

La promotion de la bientraitance en institution

DPC

La promotion de la bientraitance est au cœur des préoccupations de l’ensemble des établissements et services des secteurs sanitaire, social et médico-social. Au-delà du cadre des politiques sociales et des recommandations posées, l’accompagnement nous invite à un ajustement permanent avec la question guide « Comment traiter au mieux ? ». La bientraitance soulève de profondes questions éthiques. Elle ne peut être définie ni comme une doctrine, ni comme un ensemble de prescriptions, mais comme une attitude, une disposition fondamentale. Démarche continue d’amélioration des pratiques, elle nécessite engagement et travail réflexif individuel et collectif. A l’issue de la formation, les apprenants pourront se saisir des différentes questions soulevées par la bientraitance en institution. Ils pourront interroger leurs pratiques tant sur le plan individuel que collectif, en regard des recommandations professionnelles.

Aide-soignant


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Communiquer avec la personne atteinte de maladie d’Alzheimer ou apparentée

DPC

« L’amélioration de la qualité de vie et la réponse aux attentes des personnes touchées par une maladie neurodégénérative constituent une priorité nationale de santé » (Plan Maladies neurodégénératives 2014-2019). La maladie d’Alzheimer entraîne des troubles de la communication à l’origine de nombreuses perturbations relationnelles et comportementales. Ces difficultés s’aggravent avec l’augmentation des troubles cognitifs et du langage, fragilisent les patients et déstabilisent les soignants dans leur communication avec le malade. Chacun des interlocuteurs est perturbé. La formation proposée s’inscrit dans le cadre des recommandations de bonnes pratiques de l’ANESM visant l’amélioration de l’accompagnement de la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre pathologie apparentée. L’enjeu est de permettre aux professionnels de mettre en œuvre des interventions non médicamenteuses facilitant la communication avec la personne malade et d’agir en prévention ou gestion des comportements troublés. Elle vise l’acquisition de connaissances, de techniques et le développement de compétences de communication verbale et non verbale que le professionnel pourra utiliser dans l’accompagnement au quotidien suivant les stades d’évolution de la maladie. Elle s’appuie sur l’approche psycho-sociale de la Validation qui est inscrite dans le registre des thérapies par empathie et figure parmi les interventions non médicamenteuses recommandées par l’ANESM (Livre blanc : unités de soins, d’évaluation et de prise en charge Alzheimer. Décembre 2015. pp.84--87. Publié dans L’Année Gérontologique : 29, IV, 2015). La méthode Validation a pour objectif principal d’instaurer ou maintenir la communication avec la personne désorientée. Elle contribue à réduire l’anxiété et le stress et prévenir les comportements troublés. En améliorant la communication, cette approche contribue à préserver la dignité du malade, à le revaloriser tout autant qu’à reconnaitre et revaloriser le travail des soignants. Cette action de formation vise à : - Approfondir la connaissance de la maladie et de ses répercussions - Développer les capacités d’observation sur l’état de la personne malade et ses changements - S’approprier une méthode relationnelle et des outils de communication verbaux et non verbaux adaptés à la personne et à son état de santé - Analyser, ajuster et développer les pratiques et postures professionnelles favorables à la qualité de l’accompagnement et du soin du malade Alzheimer.

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Communiquer avec la personne atteinte de maladie d’Alzheimer ou apparentée

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« L’amélioration de la qualité de vie et la réponse aux attentes des personnes touchées par une maladie neurodégénérative constituent une priorité nationale de santé » (Plan Maladies neurodégénératives 2014-2019). La maladie d’Alzheimer entraîne des troubles de la communication à l’origine de nombreuses perturbations relationnelles et comportementales. Ces difficultés s’aggravent avec l’augmentation des troubles cognitifs et du langage, fragilisent les patients et déstabilisent les soignants dans leur communication avec le malade. Chacun des interlocuteurs est perturbé. La formation proposée s’inscrit dans le cadre des recommandations de bonnes pratiques de l’ANESM visant l’amélioration de l’accompagnement de la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre pathologie apparentée. L’enjeu est de permettre aux professionnels de mettre en œuvre des interventions non médicamenteuses facilitant la communication avec la personne malade et d’agir en prévention ou gestion des comportements troublés. Elle vise l’acquisition de connaissances, de techniques et le développement de compétences de communication verbale et non verbale que le professionnel pourra utiliser dans l’accompagnement au quotidien suivant les stades d’évolution de la maladie. Elle s’appuie sur l’approche psycho-sociale de la Validation qui est inscrite dans le registre des thérapies par empathie et figure parmi les interventions non médicamenteuses recommandées par l’ANESM (Livre blanc : unités de soins, d’évaluation et de prise en charge Alzheimer. Décembre 2015. pp.84--87. Publié dans L’Année Gérontologique : 29, IV, 2015). La méthode Validation a pour objectif principal d’instaurer ou maintenir la communication avec la personne désorientée. Elle contribue à réduire l’anxiété et le stress et prévenir les comportements troublés. En améliorant la communication, cette approche contribue à préserver la dignité du malade, à le revaloriser tout autant qu’à reconnaitre et revaloriser le travail des soignants. Cette action de formation vise à : - Approfondir la connaissance de la maladie et de ses répercussions - Développer les capacités d’observation sur l’état de la personne malade et ses changements - S’approprier une méthode relationnelle et des outils de communication verbaux et non verbaux adaptés à la personne et à son état de santé - Analyser, ajuster et développer les pratiques et postures professionnelles favorables à la qualité de l’accompagnement et du soin du malade Alzheimer.

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Communiquer avec la personne atteinte de maladie d’Alzheimer ou apparentée

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« L’amélioration de la qualité de vie et la réponse aux attentes des personnes touchées par une maladie neurodégénérative constituent une priorité nationale de santé » (Plan Maladies neurodégénératives 2014-2019). La maladie d’Alzheimer entraîne des troubles de la communication à l’origine de nombreuses perturbations relationnelles et comportementales. Ces difficultés s’aggravent avec l’augmentation des troubles cognitifs et du langage, fragilisent les patients et déstabilisent les soignants dans leur communication avec le malade. Chacun des interlocuteurs est perturbé. La formation proposée s’inscrit dans le cadre des recommandations de bonnes pratiques de l’ANESM visant l’amélioration de l’accompagnement de la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre pathologie apparentée. L’enjeu est de permettre aux professionnels de mettre en œuvre des interventions non médicamenteuses facilitant la communication avec la personne malade et d’agir en prévention ou gestion des comportements troublés. Elle vise l’acquisition de connaissances, de techniques et le développement de compétences de communication verbale et non verbale que le professionnel pourra utiliser dans l’accompagnement au quotidien suivant les stades d’évolution de la maladie. Elle s’appuie sur l’approche psycho-sociale de la Validation qui est inscrite dans le registre des thérapies par empathie et figure parmi les interventions non médicamenteuses recommandées par l’ANESM (Livre blanc : unités de soins, d’évaluation et de prise en charge Alzheimer. Décembre 2015. pp.84--87. Publié dans L’Année Gérontologique : 29, IV, 2015). La méthode Validation a pour objectif principal d’instaurer ou maintenir la communication avec la personne désorientée. Elle contribue à réduire l’anxiété et le stress et prévenir les comportements troublés. En améliorant la communication, cette approche contribue à préserver la dignité du malade, à le revaloriser tout autant qu’à reconnaitre et revaloriser le travail des soignants. Cette action de formation vise à : - Approfondir la connaissance de la maladie et de ses répercussions - Développer les capacités d’observation sur l’état de la personne malade et ses changements - S’approprier une méthode relationnelle et des outils de communication verbaux et non verbaux adaptés à la personne et à son état de santé - Analyser, ajuster et développer les pratiques et postures professionnelles favorables à la qualité de l’accompagnement et du soin du malade Alzheimer.

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Bientraitance : agir au quotidien

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La promotion de la bientraitance est au cœur des préoccupations de l’ensemble des établissements et services des secteurs sanitaire, social et médico-social. En 15 ans, la loi 2002-2 a permis des avancées réelles sur le terrain. Les outils pour promouvoir le respect de l’usager existent et il importe de les repérer, d’en comprendre le sens et de les faire vivre. Au-delà du cadre des politiques sociales et des recommandations posées, le soin et l’accompagnement nous invitent à l’ajustement permanent. La bientraitance ne peut être définie ni comme une doctrine, ni comme un ensemble de prescriptions, mais comme une attitude, une disposition fondamentale qui nécessite implication et travail réflexif individuel et collectif. Observer et s’observer, appréhender la globalité d’une situation, identifier et évaluer les risques pour mieux y remédier (…) sont au cœur d’une démarche de bientraitance visant la qualité de la relation, de l’accompagnement et des soins. Cette action de formation se situe en soutien des professionnels de terrain et vise à leur permettre de : - S’approprier des cadres de référence (juridique, éthique et psychologique) pour analyser les actions dans une visée de bientraitance - Identifier les facteurs de risque de maltraitance et particulièrement ceux liés à des négligences - Analyser et développer les pratiques et postures professionnelles favorables à la bientraitance et à la qualité d’accompagnement et de soin - Développer une démarche de prévention de la maltraitance - Développer et s’approprier des outils méthodologiques pour structurer, évaluer et ajuster les pratiques

Aide-soignant


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Faire du repas un temps convivial et un acte d'accompagnement

DPC

Pour les personnes accueillies au sein d’un établissement le repas constitue la plupart du temps un moment privilégié de la journée. Par ailleurs ce moment, pour particulier qu’il est, n’est pas totalement déconnecté de l’accompagnement et de la prise en charge assurées tout au long de la journée. Qu’il s’agisse d’accompagnement éducatif en direction d’enfants ou d’adultes, de prise en charge de personnes âgées ou de personnes hospitalisées et recevant des soins, le repas s’inscrit dans une démarche de relation d’aide dont il convient d’assurer la continuité. L’alimentation est une notion particulièrement complexe. Si elle suppose un cadre de réponses techniques avec procédures ou mesures de vigilance, elle ne peut s’y réduire. Accompagner l’alimentation est avant tout une réponse relationnelle et humaine qui s’apprend et s’ajuste. Cette action de formation doit permettre aux participants de distinguer les repères nécessaires pour concevoir le repas à la fois comme un moment convivial et comme un acte constitutif de la prise en charge. Elle vise à : - Analyser et développer les pratiques et postures professionnelles favorables à la qualité de l’accompagnement et de la prise en soin au moment du repas et selon les publics - Développer et organiser ce moment d’accompagnement comme un temps convivial et agréable, dans la continuité des prises en charge assurées au long d’une journée

Aide-soignant, Infirmier


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Bientraitance : agir au quotidien

DPC

La promotion de la bientraitance est au cœur des préoccupations de l’ensemble des établissements et services des secteurs sanitaire, social et médico-social. En 15 ans, la loi 2002-2 a permis des avancées réelles sur le terrain. Les outils pour promouvoir le respect de l’usager existent et il importe de les repérer, d’en comprendre le sens et de les faire vivre. Au-delà du cadre des politiques sociales et des recommandations posées, le soin et l’accompagnement nous invitent à l’ajustement permanent. La bientraitance ne peut être définie ni comme une doctrine, ni comme un ensemble de prescriptions, mais comme une attitude, une disposition fondamentale qui nécessite implication et travail réflexif individuel et collectif. Observer et s’observer, appréhender la globalité d’une situation, identifier et évaluer les risques pour mieux y remédier (…) sont au cœur d’une démarche de bientraitance visant la qualité de la relation, de l’accompagnement et des soins. Cette action de formation se situe en soutien des professionnels de terrain et vise à leur permettre de : - S’approprier des cadres de référence (juridique, éthique et psychologique) pour analyser les actions dans une visée de bientraitance - Identifier les facteurs de risque de maltraitance et particulièrement ceux liés à des négligences - Analyser et développer les pratiques et postures professionnelles favorables à la bientraitance et à la qualité d’accompagnement et de soin - Développer une démarche de prévention de la maltraitance - Développer et s’approprier des outils méthodologiques pour structurer, évaluer et ajuster les pratiques

Aide-soignant


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Comprendre et gérer les problématiques de violence et d'agressivité : Professionnels en charge de l'accompagnement des usagers

DPC

Le passage à l’acte agressif ou violent dans les situations d’accompagnement et de soins est repéré comme plus fréquent qu’il n’a été et/ou vécu de façon plus délétère que cela n’a été. La question de l’agressivité ou la violence est parfois travaillée et intégrée au sein des équipes lorsque qu’elle associée au changement de public (c’est le cas pour l’accueil des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer à un stade avancé, l’accueil des personnes en situation de certaines formes de handicaps psychiques…), cette question l’est moins lorsqu’elle concerne la vie courante ou lorsque la répétition vient faire traumatisme. Pour autant, personne ne mérite d’être agressé, et l’agression ne doit pas être un acte de pouvoir. Formés pour soutenir, aider, accompagner, les professionnels se sentent souvent démunis, désemparés et impuissants face à la déferlante d’émotions perçues tant chez l’autre qu’en eux-mêmes, dans ces situations. Travailler avec le sentiment de peur génère des réactions d’adaptations parfois complexes, à la fois sur la mise en œuvre, mais aussi en vécu dans l’après coup. Ainsi, lorsqu’une agression verbale ou physique de la part d’un usager entraine une réaction en retour – réflexe ou non - de la part du professionnel, celle-ci sera souvent mal vécue par ledit professionnel qui pourra ressentir honte, culpabilité et perte de confiance dans ses propres capacités. Certains parlent alors d’effet « seconde victime ». Si cet effet n’est pas pris en compte de façon institutionnelle, il pourra impacter la pratique professionnelle et le comportement à venir auprès de l’usager, voire altérer la poursuite de l’activité professionnelle. Aussi, sur la thématique de la violence et de l’agressivité à l’attention des professionnels en charge de l’accompagnement des usagers, nous vous proposons une formation qui articule à la fois ces deux souffrances : celle de l’usager et celle du professionnel, non pas pour les opposer, mais pour les reconnaitre et savoir agir en fonction. Ce travail constitue un préalable indispensable pour maintenir un lien de confiance, faciliter les échanges, mettre du sens sur les situations à risque et poursuivre un travail d’accompagnement et/ ou de soins, dans les conditions de bientraitance et sécurité suffisante.