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E-learning
Présentation, contexte et méthodologie de mise en œuvre de projets d’exercice coordonné (CPTS)
DPC
Résumé : L’exercice en équipes coordonnées pluri-professionnelles s’est développé depuis une quinzaine d’années selon 3 modèles : les maisons de santé pluri professionnelles, les centres de santé pluri-professionnels et plus récemment les équipes de soins primaires inscrits depuis la loi de janvier 2016 dans le Code de la santé publique (CSP). Cet exercice concerne un nombre croissant de professionnels de santé et il est plébiscité par les jeunes générations. De plus, il contribue à stabiliser l’offre de soins dans les territoires connaissant des tensions démographiques. Ces bénéfices sont d’autant plus observés que les professionnels coopèrent de manière effective entre eux et partagent de l’information. C’est pourquoi un des objectifs de la stratégie « Ma santé 2022 » est de doubler le nombre des équipes de soins coordonnées d’ici 2022. Les communautés territoriales de santé (CPTS), elles aussi inscrites dans le code de la santé publique depuis la loi de janvier 2016, sont ancrées dans les bassins de vie et constitue une forme d’exercice coordonné à une échelle territoriale : les professionnels de santé participant aux CPTS ne partagent pas nécessairement la même patientèle mais se coordonnent pour mettre en œuvre des projets répondant aux besoins de la population de leur territoire, en utilisant une logistique commune et des outils de partage sécurisé des données de santé. La stratégie de transformation du système de santé a pour ambition de mailler tout le territoire national de CPTS d’ici 2022 afin que l’exercice isolé constitue une exception et afin d’assurer une organisation territoriale des soins. La loi sur l’organisation et la transformation du système de santé inscrit dans le CSP les équipes de soins spécialisés en leur donnant comme objectif d’organiser leurs activités de façon coordonné avec l‘ensemble des acteurs du territoire, et ce sera la plupart du temps dans le cadre des CPTS. Dans ce contexte la formation DPC propose de faire connaitre ces différents dispositifs d’exercice coordonné, le contexte de leur création, leur raison d’être, leur fonctionnement et surtout de partager les méthodes permettant d’en faciliter la création. Une introduction sur la présentation du système de santé, ses institutions nationales et les stratégies nationales de santé, replace les objectifs poursuivis par les structures d’exercice coordonné et la façon dont leurs missions peuvent être déclinées localement poursuivant les objectifs nationaux. La seconde étape consiste à donner des outils et des conseils méthodologiques pour construire les projets de santé, éléments constitutifs des structures d’exercices coordonné et outils de coordination territoriale des professionnels de santé. Elle suit la présentation des stratégies nationales afin d’en comprendre la logique et la construction et comment la décliner au niveau territorial. La formation décrit ensuite le contexte local des structures d’exercice coordonnées et présente les acteurs territoriaux ainsi que le pilotage des politiques de santé territoriales. Cette partie permet aux professionnels de santé d’avoir une vision plus précise de la place que peuvent prendre ces structures dans leur environnement. Le contexte étant parfaitement établi, les types de structures, leurs statuts, leurs missions, leur fonctionnement et leurs financements peuvent être précisés. Ils sont mieux compris et intégrés du fait de la maitrise des éléments de contexte nationaux et territoriaux. La dernière partie présente la méthodologie de projet permettant la création de ce type de structure. Des conseils sur des méthodes projet, et aussi quelques outils pratiques viennent enrichir la formation afin de donner les clés de la réussite à la création d’une structure d’exercice coordonnée ou à une contribution. Les objectifs de la formation : - Connaitre les bases du système de santé et la déclinaison des stratégies et objectifs en santé permettant de comprendre les objectifs poursuivis par les structures d’exercice coordonné - Connaitre le contexte territorial en santé, incluant les acteurs et les outils de pilotage des politiques de santé au niveau local pour positionner l’exercice coordonné dans son environnement direct - Connaitre le cadre juridique, les types, les statuts, les modes de financement et de fonctionnement des structures d’exercices coordonné - Acquérir les méthodes outils permettant l’élaboration de projets de santé - Acquérir des méthodes et outil participant à la création de structures d’exercice coordonné
Infirmier
Mixte
Maitrise de stage et tutorat infirmier classe virtuelle
DPC
Résumé La formation initiale des infirmières depuis 2009 a fait l’objet d’une réforme de ses dispositifs pédagogiques impactant notamment les modalités d’encadrement en stage. La réalisation de stages extra hospitaliers au cours de la formation a pour objectif premier de mieux former les étudiants à l’exercice en ambulatoire. L’objectif global de cette formation est d’aider à développer des capacités et compétences spécifiques à la fonction de tuteur dans l’accueil d’étudiants en stage professionnalisant dans le secteur ambulatoire, en accord avec la législation et la réglementation relatives aux stages en formation infirmière et notamment l’instruction du 4 novembre 2016 spécifique à la formation des tuteurs de stage paramédicaux. Les objectifs spécifiques sont : ● Identifier les missions des tuteurs de stage dans un processus d’apprentissage, ● Acquérir et développer des capacités d’évaluation, ● S’approprier les outils d’évaluation (bilan de mi-stage, portfolio, charte d’encadrement), ● Avoir la capacité d’accompagner les étudiants dans une démarche réflexive, ● Avoir la capacité d’accompagner les étudiants dans l’acquisition du raisonnement clinique infirmier. Contexte La professionnalisation de la fonction de tuteur de stage offre aux étudiants l’assurance d’un stage de qualité. Les instructions DGOS/RH1/2014/369 du 24 décembre 2014 relative aux stages en formation infirmière et DGOS/RH1/2016/330 du 4 novembre 2016 relative à la formation des tuteurs de stages paramédicaux délimitent le cadre de la formation des tuteurs de stages paramédicaux. La loi n°2016-41 dite de modernisation de notre système de santé du 26 janvier 2016 (JO du 27/01/2016) précise dans son article 118 : « L'exercice de la profession d'infirmier est permis aux étudiants préparant le diplôme d'Etat dans le cadre de leur période de stage, dans les établissements et centres de santé ou les établissements et services médico-sociaux, les structures de soins ambulatoires et les cabinets libéraux agréés pour l'accomplissement des stages ». La réalisation de stages extra hospitaliers au cours de la formation a pour objectif premier de mieux former les étudiants à l’exercice en ambulatoire. Elle est aussi reconnue comme un des moyens les plus efficaces pour favoriser l’installation sur les territoires de stage dès la fin de la formation des jeunes diplômés. La possibilité de développer ces stages dépend de la disponibilité d’un nombre suffisant de maitres de stages universitaires (MSU) pour les médecins ou de tuteurs pour les autres professions, afin de pouvoir ouvrir des lieux de stage et encadrer les étudiants dans des conditions de qualité optimales. Le référentiel de formation des infirmiers de 2009 est construit selon trois piliers d’apprentissage que sont comprendre, agir et transférer. En ce sens, les stages ont une place prépondérante, puisqu’ils sont les lieux où l’étudiant pourra non seulement mobiliser des connaissances acquises, mais aussi construire des savoirs et acquérir des compétences à visée professionnelle.
Infirmier
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Soin des plaies chroniques
DPC
La plaie est définie comme une « altération de l’intégrité cutanée ». Elle peut être aiguë, par exemple brûlure, plaie post opératoire, ou chronique comme les ulcères, l’escarre, le mal perforant plantaire, etc. La chronicité d’une plaie est définie par un seuil de cicatrisation supérieur à 4 à 6 semaines. En dehors du choix du dispositif médical pour la réalisation des soins locaux, le processus de prise en charge d’une plaie comporte différents niveaux d’analyse : évaluation de la plaie, de son pourtour, mais aussi de l’état nutritionnel, de la douleur, du niveau d’observance de la compression veineuse en cas d’ulcère veineux, du besoin en dispositif de décharge en cas d’escarres ou de mal perforant plantaire, et bien d’autres éléments encore. L’objectif global de cette formation est l'amélioration de la pertinence de l’analyse de la situation globale du patient pour une meilleure efficience des stratégies thérapeutiques dans le domaine des plaies. L’apprenant actualisera ses connaissances sur l’accompagnement du patient porteur de plaie. Il connaîtra la physiopathologie des différentes plaies chroniques et leur étiologie. Il sera en mesure d’adapter sa prise en soins à chacun de ces types. Il saura utiliser les différents traitements médicamenteux ou non, et expliquer leur mode d’action et leurs effets secondaires. Il saura reconnaître et prévenir les complications de plaie ( chronicisation, ulcère, pied diabétique, infection). Il mobilisera ses connaissances pour adapter son intervention aux attentes et besoins du patient. Une démarche éducative auprès du patient et de ses proches renforcera son action soignante, aidera à prévenir les complications et favorisera la qualité de vie en facilitant le parcours complexe de soins du patient porteur de plaie. Objectifs de transformation des pratiques ● Savoir expliquer le mécanisme physiopathologique d’une plaie et les étapes de la cicatrisation ● Actualiser les connaissances relatives aux principales plaies chroniques : escarres, ulcères, brûlures, plaies diabétiques ● Savoir évaluer les différentes plaies et connaître les thérapeutiques adaptées à chacune d’elles ● Connaître la réglementation encadrant la prescription, l'élimination des déchets d'activité de soins et la confidentialité des données
Infirmier
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Prise en charge des patients sous anticoagulants
DPC
Résumé Les pathologies cardiaques, représentant 2.2 millions de patients en Affection Longue Durée (ALD), nécessitent souvent la prise d’anticoagulants avec tous les risques inhérents à ces molécules : accidents hémorragiques au premier rang des accidents iatrogènes et responsables de nombreuses hospitalisations, nouveaux anticoagulants comportant moins de risques mais ne possédant pas d’antidote. La prévention et la prise en charge constituent un enjeu majeur de santé publique L’objectif global de cette formation est de sécuriser les parcours de soins, notamment par le dépistage des risques liés aux anticoagulants (bon usage des anticoagulants, le repérage des situations à risque, l’alerte et la révision des pratiques). L’apprenant actualisera ses connaissances sur l’accompagnement du patient sous anticoagulants. Il connaîtra les différents types d’anticoagulants disponibles , leurs indications, contre-indications et précautions d’usage. . Il sera en mesure d’adapter sa prise en soins à chacun de ces types. Il saura utiliser les différents traitements et expliquer leur mode d’action et leurs effets secondaires. Il saura reconnaître et prévenir les complications et la iatrogénie. Il mobilisera ses connaissances pour adapter son intervention aux attentes et besoins du patient. Une démarche éducative auprès du patient et de ses proches renforcera son action soignante, aidera à prévenir les complications et favorisera la qualité de vie en facilitant le parcours complexe de soins du patient sous anticoagulants. Contexte Le bon usage des médicaments représente un enjeu de santé publique majeur. Les accidents liés à un mauvais usage du médicament occasionnent chaque année plus de 10 000 décès, dont 7 500 chez les plus de 65 ans. Ils sont la cause de plus de 130 000 hospitalisations et près de 1,3 millions de journées d’hospitalisations. Alors que dans 45 à 70 % des cas ces accidents seraient évitables Au sein de la population, les personnes âgées sont tout particulièrement vulnérables : 30% des hospitalisations, au-delà de 80 ans, sont liées à un mauvais usage des médicaments. La polymédication, liée à la cohabitation, souvent, de plusieurs pathologies, augmente les risques d’interactions médicamenteuses (3). L’altération des fonctions rénale ou hépatique augmente les risques de surdosage. La défaillance des fonctions cognitives expose aux erreurs de prises médicamenteuses. Les affections cardio-vasculaires représentent en France 400 morts par jour, 2.2 millions de patients en Affection Longue Durée (ALD), 20 millions de personnes à risque cardiovasculaire, et 20 milliards d’euros de dépenses annuelles. Ces affections nécessitent souvent la prise d’anticoagulants avec tous les risques inhérents à ces molécules : accidents hémorragiques au premier rang des accidents iatrogènes et responsables de nombreuses hospitalisations, nouveaux anticoagulants comportant moins de risques mais ne possèdant pas d’antidote L’utilisation des anticoagulants n’a cessé d’augmenter au cours des dernières années, avec un doublement des ventes des anticoagulants oraux entre 2000 et 2012. Ceci s’explique par un vieillissement de la population française puisque vingt pourcents de la population française a plus de 65 ans. En effet, l’exposition aux anticoagulants augmente avec l’âge ainsi 13,7% des sujets âgés de 65 ans et plus ont été exposés au moins une fois à un anticoagulant en 2013. En marge des AVK (anti vitamines K), leader du marché, près de la moitié des patients (48%) débutant un traitement anti coagulant oral depuis 2013 en France se voit prescrire un traitement par NACO (Nouveaux Anticoagulants Oraux Directs) puis AOD (Anticoagulants Oraux Directs), sans que les risques réels soient encore bien maitrisés. On estime à environ 5000 le nombre d’accidents mortels liés aux hémorragies sous AVK par an (étude EMIR, 2008). De plus, ils sont à l’origine du plus fort taux d’incidence d’hospitalisation pour effets indésirables : 12,7% en 2007. Cette formation, centrée sur les patients sous anticoagulants, mettra l’accent sur : ● La réflexion sur le bon/ le mauvais usage du médicament et sur ses causes ● Des données chiffrées sur l’impact médical et économique du mauvais usage du médicament ● La découverte et appropriation des outils existants pour assurer un accompagnement efficient ● Les conduites d’accompagnement du changement et de motivation du patient.
Pédicure-Podologue, Sage-Femme, Médecin Généraliste, + 2 autres
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Préparation et organisation coordonnée en cas de situations sanitaires exceptionnelles (SSE)
DPC
La pandémie mondiale actuelle de Covid-19, les dernières crises sanitaires (SRAS, Pandémie Grippe A (H1N1), MERS-CoV, Ébola, etc.), les accidents collectifs (explosion usine AZF) , attentats (Bataclan, Charlie Hebdo, ..) et les divers épisodes cycloniques (Antilles) démontrent l’intérêt d’une formation permettant aux acteurs du système de santé civils (et militaires) d’être en mesure d’assurer la prise en charge immédiate des patients en situations sanitaires exceptionnelles en pré hospitalier, tout en assurant la sécurité des professionnels de santé et des personnels. Cette formation est une sensibilisation théorique aux gestes et soins d'urgence en situation sanitaire exceptionnelle. Elle a pour objet l'acquisition de connaissances nécessaires pour intervenir en cas d'urgences collectives et de situation sanitaire exceptionnelle, connaitre les procédures indispensables du damage control, et surtout l‘organisation des secours, les plans blancs et les dispositifs ORSEC NOVI et ORSAN . L’objectif global de cette formation est de permettre aux professionnels de santé d’acquérir les connaissances nécessaires pour s’adapter aux conséquences d’une situation sanitaire exceptionnelle et remplir au mieux leurs missions notamment pour la préparation des plans de gestion de ces situations et leur mise en œuvre en pré hospitalier. L’apprenant actualisera ses connaissances sur les gestes d’urgence de base à connaitre en cas de situation exceptionnelle, sera sensibilisé aux modalités d’accueil massif de victimes non contaminées en établissement de santé (comme dans le cas du Bataclan), apprendra ce qu’est le « damage control » et comment le mettre en œuvre et comment répondre aux urgences médico psychologique avec le CUMP. Grâce à cette formation il pourra mobiliser ses connaissances pour adapter son intervention aux différentes situations de crise et saura mobiliser les ressources de son territoire (CPTS, offres de soins, cabinets de ville) pour répondre à la crise. Cette formation est proposée en e-learning avec des séquences vidéos et des interactions au travers d’exercices de mise en situation. Contexte L’article R. 3131-10 du code de la santé publique précise que le dispositif ORSAN mentionné à l’article L.3131-11 du même code comprend un programme annuel ou pluriannuel identifiant les actions à mener par les acteurs du système de santé pour maintenir ou développer les capacités nécessaires, en particulier en termes de prise en charge des patients ou victimes, de formation des professionnels de santé et d’attribution des moyens opérationnels. Ainsi, la formation des professionnels de santé civils et militaires constitue un élément important de la préparation de la réponse du système de santé aux urgences et aux situations sanitaires exceptionnelles reposant sur le dispositif ORSAN, notamment la prise en charge des victimes d’accidents collectifs, d’attentats, d’épidémie, ou de catastrophes qui s’articule avec la réponse médicale préhospitalière contribuant au dispositif ORSEC. Les professionnels de ville sont également concernés car ils représentent une force vive sur le terrain, parfois en première ligne en cas d’évènements sur la voie publique. Ils peuvent être des acteurs importants en coordination avec les forces de l’ordre et de secours et en attendant la prise en charge hospitalière. Dans ce cadre, il est indispensable de renforcer la formation des professionnels de santé en soins primaires à faire face aux situations sanitaires exceptionnelles et ainsi optimiser la prise en charge des victimes adultes et pédiatriques sur le plan somatique et psychique. Cet objectif de formation est notamment destiné à couvrir les champs suivants : ● l’accueil, le triage et la prise en charge préhospitalière des blessés somatiques d’accidents collectifs ou d’attentats, en particulier la mise en oeuvre des gestes et soins d’urgence, les techniques de « damage control » médicales et chirurgicales et les soins spécifiques aux brûlés ; ● les risques et prises en charge des patients victimes d’un agent nucléaire, radiologique, biologique et chimique (activités du complexe militaro-industriel, menace terroriste, etc.), y compris les techniques de décontamination et l’administration des thérapeutiques spécifiques ; ● l’intervention médico-psychologique préhospitalière auprès des blessés psychiques et l’orientation vers une prise en charge des troubles psychiques post-traumatiques ; ● la prise en charge et le suivi des patients atteints d’infection liée à un risque épidémique et biologique et leur diagnostic biologique ; ● la gestion des conséquences sanitaires des événements climatiques ; ● l’organisation de la réponse du système de santé et la montée en puissance du secteur ambulatoire, des établissements de santé ou médico-sociaux (plan de gestion des tensions 1-août-19, et comment la ville peut s’organiser en cas de situation exceptionnelle ? La crise actuelle a représenté un observatoire en vie réelle et a démontré la résilience des systèmes qui ont su s’adapter, malgré des difficultés d’organisation.
Pédicure-Podologue, Infirmier
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Thérapies orales anticancéreuses et immunothérapie
DPC
Résumé A l’horizon 2020, 50% de thérapies anticancéreuses seront disponibles par voie orale. Néanmoins elles nécessitent une surveillance, car le patient est à son domicile, hors du cadre hospitalier. Hormonothérapie, chimiothérapie ou thérapie ciblée sont des approches privilégiées lorsque le patient est éligible. Il faut savoir que les effets toxiques ou indésirables possibles sont les mêmes qu’avec une chimiothérapie par voie intraveineuse. L’objectif de cette formation est de sensibiliser les professionnels de santé concernés sur les actions qui relèvent de leurs compétences pour contribuer à l’amélioration et à l’harmonisation de leurs pratiques en relation avec le suivi des patients atteint de cancer. Elle permettra au soignant en soins de ville de s'approprier les éléments principaux autour de la maladie cancéreuse, des traitements disponibles et adaptés selon le type et le stade du cancer et en particulier les traitements anticancéreux (les thérapies ciblées, la chimiothérapie orale, et l'hormonothérapie de seconde génération) mais aussi l’immunothérapie. Il apprendra à identifier les évènements indésirables associés à ces thérapies et les grader. Il saura adapter ses conseils au patient, selon son niveau d’habilitation et son champ de compétences, pour l’aider à gérer au mieux son parcours thérapeutique. A l’issue de la formation, il saura se positionner en professionnel d’appui pour le patient et ses proches, favoriser le lien entre tous les acteurs du parcours de ville et le médecin spécialiste, et ainsi favoriser l’accès à la santé, en diminuant l’impact des inégalités sociales et territoriales. Contexte Avec 400 000 nouveaux cas par an, le cancer est un enjeu de Santé Publique en France. On constate de nombreuses avancées thérapeutiques qui ont permis de faire baisser la mortalité, faisant figurer le cancer au rang des maladies chroniques. Le Plan Cancer 2014-2019 préconise de “Mettre à disposition des professionnels de premier recours des outils de bonnes pratiques pour l’organisation des parcours de 1 soins en ambulatoire” et d'accompagner les professionnels de santé au suivi des chimiothérapies orales . De plus, la stratégie nationale de santé 2018-2022 préconise de - Mettre en place une politique de promotion de la santé - Lutter contre les inégalités sociales et territoriales d’accès à la santé - garantir la sécurité, la qualité et la pertinence des prises en charge - Innover pour transformer notre système de santé A l’horizon 2020, 50% de thérapies anticancéreuses seront disponibles par voie orale. Néanmoins elles nécessitent une surveillance, car le patient est à son domicile, hors du cadre hospitalier. Hormonothérapie, chimiothérapie ou thérapie ciblée sont des approches privilégiées lorsque le patient est éligible. Les effets toxiques ou indésirables possibles sont les mêmes qu’avec une chimiothérapie par voie intraveineuse. De nouvelles perspectives prometteuses et innovantes rrivent également sur le marché avec l'immunothérapie spécifique. Le congrès mondial de l’ASCO 2019 s’y réfère, comme traitement de l’avenir. Mais l’association d’une thérapie ciblée et d’une immunothérapie peut générer des effets indésirables de façon soudaine et incontrôlable. Le patient nécessite une surveillance minutieuse et des conseils adaptés, et saura être accompagné par les professionnels de santé de proximité. C’est généralement l'infirmier de proximité qui prend une place active dans cet accompagnement, mais il nécessite pour ce faire un formation sur ces toxicités et surtout la conduite à tenir en cas de survenue et connaître les modalités de déclaration d’effets indésirables. Il sera en contact étroit avec le médecin généraliste, qui sera le premier relais avec l’oncologue. Les répercussions de ces toxicités peuvent être importantes tant sur le plan de la qualité de vie du patient et de ses proches, que de son pronostic (avec risque d'échappement thérapeutique), ainsi qu'un impact sur les coûts pour la société (hospitalisations). La prise en charge des patients traités pour un cancer nécessite de multiples compétences, tant sur le plan clinique que psychologique. L’objectif de cette formation est de permettre à un soignant de soins de ville de s'approprier les éléments principaux autour de la maladie cancéreuse, des traitements disponibles et adaptés selon le type et le stade du cancer et en particulier les traitements anticancéreux (les thérapies ciblées, la chimiothérapie orale, et l'hormonothérapie de seconde génération) mais aussi l’immunothérapie. Il apprendra à identifier les évènements indésirables associés à ces thérapies et les grader. Il saura adapter ses conseils au patient, en fonction de son rôle et de ses compétences, pour l’aider à gérer au mieux son parcours thérapeutique. L’objectif de cette formation est également de permettre au soignant de se positionner en professionnel d’appui pour le patient et ses proches, et de favoriser le lien avec tous les acteurs du parcours de ville et le médecin spécialiste.
Infirmier
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Voies veineuses centrales et picc line
DPC
Résumé Il existe de nombreuses pathologies pour lesquelles il y a nécessité de poser une voie veineuse centrale ( VVC) à insertion centrale ou périphérique (Picc line), afin d’administrer des doses de produits souvent trop toxiques pour la voie périphérique. Néanmoins ces dispositifs sont à manipuler avec d’extrêmes précautions, afin d’éviter le risque infectieux, qui est majeur. Ainsi de la période qui suit la pose au retrait, l’infirmier devra être vigilant sur les signes avant-coureurs d’une infection locale. L’objectif global de cette formation est d’améliorer la prise en charge du patient porteur d’une voie centrale (ou à insertion périphérique) en réduisant les risques et assurant une harmonisation des pratiques professionnelle, selon les recommandations et la législation en vigueur. L’apprenant actualisera ses connaissances sur les types de voies veineuses, leur indications, les risques de complications associés et la surveillance. Il sera en mesure d’adapter sa prise en soins à chacun de ces types. Il saura utiliser les différents traitements spécifiques avec les recommandations d’usage. Il saura reconnaître et prévenir les complications aiguës. Il mobilisera ses connaissances pour adapter son intervention aux attentes et besoins du patient. Une démarche éducative auprès du patient et de ses proches renforcera son action soignante, aidera à prévenir les complications et favorisera la qualité de vie en facilitant le parcours complexe de soins du patient porteur de VVC. Tout au long de cette formation, le participant développera un savoir-faire lui permettant de prendre en charge les soins relatifs à ces dispositifs au domicile du patient, comme en milieu hospitalier, de prendre des décisions thérapeutiques lors de la prise en soin, de participer à l’éducation du patient et de son entourage et de gérer le dossier de soins infirmiers, dans le cadre d’un travail en équipe. Objectifs de transformation des pratiques ● Connaitre l’intérêt de l’utilisation d’un dispositif d’injection de substances pharmaceutiques et médicamenteuses sur une voie centrale ● Connaître et maîtriser les conditions d’asepsie et d’hygiène au regard des normes en vigueur, du mode de ponction et d’injection percutanée et de la sécurité propre et de la sécurité d’autrui ● Maîtriser la procédure d’injection de produits via un PICC LINE ou une Chambre à Cathéter Implantable, dans le cadre de la réglementation en vigueur ● S’approprier les recommandations de la HAS en matière de prévention des infections et maitrise du risque, associés aux soins liées aux dispositifs invasifs
Infirmier
Mixte
Maitrise de stage et tutorat infirmier
DPC
Résumé La formation initiale des infirmières depuis 2009 a fait l’objet d’une réforme de ses dispositifs pédagogiques impactant notamment les modalités d’encadrement en stage. La réalisation de stages extra hospitaliers au cours de la formation a pour objectif premier de mieux former les étudiants à l’exercice en ambulatoire. L’objectif global de cette formation est d’aider à développer des capacités et compétences spécifiques à la fonction de tuteur dans l’accueil d’étudiants en stage professionnalisant dans le secteur ambulatoire, en accord avec la législation et la réglementation relatives aux stages en formation infirmière et notamment l’instruction du 4 novembre 2016 spécifique à la formation des tuteurs de stage paramédicaux. Les objectifs spécifiques sont : ● Identifier les missions des tuteurs de stage dans un processus d’apprentissage, ● Acquérir et développer des capacités d’évaluation, ● S’approprier les outils d’évaluation (bilan de mi-stage, portfolio, charte d’encadrement), ● Avoir la capacité d’accompagner les étudiants dans une démarche réflexive, ● Avoir la capacité d’accompagner les étudiants dans l’acquisition du raisonnement clinique infirmier. Contexte La professionnalisation de la fonction de tuteur de stage offre aux étudiants l’assurance d’un stage de qualité. Les instructions DGOS/RH1/2014/369 du 24 décembre 2014 relative aux stages en formation infirmière et DGOS/RH1/2016/330 du 4 novembre 2016 relative à la formation des tuteurs de stages paramédicaux délimitent le cadre de la formation des tuteurs de stages paramédicaux. La loi n°2016-41 dite de modernisation de notre système de santé du 26 janvier 2016 (JO du 27/01/2016) précise dans son article 118 : « L'exercice de la profession d'infirmier est permis aux étudiants préparant le diplôme d'Etat dans le cadre de leur période de stage, dans les établissements et centres de santé ou les établissements et services médico-sociaux, les structures de soins ambulatoires et les cabinets libéraux agréés pour l'accomplissement des stages ». La réalisation de stages extra hospitaliers au cours de la formation a pour objectif premier de mieux former les étudiants à l’exercice en ambulatoire. Elle est aussi reconnue comme un des moyens les plus efficaces pour favoriser l’installation sur les territoires de stage dès la fin de la formation des jeunes diplômés. La possibilité de développer ces stages dépend de la disponibilité d’un nombre suffisant de maitres de stages universitaires (MSU) pour les médecins ou de tuteurs pour les autres professions, afin de pouvoir ouvrir des lieux de stage et encadrer les étudiants dans des conditions de qualité optimales. Le référentiel de formation des infirmiers de 2009 est construit selon trois piliers d’apprentissage que sont comprendre, agir et transférer. En ce sens, les stages ont une place prépondérante, puisqu’ils sont les lieux où l’étudiant pourra non seulement mobiliser des connaissances acquises, mais aussi construire des savoirs et acquérir des compétences à visée professionnelle.
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Le parcours de l’adulte présentant des troubles du spectre de l’autisme
DPC
Résumé La Haute Autorité de Santé a estimé, sur la base des études internationales, qu’environ un nouveau-né sur 100 serait concerné par des troubles du spectre de l’autisme (TSA). L’autisme constitue un spectre dont les signes cliniques sont précocement visibles, permettant un diagnostic fiable à partir de 3 ans, voire 18 mois à 2 ans (test M-CHAT) dans un fort pourcentage de cas. Si le parcours du jeune enfant autiste commence à être balisé, l’adulte reste sous-identifié. Divers rapports publics soulignent un retard dans le diagnostic et l’accompagnement des adultes avec TSA. L’objectif global de cette formation est de favoriser la diffusion et l’appropriation des recommandations de bonnes pratiques sur la compréhension des TSA et de leur approche thérapeutique. L’apprenant actualisera ses connaissances sur l’évaluation du fonctionnement de l’adulte avec trouble du spectre de l’autisme avec ou sans troubles du développement intellectuel. Il sera sensibilisé à la démarche diagnostique (positifs, différentiels, comorbidités) et saura identifier les signes d’alerte pour l’orienter au mieux. Il identifiera les points appelant à une vigilance pour un diagnostic différentiel. Il sera en mesure de se familiariser avec les programmes coordonnés d’intervention thérapeutique et éducative recommandés, car cette formation lui permettra de connaître les éléments de parcours des adultes avec TSA, et les dispositifs impliqués dans ce parcours. Des éléments cliniques seront développés mais surtout une approche dépistage et parcours, ce qui élargit le public ciblé par ce thème, encore insuffisamment développé dans les études et en formation continue. Sont concernées par cette thématique les médecins généralistes en tout premier lieu, mais aussi certains médecins spécialistes amenés à consulter ou suivre des patient atteint d’un TSA, en médecine de ville, de façon à savoir les accompagner dans leur parcours et communiquer de façon adaptée et pertinente. Les infirmiers et infirmiers puériculteurs peuvent être concernés dans le cadre de leurs soins au domicile, mais aussi les métiers de la rééducation comme les masseur kinésithérapeutes et les pédicures podologues, qui assurent souvent des soins itératifs nécessitant une bonne adhésion du patient. Les paramédicaux ne sont pas concernés par la pose du diagnostic mais par l’accompagnement lors de l’annonce. Objectifs de transformation des pratiques • Améliorer sa connaissance des caractéristiques cliniques des personnes avec TSA, en s’appuyant sur les recommandations de bonne pratique professionnelle et les données les plus récentes de la littérature internationale. • Se sensibiliser à la démarche diagnostique (positifs, différentiels, comorbidités). • Savoir soutenir les personnes avec TSA et leurs proches dans le cadre d’un partenariat avec les familles. • Se familiariser avec les programmes coordonnés d’intervention thérapeutique et éducative recommandés, ainsi que les dispositifs impliqués, pour savoir orienter, recommander ou initier un projet personnalisé. Contexte L’autisme se développe avant la naissance, et peut être diagnostiqué de façon fiable à partir de 3 ans, voire 18 mois (test M-CHAT) pour un fort pourcentage de cas. On estime à environ 700 000 le nombre de personnes ayant un trouble du spectre de l'autisme en France (chiffres avril 2020, association Autisme France). Chaque année, on estime qu’environ 8 000 enfants naissent avec autisme. Ces chiffres sont à prendre avec du recul, car des rapports publics soulignent qu’un nombre important de personnes adultes autistes ne sont pas identifiées, dénonçant un retard français significatif : • Rapport de la Cour des comptes relatif à l’évaluation de la politique en direction des personnes présentant des TSA (décembre 2017) ; • Rapport IGAS-IGEN relatif à l’évaluation du 3ème plan autisme dans la perspective de l’élaboration d’un 4ème plan (mai 2017) ; • Rapport IGAS relatif au fonctionnement des CRA (mars 2016) ; • Rapport d’information du Comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques de l’Assemblée nationale sur l’évaluation de la prise en charge de l’autisme (juin 2018). Or, une démarche diagnostique peut être engagée à tout âge de la vie. Elle permet d’envisager une meilleure adaptation de la personne à l’environnement, et de l’environnement aux besoins spécifiques de la personne. Il s’agit de mettre en œuvre un projet d’interventions adapté, dans le respect des recommandations de bonnes pratiques professionnelles. La stratégie nationale autisme au sein des troubles du neurodéveloppement, annoncée en avril 2017, souligne notamment qu’« un diagnostic tardif signifie non seulement que plusieurs troubles ont pu se développer au fil des années, en partie parce que les soins apportés peuvent être inadéquats, au niveau médicamenteux notamment. Cela signifie aussi que les situations complexes ou des troubles du comportement aigus tiennent parfois à cette mauvaise prise en charge. Enfin, quand les personnes sont insérées socialement, l’absence de diagnostic pénalise leur parcours et emporte le risque d’une précarisation progressive faute d’un accompagnement adéquat » Plusieurs raisons peuvent expliquer cette difficulté : masquage des troubles en cas de trouble du développement intellectuel important associé ; diagnostic erroné ; méconnaissance clinique des troubles du spectre de l’autisme. Ces constats mettent en évidence un véritable enjeu en matière de formation des professionnels, et notamment des professionnels de santé, qui sont souvent en première ligne pour détecter, conseiller, orienter et accompagner patients et proches. Concepteur de l’action Cette action est conçue par une jeune adulte concernée par le trouble du spectre autistique, qui a contribué de façon active aux différents plans gouvernementaux, en particulier avec Claire Compagnon, sur les concertations de la « stratégie autisme » (2017-2019). Elle a une activité d’assistante de recherche du Pr Mottron de l'Université de Montréal, qui est psychiatre et directeur du laboratoire de Neurosciences cognitives des troubles envahissants du développement, spécialisé sur les problématiques de l’autisme. Cette action de formation est réalisée sous sa supervision.
Médecin Généraliste, Infirmier
E-learning
Repérage de la crise suicidaire et intervention de crise
DPC
Résumé Les professionnels de santé présentent des risques de santé spécifiques liés à leurs situations de travail, quels que soient la profession ou le mode d’exercice. Ils sont notamment particulièrement exposés au risque d’épuisement professionnel. Les facteurs de cette exposition aux risques psychosociaux sont complexes ; nature de l’exercice professionnel qui confronte à des réalités difficiles (mort, maladie grave, détresse...), contraintes organisationnelles qui peuvent amener à un vécu de conflit de valeurs ou de perte de sens, représentations d’« infaillibilité » du soignant qui tend à retarder la demande d’aide. L’objectif global de cette formation est de permettre aux professionnels de santé de s’approprier les approches de prévention primaire pour améliorer leurs pratiques, prévenir les risques pour leur santé et celle des autres professionnels, et faire évoluer les organisations de travail L’apprenant apprendra à mettre en place une dynamique qui concerne à la fois l’amélioration de ses pratiques et la prévention des risques professionnels liés à son exercice ; Il connaitra l’offre de prévention et de soins spécialisés proposée en direction des professionnels de santé ; Il saura à l’issue de la formation faire le lien entre les enjeux de qualité et de sécurité des soins, le travail interprofessionnel et sa qualité de vie au travail. Il s’agira de focuser également sur la prévention des troubles musculo squelettiques, les addictions et les accidents d’exposition au sang. Contexte Cette formation s’inscrit dans la droite ligne de l’Article 4122-1 du Code du Travail – ordonnance mars 2007 : « Conformément aux instructions qui lui sont données par l’employeur, dans les conditions prévues au règlement intérieur pour les entreprises tenues d’en élaborer un, il incombe à chaque travailleur de prendre soin, en fonction de sa formation et de ses possibilités, de sa santé et de sa sécurité ainsi que celles des autres personnes concernées par ses actes ou ses omissions au travail. » La Haute Autorité de Santé précise par exemple que la QVT fait valoir que la perception qu’ont les professionnels de la qualité de vie au travail dépend de leur capacité à s’exprimer et à agir sur le contenu de leur travail. Les professionnels de santé présentent des risques de santé spécifiques liés à leurs situations de travail, quels que soient la profession ou le mode d’exercice. Ils sont notamment particulièrement exposés au risque d’épuisement professionnel. Les facteurs de cette exposition aux risques psychosociaux sont complexes ; nature de l’exercice professionnel qui confronte à des réalités difficiles (mort, maladie grave, détresse...), contraintes organisationnelles qui peuvent amener à un vécu de conflit de valeurs ou de perte de sens, représentations d’« infaillibilité » du soignant qui tend à retarder la demande d’aide. Outre ces aspects portant sur le risque d’épuisement, il existe des risques d’atteintes somatiques comme les troubles musculosquelettiques (TMS) des soignants en EPHAD (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) ou même exerçant au domicile; Des risques d’addictions ou d’accidents d’exposition au sang. Cette formation permet aux Professionnels de Santé d'identifier les situations de de risques auxquelles ils sont confrontés, d'en comprendre les mécanismes et de mettre en œuvre des stratégies d'adaptation utiles pour eux-mêmes. Ils pourront ainsi identifier els différentes ressources existantes pour accompagner les soignants atteints de pathologies professionnelles. Objectifs de transformation des pratiques • Connaitre le cadre règlementaire et les ressources disponibles pour améliorer sa qualité de vie au travail • Savoir identifier un risque psycho social et le prévenir par la mise en œuvre de mesures de protection • Connaitre les attitudes ou démarches nécessaires à la prévention des troubles musculosquelettiques, accident d’exposition au sang ou comportements d’addiction