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Médecin Généraliste


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Démarche diagnostique devant une Lombalgie Aigue en 1er recours

DPC

La lombalgie aiguë est un motif très fréquent de consultation en médecine générale. Les objectifs de la consultation initiale sont multiples : confirmer le diagnostic de lombalgie aiguë commune en éliminant notamment une lombalgie symptomatique, rechercher une radiculalgie associée, identifier les obstacles potentiels à une évolution favorable, rechercher les facteurs de risque d’incapacité prolongée au travail ou d’obstacle à la reprise du travail ; mais aussi discuter de l’intérêt d’un examen complémentaire. De cette démarche diagnostique clinique initiale découle toute la suite de la prise en charge thérapeutique. Objectifs généraux : Améliorer et faciliter le raisonnement clinique en soins primaire devant une lombalgie aigue Connaitre les indications d’examens complémentaires et leur pertinence. Objectifs spécifiques de transformation de pratiques : Devant une lombalgie aigue : Citer 2 signes cliniques de gravité à l’examen clinique Citer 1 à 2 examens complémentaires pertinent(s) en cas de gravité

Médecin Généraliste


En présentiel

Les traumatismes de la cheville en premier recours, chez l’adulte.

DPC

Les médecins généralistes ne sont pas toujours à l’aise avec ce qui fait consensus dans la prise en charge des traumatismes de la cheville. Ainsi, l’examen clinique, le rôle des examens complémentaires, les prescriptions de rééducation, les indications de traitement médical ou chirurgical, ne sont pas toujours utilisés à bon escient. La place des différents acteurs dans la prise en charge d’un patient traumatisé de la cheville peut être optimisée au mieux des compétences de chacun, pour que les médecins généralistes, du sport, rhumatologues, radiologues, rééducateurs, chirurgiens, kinésithérapeutes puissent travailler en concertation et en réseau de soins, en utilisant au mieux les données actuelles de la science dans le concept de l’EBM (Evidence Based Medecine). Les médecins pourront ainsi se réapproprier les données actuelles concernant la prise en charge des traumatismes de cheville. Objectifs principaux : Objectif 1 A l’issue du programme, le participant doit être capable de : Analyser les différentes situations cliniques impliquant un traumatisme aigu de la cheville. Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : · Donner 2 signes cliniques orientant vers une entorse de la cheville Objectif 2 A l’issue du programme, le participant doit être capable de : Orienter (vers des examens complémentaires ou une hospitalisation) un patient souffrant d’une douleur aigue suite à un traumatisme de la cheville en fonction de l'examen clinique Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : · Donner 2 éléments menant vers une hospitalisation immédiate d'un patient victime d'un traumatisme aigu de la cheville · Citer 2 indications de réalisation d'une imagerie Objectif 3 A l’issue du programme, le participant doit être capable de : Orienter un patient victime d'un traumatisme de la cheville aigu vers une radiographie Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : · Citer 2 indications de réalisation d'une radiographie de la cheville d'un patient traumatisé aigu Objectif 4 A l’issue du programme, le participant doit être capable de : Orienter vers une imagerie complémentaire type échographie, IRM ou Scanner un patient victime d'un traumatisme de la cheville aigu Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : · Citer 2 indications pour une échographie de la cheville · Citer 2 indications pour une IRM de la cheville

Médecin Généraliste


En présentiel

Démarche diagnostique devant un traumatisme du membre supérieur de l’enfant en premier recours

DPC

La pathologie traumatique de l’enfant est totalement différente de celle de l’adulte, du fait notamment des plaques de croissance. Les enfants sont plus radiosensibles, d’où une adaptation des incidences et du nombre de clichés pour cette catégorie de la population. Toute la prise en charge dépend de la démarche diagnostique initiale, qui est donc cruciale pour permettre d’établir un diagnostic et une bonne indication de traitement. La formation est adaptée au public des médecins de montagne, qui répondent aux soins non programmés en 1ere ligne souvent dans des zones isolées. Leur démarche diagnostique initiale est clinique et radiologique du fait du recrutement traumatologique du sport d’hiver. Objectifs généraux Améliorer et faciliter le raisonnement clinique en soins primaire. Décrire de façon précise les diagnostics cliniques retenus devant un traumatisme du membre supérieur de l’enfant. Diminuer la prescription d’examens complémentaires inutiles Objectifs spécifiques de transformation de pratiques : Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : Citer 2 particularités du cartilage de croissance de l’enfant soumis à un traumatisme. Citer 2 signes cliniques pour chaque segment, évocateurs d’une fracture du membre supérieur devant une attitude douloureuse du membre supérieur de l’enfant (épaule/ bras / coude / avant-bras / poignet et main). Préciser le stade radiologique (Salter & Harris) d’une fracture du cartilage de croissance, justifiant la pertinence de cet examen complémentaire.

Médecin Généraliste


En présentiel

Prise en charge d’un traumatisme crânien léger chez l’enfant et le nourrisson.

DPC

Le traumatisme crânien (TC) est le traumatisme le plus fréquent chez le nourrisson et l’enfant ainsi que la première cause de mortalité́ chez ceux qui ont plus d’un an, dans les pays développés. C’est un motif fréquent d’ urgences pédiatriques et plus de 95% des TC sont légers. La problématique pour le praticien est donc de pouvoir identifier parmi ces enfants peu symptomatiques ceux à risque de lésions intracrâniennes, présentes chez 10% des TC légers, et pour lesquels une imagerie cérébrale ou une surveillance hospitalière seront nécessaires. Ce programme DPC a pour objectif d’actualiser les connaissances des médecins sur la prise en charge du TC du nourrisson et de l’enfant. Cette formation s’adresse à des médecins généralistes exerçant dans des zones éloignées des structures hospitalières. Ces médecins ruraux sont les médecins traitants des populations locales, participent à la permanence des soins en 1er recours, et doivent savoir comment mieux prendre en charge ces patients en fonction des particularités d’accès aux soins des territoires isolés. Objectifs généraux : 1) Identifier le TC grave et bien connaitre les principes de la prise en charge pré́-hospitalière . 2) Reconnaitre le TC léger qui représente plus de 95 % des TC chez l’enfant. 3) Rechercher les éléments anamnestiques et cliniques permettant d’identifier les enfants relevant d’une imagerie cérébrale. 4) Décider de l’orientation vers une structure hospitalière et les conditions permettant le maintien à domicile avec des conseils à la famille. Objectifs spécifiques de transformation de pratiques : - Connaitre les échelles de Glasgow pédiatriques . - Citer les critères permettant d’identifier dans les TCL les 10% à risque. - Citer les éléments essentiels d’une surveillance à domicile.

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En présentiel

Démarche diagnostique devant un traumatisme du membre supérieur de l’enfant en premier recours

DPC

La pathologie traumatique de l’enfant est totalement différente de celle de l’adulte, du fait notamment des plaques de croissance. Les enfants sont plus radiosensibles, d’où une adaptation des incidences et du nombre de clichés pour cette catégorie de la population. Toute la prise en charge dépend de la démarche diagnostique initiale, qui est donc cruciale pour permettre d’établir un diagnostic et une bonne indication de traitement. La formation est adaptée au public des médecins de montagne, qui répondent aux soins non programmés en 1ere ligne souvent dans des zones isolées. Leur démarche diagnostique initiale est clinique et radiologique du fait du recrutement traumatologique du sport d’hiver. Objectifs généraux Améliorer et faciliter le raisonnement clinique en soins primaire. Décrire de façon précise les diagnostics cliniques retenus devant un traumatisme du membre supérieur de l’enfant. Diminuer la prescription d’examens complémentaires inutiles Objectifs spécifiques de transformation de pratiques : Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : Citer 2 particularités du cartilage de croissance de l’enfant soumis à un traumatisme. Citer 2 signes cliniques pour chaque segment, évocateurs d’une fracture du membre supérieur devant une attitude douloureuse du membre supérieur de l’enfant (épaule/ bras / coude / avant-bras / poignet et main). Préciser le stade radiologique (Salter & Harris) d’une fracture du cartilage de croissance, justifiant la pertinence de cet examen complémentaire.

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En présentiel

Les traumatismes de la cheville en premier recours, chez l’adulte.

DPC

Résumé et objectifs : Les médecins généralistes ne sont pas toujours à l’aise avec ce qui fait consensus dans la prise en charge des traumatismes de la cheville. Ainsi, l’examen clinique, le rôle des examens complémentaires, les prescriptions de rééducation, les indications de traitement médical ou chirurgical, ne sont pas toujours utilisés à bon escient. La place des différents acteurs dans la prise en charge d’un patient traumatisé de la cheville peut être optimisée au mieux des compétences de chacun, pour que les médecins généralistes, du sport, rhumatologues, radiologues, rééducateurs, chirurgiens, kinésithérapeutes puissent travailler en concertation et en réseau de soins, en utilisant au mieux les données actuelles de la science dans le concept de l’EBM (Evidence Based Medecine). Les médecins pourront ainsi se réapproprier les données actuelles concernant la prise en charge des traumatismes de cheville. Objectifs principaux : Objectif 1 A l’issue du programme, le participant doit être capable de : Reconnaître les différentes situations cliniques impliquant un traumatisme aigu de la cheville. Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : • Donner 2 signes cliniques orientant vers une entorse, fracture de la cheville et rupture du tendon d’Achille • Décrire les signes d’une imagerie présentant une fracture de la cheville Objectif 2 A l’issue du programme, le participant doit être capable de : Orienter un patient souffrant d’une contusion musculaire, d’une fracture de la cheville ou d’une rupture du tendon d’Achille Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : • Donner 2 éléments menant vers une hospitalisation immédiate d'un patient victime d'un traumatisme aigu de la cheville • Citer une indication d’avis spécialisé pour un patient victime d'un traumatisme aigu de la cheville Objectif 3 A l’issue du programme, le participant doit être capable de : Orienter un patient victime d'un traumatisme de la cheville aigu vers une échographie Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : • Citer 2 indications pour une échographie • Décrire 2 points de vigilance dans la lecture d’une échographie Objectif 4 A l’issue du programme, le participant doit être capable de : Orienter vers une IRM et un scanner un patient victime d'un traumatisme de la cheville aigu Au décours de la journée, l’apprenant doit pouvoir : • Citer 2 indications pour une IRM et un scanner • Décrire 2 points de vigilance dans la lecture d’une IRM et d’un scanner

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Dépistage de la scoliose idiopathique chez l’enfant et l’adolescent

DPC

La formation s’adresse à des médecins généralistes exerçant en milieu isolé, dans des zones éloignées des spécialistes et hôpitaux. Ils assurent le suivi de la population locale, dont les enfants et adolescents, sportifs ou non. La scoliose idiopathique a une prévalence estimée entre 0,5% et 2% chez les 8-15 ans. L’enjeu pour le praticien est de repérer et prendre en charge la scoliose précocement, pour limiter le recours au traitement chirurgical en cas de forme sévère, traitement lourd et onéreux. Les scolioses évoluent principalement lors de la puberté, d’où la surveillance accrue à cette période. La prise en charge de la scoliose se fait en réseau avec des praticiens spécialisés (chirurgien orthopédique, prothésiste, kinésithérapeute…), la porte d’entrée de ce réseau étant le médecin généraliste. La journée de formation sera articulée avec des ateliers (échanges de pratiques et cas cliniques) et des présentations de l'expert. Les objectifs de la formation : Général : Repérer une scoliose idiopathique Spécifiques : o Décrire l’évolution naturelle de la scoliose idiopathique o Décrire 2 signes cliniques de scoliose Général : Construire un plan de soins personnalisé Spécifiques : o Donner 2 éléments prédictifs d’une évolution vers une forme grave o Citer une indication d’avis spécialisé

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Démarche diagnostique devant un traumatisme du membre inferieur de l’enfant en premier recours

DPC

La pathologie traumatique de l’enfant est totalement différente de celle de l’adulte, du fait notamment des plaques de croissance. Les enfants sont plus radiosensibles, d’où une adaptation des incidences et du nombre de clichés pour cette catégorie de la population. Toute la prise en charge dépend de la démarche diagnostique initiale, qui est donc cruciale pour permettre d’établir un diagnostic et une bonne indication de traitement. La formation est adaptée au public des médecins de montagne, qui répondent aux soins non programmés en 1ere ligne souvent dans des zones isolées. Leur démarche diagnostique initiale est clinique et radiologique du fait du recrutement traumatologique du sport d’hiver. Evaluation : • Une grille de formulation d’axes de transformation des pratiques au regard des compétences visées dans les objectifs pédagogiques, proposé 3 mois après la formation. • Un questionnaire de satisfaction sera proposé en toute fin de formation, ainsi qu’un recueil de l’expérience des apprenants. Objectifs généraux Améliorer et faciliter le raisonnement clinique en soins primaire. Décrire de façon précise les diagnostics retenus post traumatique devant une boiterie, un genou douloureux et une cheville douloureuse. Diminuer la prescription d’examens complémentaires inutiles Ne pas méconnaitre une maladie grave. Objectifs spécifiques de transformation de pratiques : Citer 2 particularités du cartilage de croissance de l’enfant soumis à un traumatisme. Préciser la classification radiologique d’une fracture du cartilage de croissance. Devant une boiterie, un genou douloureux ou une cheville douloureuse : • Citer 2 signes cliniques évocateurs d’une fracture du membre inférieur. • Citer 1 signe radiologique spécifique d’une fracture ou d’une entorse, justifiant la pertinence de cet examen complémentaire. Citer 1 signe radiologique évocateur d’une fracture pathologique (cancers, tumeurs, maltraitance, pathologies rares).

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En présentiel

Démarche diagnostique devant une symptomatologie ORL en 1er recours

DPC

Le médecin généraliste est souvent sollicité en consultation pour une symptomatologie ORL. L’accès à l’expertise clinique d’un ORL reste difficile notamment par son délai de consultation, et la téléexpertise est bien souvent impossible (conduits auditifs peu accessibles pour une imagerie avec le matériel habituel). Cette formation s’adresse à des médecins généralistes exerçant dans des zones éloignées des spécialistes otorhinolaryngologiste. Cet éloignement nécessite une démarche diagnostique pertinente et adaptée pour meilleure prise en charge des patients. La formation proposée traitera des thématiques suivantes : Démarche diagnostique devant un traumatisme ORL Démarche diagnostique devant une dysphagie, une dysphonie, et une dyspnée laryngée Démarche diagnostique devant une rhinorrhée fébrile et une otalgie Démarche diagnostique devant un vertige Objectifs généraux : Améliorer et faciliter le raisonnement clinique en soins primaires Connaitre les situations nécessitant une expertise ORL et leur délai. Connaitre les indications d’examens complémentaires et leur pertinence. Objectifs spécifiques de transformation de pratiques : Citer 2 signes cliniques de gravité par symptôme clinique. Citer 1 à 2 examens complémentaires pertinent par symptôme clinique. Citer le délai requis d’une expertise ORL par symptôme cliniqu

Médecin Généraliste


Mixte

Urgences médicales en médecine générale CLASSE VIRTUELLE

DPC

Résumé et objectifs L’article R.4127-8 du code de la santé publique, indique que le médecin doit assurer une prise en charge pré-hospitalière fondée sur les données acquises de la science Tout médecin généraliste est susceptible de se trouver face à une urgence médicale lors de sa pratique et doit pouvoir réagir immédiatement à cette situation. Afin de faire face de façon efficace à ces évènements rares, il est important qu’il puisse actualiser ses connaissances sur les protocoles de l’urgence. Cette formation propose d'aborder les principales urgences médicales auxquelles tout médecin généraliste est susceptible d'être confronté : Arrêt Cardio Respiratoire, Douleur thoracique aigue, Douleur aiguë intense Elle ne traitera pas des spécificités pédiatriques de ces urgences. Pour chaque situation, les experts présenteront les protocoles d'intervention basés sur les recommandations actualisées et les gestes techniques adaptés. On y présentera également le matériel et les médicaments nécessaires à ces prises en charge. La formation aura lieu en classe virtuelle sous le logiciel ZOOM option classes virtuelles afin d’assurer le déroulé de la formation dans les meilleures conditions. Lors des sessions en petits groupe , des sessions en sous-groupe seront créés en classe virtuelle pour permettre les échanges en nombre restreints. Un modérateur sera présent tout au long de la formation et aura le contrôle des microphones afin de favoriser la répartition de la parole entre les participants. Ceux-ci pourront interagir avec le modérateur par le biais d’un lieu d’échange de messagerie instantanée. Cette formation se découpera en quatre demi-journées, chaque demi-journée étant consacrée à l’un des thèmes abordés. Les participants devront étudier des cas cliniques adaptés au thème et pourront effectuer les gestes nécessaires lors de mises en situation sur mannequins. Ces ateliers seront réalisés en groupes restreints de 10 participants, accompagnés par le même animateur tout au long de la formation. Cet animateur, formé aux techniques pédagogiques nécessaires, veillera au bon déroulé de l’atelier et à la participation de chacun. Les objectifs de cette formation sont de permettre au médecin généraliste, pour ces 4 situations d’urgences médicales : - d’être capable d’identifier rapidement l’urgence de la situation - de pouvoir transmettre rapidement au Centre 15 un bilan initial permettant de déclencher la chaîne des secours optimale - de savoir délivrer les soins adaptés en appliquant les protocoles validés adaptés à la situation - de connaître les gestes indispensables à mettre en œuvre - de savoir recueillir les éléments essentiels à transmettre à l’équipe médicale du Smur pour un relai optimal - de savoir accompagner efficacement une équipe de secouristes si elle est présente