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Dentiste
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Dentisterie numérique : comment bien utiliser les outils ?
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Résumé : La technologie est véritablement un virage dans notre profession. Ce virage a été entamé il y a une trentaine d’années avec la chirurgie guidée puis au début des années 2000 avec le CBCT. La caméra, arrivée plus tard, est devenue un outil opérationnel qui permet d’avoir une chaine complète, de la radiologie à la production de prothèses. Ce continuum est dénommé aujourd’hui workflow numérique. Il se développe en parallèle des techniques de dentisterie conventionnelle en imposant ses propres paradigmes. Si les avantages n’étaient pas très clair à ses débuts, ils ne font aujourd’hui aucun doute : précision, confort à la fois pour le patient et pour le praticien, réduction de l’aspect invasif et des coûts de traitements. La maîtrise des différentes étapes, perception, raisonnement et action, de la chaine modifie les plans de traitement. Les étapes du traitement sont modifiées pour être diminuer en nombre. L'objectif de cette formation est de comprendre dans quel écosystème nous entrons. Si la technologie nous dit comment cela va changer, l'objectif de cette formation est de permettre à chacun d'entre nous de dire pourquoi cela va changer en utilisant ces dispositifs médicaux ( logiciels, caméra optique ) de façon efficiente au bénéfice du patient. Cette formation est découpée en 3 chapitres fondamentaux avec pour objectifs pédagogiques : - savoir comment et pourquoi faire l'acquisition des données numériques pour le diagnostic initial, pour le suivi à long terme, pour la maintenance, pour les empreintes, pour le contrôle qualité... - savoir bâtir un plan de traitement, du plus simple au plus complexe en utilisant les nouveaux outils numériques de façon efficiente et les nouveaux métiers comme le designer dentaire - savoir mettre en œuvre cette stratégie clinique, au bénéfice du patient.
Dentiste
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Prothèse sur implant : les clés du succès du traitement de l'édentation partielle
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Résumé Malgré les progrès dans la prévention bucco-dentaire et dans les traitements conservateurs en odontologie, l’extraction d’une dent reste un acte très fréquent. L’édentation partielle qui en découle a des répercussions sur la santé générale et orale des patients. (migration des dents résiduelles, diminution du coefficient masticatoire, spirale de la dénutrition, troubles musculo-squelettiques, impact sur la vie sociale, amoureuse, l’estime de soi et le bien-être). Différentes thérapeutiques permettent de compenser la perte des dents : prothèse amovible, prothèse fixée conventionnelle (bridge) et prothèse fixée sur implant. Les prothèses supra-implantaires sont une solution de choix, dans le cas des édentations partielles, en raison de leur excellente intégration biologique, fonctionnelle et esthétique ainsi qu’une très bonne pérennité. Ces prothèses présentent des particularités en termes de conception, de mise en oeuvre et de maintenance. L’étude détaillée de ces spécificités permet de savoir réaliser les prothèses supra-implantaires devenues incontournables dans l’arsenal thérapeutique moderne, dans le cas des édentations partielles, notamment. Objectifs pédagogiques : Les objectifs de cette formation sont - Connaitre les problématiques cliniques liées à l’édentation partielle - Connaitre et savoir choisir les solutions thérapeutiques adaptées, dans le cas des édentations partielles - Savoir conduire un projet prothétique implantaire cohérent, dans le cas d'une édentation partielle - Connaitre et savoir choisir les systèmes prothétiques implantaires disponibles - Savoir mettre en oeuvre les empreintes implantaires - Savoir concevoir une prothèse supra-implantaire adaptée à chaque situation clinique. - Connaitre les spécificités occlusales liées aux implants. - Savoir assurer une maintenance efficace des prothèses sur implants.
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J'analyse ma pratique en endodontie
DPC
Résumé : L’endodontie est une discipline clinique difficile mais très présente dans notre exercice quotidien. Le traitement canalaire consiste à prévenir toute infection bactérienne du système endodontique, ou la combattre lorsqu’elle est présente, et prévenir toute réinfection dans le temps grâce a une obturation étanche et « biocompatible ». Le microscope opératoire, les localisateurs d’apex de dernière génération, les capteurs de radiographie numérique qui permettent d’obtenir une image instantanée de qualité proche de celle d’un cliché argentique, des instruments d’activation des solutions d’irrigation (ultra sonores, sonores), etc. sont autant d’éléments qui permettent d’améliorer la qualité des traitements, à l’échelle individuelle, mais également à l’échelle de toute la population de professionnels. Les instruments en nickel titane ont permis de rendre accessible l’endodontie difficile à une majorité des praticiens. Cependant, en endodontie, comme dans d’autres disciplines, le praticien doit veiller à être à jour de ses connaissances et ses compétences cliniques en endodontie et ceci tout au long de sa vie professionnelle avec la formation continue mais aussi par l’évaluation de sa pratique. En France, l'Évaluation des pratiques professionnelles (EPP), est une analyse des pratiques professionnelles suivant des recommandations de bonnes pratiques et méthodes en provenance de la Haute Autorité de santé (HAS) . Elle consiste à mesurer ce qui est fait dans la pratique professionnelle, pour le comparer à la pratique attendue par les recommandations professionnelles. La méthode utilisée par Mydentaltraining pour évaluer la pratique professionnelle en endodontie est celle de l’audit clinique qui mesure a posteriori les écarts entre la pratique et des objectifs de qualité basés sur les recommandations professionnelles de la HAS (2008). L’analyse des résultats de l’évaluation permet de déterminer les forces et les faiblesses de la pratique du chirurgien dentiste en endodontie ; elle permet de choisir un ou deux critères à optimiser en suivant un plan d’action dans un temps prévu de 3 mois. Ces actions d’améliorations peuvent prendre de nombreuses formes, comme par exemple en endodontie, l’achat de matériel comme un localisateur d’apex … ; entre autres actions, l’évaluation de la pratique peut déboucher sur un programme personnalisé de formation. Evaluation des pratiques professionnelles et formation continue ont comme finalité commune de faire évoluer la pratique pour améliorer la qualité et la sécurité des soins. La formation continue et l’EPP adoptent des approches complémentaires. Articuler activités de formation et processus d’évaluation de pratiques constitue une évolution pédagogique de la formation en santé qui invite à porter, dans un premier temps, un regard neuf sur le processus d’évaluation en contexte de formation, et, dans un deuxième temps, à interroger le sens de l’évaluation dans une perspective d’amélioration des pratiques professionnelles en santé. Les objectifs de l’évaluation des pratiques professionnelles : Auto - évaluer sa pratique en endodontie Prendre connaissance des forces et faiblesses de sa pratique par rapport aux recommandations professionnelles Mettre en place des plans d’action d’amélioration de sa pratique, en choisissant un à deux critères d’amélioration Intégrer le principe d’évaluation de sa pratique tout au long de sa vie professionnelle
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J'analyse ma pratique en parodontologie
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Résumé : En France, près d’un patient adulte sur deux est susceptible de souffrir d’une parodontite. Les dernières données épidémiologiques indiquent que 10% de la population mondiale présente une forme sévère de parodontite. Pourtant, les traitements parodontaux n’ont jamais été aussi efficaces puisque les résultats à long terme montrent que le nombre de dents perdues chez les patients traités pour leur parodontite et régulièrement suivis en maintenance est extrêmement faible. De plus en plus, d’études cliniques montrent le lien entre parodontite et risque d’AVC, d’infarctus et diabète … Ce qui a conduit en France à la prise en charge par la CNAM des traitements parodontaux chez les diabétiques dont le taux de diabète peut fluctuer en fonction de l’état parodontal du patient. La santé parodontale est un enjeu de santé publique, en France. Plus de 4,5 millions de français sont diabétiques. Qu’en est il de la prise en charge parodontale des patients, dans les cabinets dentaires ? Une prise de conscience devient de plus en plus importante auprès des chirurgiens-dentistes, en France. Les progrès en matière de prévention et de traitements des maladies parodontales permettent aux praticiens d’intégrer des protocoles simples et efficaces. Encore faut il les connaitre ? En parodontologie comme dans d’autres disciplines, le praticien doit veiller à être à jour de ses connaissances et ses compétences cliniques en parodontologie et ceci tout au long de sa vie professionnelle avec la formation continue mais aussi par l’évaluation de sa pratique. En France, l'Évaluation des pratiques professionnelles (EPP), est une analyse des pratiques professionnelles suivant des recommandations de bonnes pratiques et méthodes en provenance de la Haute Autorité de santé (HAS) .Elle consiste à mesurer ce qui est fait dans la pratique professionnelle, pour le comparer à la pratique attendue par les recommandations professionnelles. La méthode utilisée par Mydentaltraining pour évaluer la pratique professionnelle en parodontologie est celle de l’audit clinique qui mesure a posteriori les écarts entre la pratique et des objectifs de qualité basés sur les recommandations professionnelles de la HAS (2019). L’analyse des résultats de l’évaluation permet de déterminer les forces et les faiblesses de la pratique du chirurgien dentiste en parodontologie ; elle permet de choisir un ou deux critères à optimiser en suivant un plan d’action dans un temps prévu de 3 mois. Ces actions d’améliorations peuvent prendre de nombreuses formes, comme par exemple en parodontologie, un dossier type parodontal ou l’achat de matériel … ; entre autres actions, l’évaluation de la pratique peut déboucher sur un programme personnalisé de formation. Evaluation des pratiques professionnelles et formation continue ont comme finalité commune de faire évoluer la pratique pour améliorer la qualité et la sécurité des soins. La formation continue et l’EPP adoptent des approches complémentaires. Articuler activités de formation et processus d’évaluation de pratiques constitue une évolution pédagogique de la formation en santé qui invite à porter, dans un premier temps, un regard neuf sur le processus d’évaluation en contexte de formation, et, dans un deuxième temps, à interroger le sens de l’évaluation dans une perspective d’amélioration des pratiques professionnelles en santé. Les objectifs de l’évaluation des pratiques professionnelles : Auto - évaluer sa pratique en parodontologie Prendre connaissance des forces et faiblesses de sa pratique par rapport aux recommandations professionnelles Mettre en place des plans d’action d’amélioration de sa pratique, en choisissant un à deux critères d’amélioration Intégrer le principe d’évaluation de sa pratique tout au long de sa vie professionnelle
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L'endodontie au quotidien, le plaisir est dans l'efficacité.
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Résumé : Depuis toujours, l’endodontie est un acte que la plupart des chirurgiens dentistes aborde avec plus ou moins de sérénité, de par la gestion de la douleur, de par la complexité de l’anatomie canalaire, de par la gestion des instruments rotatifs … L’endodontie est un acte nécessitant une technicité dont les innovations technologiques (rotation continue, instrumentions à usage unique, localisateur d’apex, gutta chaude..) ont permis cependant une reproductibilité en qualité et un gain de temps. Encore faut il respecter la chronologie des étapes cliniques, afin d’éviter les échecs (fracture instrumentale, fausse route, obturation dépassant l’apex, stripping…) pouvant compromettre le pronostic de la dent traitée.. Bien communiquer avec son patient est tout aussi fondamental afin que ce dernier comprenne mieux les bénéfices et les risques d’un tel traitement L’objectif de la formation est de simplifier le chemin endodontique et d’arriver à l’apex en déjouant tous les pièges qui se dressent devant les instruments endodontiques, par l’apprentissage et le respect d’une méthodologie, gage de qualité reproductible ; et, donc d’assurer la pérennité de l’organe dentaire ! Elle permettra de prévenir mais aussi de gérer les échecs. Depuis une dizaine d’années, l’apport de bio matériaux contribue à la sauvegarde de la vitalité pulpaire. Le second objectif de cette formation est de définir les paramètres permettant la conservation de la vitalité pulpaire, par l’utilisation appropriée des biomatériaux. En résumé, c'est une séance pour rendre l’acte endodontique plus facile et plus serein, tout en étant pulpo-conscient. Les objectifs de la formation - Comprendre les objectifs des différentes étapes des traitements endodontiques. - Être capable de faire le tri dans les informations scientifiques et les sollicitations des industriels. - Savoir faire preuve d’adaptation pour faire face à toutes les situations que nous pouvons rencontrer. - Apprendre à communiquer avec tous les acteurs du parcours de soin d’un traitement endodontique (patients, assistant(e)s dentaires).
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Comment intégrer la parodontologie dans son cabinet ? Du diagnostic à la prise en charge adaptée des maladies parodontales.
DPC
Résumé : En France, près d’un patient adulte sur deux est susceptible de souffrir d’une parodontite. Les dernières données épidémiologiques indiquent que 10% de la population mondiale présente une forme sévère de parodontite. Pourtant, les traitements parodontaux n’ont jamais été aussi efficaces puisque les résultats à long terme des études montrent que le nombre de dents perdues chez les patients traités pour leur parodontite et régulièrement suivis en maintenance est extrêmement faible. De plus en plus, d’études cliniques montrent le lien entre parodontite et risque d’AVC, d’infarctus et diabète … Ce qui a conduit en France à la prise en charge de la CNAM des traitements parodontaux chez les diabétiques dont le taux peut fluctuer en fonction de l’état parodontal du patient. Ainsi, le praticien doit savoir diagnostiquer le plus précocement possible les maladies parodontales, dès le premier entretien médical avec son patient à l’aide d’outils diagnostiques simples et d’examens complémentaires. La prise en charge des maladies parodontales débutera par l’établissement d’un pronostic des dents concernées afin d’établir une proposition de thérapeutique parodontale raisonnée en accord avec les données scientifiques actuelles. Enfin, à la suite de cette thérapeutique parodontale, le suivi des maladies parodontales réalisées par le praticien conjointement avec son patient participera au maintien de l’état de santé parodontale de celui-ci. Les objectifs de la formation : - Mettre à jour ses connaissances sur les maladies parodontales et les facteurs de risque associés en fonction des données scientifiques actuelles. - Établir le diagnostic des maladies parodontales, à partir d’outils diagnostiques simples et connaître et utiliser avec pertinence les examens complémentaires (radiologie, test microbiens, …) - Connaître les enjeux thérapeutiques et établir un plan de traitement parodontal raisonné fondé sur les preuves scientifiques. - Motiver son patient à la réalisation et à sa participation dans le plan de traitement parodontal. - Savoir mettre en place une stratégie efficace de suivi parodontal avec notamment une coopération efficace du patient
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Les Restaurations Partielles Collées Indirectes (RPCI) : concepts et préceptes.Comment ancrer et développer les inlays/onlays dans sa pratique
DPC
Lorsqu’une première restauration est réalisée sur une dent postérieure, celle-ci rentre irréversiblement dans un « cycle de restauration » qui quoiqu’il arrive lui sera délétère… En effet, aucun de nos traitements n’est aujourd’hui définitif : une petite restauration, sera remplacée par une restauration un peu plus grande, puis éventuellement par une autre restauration encore un peu plus grande puis une restauration indirecte, peut-être sera-t-elle ensuite dépulpée, puis restaurée par une couronne, couronne éventuellement supportée par un ancrage coronaradiculaire, et un jour peut-être l’extraction deviendra nécessaire (fracture, perte de substance non traitable, infection radiculaire…). En cela, la dentisterie adhésive a bouleversé notre profession et est aujourd’hui la réponse de choix à bon nombre de situations cliniques. En s’affranchissant des contraintes mécanistes de rétention de nos restaurations, elle permet de préserver au maximum les tissus durs de la dent (pour permettre les réinterventions futures et conserver la résistance mécanique de la dent) mais aussi de préserver la vitalité pulpaire (limite les risques d’échecs endondontiques et la fragilisation mécanique que constitue un traitement endododontique). En cela, les restaurations indirectes présentent des avantages certains pour répondre aux objectifs biologique, biomécanique et esthétique de la réhabilitation de l’organe dentaire. Leur éventail de prescriptions est très large puisqu’elles s’adressent aux dents pulpées comme aux dents dépulpées et qu’elles sont « reconnues » par les organismes de santé, tels que la CNAM. Leurs formes très variées, répondant aux particularités des situations cliniques et des pertes de substance ont généré des anglicismes parfois étonnants : inlays, onlays, overlays, veeneerlays ou tables tops. Mais derrière ces noms, des solutions précises ont été imaginées. Elles ont pour objectif d'être les plus conservatrices et d'éviter les couronnes. Compréhension, indications, justifications, préparations et réalisations sont les bases essentielles pour que les restaurations indirectes deviennent courantes dans notre pratique. Les critères de durabilité reposent sur les règles de précaution et les limites de ces restaurations. L’analyse des structures et la mise en condition des tissus restants permet d’assurer la mise en place de ce type de restauration dans les meilleures conditions et assurer la pérennité de l’organe dentaire. Le docteur Pascal DE March attache une grande importance à faire le lien entre les arguments scientifiques et les applications cliniques. La question du choix du matériau composite ou céramique, façonné ou en CFAO, est argumentée par une évaluation bibliographique et clinique. Puis, les procédures cliniques de préparation sont proposées en distinguant les dents postérieures maxillaires des dents mandibulaires, avec une description précise de tous les protocoles d’assemblage des restaurations partielles indirectes. Les objectifs de la formation : - Comprendre et maitriser les domaines d’indication de RPCI sur dents pulpées et dépulpées - Comprendre et maitriser les préparations pour RPCI sur dents pulpées et dépulpées en fonction de chaque situation clinique - Comprendre et maitriser les empreintes et la communication avec le laboratoire dans la réalisation des RPCI - Comprendre et maitriser les principes et procédés d’assemblage des RPCI - Savoir trouver, lire et comprendre les données de la littérature internationale sur les RPCI pour améliorer sa pratique - Comprendre et choisir les matériaux disponibles pour RPCI Placer et organiser la réalisation des RPCI dans un plan de traitement complexe
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Restaurer la dent unitaire : le concept de gradient thérapeutique
DPC
Résumé : Lorsqu’une première restauration est réalisée sur une dent qu’elle soit antérieure ou postérieure, celle-ci rentre irréversiblement dans un « cycle de restauration » qui quoiqu’il arrive lui sera délétère… En effet, aucun de nos traitements n’est aujourd’hui définitif : une petite restauration, sera remplacée par une restauration un peu plus grande, puis éventuellement par une autre restauration encore un peu plus grande puis une restauration indirecte, peut-être sera-t-elle ensuite dépulpée, puis restaurée par une couronne, couronne éventuellement supportée par un ancrage corono-radiculaire, et un jour peut-être l’extraction deviendra nécessaire (fracture, perte de substance non traitable, infection radiculaire…). Le concept de « gradient thérapeutique » décrit par les docteurs Tirlet et Attal(2009) doit être au coeur de notre réflexion clinique. Elle fait de la pérennité de la dent sur l’arcade une priorité et consiste à utiliser, pour un résultat clinique équivalent, la technique la moins à risque pour le devenir de la dent. L’objectif de cette dentisterie dite « à minima » est d’obtenir une restauration qui valide les 4 objectifs cliniques (mécanique, biologique, esthétique et fonctionnel) tout en envisageant et en facilitant les éventuelles ré-interventions futures. Elle permet, conformément à la devise d’Hypocrate « primum non nocere » (« avant tout ne pas nuire »), d’éviter les sur traitements. En cela, la dentisterie adhésive a bouleversé notre profession et est aujourd’hui la réponse de choix à bon nombre de situations cliniques. En s’affranchissant des contraintes mécaniques de rétention de nos restaurations, elle permet de préserver au maximum les tissus durs de la dent (pour permettre les réinterventions futures et conserver la résistance mécanique de la dent) mais aussi de préserver la vitalité pulpaire (limite les risques d’échecs endodontiques et la fragilisation mécanique que constitue un traitement endodontique). Pour autant, notre profession ne doit pas uniquement être appréhendée sous le seul prisme d’une dentisterie curative. Il est nécessaire de rendre service à nos patients en ayant une attitude préventive. Pour cela, il est important de connaître les mécanismes éthiopathogéniques de la survenue des lésions carieuses mais aussi non carieuses (érosion et lésions d’usure). L’identification des signes précoces de ces lésions et la compréhension des différents facteurs de risques sont primordiales pour mettre en place des actions préventives Grâce à cette formation, les chirurgiens-dentistes apprendront à mettre « plus de pulpe » dans leurs traitements. Objectifs de la formation : - Appréhender les facteurs de risques et mécanismes éthiopathogéniques des lésions dentaires (carieuses et non carieuses) afin de mettre en place des traitements préventifs et de les intercepter le plus précocement possible. - Comprendre le concept de « gradient thérapeutique » : qu’est ce que c’est ? Pourquoi l’utiliser ? Comment et pourquoi préserver la vitalité pulpaire ? - Comprendre « l’adhésion » dentaire : Quels sont les adhésifs disponibles? quels sont leurs modes d’action? Peut-on coller sur toute les dents? Quels sont les biomatériaux que l’on peut coller? Pourquoi et comment? L’importance du champ opératoire. - Connaitre les indications et protocoles des différentes thérapeutiques adhésives antérieures et postérieures (composites directs, inlays, onlays, overlays, facettes, veenerlays, couronnes collées). - savoir restaurer la « dent dépulpée » : comment faire le choix entre collage et scellement ?
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Les Restaurations Partielles Collées Indirectes (RPCI) : concepts et préceptes.Comment ancrer et développer les inlays/onlays dans sa pratique
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Lorsqu’une première restauration est réalisée sur une dent postérieure, celle-ci rentre irréversiblement dans un « cycle de restauration » qui quoiqu’il arrive lui sera délétère… En effet, aucun de nos traitements n’est aujourd’hui définitif : une petite restauration, sera remplacée par une restauration un peu plus grande, puis éventuellement par une autre restauration encore un peu plus grande puis une restauration indirecte, peut-être sera-t-elle ensuite dépulpée, puis restaurée par une couronne, couronne éventuellement supportée par un ancrage coronaradiculaire, et un jour peut-être l’extraction deviendra nécessaire (fracture, perte de substance non traitable, infection radiculaire…). En cela, la dentisterie adhésive a bouleversé notre profession et est aujourd’hui la réponse de choix à bon nombre de situations cliniques. En s’affranchissant des contraintes mécanistes de rétention de nos restaurations, elle permet de préserver au maximum les tissus durs de la dent (pour permettre les réinterventions futures et conserver la résistance mécanique de la dent) mais aussi de préserver la vitalité pulpaire (limite les risques d’échecs endondontiques et la fragilisation mécanique que constitue un traitement endododontique). En cela, les restaurations indirectes présentent des avantages certains pour répondre aux objectifs biologique, biomécanique et esthétique de la réhabilitation de l’organe dentaire. Leur éventail de prescriptions est très large puisqu’elles s’adressent aux dents pulpées comme aux dents dépulpées et qu’elles sont « reconnues » par les organismes de santé, tels que la CNAM. Leurs formes très variées, répondant aux particularités des situations cliniques et des pertes de substance ont généré des anglicismes parfois étonnants : inlays, onlays, overlays, veeneerlays ou tables tops. Mais derrière ces noms, des solutions précises ont été imaginées. Elles ont pour objectif d'être les plus conservatrices et d'éviter les couronnes. Compréhension, indications, justifications, préparations et réalisations sont les bases essentielles pour que les restaurations indirectes deviennent courantes dans notre pratique. Les critères de durabilité reposent sur les règles de précaution et les limites de ces restaurations. L’analyse des structures et la mise en condition des tissus restants permet d’assurer la mise en place de ce type de restauration dans les meilleures conditions et assurer la pérennité de l’organe dentaire. Le docteur Pascal DE March attache une grande importance à faire le lien entre les arguments scientifiques et les applications cliniques. La question du choix du matériau composite ou céramique, façonné ou en CFAO, est argumentée par une évaluation bibliographique et clinique. Puis, les procédures cliniques de préparation sont proposées en distinguant les dents postérieures maxillaires des dents mandibulaires, avec une description précise de tous les protocoles d’assemblage des restaurations partielles indirectes. Les objectifs de la formation : - Comprendre et maitriser les domaines d’indication de RPCI sur dents pulpées et dépulpées - Comprendre et maitriser les préparations pour RPCI sur dents pulpées et dépulpées en fonction de chaque situation clinique - Comprendre et maitriser les empreintes et la communication avec le laboratoire dans la réalisation des RPCI - Comprendre et maitriser les principes et procédés d’assemblage des RPCI - Savoir trouver, lire et comprendre les données de la littérature internationale sur les RPCI pour améliorer sa pratique - Comprendre et choisir les matériaux disponibles pour RPCI Placer et organiser la réalisation des RPCI dans un plan de traitement complexe
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Prothèse sur implant : les clés du succès du traitement de l'édentation partielle
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Résumé Malgré les progrès dans la prévention bucco-dentaire et dans les traitements conservateurs en odontologie, l’extraction d’une dent reste un acte très fréquent. L’édentation partielle qui en découle a des répercussions sur la santé générale et orale des patients. (migration des dents résiduelles, diminution du coefficient masticatoire, spirale de la dénutrition, troubles musculo-squelettiques, impact sur la vie sociale, amoureuse, l’estime de soi et le bien-être). Différentes thérapeutiques permettent de compenser la perte des dents : prothèse amovible, prothèse fixée conventionnelle (bridge) et prothèse fixée sur implant. Les prothèses supra-implantaires sont une solution de choix, dans le cas des édentations partielles, en raison de leur excellente intégration biologique, fonctionnelle et esthétique ainsi qu’une très bonne pérennité. Ces prothèses présentent des particularités en termes de conception, de mise en oeuvre et de maintenance. L’étude détaillée de ces spécificités permet de savoir réaliser les prothèses supra-implantaires devenues incontournables dans l’arsenal thérapeutique moderne, dans le cas des édentations partielles, notamment. Objectifs pédagogiques : Les objectifs de cette formation sont - Connaitre les problématiques cliniques liées à l’édentation partielle - Connaitre et savoir choisir les solutions thérapeutiques adaptées, dans le cas des édentations partielles - Savoir conduire un projet prothétique implantaire cohérent, dans le cas d'une édentation partielle - Connaitre et savoir choisir les systèmes prothétiques implantaires disponibles - Savoir mettre en oeuvre les empreintes implantaires - Savoir concevoir une prothèse supra-implantaire adaptée à chaque situation clinique. - Connaitre les spécificités occlusales liées aux implants. - Savoir assurer une maintenance efficace des prothèses sur implants.