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Mixte

Classe Virtuelle – Informer le patient âgé sur la prévention de la iatrogénie médicamenteuse en envisageant la déprescription

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) : L’information du patient est un droit pour les personnes et un devoir pour les professionnels de santé. Ainsi, le médecin doit expliquer au patient sa prescription médicamenteuse, comme il doit lui expliquer pourquoi il modifie les précédentes prescriptions. Avec l’augmentation de l’espérance de vie et l’évolution du rapport au vieillissement, les personnes âgées sont progressivement devenues une population médicale à part entière, pour qui des traitements médicamenteux sont de plus en plus mobilisés. Chez ces sujets, les effets indésirables des médicaments sont plus fréquents et plus atypiques que chez les adultes plus jeunes, et sont impliqués dans un grand nombre d’hospitalisations non-programmées. La polymédication peut être source de dégradation de l’état de santé, d’altération de la qualité de vie et d’augmentation des risques d’hospitalisation et de décès. Certaines spécialités thérapeutiques présentent des effets indésirables particulièrement fréquents et/ou sévères au sein de la population âgée. La lutte contre la iatrogénicité doit être permanente : à chaque consultation, le médecin devrait s’interroger sur la pertinence de la prescription d’un médicament, voire envisager une deprescription. La déprescription met en jeu un processus décisionnel qui nécessite un temps de réflexion de la part du médecin comme du patient, dans le cadre d’une relation de confiance et d’un consensus éclairé. L’information au patient âgé, et si besoin à son entourage en cas de troubles cognitifs, concernant les propriétés des médicaments et les évolutions physiologiques liées à l’âge qui modifient la pharmacocinétique et la pharmacodynamique des médicaments, sont indispensables pour que les modifications de l’ordonnance soient acceptées et appliquées. Cette action de formation permettra aux participants de mettre en pratique une démarche de déprescription chaque fois qu’elle leur semblera appropriée et légitime, en s’appuyant sur une explication au patient et, en accord avec celui-ci. b. Objectifs généraux : Informer le patient âgé sur les risques de iatrogénie médicamenteuse et engager un processus de déprescription médicamenteuse pour optimiser sa prise en charge c. Objectifs pédagogiques spécifiques : 1. Identifier les facteurs de risque de iatrogénie médicamenteuse chez la personne âgée afin de lui délivrer une information éclairée 2. Lister les médicaments à fort potentiel iatrogénique chez le sujet âgé en tenant compte des modifications pharmacocinétique et pharmacodynamique des médicaments accompagnant l'avancée en âge, et des interactions médicamenteuses 3. Citer les critères d’évaluation d’une ordonnance afin d’expliciter au patient âgé les raisons de prescription ou de déprescription 4. Détailler les critères de réussite d’une déprescription d’un médicament en délivrant au patient une information adaptée

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En présentiel

Trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) : L e trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) est un trouble fréquent, le plus souvent diagnostiqué chez l’enfant. Il associe, en fonction des patients, une série de symptômes comprenant déficit de l’attention, impulsivité et/ou hyperactivité et peut être invalidant et durable par son impact important pour le patient dans son quotidien social et familial, scolaire puis professionnel. Les premières consultations ont en général lieu auprès du médecin traitant (spécialisé en médecine générale ou pédiatrie), autour de plaintes rapportées par l’entourage parental ou scolaire. Le médecin de premier recours doit donc savoir rapidement évoquer ce diagnostic, identifier les signes de gravité et orienter éventuellement l’enfant et ses parents vers un système de soins spécialisé. Le traitement médicamenteux est toujours instauré en milieu hospitalier, la prise en charge pluridisciplinaire devra associer les parents et l’environnement scolaire de l’enfant. Cette formation permettra aux médecins spécialisés en médecine générale et pédiatrie d’approfondir leurs connaissances théoriques autour du TDAH pour un repérage plus précoce, et une prise en charge adaptée à l’âge et l’évolution de l’enfant selon les recommandations de l’HAS. Les médecins de premiers recours ont un rôle central dans ce diagnostic de par la proximité avec l’enfant, et son milieu de vie . Ils doivent également pouvoir délivrer une information sur l’évolution du trouble au cours de la vie du patient. b. Objectifs généraux : Diagnostiquer un trouble déficit de l’attention et de l’hyperactivité chez l’enfant devant des symptômes d’alerte · Etablir une prise en charge adaptée aux besoins du patient c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : Identifier les symptômes d’alerte présentés lors de la première consultation Lister les évolutions possibles du TDAH de l’enfant Citer les indications du traitement pharmacologique dans le cadre du TDAH, en tenant compte des bénéfices et risques du traitement Définir les principaux principes de la prise en charge du TDAH

Gynécologue, Médecin Généraliste, Urologue


En présentiel

La contraception masculine : l’expliquer comme un des choix possibles du couple concernant sa contraception

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) : Aujourd’hui, la prévention des grossesses non désirées repose essentiellement sur les femmes, par le biais de méthodes hormonales (pilule contraceptive, implant) ou mécaniques (stérilet, diaphragme). Pourtant, il est déjà possible aux hommes de participer à cette prévention, par le biais des préservatifs ou de la vasectomie. Les freins à la contraception masculine demeurent multiples, à la fois historiques, économiques, et sociétaux. Toutefois, de nouvelles méthodes de contraception masculine sont aujourd’hui en développement, plus facilement acceptables, peu contraignantes et sans effets indésirables. Il s’agit donc pour le professionnel de santé de connaitre ces méthodes de contraception, actuelles et futures, leurs indications et effets indésirables, afin d’en informer le couple parfois désireux de modifier ses habitudes en la matière. b. Objectifs généraux : Délivrer aux couples une information complète sur les méthodes contraceptives masculines. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Lister les méthodes contraceptives masculines actuellement disponibles afin de délivrer une information claire aux couples 2. Citer les effets secondaires connus des méthodes de contraception masculine pour donner une information éclairée aux couples 3. Lister les freins au déploiement de la contraception masculine 4. Identifier les perspectives d'évolution des méthodes contraceptives masculines afin de les expliquer aux couples

Dermatologue, Gynécologue, Médecin Généraliste, + 10 autres


Mixte

Classe Virtuelle - Prévention de l'antibiorésistance

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) : La prévention des infections et de l’antibiorésistance est l’un des enjeux mondiaux de santé publique. La stratégie nationale 2022-2025 de Prévention des Infections et de l’Antibiorésistance est le premier plan national alliant aussi étroitement les actions de prévention et de contrôle des infections à celles promouvant le bon usage des antibiotiques. Maîtriser le risque d’infections, notamment celles à bactéries résistantes aux antibiotiques, impose une modification des comportements. Les objectifs du gouvernement, à l’horizon 2025, sont la réduction de la consommation d’antibiotiques en ville en France de 25 % par rapport à 2019, la dispensation des antibiotiques à l’unité et l’intensification des méthodes de prévention des infections et de la transmission des microorganismes. Les médecins qui exercent en ville, ont des rôles cruciaux dans l’objectif de la maitrise de l’antibiorésistance. Ils doivent mettre en application les démarches diagnostiques selon les recommandations en vigueur, prendre les décisions thérapeutiques, si besoin avec l’avis d’un expert, en limitant la prescription des antibiotiques au strict nécessaire et en privilégiant les antibiotiques les moins générateurs d’antibiorésistance. Ils doivent appliquer et promouvoir les mesures de prévention et les mesures limitant la transmission des agents infectieux communautaires ou associés aux soins. Cette action de formation inclut une formation cognitive permettant aux participants, médecins exerçant en ville,  d’actualiser leurs connaissances sur les enjeux de la maîtrise de l’antibiorésistance et les moyens à déployer pour y parvenir. b. Objectifs généraux : · Mettre en œuvre les mesures de prévention et de contrôle des infections afin de prévenir l’antibiorésistance c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Lister les concepts de base en microbiologie et physiopathologie concernant les mécanismes de transmission des agents infectieux et l’acquisition des infections associées aux soins 2. Citer les axes de la stratégie nationale 2022-2025 de Prévention des Infections et de l’Antibiorésistance 3. Citer les principales données microbiologiques concernant les résistances aux antibiotiques les plus fréquentes pour les infections courantes en pratique quotidienne 4. Lister les informations à donner aux patients concernant le bon usage des antibiotiques

Dermatologue, Gériatre, Gynécologue, + 12 autres


En présentiel

Accompagnement du patient en fin de vie : Information adaptée et techniques de communication pour favoriser l’appropriation anticipée des droits

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Les chercheurs et les autorités publiques, notamment la Haute Autorité de santé, retiennent habituellement deux définitions de la notion de fin de vie. La première associe la fin de vie à une estimation de la durée de vie restante : le pronostic vital est engagé à court ou moyen terme. La seconde associe la fin de vie à l’évolution d’une pathologie grave qui rentre en phase avancée, potentiellement mortelle (cancer, défaillance d’organes, maladie neurodégénérative, etc.). Ces définitions confirment la possibilité d’une double lecture, celle du temps qu’il reste à vivre et celle de la trajectoire de fin de vie, qui fait appel à un temps variable. Les médecins qui prennent en charge les patients en fin de vie, selon l’une ou l’autre des définitions, ont deux obligations inéluctables : le respect de la personne en fin de vie et la reconnaissance de ses droits et libertés. Concernant le corps médical, pour le patient en « fin de vie », l’objectif n’est pas de guérir mais plutôt de préserver jusqu’à la fin la qualité de vie des personnes, adultes ou enfant, et de leur entourage face aux symptômes et aux conséquences d’une maladie évolutive, avancée et à l’issue irrémédiable. Le médecin prenant en charge un patient en fin de vie, adulte ou enfant, doit proposer un accompagnement en tenant compte du respect du droit du personne, de l’information adaptée transmise en utilisant des techniques de communication appropriée. Le projet d’accompagnement du patient en fin de vie sera proposé en fonction des souhaits du patient et en tenant compte de ses particularité. Ce projet de soins doit faire l’objet d’une concertation collégiale pluriprofessionnel. b. Objectifs généraux : 1. Maîtriser le concept de fin de vie et le cadre règlementaire actuel 2. Accompagner le patient en fin de vie en respectant ses droits et ses choix c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Maîtriser les définitions concepts relatifs à la fin de vie afin de les expliquer au patient et à ses proches 2. Citer les techniques de communication à adopter afin de favoriser l’appropriation anticipée des droits du patient en fin de vie 3. Recueillir en pratique, auprès du patient en fin de vie et de ses proches, l’histoire de vie, le contexte familial, économique et social, culturel et spirituel du patient 4. Lister les principes pour élaborer, avec le patient, un projet de prise en soins collégial, pluridisciplinaire et consensuel, afin de l’accompagner de façon adaptée durant la fin de vie

Médecin réanimateur, Chirurgien, Dermatologue, + 17 autres


En présentiel

Améliorer la prise en charge du patient grâce aux objets de santé connectés : collecte, analyse et utilisation responsable

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) : Cette action de formation permettra aux participants de mettre à jour leurs connaissances sur l’utilisation des objets connectés en santé au niveau de leur utilité pour les patients et pour eux-mêmes, des évolutions de certains dispositifs agréés par la HAS, mais aussi sur les règles s’appliquant à la protection des données collectées. b. Objectifs généraux : L’objectif général de cette formation est de permettre aux médecins de comprendre en quoi consistent les objets et systèmes de santé connectés, leur utilité pour eux et leurs patients mais aussi de connaître le cadre réglementaire s’y rapportant. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de cette formation, le participant aura la capacité de : 1. Définir en quoi consistent les données de santé connectées, leurs enjeux pour le suivi du patient 2. Enumérer les principes éthiques de collecte et d'utilisation des données de santé connectées 3. Lister parmi les systèmes connectés de santé ceux pouvant être utiles pour le suivi des patients 4. Décrire comment se fait l’analyse des données de santé connectées et leur utilisation dans la prise en charge du patient, avec des exemples concrets

Médecin Généraliste, Pédiatre


En présentiel

Repérage et prise en charge précoce d’un trouble dépressif chez l'enfant

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Selon l'Inserm, la prévalence des troubles dépressifs est estimée de 2,1 à 3,4 % chez l’enfant et à 14 % chez l’adolescent. Les symptômes dépressifs ne s’expriment pas aussi clairement que chez l’adulte et un trouble dépressif est souvent diagnostiqué tardivement chez l’enfant, voire non diagnostiqué. Aucun symptôme n’est spécifique à la dépression et elle s'exprime davantage par des comportements et des somatisations. De plus, le trouble dépressif est difficile à repérer chez l’enfant du fait de symptômes fluctuants et parfois trompeurs (irritabilité ou agressivité par exemple). Les manifestations des troubles dépressifs varient en effet en fonction du stade de développement, qui modifie les capacités d’introspection et de communication. Bien que méconnue, la dépression infantile n'est pas un état passager, mais une vraie maladie dont la gravité peut accroître avec les années si elle n'est traitée. La pandémie liée au Coronavirus SARS-CoV-2 a servi de révélateur à de nombreux problèmes et a rappelé l'urgence de mieux protéger la santé mentale des enfants. Il est fondamental que les médecins de premiers recours des enfants, les pédiatres et médecins généralistes, repèrent les signes évoquant un trouble dépressif et mettent en place la stratégie diagnostique et thérapeutique. b. Objectifs généraux : Dépister précocement les troubles dépressifs de l’enfant et proposer une prise en charge adaptée. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Identifier, chez l'enfant les signes devant faire évoquer un trouble dépressif, afin de repérer le plus précocement possible, quel que soit le motif de recours exprimé en consultation 2. Lister les critères diagnostiques affirmant l’existence d’un épisode trouble dépressif chez l'enfant 3. Lister les éléments à rechercher, lors de l’entretien clinique chez un enfant souffrant d’un trouble dépressif, selon les recommandations de la HAS 4. Lister les points essentiels de la prise en charge de l’enfant d’un trouble dépressif

Médecin Généraliste


En présentiel

Prise en charge non programmée du patient ayant subi une commotion cérébrale

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Selon la gravité du traumatisme crânien, les patients qui en sont victime, peuvent souffrir d’une commotion cérébrale : une urgence vitale potentielle. En présence d’un patient ayant subi une commotion cérébrale, correspondant à une demande de soins non programmé, le médecin généraliste doit être en mesure de repérer et d’évaluer rapidement le risque pour la santé du patient. Il faut mettre en place une prise en charge d’urgence adaptée. Le médecin doit savoir diriger le patient vers la structure adaptée à ses besoins. Cette formation permettra au médecin généraliste confronté à un patient victime d’une commotion cérébrale et à une situation d’urgence vitale potentielle, de réagir dans l’intérêt du patient en l’inscrivant dans un parcours de soin adapté. b. Objectifs généraux : Prendre en charge le patient victime commotion cérébrale dans le cadre d’un soin non  programmé. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Lister les aspects cliniques de la commotion cérébrale du patient 2. Citer les risques évolutifs de la commotion cérébrale à prendre en compte dans la gestion du soin non programmé 3. Lister les étapes de prise en charge du patient commotionné en tant que demande de soins non programmés 4. Identifier les situations de commotion cérébrales nécessitant une prise en charge spécialisée

Psychiatre


En présentiel

Anorexie mentale : diagnostic et prise en charge

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) L’anorexie mentale est un trouble du comportement alimentaire (TCA) d’origine multifactorielle : facteurs personnels de vulnérabilité psychologique, biologique et génétique, facteurs environnementaux, familiaux mais également socio-culturels (par l’importance de l’image du corps dans nos sociétés). Il s’agit d’un trouble rare qui se déclenche le plus souvent entre 14 et 17 ans. 50 % des cas pris en charge à l’adolescence guérissent . 2/3 des cas sont guéris ou amélioré dans les premières cinq années, d’où l’importance d’un diagnostic précoce. Ce programme est destiné à fournir aux participants les éléments cliniques et paracliniques  leur permett ant de diagnostiquer précocement une anorexie mentale afin de débuter le plus rapidement possible la prise en charge qui comporte plusieurs aspects: - lien thérapeutique particulier - indications de l’hospitalisation - prévention des actes auto-agressifs ou suicidaires - approche multidisciplinaire à organiser et animer. Il replace enfin cette maladie dans un contexte familial et/ou traumatique. b. Objectifs généraux : Diagnostiquer précocement un anorexie mentale et mettre en place une prise en charge individualisée. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Identifier les différentes formes cliniques d’anorexie mentale 2. Citer les éléments favorisant l'instauration d'une alliance thérapeutique afin de les mettre en pratique lors de l'entretien avec un patient anorexique 3. Evaluer les complications somatiques de la maladie 4. Planifier la prise en charge en sollicitant tous les acteurs utiles

Psychiatre


En présentiel

Prise en charge précoce et individualisée du patient dépressif

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) La dépression est une affection fréquente, et de prise en charge sur le long terme par les médecins spécialisés en psychiatrie. La maladie dépressive constitue un problème préoccupant de santé publique en raison de sa fréquence et des conséquences médicales, sociales et économiques qu’elle induit. Bien que fréquente, cette maladie reste sous-diagnostiquée. Elle constitue un facteur aggravant de l’évolution de nombreuses pathologies. En conséquence, la dépression mérite les efforts de tous les acteurs de santé pour réduire ses conséquences en termes de morbidité et de handicap pour les patients et de poids économique pour la société. Il est essentiel pour les psychiatres de pouvoir cibler les spécificités de cette maladie et proposer la prise en charge la plus adaptée à chacun. b. Objectifs généraux : · Optimiser la prise en charge précoce médicamenteuse et non médicamenteuse des patients dépressifs c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : Lister les critères diagnostiques affirmant l’existence d’épisode dépressif caractérisé chez un patient Lister les éléments à rechercher, lors de l'entretien clinique chez un patient souffrant d'un épisode dépressif caractérisé actuel, selon les recommandations de la HAS Lister les outils, validés scientifiquement, utilisés dans la prise en charge du patient souffrant d’épisode dépressif caractérisé Identifier les possibilités thérapeutiques dans le cadre de la prise en charge du patient souffrant d’un épisode dépressif caractérisé afin de proposer un plan de soin individualisé