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Pharmacien
Mixte
Entretiens pharmaceutiques du patient sous anticancéreux oraux
DPC
L’essor des chimiothérapies par voie orale représentent une part de plus en plus importante des chimiothérapies et permet une prise en charge ambulatoire des patients et une amélioration de leur qualité de vie. Malgré tout, le patient étant seul face à son traitement, les risques de mauvaise observance, d’automédication inappropriée, d’effets indésirables non pris en charge et de plans de prise non adaptés sont importants. C’est dans ce cadre que l’avenant N°21 (juillet 2020), permet aux pharmaciens d’officine de proposer des entretiens pharmaceutiques pour les patients atteints d’un cancer et traités par une chimiothérapie orale. Pour mener à bien ces entretiens, il est essentiel que les pharmaciens d’officine travaillent non seulement sur le renforcement de leurs connaissances et de leurs compétences sur les traitements anticancéreux mais également sur leur posture, en intégrant la personnalité et les attentes des patients, permettant ainsi une prise en charge personnalisée. OBJECTIFS : L’objectif de cette formation est de permettre aux pharmaciens de développer une méthode qui intègre le profil psychologique du patient afin que le pharmacien parvienne à se rendre accessible en adaptant sa posture au patient. L’objectif final est d’accompagner les patients de façon personnalisée, d’éviter une rupture du parcours de soins ou des effets indésirables majeurs et évitables, d’optimiser l’efficacité des traitements et d’améliorer l’autonomie et la qualité de vie des patients traités. A l’issue de la formation, le pharmacien doit : - Maitriser l’organisation d’un entretien pharmaceutique d’accompagnement - Connaitre la règlementation et les critères d’éligibilité - Approfondir et mettre à jour ses connaissances, comprendre les leviers de l’observance, connaître, prévenir et gérer les principales toxicités liées aux traitements et interactions médicamenteuses - Éduquer le patient au bon usage de ses médicaments - Savoir échanger avec le patient, adopter un langage adapté et une posture responsable et professionnelle.
Médecin Généraliste, Pédiatre
Mixte
Prévention, repérage et amélioration de la prise en charge de l'obésité de l'enfant
DPC
Le surpoids et l'obésité constituent un problème majeur de santé Publique. En effet, en France, en 2013, en grande section de maternelle (enfants âgés de 5 à 6 ans), 9,7 % des filles et 7,3 % des garçons étaient en surpoids, mais n'étaient pas obèses ; 3,8 % des filles et 3,1 % des garçons étaient atteints d’obésité. Plus de la moitié des enfants obèses à l’âge de 6 ans et 70 à 80 % de ceux de plus de 10 ans resteront obèses à l’âge adulte. Il en résulte une surmortalité de 50 à 80 % à l’âge adulte, surtout de nature cardiovasculaire. Par ailleurs l’obésité entraine une baisse de l’estime de soi et empêche l’intégration et l’évolution sociale. Cette augmentation de la prévalence est accompagnée de nombreuses comorbidités telles que le diabète de type 2 ; l’HTA, la dyslipidémie, les maladies cardiovasculaires, métaboliques, articulaires, respiratoires, et cela accroit le risque de survenue de certains cancers. Une prédisposition familiale peut favoriser le développement de l'obésité : le surpoids et l'obésité, chez un des parents ou chez les deux, sont des facteurs de risque importants d'un surpoids ou d’une obésité future chez l'enfant. Plus rarement, l'obésité est liée à une maladie génétique ou endocrinienne il est très difficile de modifier des comportements très liés au mode de vie. Le repérage de l’obésité dans l’enfance est un élément prédictif de l’obésité à l’âge adulte afin d’éviter la constitution d’une obésité persistante à l’âge adulte et la survenue de complications, l’HAS recommande de dépister tôt et de proposer une prise en charge précoce pour les enfants à risque d’obésité. Le rôle du médecin traitant est important : grâce à un suivi régulier de l’indice de masse corporelle (IMC) et à l’analyse de l’évolution de la courbe de corpulence, il pourra repérer précocement les enfants et adolescents à risque de développe un surpoids ou une obésité. L’obésité est une maladie plurifactorielle, et sa prise en charge est multidisciplinaire ; Pour tous les enfants, la prise en charge comporte, selon les besoins des enfants et de leur famille des interventions diététiques, psychologiques et d’activité physique. Le Médecin de l’enfant doit pouvoir coordonner toutes ces interventions. Le carnet de santé de l’enfant sera un outil précieux de suivi et de dépistage des troubles liés au surpoids. Objectifs : - Repérer précocement les enfants et adolescents à risque de développer un surpoids ou une obésité et prévenir la survenue d’une obésité ultérieure. - Poser les indications d’examens complémentaires à la recherche d’une cause ou de complications. - Identifier les situations pour lesquelles un avis spécialisé devra être demandé. - Définir avec l’enfant ou l’adolescent une stratégie de changements dans son mode de vie.
Masseur-Kinésithérapeute, Orthophoniste, Pédicure-Podologue, Sage-Femme
En présentiel
Le professionnel de santé face à une situation sanitaire exceptionnelle
DPC
Le but de cette formation est d’optimiser les compétences des professionnels de santé afin d’améliorer la prise en charge des patients en situation sanitaire exceptionnelle. Au cours d’événements inhabituels ou graves, il importe de garantir la continuité et la qualité des soins par la mobilisation au plus juste des ressources sanitaires, de manière adaptée aux besoins de la population et à l’ampleur de la situation. Les professionnels de santé libéraux peuvent constituer les premiers maillons de la chaine des secours et être une ressource dans ces cas-là en informant les populations sur les risques et les comportements à adopter, en effectuant une alerte adaptée en fonction du risque, en apportant les premiers soins, en gérant le stress environnant, en donnant des instructions et en coordonnant la population en cas d’événements exceptionnels. De plus, dans le cadre de situation exceptionnelle avec de nombreuses victimes civiles atteintes de blessures par armes de guerre (attentats terroristes), de nombreuses études montrent l’importance des premiers gestes de survie (type damage control pré hospitalier) afin d’éviter des décès évitables. Néanmoins, nombreux sont ceux qui ne savent pas qui contacter, où se rendre disponibles, ou comment se comporter sur place le cas échéant. Le schéma ORSAN construit la préparation du système de santé aux situations sanitaires exceptionnelles. Cette préparation repose entre autres sur la formation et l’entraînement des professionnels à la gestion de ces situations. De plus, l’arrêté du 8 décembre 2015 fixant la liste des orientations nationales du développement professionnel continu des professionnels de santé stipule qu’il est nécessaire de préparer les professionnels de santé à répondre aux crises sanitaires ou aux attentats par la prise en charge des patients en situations sanitaires exceptionnelles. - Décrire les différents types de SSE et leurs conséquences sur le système de santé, - Le Système d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) et les recommandations sur les comportements à adopter. - Les principes d’organisation des secours en Situation Sanitaire Exceptionnelle et l’identification de leur rôle dans la mise en œuvre des plans de secours. - Les différents risques NRBC-E et les moyens de protection à mettre en œuvre dans le cadre de leur exercice professionnel. - Les modalités de triage et de prise en charge de type damage control. - L’impact psychologique des situations sanitaires exceptionnelles (stress post traumatique) et l’organisation de la prise en charge médico-psychologique.
Médecin Généraliste
E-learning
Prise en charge holistique du Covid Long
DPC
L'HAS a publié dès février 2021, un dossier sur les symptômes prolongés du COVID 19. Les données sont actualisées en permanence (dernière mise à jour 18 Mars 2022 : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3237041/fr/symptomes-prolonges-suite-a-une-covid-19-de-l-adulte-diagnostic-et-prise-en-charge). Les manifestations cliniques du COVID long sont maintenant décrites et définies par l’OMS par des symptômes survenant dans les 3 mois d’un COVID initial, durant plus de 2 mois, évoluant de façon fluctuante et impactant la vie quotidienne. Il existe une grande hétérogénéité de formes cliniques, allant de formes mineures marquées par l’atteinte d’un organe (hyposmie, toux persistante par ex) à d’autres sévères polysystémiques avec asthénie majeure, associée à des symptômes neurologiques, cardiothoraciques digestifs…. En France, l’organisation de la prise en charge passe par les médecins généralistes qui assurent le dépistage et la prise en charge initiale des patients et peuvent adresser les cas complexes vers des réseaux de soins et/ou des plateformes multidisciplinaires. Or l’histoire naturelle de ces symptômes, leur évolution sur le long terme et les facteurs associés à cette évolution sont mal connus à ce jour. Les manifestations ORL du COVID long sont dominées par les troubles persistants de l’odorat. Parmi ces derniers, les anosmies et les parosmies sont responsables d’une altération majeure de leur de la qualité de vie. L’atteinte cardiovasculaire du COVID long est encore peu connue et peut altérer très sévèrement la qualité de vie des patients. La variabilité de la présentation clinique et l’hétérogénéité des symptômes sont parfois responsables d’une errance diagnostique, voire d’une marginalisation des patients. Les manifestations neurologiques du COVID long se traduisent majoritairement par une plainte cognitive persistante et souvent invalidante dans la vie quotidienne, plus rarement par des céphalées chroniques. Ces troubles sont intriqués avec le retentissement psychologique de l’infection COVID et du handicap induit, dont il convient de tenir compte. Objectifs : • Connaitre les différents symptômes du Covid long • Améliorer le raisonnement clinique • Adopter une démarche diagnostique adaptée aux symptômes • Réduire l’errance diagnostique • Optimiser et justifier les décisions prises en termes de recours aux examens complémentaire • Savoir orienter le patient vers une prise en charge multidisciplinaire
Pharmacien
En présentiel
Entretiens pharmaceutiques du patient sous anticancéreux oraux
DPC
L’essor des chimiothérapies par voie orale représentent une part de plus en plus importante des chimiothérapies et permet une prise en charge ambulatoire des patients et une amélioration de leur qualité de vie. Malgré tout, le patient étant seul face à son traitement, les risques de mauvaise observance, d’automédication inappropriée, d’effets indésirables non pris en charge et de plans de prise non adaptés sont importants. C’est dans ce cadre que l’avenant N°21 (juillet 2020), permet aux pharmaciens d’officine de proposer des entretiens pharmaceutiques pour les patients atteints d’un cancer et traités par une chimiothérapie orale. Pour mener à bien ces entretiens, il est essentiel que les pharmaciens d’officine travaillent non seulement sur le renforcement de leurs connaissances et de leurs compétences sur les traitements anticancéreux mais également sur leur posture, en intégrant la personnalité et les attentes des patients, permettant ainsi une prise en charge personnalisée. L’objectif de cette formation présentielle en groupe est de permettre aux pharmaciens de développer une méthode qui intègre le profil psychologique du patient afin que le pharmacien parvienne à se rendre accessible en adaptant sa posture au patient. L’objectif final est d’accompagner les patients de façon personnalisée, d’éviter une rupture du parcours de soins ou des effets indésirables majeurs et évitables, d’optimiser l’efficacité des traitements et d’améliorer l’autonomie et la qualité de vie des patients traités. A l’issue de cette journée, le pharmacien doit : - Maitriser l’organisation d’un entretien pharmaceutique d’accompagnement, - Connaitre la règlementation et les critères d’éligibilité, - Approfondir et mettre à jour ses connaissances, comprendre les leviers de l’observance, connaître, prévenir et gérer les principales toxicités liées aux traitements et interactions médicamenteuses, - Développer ses compétences de pharmacien clinicien, - Éduquer le patient au bon usage de ses médicaments, - Savoir échanger avec le patient, adopter un langage adapté et une posture responsable et professionnelle. Des mises en situation alternées avec des apports théoriques, guidées par le formateur, permettront aux pharmaciens de se mettre en condition réelle de réalisation d’un entretien.
Médecin Généraliste
Mixte
Prise en charge holistique du Covid Long
DPC
L'HAS a publié dès février 2021, un dossier sur les symptômes prolongés du COVID 19. Les données sont actualisées en permanence (dernière mise à jour 18 Mars 2022 : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3237041/fr/symptomes-prolonges-suite-a-une-covid-19-de-l-adulte-diagnostic-et-prise-en-charge). Les manifestations cliniques du COVID long sont maintenant décrites et définies par l’OMS par des symptômes survenant dans les 3 mois d’un COVID initial, durant plus de 2 mois, évoluant de façon fluctuante et impactant la vie quotidienne. Il existe une grande hétérogénéité de formes cliniques, allant de formes mineures marquées par l’atteinte d’un organe (hyposmie, toux persistante par ex) à d’autres sévères polysystémiques avec asthénie majeure, associée à des symptômes neurologiques, cardiothoraciques digestifs…. En France, l’organisation de la prise en charge passe par les médecins généralistes qui assurent le dépistage et la prise en charge initiale des patients et peuvent adresser les cas complexes vers des réseaux de soins et/ou des plateformes multidisciplinaires. Or l’histoire naturelle de ces symptômes, leur évolution sur le long terme et les facteurs associés à cette évolution sont mal connus à ce jour. Les manifestations ORL du COVID long sont dominées par les troubles persistants de l’odorat. Parmi ces derniers, les anosmies et les parosmies sont responsables d’une altération majeure de leur de la qualité de vie. L’atteinte cardiovasculaire du COVID long est encore peu connue et peut altérer très sévèrement la qualité de vie des patients. La variabilité de la présentation clinique et l’hétérogénéité des symptômes sont parfois responsables d’une errance diagnostique, voire d’une marginalisation des patients. Les manifestations neurologiques du COVID long se traduisent majoritairement par une plainte cognitive persistante et souvent invalidante dans la vie quotidienne, plus rarement par des céphalées chroniques. Ces troubles sont intriqués avec le retentissement psychologique de l’infection COVID et du handicap induit, dont il convient de tenir compte. Objectifs : • Connaitre les différents symptômes du Covid long • Améliorer le raisonnement clinique • Adopter une démarche diagnostique adaptée aux symptômes • Réduire l’errance diagnostique • Optimiser et justifier les décisions prises en termes de recours aux examens complémentaire • Savoir orienter le patient vers une prise en charge multidisciplinaire
Médecin Généraliste
Mixte
Prise en charge holistique du Covid long
DPC
L'HAS a publié dès février 2021, un dossier sur les symptômes prolongés du COVID 19. Les données sont actualisées en permanence (dernière mise à jour 18 Mars 2022 : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3237041/fr/symptomes-prolonges-suite-a-une-covid-19-de-l-adulte-diagnostic-et-prise-en-charge). Les manifestations cliniques du COVID long sont maintenant décrites et définies par l’OMS par des symptômes survenant dans les 3 mois d’un COVID initial, durant plus de 2 mois, évoluant de façon fluctuante et impactant la vie quotidienne. Il existe une grande hétérogénéité de formes cliniques, allant de formes mineures marquées par l’atteinte d’un organe (hyposmie, toux persistante par ex) à d’autres sévères polysystémiques avec asthénie majeure, associée à des symptômes neurologiques, cardiothoraciques digestifs…. En France, l’organisation de la prise en charge passe par les médecins généralistes qui assurent le dépistage et la prise en charge initiale des patients et peuvent adresser les cas complexes vers des réseaux de soins et/ou des plateformes multidisciplinaires. Or l’histoire naturelle de ces symptômes, leur évolution sur le long terme et les facteurs associés à cette évolution sont mal connus à ce jour. Les manifestations ORL du COVID long sont dominées par les troubles persistants de l’odorat. Parmi ces derniers, les anosmies et les parosmies sont responsables d’une altération majeure de leur de la qualité de vie. L’atteinte cardiovasculaire du COVID long est encore peu connue et peut altérer très sévèrement la qualité de vie des patients. La variabilité de la présentation clinique et l’hétérogénéité des symptômes sont parfois responsables d’une errance diagnostique, voire d’une marginalisation des patients. Les manifestations neurologiques du COVID long se traduisent majoritairement par une plainte cognitive persistante et souvent invalidante dans la vie quotidienne, plus rarement par des céphalées chroniques. Ces troubles sont intriqués avec le retentissement psychologique de l’infection COVID et du handicap induit, dont il convient de tenir compte. • Connaitre les différents symptômes du Covid long • Améliorer le raisonnement clinique • Adopter une démarche diagnostique adaptée aux symptômes • Réduire l’errance diagnostique • Optimiser et justifier les décisions prises en termes de recours aux examens complémentaire • Savoir orienter le patient vers une prise en charge multidisciplinaire
Médecin Généraliste
Mixte
Parcours de DPC « Otologie médicale » pour les médecins généralistes prescripteurs d’audioprothèse
DPC
Le CMG et le CNP ORL se sont entendus sur la définition de règles communes permettant de garantir aux patients la qualité des prises en charges dans la primo-prescription des audioprothèses en cas de déficit auditif de l’adulte de plus de 60 ans porteur d’une presbyacousie. Conformément à l’arrêté du 13 novembre 2018, pour l’adulte et l’enfant, la prescription d’un premier appareillage auditif est soumise à une prescription médicale. Le médecin prescripteur pratique ou coordonne lui-même la prise en charge diagnostique et thérapeutique. La qualité de ce parcours DPC de compétence en « Otologie médicale » sera attestée par le CMG, selon l’article R.4021-4.-I. du code de la santé publique, sur des règles communes recommandées par le CMG et le CNP ORL, et validée par le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM). Collège de la Médecine Générale –15 janvier 2022 4 Le CMG et le CNP ORL s’entendent pour centrer le parcours défini par l’arrêté du 13 novembre 2018 sur la primo-prescription d’un appareillage auditif chez l’adulte de plus de 60 ans, porteur d’une presbyacousie. Le bilan préalable comprenant notamment un interrogatoire, un examen otologique, un bilan acoumétrique et audiométrique tonal (en voie aérienne et osseuse) et vocal défini comme suit est obligatoire, et doit être réalisé par le médecin prescripteur. Cette primo-prescription peut être réalisée, soit par : - Un médecin spécialiste en ORL, - Un médecin spécialiste de médecine générale attestant de la validation d’un DU/DIU en otologie, ou de l’expertise, la conception, l’animation, ou la réalisation d’un parcours de DPC en prise en charge des presbyacousies.
Dentiste
E-learning
La prise en charge de la douleur au cabinet dentaire
DPC
La douleur en cabinet dentaire doit être en toute circonstance prévenue, évaluée, prise en compte et traitée. La prise en charge de la douleur est une obligation appuyée par des plans de lutte successifs. Ainsi, tout patient algique doit recevoir des soins visant à soulager sa douleur. Le programme de formation a pour but de renforcer les connaissances sur la douleur : - Connaître les différents types de douleur permet pour un soignant d’optimiser la prise en charge - Savoir évaluer la douleur est primordial pour instaurer un dialogue constructif avec le médecin traitant - Pouvoir soulager le patient en améliorant sa prise en charge thérapeutique, médicamenteuse ou non - Gérer les effets secondaires des traitements, les contre-indications et les interactions médicamenteuses – Évaluer et traiter l’anxiété du patient permet d’augmenter le seuil de tolérance de la douleur. Ainsi, la formation se décline en plusieurs modules, tous primordiaux pour chaque chirurgien-dentiste dans sa pratique. En effet, en France, 92 % de personnes ont souffert d’une douleur de courte ou longue durée dans l’année. De plus, la douleur est le premier motif de consultation d’urgence dans les cabinets dentaires. Une prise en charge de qualité est donc indispensable pour être efficace.
Pharmacien
En présentiel
Rôle des pharmaciens d’officine dans la prise en charge des patientes atteintes d’endométriose
DPC
En France, 10-15% des femmes sont atteintes d’endométriose mais l’on constate un retard de diagnostic de 7 à 10 ans. Il est nécessaire d’accroitre la sensibilisation de cette maladie, afin de garantir une prévention effective, un diagnostic précoce et une meilleure prise en charge des cas. Les femmes se rendent chaque jour à la pharmacie pour soulager leur douleur de règles ou viennent renouveler leur ordonnance de contraception, ainsi les pharmaciens ont un rôle majeur à jouer aussi bien dans l’orientation de la patiente que dans son accompagnement. Cette formation s’inscrit dans la formation continue et a pour but de donner des bases sur la maladie et ses traitements afin d’optimiser la prise en charge de ces patientes atteintes d’endométriose. Elle vise aussi à donner les clefs pour repérer et orienter les femmes susceptibles d’être atteintes d’endométriose et réduire ainsi l’errance diagnostique. Objectifs : A la fin de la formation, l’équipe officinale doit être en mesure de : - Définir ce qu’est l’endométriose et ses symptômes - Citer les traitements conventionnels de prise en charge de l’endométriose - Renforcer le dépistage des femmes susceptibles d’être atteinte d’endométriose, au moyen d’un court questionnaire, - Réduire l’errance diagnostique - Conseiller les patientes diagnostiquées pour soulager leurs symptômes, - Savoir prendre en charge la douleur,