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Aide-soignant, Infirmier

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La prise en charge de la douleur des personnes vulnérables en EHPAD

DPC

Objectifs - Définir la douleur et la souffrance, leurs composantes et les traitements associés - Préciser les différents types de douleur pour mieux les accompagner - Repérer les spécificités chez le sujet âgé ou vulnérable - Préciser les outils d’évaluation adaptés - Rappeler le cadre législatif Approche pédagogique Elle est mise en œuvre par : - des apports théoriques transmis par une présentation orale conjointement à la mise à disposition d’un support écrit de formation reprenant l’ensemble des éléments - l’expérience professionnelle de l’intervenant permettant la mise en perspective des apports théoriques - l’analyse des cas pratiques du quotidien présentés par les participants. La formation est participative et interactive : chaque participant est encouragé à exposer ses questionnements et les difficultés qu’il rencontre afin de tenter au mieux de les comprendre et de pouvoir, à l’issue, mettre en œuvre des actions concrètes et constructives d’accompagnement auprès des familles et des résidents accompagnés.

Aide-soignant, Infirmier

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Les soins palliatifs et l’accompagnement de fin de vie

DPC

Introduction Finir sa vie dans son lieu de vie est un droit. À l’heure actuelle, la majeure partie des EHPAD offrent une prise en charge de qualité aux personnes en situation de fin de vie et prodiguent l’ensemble des soins médicaux, que leurs moyens techniques et humains permettent. Cet accès à des soins particuliers fait partie de l’accompagnement des personnes âgées et de la logique de bientraitance dont elles peuvent bénéficier. En Ehpad, les soins palliatifs peuvent être pratiqués par l’équipe soignante, afin d’éviter à ces patients fragilisés des transferts dommageables pour leur santé. Les soins palliatifs sont définis comme « des soins actifs et continus pratiqués par une équipe interdisciplinaire, en institution ou à domicile. Ils visent à soulager la douleur, à apaiser la souffrance physique, à sauvegarder la dignité de la personne malade et à soutenir son entourage. » (Société française d’accompagnement et de soins palliatifs.) Le but des soins palliatifs en Ehpad n’est donc pas de guérir le résident malade, mais de préserver sa qualité de vie Pour de nombreuses personnes handicapées, malades ou très âgées, l’institution est devenue ce lieu où elles souhaitent vivre leurs derniers jours. Cette nouvelle donnée questionne les dynamiques institutionnelles, les pratiques professionnelles et touche chacun dans son intimité. Objectifs - Cerner les soins palliatifs et les besoins spécifiques de la personne en fin de vie - Appréhender le concept de la mort - Elaborer une réflexion sur l’accompagnement - Préciser les spécificités des personnes handicapées en fin de vie en EHPAD Approche pédagogique Elle est mise en œuvre par : - des apports théoriques transmis par une présentation orale conjointement à la mise à disposition d’un support écrit de formation reprenant l’ensemble des éléments - l’expérience professionnelle de l’intervenant permettant la mise en perspective des apports théoriques - l’analyse des cas pratiques du quotidien présentés par les participants. La formation est participative et interactive : chaque participant est encouragé à exposer ses questionnements et les difficultés qu’il rencontre afin de tenter au mieux de les comprendre et de pouvoir, à l’issue, mettre en œuvre des actions concrètes et constructives d’accompagnement auprès des familles et des résidents accompagnés.

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Les troubles du comportement alimentaire chez la personne dépendante (âgée et/ou dépendante)

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Introduction Une bonne alimentation et une bonne hydratation constituent des facteurs déterminants de l’état de santé des personnes âgées qui présentent souvent des déficits nutritionnels importants. Elles peuvent aussi souffrir de déshydratation, de carences alimentaires sérieuses consécutives ou non aux troubles du comportement alimentaire. Il est important de connaître les apports alimentaires nécessaires à chaque Résident, les différents modes d’alimentation et de repérer « l’état nutritionnel » de chacun. Pour la personne dépendante, le repas est souvent attendu et il reste toujours un moment privilégié. La dimension de plaisir doit être alors intimement liée à la dimension nutritionnelle pour qu’elles aient un impact global sur la qualité de l’accompagnement des personnes accueillies. Cependant, différents troubles du comportement alimentaire doivent être pris en charge, tels que, la dénutrition, la déshydratation, les troubles de la déglutition, l’hyperphagie…aux causes et aux conséquences multiples. Objectifs - Connaître les grands principes de la nutrition, - Comprendre les modifications physiologiques liées à l’âge et leur incidence sur l’alimentation, - Perfectionner les connaissances sur les besoins nutritionnels de la personne dépendante et les habitudes alimentaires, - Dépister la dénutrition et la déshydratation chez une personne dépendante, - Faire du repas un moment de plaisir de détente et de convivialité malgré la dépendance. - Connaître les causes et les conséquences des troubles du comportement alimentaire. Approche pédagogique La formation est participative et interactive : chaque participant est encouragé à exposer ses questionnements et les difficultés qu’il rencontre afin de tenter au mieux de les comprendre et de pouvoir, à l’issue, mettre en œuvre des actions concrètes et constructives d’accompagnement auprès des familles et des résidents accompagnés.

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Connaitre et comprendre les démences pour mieux les accompagner en EHPAD

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Introduction Le regard, dans les sociétés occidentales contemporaines, est toujours ambigu comme le démontre l’usage systématique de circonlocutions (telles que séniors ou personnes âgées) en remplacement des mots vieux ou vieillards. Quant à la démence, elle recouvre plusieurs réalités et des termes plus spécifiques sont utilisés par les spécialistes (maladie d’Alzheimer, maladie à corps de Lewy…). Ces pathologies entraînent souvent une dépendance des personnes âgées, qui nécessitent une prise en charge spécifique. La connaissance des différents types de démences, le repérage de leurs causes et la possibilité de pouvoir anticiper et mesurer leurs conséquences sont autant d’éléments qui vont permettre au personnel non seulement de mieux se repérer face à cette problématique mais aussi de se doter d’outils et de pratiques adaptées pour mieux accompagner les personnes qui en souffrent. Objectifs - Sensibiliser les agents, aide soignants et tout professionnel exerçant des fonctions d’accompagnement de personnes âgées dépendantes souffrant de la maladie d’Alzheimer ou de troubles apparentés, aux problématiques liées à la maladie et à l’accompagnement. - Connaître et comprendre les troubles et manifestations majeures (cognitifs, moteurs et psychiques) de ces maladies afin d’améliorer les relations. - Savoir communiquer avec la personne et sa famille. - Cerner les soins palliatifs et les besoins spécifiques de la personne en fin de vie. Approche pédagogique Elle est mise en œuvre par : - des apports théoriques transmis par une présentation orale conjointement à la mise à disposition d’un support écrit de formation reprenant l’ensemble des éléments - l’expérience professionnelle de l’intervenant permettant la mise en perspective des apports théoriques - l’analyse des cas pratiques du quotidien présentés par les participants. La formation est participative et interactive : chaque participant est encouragé à exposer ses questionnements et les difficultés qu’il rencontre afin de tenter au mieux de les comprendre et de pouvoir, à l’issue, mettre en œuvre des actions concrètes et constructives d’accompagnement auprès des familles et des résidents accompagnés.

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Connaitre et accompagner les troubles psychiatriques en EHPAD

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La prévalence des troubles psychiatriques est importante chez les personnes âgées puisque la moitié des sujets de plus de 65 ans souffriraient d’un trouble psychiatrique. Dans cette population, le trouble psychiatrique est souvent associé à une ou plusieurs affections somatiques qu’il aggrave. Au contraire, le traitement des manifestations psychiatriques améliore la prise en charge des maladies somatiques. Chez la personne âgée, il est très habituel que l’expression des troubles psychiques se fasse dans le registre somatique plutôt que par la parole. En effet, le vieillissement physiologique et les éventuelles affections somatiques associées entraînent des modifications du corps et du vécu corporel qui expliquent le recours à la plainte somatique comme expression de la souffrance psychologique. Les troubles du comportement sont un autre mode d’expression fréquent des affections mentales dans cette tranche d’âge. La dépression, qui est souvent méconnue des médecins, a de multiples aspects : troubles du caractère, idées délirantes, troubles cognitifs. Les formes à début tardif sont souvent associées à des facteurs de risque vasculaires ou cérébraux. Parmi les troubles anxieux, l’anxiété généralisée et les troubles phobiques sont les plus fréquents chez la personne âgée.

Aide-soignant

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La maladie d'Alzheimer et les troubles apparentés

DPC

Le regard, dans les sociétés occidentales contemporaines, est toujours ambigu comme le démontre l’usage systématique de circonlocutions (telles que séniors ou personnes âgées) en remplacement des mots vieux ou vieillards. Quant à la démence, elle recouvre plusieurs réalités et des termes plus spécifiques sont utilisés par les spécialistes (maladie d’Alzheimer, maladie à corps de Lewy…). Ces pathologies entraînent souvent une dépendance des personnes âgées, qui nécessitent une prise en charge spécifique. La connaissance des différents types de démences, le repérage de leurs causes et la possibilité de pouvoir anticiper et mesurer leurs conséquences sont autant d’éléments qui vont permettre au personnel non seulement de mieux se repérer face à cette problématique mais aussi de se doter d’outils et de pratiques adaptées pour mieux accompagner les personnes qui en souffrent.

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Plaies et cicatrisation, prise en charge en EHPAD

DPC

La prise en charge des plaies, qu’elles soient aiguës ou chroniques, relève aujourd’hui d’un savoir-faire qui repose sur des savoirs théoriques et pratiques étayés par des recommandations d’experts elles-mêmes validées par des démarches scientifiques. Le soin de plaie et de prévention d’escarre est le quotidien de l’infirmière et des personnels soignants en général. Le traitement d’une plaie, surtout s’il s’agit de plaies chroniques, n’est pas seulement local mais aussi général. Il est nécessaire de prendre en charge le résident dans sa globalité et prendre soins de tous ses besoins : nutrition, douleur, infection, confort…