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Impact des facteurs environnementaux et nutritionnels sur le microbiote intestinal et leurs conséquences sur la santé
DPC
L’augmentation des cancers et des maladies chroniques que nous constatons, au quotidien, dans nos cabinets n’est pas sans relation avec les troubles nutritionnels que nous subissons du fait des impacts de la pollution environnementale, qu’elle provienne de l’eau, de l’air ou de l’alimentation, voire de nos modes de vie. Ce DPC vous permettra d’orienter vos interrogatoires à la recherche d’une dysbiose, d’une perturbation nutritionnelle d’origine environnementale, de pouvoir proposer des mesures de prévention et aussi d’être en capacité de répondre aux nombreuses questions de vos patients sur les liens entre leur santé, alimentation et pesticides. Il est à noter que cette thématique est de plus en plus évoquée sur les réseaux sociaux de façon rarement scientifique, ce qui génère de l’éco-anxiété… Seule réponse à cela : Découvrir et comprendre l’impact des pollutions environnementales sur la nutrition et le microbiote colique afin d’apporter des faits établis scientifiquement ainsi que des conseils de prévention pertinents et protecteurs à vos patients. Cette formation ne prétend pas être exhaustive tant elle relève d’une complexité extrême et qu’elle est scientifiquement en évolution… La qualité nutritionnelle des matières premières alimentaires est fonction de nombreux facteurs : variétés de plantes, espèces animales, modes de production, maturité, techniques de traitement, conservation, cuisson… Le microbiote colique est le moteur principal de notre digestion. Nous savons maintenant que la qualité de l’environnement joue un rôle capital sur le fonctionnement du microbiote intestinal. Un microbiote est l’ensemble des micro-organismes – bactéries, virus, parasites et champignons non pathogènes, dits commensaux – qui vivent dans un environnement spécifique. Dans l’organisme, il existe différents microbiotes : au niveau de la peau, de la bouche, du vagin, des poumons… Il existe plus de micro-organismes dans notre microbiote intestinal que de cellules dans notre corps. Il est principalement localisé dans l’intestin grêle et le côlon, réparti entre la lumière du tube digestif et le biofilm protecteur formé par le mucus intestinal qui recouvre sa paroi intérieure. La présence de micro-organismes dans l’intestin est connue depuis plus d’un siècle et on a vite supposé qu’il existât une symbiose entre notre organisme et cette flore. C’est la mise au point récente du séquençage haut débit du matériel génétique qui a récemment donné un nouvel élan à cette recherche : bien qu’encore imparfaite pour analyser exhaustivement d’aussi nombreux génomes, dont certains sont encore méconnus. Ainsi, nous sommes désormais en mesure de décrire de plus en plus finement la nature des interactions hôte-microbiote, celles des micro-organismes entre eux, et leur incidence sur le fonctionnement de notre organisme. On sait désormais que le microbiote joue un rôle important dans les fonctions digestives, métaboliques, immunitaires et neurologiques. Nous savons aussi maintenant que la qualité de l’environnement a un impact fort sur notre microbiote colique et peut entrainer de nombreux effets délétères pour notre santé… En conséquence, la dysbiose, c’est-à-dire l’altération qualitative et/ou fonctionnelle du microbiote intestinal, est une piste sérieuse pour expliquer certaines maladies, notamment parmi celles sous-tendues par des mécanismes auto-immuns ou inflammatoires. C’est aussi une piste fondamentale pour la prévention des maladies digestives, métaboliques, immunitaires et neurologiques. 1- Découvrir et s’approprier les concepts de base de la nutrition ainsi que les liens complexes entre l’impact de l’environnement sur la qualité intrinsèque des aliments. 2- Découvrir et s’approprier le fonctionnement du microbiote colique et intégrer les impacts environnementaux comme la qualité de l’alimentation, les fibres, l’antibiothérapie... 3- Faire le lien épidémiologique entre la perturbation du microbiote colique suite à une exposition environnementale délétère et la survenue de pathologies digestives, métaboliques, neurologiques, cancer… 4- Identifier les personnes les plus à risque : notion d’exposome 5- Mettre en œuvre les mesures de préventions primaire et secondaire afin de réduire les expositions courantes et les expositions professionnelles quand cela est possible...
Dermatologue, Endocrinologue, Gasto-entérologue, + 14 autres
En présentiel
LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS
DPC
Elément clé de la médecine environnementale, les perturbateurs endocriniens (PE) issus en grande partie des plastiques ainsi que de la chimie du pétrole sont à l’origine ou en grande partie responsable de l’ « épidémie » de diabète, d’obésité, d’infertilité, de malformations néonatales, de troubles nerveux et de certains cancers. Son exposition au moment de la conception produira ses effets plusieurs décennies plus tard et aussi en trans générationnel. Les coûts humains et économiques en font une priorité de santé publique pour l’ensemble des autorités médicales. A l'issue de la journée, les participants sauront définir ce qu'est un PE, le schématiser et en connaître les mécanismes. En sus, ils sauront situer leur place en tant que référent et acteur dans la mise en place de mesures préventives
Médecin Généraliste
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MIEUX COMMUNIQUER AVEC LE PATIENT ET SON ENTOURAGE (CLASSE VIRTUELLE)
DPC
Cette formation vise à développer des compétences relationnelles des médecins généralistes dans leur rapport aux patients et à leur entourage, à mettre la communication au coeur de la relation médecin-patient. Faire de la communication un outil thérapeutique La communication peut être un outil thérapeutique en soi, peut être complémentaire des traitements habituels, voire se substituer à eux. En effet, l’écoute empathique profonde ainsi que l’accueil et la reconnaissance de ce que vit le patient, représentent une vraie démarche thérapeutique. Vérifier la bonne compréhension qu'a le patient du diagnostic ou des options thérapeutiques et communiquer en temps opportun Communiquer n’est pas seulement écouter et donner des informations, c'est également savoir s’assurer que l’on s’est compris. Il s’agira d’apprendre à vérifier que le patient a bien compris les explications dispensées par le médecin. Mieux communiquer pour améliorer la qualité de vie au travail Prendre soin nécessite également de savoir garder une juste distance avec les patients, être à l’écoute mais également respecter ses propres limites, accompagner et soutenir sans se sentir écrasé, prendre soin de soi en tant que soignant. Cette nouvelle posture permettra une relation plus symétrique, l’expérience thérapeutique en sera alors plus satisfaisante non seulement pour le patient mais aussi pour le soignant.
Médecin Généraliste
En présentiel
MIEUX COMMUNIQUER AVEC LE PATIENT ET SON ENTOURAGE
DPC
Résumé de l’action Cette formation vise à développer des compétences relationnelles des médecins généralistes dans leur rapport aux patients et à leur entourage, à mettre la communication au coeur de la relation médecin-patient. Faire de la communication un outil thérapeutique La communication peut être un outil thérapeutique en soi, peut être complémentaire des traitements habituels, voire se substituer à eux. En effet, l’écoute empathique profonde ainsi que l’accueil et la reconnaissance de ce que vit le patient, représentent une vraie démarche thérapeutique. Vérifier la bonne compréhension qu'a le patient du diagnostic ou des options thérapeutiques et communiquer en temps opportun Communiquer n’est pas seulement écouter et donner des informations, c'est également savoir s’assurer que l’on s’est compris. Il s’agira d’apprendre à vérifier que le patient a bien compris les explications dispensées par le médecin. Mieux communiquer pour améliorer la qualité de vie au travail Prendre soin nécessite également de savoir garder une juste distance avec les patients, être à l’écoute mais également respecter ses propres limites, accompagner et soutenir sans se sentir écrasé, prendre soin de soi en tant que soignant. Cette nouvelle posture permettra une relation plus symétrique, l’expérience thérapeutique en sera alors plus satisfaisante non seulement pour le patient mais aussi pour le soignant. Justification : La capacité de communication est au centre des compétences du DES de médecine générale, c’est un élément fondamental de la relation médecin patient et du contrat de soins. Cela concerne notamment l’échange d’informations nécessaires à l’établissement du diagnostic et à la prise en charge du patient. Les médecins, eux-mêmes, considèrent que la communication avec les patients est une compétence importante dans l’exercice de leur profession, notamment avec les patients atteints de maladies chroniques, et qu’elle a un rôle thérapeutique en elle-même. Elle concerne toutes les dimensions de la consultation, depuis l’accueil jusqu’au suivi. Objectifs • Développer des compétences spécifiques d’écoute et d’expression afin de mettre la communication au cœur de la consultation • Améliorer l’effet thérapeutique de sa communication afin de diminuer la prescription d’examens et médicamenteuses. • Vérifier la bonne compréhension qu’a le patient du diagnostic et des options thérapeutiques. • Savoir être à l’écoute de soi et de ses besoins afin d’ajuster sa posture avec le patient et en faire un outil thérapeutique. • Savoir repérer ce qui, dans notre manière de communiquer, peut faciliter la relation. • Savoir réagir face un message difficile et une communication conflictuelle avec le patient ou son entourage. • Expérimenter dans des mises en situations afin de savoir mettre en pratique de manière autonome des outils concrets adaptés à la pratique professionnelle afin de les utiliser avec les patients et leur entourage. • Savoir respecter ses propres limites dans la relation aux patients, au service de celle-ci.
Endocrinologue, Gériatre, Gynécologue, Médecin Généraliste
Mixte
STRATÉGIES THÉRAPEUTIQUES DANS LE DIABÈTE DE TYPE II
DPC
Les médecins sont confrontés chaque jour au suivi et au traitement de la pathologie chronique qui est le diabète. Cette formation doit permettre aux participants de savoir définir les objectifs glycémiques cibles en fonction du patient et d'adapter sa stratégie médicamenteuse en fonction de l'objectif. Objectifs : - Savoir définir les objectifs glycémiques cibles de chaque patient - Savoir définir les spécificités de chaque classe médicamenteuse, connaître les indications et contre-indications des traitements du diabète de type II - Savoir choisir ou modifier la stratégie médicamenteuse adaptée au profil du patient - Adapter les posologies du schéma thérapeutique en fonction des résultats et de la tolérance - Savoir mettre en place ou non l'auto-surveillance glycémique chez les patients diabétiques
Gynécologue, Médecin Généraliste, Pédiatre
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DÉPISTAGE DE LA VIOLENCE INTRACONJUGALE ET CONDUITE À TENIR
DPC
Les violences faites aux femmes sont une urgence de santé publique. Les chiffres sont éloquents. En 2014 en France, 134 femmes sont décédées dans le cadre de violences au sein du couple. On estime à 216 000 le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui, chaque année, sont victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur ancien ou actuel partenaire intime (mari, concubin, pacsé, petit-ami…). Cela signifie qu’en France une femme meurt tous les trois jours de violences conjugales. Les professionnels de santé ont un rôle à jouer dans cette lutte car selon les statistiques 25% de femmes victimes de violence ont consulté leur médecin mais souvent n’ont pas osé aborder ce sujet avec le médecin (honte, peur d’être jugée). Les femmes restent les premières victimes de violences conjugales, mais il faut rappeler que les hommes peuvent aussi être victimes de ces violences. Le médecin informé de cette situation se retrouve parfois démuni par manque de connaissance sur les ressources pour orienter la victime mais aussi en difficulté pour la rédaction du certificat. Au niveau du Conseil de l’Ordre des médecins, il a été constaté qu’un nombre important de plaintes concerne la rédaction de certificats médicaux. Cette formation a pour but de sensibiliser le médecin au dépistage des signes évocateurs de violence, connaitre ce qu’est la violence conjugale, savoir rédiger et remettre les documents adéquats pour déclencher un signalement et apporter les preuves nécessaires en respectant la déontologie et le droit. En conclusion, à la fin de cette formation, un médecin suspectant un cas de maltraitance doit être à même de le prendre en charge, de rassurer, de renseigner, d’évaluer une situation à risques y compris pour les enfants, d’orienter et d'accompagner la personne pour initier une démarche. Les objectifs pédagogiques : - Objectif 1 : Connaître ce qu’est la violence conjugale - Objectif 2 : Dépister les signes évocateurs de violence - Objectif 3 : Connaître les signes de gravité de la violence et la procédure de déclenchement - Objectif 4 : Évaluer le risque pour les enfants victimes indirects des violences conjugales - Objectif 5 : Savoir rédiger et remettre les documents adéquats pour déclencher un signalement - Objectif 6 : Connaître les ressources du territoire afin de conseiller la personne violentée quant à l’orientation possible (ou les orientations)
Médecin Généraliste
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ULCÈRES VASCULAIRES DES MEMBRES INFÉRIEURS : DU DIAGNOSTIC À LA PRISE EN CHARGE
DPC
Les ulcères de jambe sont des pathologies fréquentes (1% de la population générale jusqu’à plus de 5% des personnes de plus de 70 ans) et l’hétérogénéité de leur prise en charge peut entraîner des retards de cicatrisation ou des évolutions prolongées qui entraînent un coût global non négligeable notamment dans l’utilisation inapropriée des dispositifs médicaux. La prise en charge des ulcères veineux (80 à 90% des ulcères dont 15% sont mixtes) et des ulcères d’origine artérielle est très différente. Le traitement de l’ulcère est avant tout le traitement de son étiologie qui va bien au delà du simple traitement local. Aborder les différents types étiologiques des ulcères des membres inférieurs afin de mettre en place un traitement et des mesures hygiéno-diététiques adaptées et de planifier le suivi du patient pour diminuer le temps de cicatrisation. Les objectifs généraux : 1- Améliorer la prise en charge des ulcères de jambe quel qu’en soit l’étiologie 2- Diminuer les délais de cicatrisation et le coût global Les objectifs pédagogiques spécifiques : • Objectif 1 : Acquérir les bases de la physiopathologie des troubles vasculaires • Objectif 2 : Savoir diagnostiquer les différentes étiologies d’un ulcère de jambe • Objectif 3 : Savoir prescrire et interpréter les examens complémentaires nécessaires à la prise en charge d’un ulcère vasculaire en fonction de son étiologie • Objectif 4 : Elaborer un projet de soin en fonction des différentes étiologies • Objectif 5 : être capable de reconnaître les signes et d’orienter l’ulcère qui ne guérit pas vers un spécialiste de niveau 2
Anatamo-pathologiste, Chirurgien, Gasto-entérologue, + 3 autres
En présentiel
CANCER COLORECTAL : DU DÉPISTAGE AU TRAITEMENT
DPC
En France, le cancer colorectal se situe au 3ème rang des cancers après celui de la prostate et du sein. Il présente la 2ème cause de mortalité par cancer en 2012 avec 17 000 décès (SNFGE-Cancer du côlon non métastatique-janvier 2019). Le nombre de cas de cancer colorectal par an reste stable depuis plusieurs années, mais on observe une baisse progressive de la mortalité, notamment grâce aux progrès des traitements et au développement des campagnes de dépistage. Cette formation permettra de faire un tour d’horizon du cancer colorectal : de son dépistage à sa prise en charge jusqu’à son suivi, à la fois pour le médecin généraliste (Coordonnateur du suivi) et pour les différents spécialistes (coordonnateurs de la prise en charge). A l'issue de cette formation, les participants : - Seront capables de proposer et mettre en œuvre le dépistage du cancer colorectal pour la population en général et pour les patients à risque élevé ou très élevé (Recommandations de l'HAS) - Connaîtront les indications de la coloscopie, ses critères de qualité et le rythme des suivis - Seront capables de prescrire des examens complémentaires - Connaîtront les différents types de chirurgie en particulier celle du rectum - Connaîtront les traitements en fonction de la classification de la tumeur - Seront capables de mettre en place un suivi à court et long terme
Médecin Généraliste, Pédiatre
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TROUBLES SPÉCIFIQUES DU LANGAGE ET DES APPRENTISSAGES : REPÉRAGE ET PRISE EN CHARGE PAR LE MÉDECIN
DPC
Les troubles spécifiques du langage et des apprentissages (TSLA) appelés communément « troubles dys » sont la conséquence d’anomalies dans le développement cognitif de l’enfant. Fréquents et durables, ils ont des répercussions sur la vie quotidienne des enfants, sur leurs apprentissages scolaires mais aussi plus tard sur la vie sociale et professionnelle. Ces conséquences peuvent être prévenues ou atténuées par une prise en charge précoce et adaptée. A l’issue de la formation les participants seront capables de : - Connaître les différentes étapes du développement normal de l’enfant afin de repérer précocement les troubles du langage et des apprentissages - Connaître les différents troubles spécifiques du langage et des apprentissages - Connaître et savoir utiliser un outil en pratique quotidienne pour le dépistage des troubles - Prescrire les bilans et examens adaptés en cas de repérage de troubles et comprendre l’intérêt de chaque bilan - Savoir à qui adresser l’enfant en second recours en cas de nécessité
Dermatologue, Endocrinologue, Gasto-entérologue, + 15 autres
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JUSTE PRESCRIPTION DES EXAMENS COMPLÉMENTAIRES EN IMAGERIE
DPC
L’imagerie est au cœur des révolutions médicales depuis les 30 dernières années. Elle permet des diagnostics fiables et précis, des améliorations notables au niveau des suivis et du dépistage et propose de nouvelles techniques notamment en radiologie interventionnelle, … Malgré tout, un mauvais usage de l’imagerie médicale peut être aussi inutile et nocif. Un examen n’est utile que s’il est susceptible de modifier la prise en charge du patient et le choix de l’imagerie doit toujours privilégier la pertinence et la sécurité du patient en privilégiant notamment les techniques non irradiantes et en adaptant le choix de l’examen à l’état du patient. La réduction des risques à leur minimum (radioprotection des patients, …) est depuis de nombreuses années une préoccupation des médecins. L’évolution constante et rapide des techniques d’examen nécessite une remise à niveau régulière des connaissances afin de prendre en compte la balance bénéfice-risques de chaque prescription Objectifs pédagogiques : - Citer les différentes techniques d’imagerie - Choisir la bonne imagerie dans la bonne indication et au bon moment (notion de hiérarchisation) an adaptant ses choix en fonction de l’état du patient (enfants, femmes enceintes, insuffisants rénaux, …) - Savoir adapter sa prescription au patient en tenant compte des contre-indications, des effets secondaires possibles lors de la prescription - Connaître et savoir utiliser le guide du bon usage des examens d’imagerie médicale pour choisir l’examen - Savoir rédiger des ordonnances adaptées, comportant les informations cliniques indispensables au radiologue