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Médecin Généraliste


En présentiel

Echographie ductale et d’élastographie mammaire. Approche LOBAIRE du sein

DPC

Cette formation est à destination des médecins généralistes, équipés d’un (ou qui a accès à un) échographe, quel que soit leur mode d’exercice. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement des connaissances des pratiques diagnostiques des pathologies du sein, et plus particulièrement du cancer du sein en médecine générale. Cette action permet à un médecin généraliste d’accroître son efficience en utilisant l’échographe dont il dispose comme outil : - soit à orientation diagnostique devant un signe clinique mammaire (nodule, douleur, écoulement mamelonnaire…). - soit de dépistage du cancer du sein (personne à risque). Cette formation permet donc d’éviter d’adresser une patiente en médecine du second recours si l’ensemble des données cliniques et échographiques l’autorise sur la foi des connaissances actuelles de la science (gain de temps) ou, a contrario, l’adresser dès que possible (gain de sécurité) Cette formation montre sur un fantôme comment pratiquer l’échographie du sein en insistant sur l’importance de coupes radiaires et commente les images normales et pathologiques ainsi que leur mécanisme de formation. A la fin de cette formation, le médecin doit être capable : - Comprendre l’anatomie mammaire - Connaître le tissu qui produit le cancer du sein - Savoir comment réaliser une écho ducto-radiaire et axillaire - Analyser les résultats (avec les autres techniques d’imagerie du sein)  - Proposer un protocole de suivi des patientes

Médecin Généraliste


En présentiel

Echographie Gynécologique

DPC

Cette formation en écho-Doppler du pelvis féminin est à destination des médecins généralistes, quel que soit leur mode d’exercice. Elle expose les obstacles et les solutions à l’intégration de l’outil échographique dans leur pratique. Elle s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des conduites à tenir.  Cet atelier présentiel de 2 jours doit permettre d’éviter d’adresser en médecine du second recours (spécialistes d’organe, échographistes, radiologues...) une patiente dont les données clinico-échographiques affirment qu’elle n’est pas menacée et qu’elle peut être prise en charge, sans risque accru, par le médecin traitant formé à l’échographie gynécologique et disposant d’un échographe : Cette patiente n’est pas adressée ailleurs, d’où un gain de temps et de sécurité. A contrario, elle permet d’adresser en médecine du second recours une patiente dont l’état gynécologique, fondé sur les données cliniques, biologiques et échographiques, le nécessite : à nouveau, gain de temps et de sécurité. Le contenu de cette formation, en effet, expose des diagnostics échographiques pour lesquels il a été établi, par des études publiées dans de prestigieuses revues internationales, la sensibilité et/ou la spécificité élevées : la question posée à l’échographie est précise, la réponse clinico-échographique l’est tout autant : seuls ces diagnostics écho-cliniques, de très forte sensibilité ou/ et de très forte spécificité, dont les courbes d’apprentissage ont été établies par des études publiées dans des revues professionnelles reconnues, sont appris aux médecins stagiaires ; cette formation est, d’abord et avant tout, « Evidence Based Medicine ».  A contrario, il est souligné aux Apprenants les diagnostics pour lesquels la sensibilité et/ou la spécificité de l’outil écho-doppler restent imparfaites et relèvent du spécialiste rompu à cette technique. Cette action permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations et données de la littérature internationale par le recueil et l’analyse des pratiques de l’Apprenant. Un «fantôme» est utilisé pour apprendre comment introduire et manipuler la sonde endovaginale ; chaque participant s’entraine, à tour de rôle, sur ces fantômes. Les images échographiques pathologiques sont projetées et décrites ; la pièce jointe Document de description de l'action comporte la grande partie de ces diapositives qu'il nous a été possible d'insérer sous une forme allégée. A la fin de cette formation, le médecin doit être capable de : - Savoir introduire et manipuler la sonde endovaginale - Connaître l’écho-anatomie normale du pelvis féminin : épaisseur de l’endomètre, dimensions et échostructure du myomètre, follicules, corps jaune, péritoine. Choisir la voie d’abord… - Savoir assurer un suivi de l’ovulation Connaître les images pathologiques les plus fréquentes en gynécologie : endomètre, myomètre, ovaires, péritoine pelvien… - Savoir dater une grossesse, connaître l’aspect et la signification de la présence de la vésicule ombilicale… - Savoir reconnaître les anomalies en début de grossesse (Position du sac, GEU, Môle, ...) - Savoir répondre aux 5 questions suivantes : - Savoir affirmer (et dater) ou exclure une GIU à partir de 7 SA. - Savoir affirmer la normalité de l’endomètre en début de cycle ou chez la femme ménopausée - Savoir affirmer la localisation correcte d’un DIU - Connaître les critères cliniques, biologiques et échographiques qui définissent le SOPK et savoir diagnostiquer des OPK, tout en étant conscient du risque de surdiagnostic - Savoir affirmer ou exclure un kyste liquidien simple d’un ovaire en début de cycle

Médecin urgentiste


En présentiel

Perfectionnement en Echocardiographie urgente (2nd niveau)

DPC

Cette formation est à destination de médecins pratiquant déjà l’échographie cardiaque ou ayant déjà été initié à l’échocardiographie (formation Echocardiographies urgentes, niveau 1), quel que soit leur mode d’exercice. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement des connaissances des pratiques diagnostiques et des prises en charges thérapeutiques. Elle permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations de la Société Savante au travers des échanges constatés pendant ces programmes. L’enseignement est basé sur un rappel des coupes de base et l’application en situation clinique, avec quantifications et mesures, et application à la gestion de l’hémodynamique. 2 à 3 participants constituent un poste de travail et chacun joue, tour à tour, le rôle de patient puis celui de «médecin-échographiste», selon le concept de l’enseignement réciproque ; l’Apprenant reproduit les gestes que le formateur explique et montre, recherche les images nécessaires à l’exclusion ou à l’affirmation du diagnostic envisagé par les données cliniques, biologiques ou radiologiques. Il peut être guidé par le second médecin, par le «patient», par les intervenants et par l’expert qui circulent dans la salle, afin d'aider les Apprenants. Les intervenants et l’expert peuvent, éventuellement, prendre la sonde en main pour montrer comment faire aux 3 médecins du poste. En cas de difficulté soulignée par un médecin, l'expert peut également faire une démonstration à tout le groupe avec l'image projetée sur le grand écran. A la fin de cette formation, le médecin doit être capable : - Savoir intégrer une échographie cardiaque dans la gestion et l’étiologie d’un état de choc - De faire une évaluation cardiaque globale : • Taille des cavités • Cinétique du ventricule gauche ; étude cinétique segmentaire sur les coupes petits axes • Aspect et cinétique des valves - D’utiliser le mode couleur et reconnaître une insuffisance ou un rétrécissement valvulaire - Rechercher et évaluer un épanchement péricardique - Reconnaître les critères de tamponnade, identifier un septum paradoxal - Evaluer la fonction systolique visuelle et mesure par la fraction d’éjection (méthodes Teicholz et Simpson) - Rechercher une hypertrophie ventriculaire gauche - Faire l’acquisition du profil mitral et des principaux profils pathologiques - Faire l’acquisition de l’ITV - Rechercher et évaluer un rétrécissement aortique - Rechercher une anomalie de l’insuffisance cardiaque diastolique et Doppler mitral tissulaire - Rechercher et réaliser une mesure d’HTAP, faire l’estimation de la POD avec la veine cave inférieure

Médecin Généraliste


En présentiel

Perfectionnement en Echographies urgentes (2nd niveau)

DPC

Cette formation est à destination de médecins pratiquant déjà l’échographie ou ayant suivi les formations initiales d’échographies urgentes, quel que soit leur mode d’exercice. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement des connaissances des pratiques diagnostiques et des prises en charges thérapeutiques, autour de cas cliniques. Elle permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations de la Société Savante au travers des échanges constatés pendant ces programmes. L’enseignement est basé sur les présentations de cas pathologiques et est constitué de manipulations d’un échographe par les médecins : 3 participants constituent un poste de travail et chacun joue, tour à tour, le rôle de patient puis celui de «médecin-échographiste», selon le concept de l’enseignement réciproque ; l’Apprenant reproduit les gestes que le formateur explique et montre, recherche les images nécessaires à l’exclusion ou à l’affirmation du diagnostic envisagé par les données cliniques, biologiques ou radiologiques. Il peut être guidé par le second médecin, par le «patient», par les intervenants et par l’expert qui circulent dans la salle, afin d'aider les Apprenants. Les intervenants et l’expert peuvent, éventuellement, prendre la sonde en main pour montrer comment faire aux 3 médecins du poste. En cas de difficulté soulignée par un médecin, l'expert peut également faire une démonstration à tout le groupe avec l'image projetée sur le grand écran. Le contenu de cette formation, en effet, expose des diagnostics échographiques de type « binaire » pour lesquels, il a été établi, par des études publiées dans de prestigieuses revues internationales, la sensibilité et/ou la spécificité élevées : la question posée à l’échographie est précise, la réponse clinico-échographique, obéissant à une loi du tout ou rien, l’est également. Seuls les diagnostics écho-cliniques, de très forte sensibilité ou/ et spécificité, dont les courbes d’apprentissage ont été établies par des études publiées dans une revue professionnelle reconnue, sont appris aux médecins : cette formation est, d’abord et avant tout, « Evidence Based Medicine ». A l’inverse, il est souligné aux Apprenants les diagnostics, pour lesquels la sensibilité et/ou la spécificité de l’outil écho-doppler restent imparfaites et relèvent du spécialiste rompu à cette technique. Cet atelier permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations et données de la littérature internationale par le recueil et l’analyse des pratiques de l’Apprenant. Des diapositives d’images échographiques élémentaires pathologiques sont projetées et décrites. A la fin de cette formation, le médecin doit être capable de : - Réaliser un examen écho ciblé sur des pathologies spécifiques : . recherche de lithiases vésiculaires, . recherche de cholécystite, . recherche de dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques, . recherche de lithiases rénales, vésicales, - recherche de signes de souffrances rénales (dilatation pyélo-calicielle), . recherche d’une appendicite compliquée et d’un appendice normal. - Reconnaître les principales pathologies cardiaques. - Savoir évaluer la circulation cérébrale avec le DTC

Médecin urgentiste


En présentiel

Initiation en Echocardiographie en urgence (1er niveau)

DPC

Cette formation est à destination de médecins voulant se former à l’échographie cardiaque de base, quel que soit leur mode d’exercice. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement du diagnostic et de la prise en charge théraopeutique. Elle permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations de la Société Savante au travers des échanges constatés pendant ces programmes. L’enseignement est basé sur la réalisation des coupes échocardiographiques de base et présentations de quelques cas pathologiques. 2 à 3 participants constituent un poste de travail et chacun joue, tour à tour, le rôle de patient puis celui de «médecin-échographiste», selon le concept de l’enseignement réciproque ; l’Apprenant reproduit les gestes que le formateur explique et montre, recherche les images nécessaires à l’exclusion ou à l’affirmation du diagnostic envisagé par les données cliniques, biologiques ou radiologiques. Il peut être guidé par le second médecin, par le «patient», par les intervenants et par l’expert qui circulent dans la salle, afin d'aider les Apprenants. Les intervenants et l’expert peuvent, éventuellement, prendre la sonde en main pour montrer comment faire aux 3 médecins du poste. En cas de difficulté soulignée par un médecin, l'expert peut également faire une démonstration à tout le groupe avec l'image projetée sur le grand écran. OBJECTIFS PEDAGOGIQUES DETAILLES A la fin de cette formation, le médecin doit être capable : • De faire une évaluation cardiaque globale : • Taille des cavités • Cinétique du ventricule gauche ; étude cinétique segmentaire sur les coupes petits axes • Aspect et cinétique des valves • D’utiliser le mode couleur et reconnaître une insuffisance ou un rétrécissement valvulaire • Rechercher et évaluer un épanchement péricardique • Reconnaître les critères de tamponnade, identifier un septum paradoxal • Evaluer la fonction systolique visuelle et mesure par la fraction d’éjection (méthodes Teicholz et Simpson) • Rechercher une hypertrophie ventriculaire gauche • Faire l’acquisition du profil mitral et des principaux profils pathologiques • Faire l’acquisition de l’ITV • Rechercher et évaluer un rétrécissement aortique • Rechercher une anomalie de l’insuffisance cardiaque diastolique et Doppler mitral tissulaire • Rechercher et réaliser une mesure d’HTAP, faire l’estimation de la POD avec la veine cave inférieure

Endocrinologue, Gériatre, Médecin Généraliste, + 4 autres


En présentiel

Perfectionnement en échographie cervicale et des gites ganglionnaires : thyroïde, parathyroïde, glandes salivaires, ganglions lymphatiques

DPC

Cette formation permet à des médecins intéressés par l'échographie cervicale et des gîtes ganglionnaires d'approfondir leurs connaissances de l'échographie de la thyroïde, des parathyroïdes, des glandes salivaires et des adénopathies cervicales, axillaires et inguinales en s'appuyant sur les recommandations et les publications scientifiques. Elle s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des conduites à tenir. Cet atelier, présentiel de 2 jours, doit permettre d’éviter d’adresser, en médecine du second recours (Spécialistes d’organe, ORL, échographistes, radiologue pédiatres,…), un patient dont les données clinico-échographiques affirment qu’il n’est pas menacé et qu’il peut être pris en charge par le médecin traitant, sans risque accru : Ce patient n’est pas adressé ailleurs, d’où un gain de temps et de sécurité. A contrario, elle permet d’adresser en médecine du second recours des patients dont l’état le nécessite : à nouveau, gain de temps et de sécurité. Le contenu de cette formation, en effet, expose des diagnostics échographiques de type « binaire » pour lesquels, il a été établi, par des études publiées dans de prestigieuses revues internationales, la sensibilité et/ou la spécificité élevées : la question posée à l’échographie est précise, la réponse clinico-échographique, obéissant à une loi du tout ou rien, l’est également. Seuls les diagnostics écho-cliniques, de très forte sensibilité ou/ et spécificité, dont les courbes d’apprentissage ont été établies par des études publiées dans une revue professionnelle reconnue, sont appris aux médecins : cette formation est, d’abord et avant tout, « Evidence Based Medicine ». A l’inverse, il est souligné aux Apprenants les diagnostics, dans le champ abdominal, pour lesquels la sensibilité et/ou la spécificité de l’outil écho-doppler restent imparfaites et relèvent du spécialiste rompu à cette technique. Cet atelier permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations et données de la littérature internationale par le recueil et l’analyse des pratiques de l’Apprenant. Pour atteindre cet objectif pratique, l’atelier est constitué d’une suite de manipulations d’un écho-Doppler par les médecins : 2 ou 3 médecins constituent un poste de travail et chaque médecin joue, tour à tour, les rôles de patient et de « médecin-échographiste », selon le concept de l’enseignement réciproque ; l’Apprenant reproduit les gestes que le formateur explique et montre (pose de la sonde et son déplacement, tableau de bord de l’échographe...), recherche les images nécessaires à l’exclusion ou à l’affirmation du diagnostic envisagé par les données cliniques, biologiques ou radiologiques. Il peut être guidé par le second médecin, le « patient », les intervenants et l’expert qui circulent dans la salle afin d'aider les Apprenants. Les intervenants et l’expert peuvent, éventuellement, prendre la sonde en main pour montrer au groupe des 2 ou 3 médecins comment faire… En cas de difficulté soulignée par un médecin, l'expert peut également faire une démonstration à tout le groupe avec l'image projetée sur le grand écran. Des diapositives d’images échographiques élémentaires pathologiques sont projetées et décrites. A la fin de cette formation, le médecin doit être capable de : - Savoir mesurer le volume de la thyroïde - Savoir affirmer l’absence de nodule de la thyroïde - Connaître les images des nodules de la thyroïde et les signes qui appartiennent à la série 
bénigne et les signes qui appartiennent à la série maligne - Connaître, également, les signes de dystyroïdie qu’il s’agisse de l’hypothyroïdie, qu’il 
s’agisse de l’hyperthyroïdie - Savoir utiliser et interpréter le Doppler de la glande thyroïdienne - Connaître les images de kyste thyréoglosse - Savoir rechercher les glandes parathyroïdes anormales et connaître la sensibilité et la 
spécificité imparfaites du diagnostic échographique - Savoir reconnaître les glandes salivaires - Connaître les images de dilatation des canaux de Sténon et de Wharton - Connaître les images de calcul des glandes salivaires et savoir les rechercher - Connaître les images de « toricoli congénital » - Affirmer ou exclure des adénopathies cervicales, axillaires et inguinales, en connaître les 
signes qui appartiennent à la série bénigne et les signes qui appartiennent à la série maligne

Médecin Généraliste, Médecin urgentiste


En présentiel

Perfectionnement en échographie abdominale

DPC

Cette formation permet à des médecins intéressés par l’échographie abdominale d'approfondir leurs connaissances. Elle s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des conduites à tenir. Cet atelier, présentiel de 2 jours, doit permettre d’éviter d’adresser, en médecine du second recours (Spécialistes d’organe, échographistes, radiologues...), un patient dont les données clinico-échographiques affirment qu’il n’est pas menacé et qu’il peut être pris en charge par le médecin traitant, sans risque accru : Ce patient n’est pas adressé ailleurs, d’où un gain de temps et de sécurité. A contrario, elle permet d’adresser en médecine du second recours des patients dont l’état le nécessite : à nouveau, gain de temps et de sécurité. Le contenu de cette formation, en effet, expose des diagnostics échographiques de type « binaire » pour lesquels, il a été établi, par des études publiées dans de prestigieuses revues internationales, la sensibilité et/ou la spécificité élevées : la question posée à l’échographie est précise, la réponse clinico-échographique, obéissant à une loi du tout ou rien, l’est également. Seuls les diagnostics écho-cliniques, de très forte sensibilité ou/ et spécificité, dont les courbes d’apprentissage ont été établies par des études publiées dans une revue professionnelle reconnue, sont appris aux médecins : cette formation est, d’abord et avant tout, « Evidence Based Medicine ». A l’inverse, il est souligné aux Apprenants les diagnostics, dans le champ abdominal, pour lesquels la sensibilité et/ou la spécificité de l’outil écho-doppler restent imparfaites et relèvent du spécialiste rompu à cette technique. Cet atelier permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations et données de la littérature internationale par le recueil et l’analyse des pratiques de l’Apprenant. Pour atteindre cet objectif pratique, l’atelier est constitué d’une suite de manipulations d’un écho-Doppler par les médecins : 2 ou 3 médecins constituent un poste de travail et chaque médecin joue, tour à tour, les rôles de patient et de « médecin-échographiste », selon le concept de l’enseignement réciproque ; l’Apprenant reproduit les gestes que le formateur explique et montre (pose de la sonde et son déplacement, tableau de bord de l’échographe...), recherche les images nécessaires à l’exclusion ou à l’affirmation du diagnostic envisagé par les données cliniques, biologiques ou radiologiques. Il peut être guidé par le second médecin, le « patient », les intervenants et l’expert qui circulent dans la salle afin d'aider les Apprenants. Les intervenants et l’expert peuvent, éventuellement, prendre la sonde en main pour montrer au groupe des 2 ou 3 médecins comment faire… En cas de difficulté soulignée par un médecin, l'expert peut également faire une démonstration à tout le groupe avec l'image projetée sur le grand écran. Des diapositives d’images échographiques élémentaires pathologiques sont projetées et décrites. A la fin de cette formation, le médecin doit être capable de : - Savoir affirmer ou exclure un épanchement péritonéal de la poche de Morrison et savoir rechercher un épanchement péritonéal péri-hépatique, péri-splénique, pelvien - Connaitre l’image de lithiase vésiculaire et les mécanismes de formation de l’image d’une structure cristalline, connaître les images de cholécystite aiguë. - Savoir reconnaitre et mesurer la voie biliaire principale au niveau du hile hépatique - Savoir affirmer ou exclure un anévrysme de l’aorte abdominale - Savoir rechercher un épaississement d’une paroi digestive - Connaître l’image de sténose hypertrophique du pylore du nourrisson - Savoir exclure une invagination intestinale chez l’enfant - Connaitre les images d’appendice caecal normal, d’appendicite simple ou compliquée. - Savoir affirmer ou exclure un pneumo-péritoine libre - Savoir reconnaître la vésicule biliaire normale - Savoir diagnostiquer des calculs de la vésicule biliaire tout en connaissant le risque de faux négatif. - - Avoir présent à l’esprit que l’épaississement de la paroi vésiculaire est aspécifique - Connaître les signes du carcinome de la vésicule biliaire, des polypes, des métastases, de l’adénomyomatose - Savoir comment mesurer la voie biliaire principale et reconnaître ses anomalies - Connaitre les signes de la maladie de Caroli - Connaître le syndrome de Mirizzi - Savoir reconnaître le pancréas normal - Connaître les signes de pancréatite aiguë et de pseudo-kyste pancréatique - Connaître les étiologies des kystes pancréatiques - Connaître le piège de l’anévrisme de la veine splénique - Connaître les différentes images tumorales pancréatiques - Savoir comment conduire l’échographie du foie normal - Reconnaître les images liquidiennes hépatiques - Connaître l’hyperplasie nodulaire hépatique et ses difficultés diagnostiques - Connaître les différentes images tumorales hépatiques - Connaître l’image de lymphome, d’abcès du foie et de micro-abcès fongiques - Savoir diagnostiquer une cirrhose lorsque c’est possible - Savoir diagnostiquer une thrombose portale - Connaître les critères de rate normale - Savoir diagnostiquer une image liquidienne de la rate - Savoir rechercher un traumatisme de la rate - Connaître les aspects de la paroi abdominale normale - Savoir comment rechercher une image pathologique du tube digestif. - Connaître les images d’appendice normale et les images d’appendicite - Affirmer ou exclure une appendicite compliquée ? - Savoir reconnaître la poche de Morisson - Savoir rechercher une hernie abdominale ou une hernie inguinale - Savoir mesurer l’aorte abdominale normale et anévrismale - Connaître les images normales et pathologiques du rétropéritoine

Médecin Généraliste


En présentiel

Echographie du Membre Inférieur

DPC

Cette formation permet à des médecins intéressés par l'échographie musculo-squelettique d'approfondir leurs connaissances de l'échographie du membre inférieur. Chaque présentation théorique est suivie d'une formation pratique : trois médecins constituent un poste de travail autour d’un échographe et chacun joue, tour à tour, le rôle de médecin et de patient selon la méthode de l’enseignement réciproque. Elle s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des conduites à tenir et de l’efficience du médecin. Elle permet d’éviter d’adresser en médecine du second recours (Service d’Urgence, spécialistes d’organe, échographistes, radiologues...) un patient dont les données cliniques et échographiques affirment, sur la foi d’études multicentriques publiées dans des revues internationales reconnues, que ce patient n’est pas menacé et qu’il peut être pris en charge par le médecin traitant, sans risque accru d’évènements indésirables ni perte de chance : ce malade n’est pas adressé ailleurs, d’où un gain de temps et d’efficience. A contrario, cette action permet d’adresser en médecine du second recours des patients dont les études ont démontré que l’état clinique et échographique le nécessite : gain de sécurité. Le contenu de cette formation, en effet, expose des diagnostics échographiques de type «binaire» pour lesquels, il a été montré, par des travaux publiés dans de prestigieuses revues internationales, la sensibilité et/ou la spécificité élevées : la question posée à l’échographie est précise, la réponse clinico-échographique, obéissant à une loi du tout ou rien, l’est tout autant. Seuls ces diagnostics écho-cliniques, de très forte sensibilité ou/et de très forte spécificité, dont les courbes d’apprentissage ont été établies par plusieurs études, émanant de centres différents, publiées dans des revues professionnelles reconnues, sont appris aux médecins : cette formation est, d’abord et avant tout, « Evidence Based Medicine ». Elle permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations et données de la littérature internationale par le recueil et l’analyse des pratiques de l’Apprenant. Il s’agit également d’une découverte de l’échographie, dont le but est, à moyen terme, la prise en main de l’outil ultrasonore et de l’intégration d’un échographe dans la pratique quotidienne. Pour atteindre cet objectif pratique, l’atelier est constitué de manipulations d’un échographe par les médecins : 3 participants constituent un poste de travail et chacun joue, tour à tour, le rôle de patient puis celui de «médecin-échographiste», selon le concept de l’enseignement réciproque ; l’Apprenant reproduit les gestes que le formateur explique et montre (pose de la sonde et son déplacement, tableau de bord de l’échographe...), recherche les images nécessaires à l’exclusion ou à l’affirmation du diagnostic envisagé par les données cliniques, biologiques ou radiologiques. Il peut être guidé par le second médecin, par le «patient», par les intervenants et par l’expert qui circulent dans la salle, afin d'aider les Apprenants. Les intervenants et l’expert peuvent, éventuellement, prendre la sonde en main pour montrer comment faire aux 3 médecins du poste. En cas de difficulté soulignée par un médecin, l'expert peut également faire une démonstration à tout le groupe avec l'image projetée sur le grand écran. Des diapositives d’images échographiques pathologiques les plus fréquemment rencontrées sont projetées et décrites. A la fin de cette formation, le médecin doit être capable de : - Etre capable d’affirmer ou d’exclure une image d’épanchement de hanche de l’enfant ou de l’adulte. - Etre capable d’affirmer ou d’exclure une image de rupture (désinsertion « tennis-leg ») du muscle gastrocnémien médial. - Etre capable d’affirmer le diagnostic d’épanchement du genou. - Etre capable d’affirmer ou d’exclure une phlébite poplitée. - Connaitre l’image d’un tendon et son anisotropie. - Connaître les signes d’une rupture complète ou partielle d’un tendon, éventuellement avec arrachement osseux. - Connaître les images de fissuration longitudinale d’un tendon. - Connaître l’image d’un rétinaculum. - Savoir la signification d’un « tendon synovialisé » et savoir l’existence de 2 types de tendons : synovialisé ou non synovialisé. - Connaître les images permettant le diagnostic de téno-synovite. - Connaître l’image d’un corps étranger des parties molles. - Connaître les différentes images d’un lipome, d’une tumeur nerveuse... - Connaître les images d’un kyste extra-articulaire et son mécanisme de formation. - Connaître les 3 tendons qui s’insèrent sur la maléole fibulaire (talo-fibulaire, calcanéo-fibulaire, tibio-fibualire), le sinus du tarse… - Savoir rechercher un éventuel névrome de Morton. - Connaître les articulations de Chopard et de Lisfranc. - Etre capable d’exclure ou d’affirmer une tendinobursopathie péritrochentérienne.

Médecin Généraliste, Médecin MPR, Rhumatologue


En présentiel

Echographie du Membre Supérieur

DPC

Cette formation permet à des médecins intéressés par l'échographie musculo-squelettique d'approfondir leurs connaissances de l'échographie du membre supérieur. Chaque présentation théorique est suivie d'une formation pratique : trois médecins constituent un poste de travail autour d’un échographe et chacun joue, tour à tour, le rôle de médecin et de patient selon la méthode de l’enseignement réciproque. Elle s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des conduites à tenir et de l’efficience du médecin. Elle permet d’éviter d’adresser en médecine du second recours (Service d’Urgence, spécialistes d’organe, échographistes, radiologues...) un patient dont les données cliniques et échographiques affirment, sur la foi d’études multicentriques publiées dans des revues internationales reconnues, que ce patient n’est pas menacé et qu’il peut être pris en charge par le médecin traitant, sans risque accru d’évènements indésirables ni perte de chance : ce malade n’est pas adressé ailleurs, d’où un gain de temps et d’efficience. A contrario, cette action permet d’adresser en médecine du second recours des patients dont les études ont démontré que l’état clinique et échographique le nécessite : gain de sécurité. Le contenu de cette formation, en effet, expose des diagnostics échographiques de type «binaire» pour lesquels, il a été montré, par des travaux publiés dans de prestigieuses revues internationales, la sensibilité et/ou la spécificité élevées : la question posée à l’échographie est précise, la réponse clinico-échographique, obéissant à une loi du tout ou rien, l’est tout autant. Seuls ces diagnostics écho-cliniques, de très forte sensibilité ou/et de très forte spécificité, dont les courbes d’apprentissage ont été établies par plusieurs études, émanant de centres différents, publiées dans des revues professionnelles reconnues, sont appris aux médecins : cette formation est, d’abord et avant tout, « Evidence Based Medicine ». Elle permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations et données de la littérature internationale par le recueil et l’analyse des pratiques de l’Apprenant. Il s’agit également d’une découverte de l’échographie, dont le but est, à moyen terme, la prise en main de l’outil ultrasonore et de l’intégration d’un échographe dans la pratique quotidienne. Pour atteindre cet objectif pratique, l’atelier est constitué de manipulations d’un échographe par les médecins : 3 participants constituent un poste de travail et chacun joue, tour à tour, le rôle de patient puis celui de «médecin-échographiste», selon le concept de l’enseignement réciproque ; l’Apprenant reproduit les gestes que le formateur explique et montre (pose de la sonde et son déplacement, tableau de bord de l’échographe...), recherche les images nécessaires à l’exclusion ou à l’affirmation du diagnostic envisagé par les données cliniques, biologiques ou radiologiques. Il peut être guidé par le second médecin, par le «patient», par les intervenants et par l’expert qui circulent dans la salle, afin d'aider les Apprenants. Les intervenants et l’expert peuvent, éventuellement, prendre la sonde en main pour montrer comment faire aux 3 médecins du poste. En cas de difficulté soulignée par un médecin, l'expert peut également faire une démonstration à tout le groupe avec l'image projetée sur le grand écran. Des diapositives d’images échographiques pathologiques les plus fréquemment rencontrées sont projetées et décrites. A la fin de cette formation, le médecin doit être capable de : Maîtriser les mouvements de la sonde sur le corps du patient (reconnaître la droite et la gauche du patient sur l’écran ; savoir tenir la sonde…) Identifier et régler les boutons de gain et de profondeur d’un échographe, utiliser les pré-réglages (« preset »)… Rechercher et reconnaitre l’image d’un tendon et son anisotropie Rechercher et reconnaitre les images des 4 tendons de la coiffe des rotateurs de l’épaule - Connaître les signes d’une tendinopathie. Connaitre l’image échographie normale d’un nerf et son anisotropie - Connaître l’écho-anatomie du canal carpien et de son contenu - Savoir rechercher les signes d’un syndrome du canal carpien. Connaître l’image échographique du ligament talo-fibulaire et les signes de rupture. Savoir répondre à ces 6 questions binaires : Affirmer ou exclure un épanchement de hanche chez l’enfant et chez l’adulte. Savoir affirmer ou exclure une bursite de l’épaule. Affirmer ou exclure une tendinopathie calcifiante de la coiffe des rotateurs. Confirmer un syndrome du canal carpien marqué. Savoir affirmer un épanchement du genou. Savoir affirmer ou exclure une désinsertion du gastrocnémien médial.

Médecin Généraliste


En présentiel

Perfectionnement en échographie du rein, du rétro- péritoine, de la vessie, de la prostate et du contenu scrotal

DPC

Cette formation permet à des médecins intéressés par l'écho-Doppler du rein, du rétro-péritoine, de la vessie, de la prostate et du contenu scrotal, d'approfondir leurs connaissances. Elle s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des conduites à tenir. Cet atelier, présentiel de 2 jours, doit permettre d’éviter d’adresser, en médecine du second recours (Service d’Urgence, spécialistes d’organe, néphrologues, échographistes, urologues, radiologues...), un patient dont les données clinico-échographiques affirment qu’il n’est pas menacé et qu’il peut être pris en charge par le médecin traitant, sans risque accru : Ce patient n’est pas adressé ailleurs, d’où un gain de temps et de sécurité. A contrario, elle permet d’adresser en médecine du second recours des patients dont l’état le nécessite : à nouveau, gain de temps et de sécurité. Le contenu de cette formation, en effet, expose des diagnostics échographiques de type « binaire » pour lesquels, il a été établi, par des études publiées dans de prestigieuses revues internationales, la sensibilité et/ou la spécificité élevées : la question posée à l’échographie est précise, la réponse clinico-échographique, obéissant à une loi du tout ou rien, l’est également. Seuls les diagnostics écho-cliniques, de très forte sensibilité ou/ et spécificité, dont les courbes d’apprentissage ont été établies par des études publiées dans une revue professionnelle reconnue, sont appris aux médecins : cette formation est, d’abord et avant tout, « Evidence Based Medicine ». A l’inverse, il est souligné aux Apprenants les diagnostics, dans le champ uro-néphrologique, pour lesquels la sensibilité et/ou la spécificité de l’outil écho-doppler restent imparfaites et relèvent du spécialiste rompu à cette technique. Cet atelier permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations et données de la littérature internationale par le recueil et l’analyse des pratiques de l’Apprenant. Pour atteindre cet objectif pratique, l’atelier est constitué d’une suite de manipulations d’un écho-Doppler par les médecins : 2 ou 3 médecins constituent un poste de travail et chaque médecin joue, tour à tour, les rôles de patient et de « médecin-échographiste », selon le concept de l’enseignement réciproque ; l’Apprenant reproduit les gestes que le formateur explique et montre (pose de la sonde et son déplacement, tableau de bord de l’échographe...), recherche les images nécessaires à l’exclusion ou à l’affirmation du diagnostic envisagé par les données cliniques, biologiques ou radiologiques. Il peut être guidé par le second médecin, le « patient », les intervenants et l’expert qui circulent dans la salle afin d'aider les Apprenants. Les intervenants et l’expert peuvent, éventuellement, prendre la sonde en main pour montrer au groupe des 2 ou 3 médecins comment faire… En cas de difficulté soulignée par un médecin, l'expert peut également faire une démonstration à tout le groupe avec l'image projetée sur le grand écran. Des diapositives d’images échographiques élémentaires pathologiques sont projetées et décrites. A la fin de cette formation, le médecin doit être capable de : Savoir affirmer ou exclure un AAA Savoir reconnaître une thrombose de la VCI Connaître l’écho-anatomie rénale Savoir mesurer une dilatation pyélo-calicielle Connaître la technique du diagnostic de dilatation urétérale Savoir étudier une vessie normale Savoir mesurer un résidu post-mictionnel Savoir affirmer ou exclure un calcul d’une jonction urétéro-vésicale Savoir mesurer une prostate Reconnaître l’écho anatomie prostatique Savoir les limites du dépistage du cancer de la prostate par échographie y compris par voie rectale Savoir reconnaître un scrotum normal et sa vascularisation Connaître les signes d’une torsion testiculaire Savoir qu’il est probable d’affirmer ou d’exclure un processus focal testiculaire Connaître les signes d’une varicocèle