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Médecin Généraliste
Mixte
Formation initiale des PAMSU : Formation à l'accueil, à l'encadrement et à l'évaluation d'un interne de 3e cycle des études de médecine générale pour l’agrément des praticiens maîtres de stage des universités
DPC
ENCADREMENT DES ETUDIANTS DE 3 e CYCLE EN MEDECINE GENERALE Dans le cadre du Diplôme d’Etudes Spécialisées (DES) de médecine générale, la formation des étudiants se fonde sur les apprentissages réalisés dans les stages de la maquette. Les compétences professionnelles se construisent avant tout en situation authentique : lors du stage en médecine générale de niveau 1, lors du stage ambulatoire en autonomie supervisée, dans les autres stages possibles en médecine générale ambulatoire (santé de la femme et santé de l’enfant). Les futurs généralistes sont confrontés à des situations de complexité variable. Ils bénéficient d’un environnement et d’un encadrement pédagogique adéquats par un praticien agréé maitre de stage des universités (PAMSU), spécialisé en médecine générale, qui les supervise au cours de : · Une phase d’observation active pour s’approprier le cadre, l’environnement de l’exercice, le contexte et le contenu des soins premiers ambulatoires · Une phase de supervision directe lors de laquelle l’étudiant exécute des tâches simples puis complexes sous la supervision constante du PAMSU · Une phase de supervision indirecte lors de laquelle la mise en situation authentique et la confrontation réelle aux demandes de soins sont supervisées à distance et a posteriori . Ces trois phases sont l’occasion pour les PAMSU de repérer les situations à risque psychosociaux et de violences sexistes et sexuelles et de mettre en place, avec les enseignants universitaires, des mesures d’accompagnement adaptées. Avant d’accueillir et de superviser un étudiant de DES, le PAMSU doit s’approprier les bases de la maîtrise de stage, le contexte et le cadre réglementaire et s’initier à la pédagogie contextualisée au contenu de la discipline. Ce programme est destiné à former les PAMSU aux modalités d’apprentissage, à la maquette du DES de médecine générale et au dépistage des situations particulières nécessitant un accompagnement personnalisé. La finalité est de permettre aux futurs généralistes de bénéficier d’un apprentissage selon une démarche efficiente et rigoureuse, répondant à des standards de qualité intégrant les fondamentaux et spécificités de la discipline et de la pédagogie, les données actualisées de la science, le parcours de soins, le raisonnement médico-économique. Les médecins généralistes formés de cette façon par des enseignants universitaires formés à la pédagogie sont en mesure d’être agréés par les Agences régionales de santé. Objectif général Acquérir les éléments conceptuels, théoriques, administratifs et pratiques nécessaires à la maîtrise de stage ambulatoire en 3 e cycle de médecine générale. Objectifs pédagogiques A l'issue de sa formation, l'apprenant doit avoir la capacité de : 1) Connaître les aspects législatifs, administratifs et pratiques du stage ambulatoire des étudiants de troisième cycles des études de médecine : a) Connaître le rôle et les responsabilités des acteurs de la formation au sein des subdivisions et régions tant en termes administratifs que pédagogiques : – connaître le processus de validation des stages et de la maquette de formation ; – connaître la place des différents acteurs/institutions dans le déroulé du parcours de formation (unité de formation et de recherche / directeur d’unité de formation et de recherche / coordonnateur local/régional du diplôme d’études spécialisées, le cas échéant pilote de la formation spécialisée transversale / agence régionale de santé) et les recours possibles en cas de différends ; b) Comprendre les enjeux territoriaux et démographiques des stages ambulatoires pour les étudiants de troisième cycle des études de médecine et leur place dans la formation (démographie médicale du territoire, organisation du système de santé, de la subdivision et du maillage territorial de la formation, diversité des modalités de l’exercice ambulatoire) ; c) Connaître le statut des étudiants (temps de travail, gardes et repos de sécurité, outils de suivi, congés, demi-journées programmées au titre de la formation hors stage, etc.) ; d) Connaître les aspects réglementaires de la maîtrise de stage universitaire (assurance, convention, rémunération). 2) Comprendre les spécificités de chacun des cycles de formation et savoir utiliser les ressources pédagogiques appropriées : a) Connaître les principaux éléments du parcours de formation des étudiants en médecine ; b) Connaître les principes de la réforme du deuxième cycle des études de médecine c) Connaître les principes de la réforme du troisième cycle des études de médecine : la progressivité, les différentes phases et la structure des maquettes annexées à l’arrêté du 21 avril 2017 (enseignement hors stage et en stage) ; d) Comprendre le processus global d’évaluation des formations et la démarche continue d’amélioration à travers la commission locale de DES (troisième cycle des études de médecine) ; e) Connaître les plateformes numériques à disposition des formateurs et leurs fonctionnalités ; 3) Encadrer et superviser l’étudiant : a) Connaître les grands principes de la pédagogie par objectifs et l’approche par compétences ; b) S’approprier les outils de supervision : supervision directe et indirecte, rétroactions constructives, relevé d’activité au quotidien, etc. ; c) Appréhender les éléments de la relation pédagogique : écoute active et bienveillante, repérage des situations à risques psychosociaux et de violences sexistes et sexuelles, communication persuasive, analyse transactionnelle, négociation, débriefing, feed-back, etc. ; d) Faire une place à l’étudiant : place de l’étudiant en stage dans la consultation selon son niveau, contraintes spécifiques de l’exercice sur plateaux techniques, etc. ; e) Accompagner la progression de l’étudiant dans sa maîtrise des principes et enjeux du raisonnement clinique : analyse séméiologique, médecine fondée sur les preuves (EBM), confrontation anatomoclinique, justification thérapeutique, etc. ; f) Accompagner la progression de l’étudiant dans sa relation avec le patient et l’éthique du soin : approche globale centrée sur le patient (modèle bio-psycho-social). 4) Rendre compte de l’évolution de l’étudiant et repérer les difficultés : a) Repérer un étudiant en difficultés et mettre en œuvre les démarches pour l’accompagner dont celles de remédiation ; b) Connaître les structures d’aide et d’accompagnement des étudiants en difficulté, que celles-ci soient d’ordre universitaire ou psycho-sociales (numéros verts, syndicats et associations locaux, structures locales d’appui). 5) Evaluer l’étudiant : a) Connaître les modalités et le calendrier d’évaluation et s’approprier les outils mis à disposition des encadrants ; b) Evaluer une compétence en construction, qu’elle soit clinique ou de savoir-être ; c) Intégrer dans sa pratique de maître de stage, le retour évaluatif des étudiants. ENCADREMENT DES ETUDIANTS DE 3 e CYCLE EN MEDECINE GENERALE Dans le cadre du Diplôme d’Etudes Spécialisées (DES) de médecine générale, la formation des étudiants se fonde sur les apprentissages réalisés dans les stages de la maquette. Les compétences professionnelles se construisent avant tout en situation authentique : lors du stage en médecine générale de niveau 1, lors du stage ambulatoire en autonomie supervisée, dans les autres stages possibles en médecine générale ambulatoire (santé de la femme et santé de l’enfant). Les futurs généralistes sont confrontés à des situations de complexité variable. Ils bénéficient d’un environnement et d’un encadrement pédagogique adéquats par un praticien agréé maitre de stage des universités (PAMSU), spécialisé en médecine générale, qui les supervise au cours de : · Une phase d’observation active pour s’approprier le cadre, l’environnement de l’exercice, le contexte et le contenu des soins premiers ambulatoires · Une phase de supervision directe lors de laquelle l’étudiant exécute des tâches simples puis complexes sous la supervision constante du PAMSU · Une phase de supervision indirecte lors de laquelle la mise en situation authentique et la confrontation réelle aux demandes de soins sont supervisées à distance et a posteriori . Ces trois phases sont l’occasion pour les PAMSU de repérer les situations à risque psychosociaux et de violences sexistes et sexuelles et de mettre en place, avec les enseignants universitaires, des mesures d’accompagnement adaptées. Avant d’accueillir et de superviser un étudiant de DES, le PAMSU doit s’approprier les bases de la maîtrise de stage, le contexte et le cadre réglementaire et s’initier à la pédagogie contextualisée au contenu de la discipline. Ce programme est destiné à former les PAMSU aux modalités d’apprentissage, à la maquette du DES de médecine générale et au dépistage des situations particulières nécessitant un accompagnement personnalisé. La finalité est de permettre aux futurs généralistes de bénéficier d’un apprentissage selon une démarche efficiente et rigoureuse, répondant à des standards de qualité intégrant les fondamentaux et spécificités de la discipline et de la pédagogie, les données actualisées de la science, le parcours de soins, le raisonnement médico-économique. Les médecins généralistes formés de cette façon par des enseignants universitaires formés à la pédagogie sont en mesure d’être agréés par les Agences régionales de santé. Objectif général Acquérir les éléments conceptuels, théoriques, administratifs et pratiques nécessaires à la maîtrise de stage ambulatoire en 3 e cycle de médecine générale. Objectifs pédagogiques A l'issue de sa formation, l'apprenant doit avoir la capacité de : 1) Connaître les aspects législatifs, administratifs et pratiques du stage ambulatoire des étudiants de troisième cycles des études de médecine : a) Connaître le rôle et les responsabilités des acteurs de la formation au sein des subdivisions et régions tant en termes administratifs que pédagogiques : – connaître le processus de validation des stages et de la maquette de formation ; – connaître la place des différents acteurs/institutions dans le déroulé du parcours de formation (unité de formation et de recherche / directeur d’unité de formation et de recherche / coordonnateur local/régional du diplôme d’études spécialisées, le cas échéant pilote de la formation spécialisée transversale / agence régionale de santé) et les recours possibles en cas de différends ; b) Comprendre les enjeux territoriaux et démographiques des stages ambulatoires pour les étudiants de troisième cycle des études de médecine et leur place dans la formation (démographie médicale du territoire, organisation du système de santé, de la subdivision et du maillage territorial de la formation, diversité des modalités de l’exercice ambulatoire) ; c) Connaître le statut des étudiants (temps de travail, gardes et repos de sécurité, outils de suivi, congés, demi-journées programmées au titre de la formation hors stage, etc.) ; d) Connaître les aspects réglementaires de la maîtrise de stage universitaire (assurance, convention, rémunération). 2) Comprendre les spécificités de chacun des cycles de formation et savoir utiliser les ressources pédagogiques appropriées : a) Connaître les principaux éléments du parcours de formation des étudiants en médecine ; b) Connaître les principes de la réforme du deuxième cycle des études de médecine c) Connaître les principes de la réforme du troisième cycle des études de médecine : la progressivité, les différentes phases et la structure des maquettes annexées à l’arrêté du 21 avril 2017 (enseignement hors stage et en stage) ; d) Comprendre le processus global d’évaluation des formations et la démarche continue d’amélioration à travers la commission locale de DES (troisième cycle des études de médecine) ; e) Connaître les plateformes numériques à disposition des formateurs et leurs fonctionnalités ; 3) Encadrer et superviser l’étudiant : a) Connaître les grands principes de la pédagogie par objectifs et l’approche par compétences ; b) S’approprier les outils de supervision : supervision directe et indirecte, rétroactions constructives, relevé d’activité au quotidien, etc. ; c) Appréhender les éléments de la relation pédagogique : écoute active et bienveillante, repérage des situations à risques psychosociaux et de violences sexistes et sexuelles, communication persuasive, analyse transactionnelle, négociation, débriefing, feed-back, etc. ; d) Faire une place à l’étudiant : place de l’étudiant en stage dans la consultation selon son niveau, contraintes spécifiques de l’exercice sur plateaux techniques, etc. ; e) Accompagner la progression de l’étudiant dans sa maîtrise des principes et enjeux du raisonnement clinique : analyse séméiologique, médecine fondée sur les preuves (EBM), confrontation anatomoclinique, justification thérapeutique, etc. ; f) Accompagner la progression de l’étudiant dans sa relation avec le patient et l’éthique du soin : approche globale centrée sur le patient (modèle bio-psycho-social). 4) Rendre compte de l’évolution de l’étudiant et repérer les difficultés : a) Repérer un étudiant en difficultés et mettre en œuvre les démarches pour l’accompagner dont celles de remédiation ; b) Connaître les structures d’aide et d’accompagnement des étudiants en difficulté, que celles-ci soient d’ordre universitaire ou psycho-sociales (numéros verts, syndicats et associations locaux, structures locales d’appui). 5) Evaluer l’étudiant : a) Connaître les modalités et le calendrier d’évaluation et s’approprier les outils mis à disposition des encadrants ; b) Evaluer une compétence en construction, qu’elle soit clinique ou de savoir-être ; c) Intégrer dans sa pratique de maître de stage, le retour évaluatif des étudiants. ENCADREMENT DES ETUDIANTS DE 3 e CYCLE EN MEDECINE GENERALE Dans le cadre du Diplôme d’Etudes Spécialisées (DES) de médecine générale, la formation des étudiants se fonde sur les apprentissages réalisés dans les stages de la maquette. Les compétences professionnelles se construisent avant tout en situation authentique : lors du stage en médecine générale de niveau 1, lors du stage ambulatoire en autonomie supervisée, dans les autres stages possibles en médecine générale ambulatoire (santé de la femme et santé de l’enfant). Les futurs généralistes sont confrontés à des situations de complexité variable. Ils bénéficient d’un environnement et d’un encadrement pédagogique adéquats par un praticien agréé maitre de stage des universités (PAMSU), spécialisé en médecine générale, qui les supervise au cours de : · Une phase d’observation active pour s’approprier le cadre, l’environnement de l’exercice, le contexte et le contenu des soins premiers ambulatoires · Une phase de supervision directe lors de laquelle l’étudiant exécute des tâches simples puis complexes sous la supervision constante du PAMSU · Une phase de supervision indirecte lors de laquelle la mise en situation authentique et la confrontation réelle aux demandes de soins sont supervisées à distance et a posteriori . Ces trois phases sont l’occasion pour les PAMSU de repérer les situations à risque psychosociaux et de violences sexistes et sexuelles et de mettre en place, avec les enseignants universitaires, des mesures d’accompagnement adaptées. Avant d’accueillir et de superviser un étudiant de DES, le PAMSU doit s’approprier les bases de la maîtrise de stage, le contexte et le cadre réglementaire et s’initier à la pédagogie contextualisée au contenu de la discipline. Ce programme est destiné à former les PAMSU aux modalités d’apprentissage, à la maquette du DES de médecine générale et au dépistage des situations particulières nécessitant un accompagnement personnalisé. La finalité est de permettre aux futurs généralistes de bénéficier d’un apprentissage selon une démarche efficiente et rigoureuse, répondant à des standards de qualité intégrant les fondamentaux et spécificités de la discipline et de la pédagogie, les données actualisées de la science, le parcours de soins, le raisonnement médico-économique. Les médecins généralistes formés de cette façon par des enseignants universitaires formés à la pédagogie sont en mesure d’être agréés par les Agences régionales de santé. Objectif général Acquérir les éléments conceptuels, théoriques, administratifs et pratiques nécessaires à la maîtrise de stage ambulatoire en 3 e cycle de médecine générale. Objectifs pédagogiques A l'issue de sa formation, l'apprenant doit avoir la capacité de : 1) Connaître les aspects législatifs, administratifs et pratiques du stage ambulatoire des étudiants de troisième cycles des études de médecine : a) Connaître le rôle et les responsabilités des acteurs de la formation au sein des subdivisions et régions tant en termes administratifs que pédagogiques : – connaître le processus de validation des stages et de la maquette de formation ; – connaître la place des différents acteurs/institutions dans le déroulé du parcours de formation (unité de formation et de recherche / directeur d’unité de formation et de recherche / coordonnateur local/régional du diplôme d’études spécialisées, le cas échéant pilote de la formation spécialisée transversale / agence régionale de santé) et les recours possibles en cas de différends ; b) Comprendre les enjeux territoriaux et démographiques des stages ambulatoires pour les étudiants de troisième cycle des études de médecine et leur place dans la formation (démographie médicale du territoire, organisation du système de santé, de la subdivision et du maillage territorial de la formation, diversité des modalités de l’exercice ambulatoire) ; c) Connaître le statut des étudiants (temps de travail, gardes et repos de sécurité, outils de suivi, congés, demi-journées programmées au titre de la formation hors stage, etc.) ; d) Connaître les aspects réglementaires de la maîtrise de stage universitaire (assurance, convention, rémunération). 2) Comprendre les spécificités de chacun des cycles de formation et savoir utiliser les ressources pédagogiques appropriées : a) Connaître les principaux éléments du parcours de formation des étudiants en médecine ; b) Connaître les principes de la réforme du deuxième cycle des études de médecine c) Connaître les principes de la réforme du troisième cycle des études de médecine : la progressivité, les différentes phases et la structure des maquettes annexées à l’arrêté du 21 avril 2017 (enseignement hors stage et en stage) ; d) Comprendre le processus global d’évaluation des formations et la démarche continue d’amélioration à travers la commission locale de DES (troisième cycle des études de médecine) ; e) Connaître les plateformes numériques à disposition des formateurs et leurs fonctionnalités ; 3) Encadrer et superviser l’étudiant : a) Connaître les grands principes de la pédagogie par objectifs et l’approche par compétences ; b) S’approprier les outils de supervision : supervision directe et indirecte, rétroactions constructives, relevé d’activité au quotidien, etc. ; c) Appréhender les éléments de la relation pédagogique : écoute active et bienveillante, repérage des situations à risques psychosociaux et de violences sexistes et sexuelles, communication persuasive, analyse transactionnelle, négociation, débriefing, feed-back, etc. ; d) Faire une place à l’étudiant : place de l’étudiant en stage dans la consultation selon son niveau, contraintes spécifiques de l’exercice sur plateaux techniques, etc. ; e) Accompagner la progression de l’étudiant dans sa maîtrise des principes et enjeux du raisonnement clinique : analyse séméiologique, médecine fondée sur les preuves (EBM), confrontation anatomoclinique, justification thérapeutique, etc. ; f) Accompagner la progression de l’étudiant dans sa relation avec le patient et l’éthique du soin : approche globale centrée sur le patient (modèle bio-psycho-social). 4) Rendre compte de l’évolution de l’étudiant et repérer les difficultés : a) Repérer un étudiant en difficultés et mettre en œuvre les démarches pour l’accompagner dont celles de remédiation ; b) Connaître les structures d’aide et d’accompagnement des étudiants en difficulté, que celles-ci soient d’ordre universitaire ou psycho-sociales (numéros verts, syndicats et associations locaux, structures locales d’appui). 5) Evaluer l’étudiant : a) Connaître les modalités et le calendrier d’évaluation et s’approprier les outils mis à disposition des encadrants ; b) Evaluer une compétence en construction, qu’elle soit clinique ou de savoir-être ; c) Intégrer dans sa pratique de maître de stage, le retour évaluatif des étudiants. ENCADREMENT DES ETUDIANTS DE 3 e CYCLE EN MEDECINE GENERALE
Médecin Généraliste
En présentiel
Formation initiale des MSU : Formation à l'accueil, à l'encadrement et à l'évaluation d'un étudiant de deuxième ou de troisième cycle des études de médecine pour l’agrément des praticiens maîtres de stage des universités
DPC
CONTEXTE ENCADREMENT DES ETUDIANTS DE 2 ème CYCLE EN MEDECINE GENERALE Le stage ambulatoire en médecine générale est obligatoire pour tous les étudiants selon la réforme du 2ème cycle (R2C) avec la mise en place du DFASM (diplôme de formation approfondie des sciences médicales). Ce stage avait initialement trois missions : - Enseigner la sémiologie du patient sain, celle des maladies prévalentes et des stades précoces des maladies. Former à la décision médicale en soins primaires. On espère ainsi montrer comment les soins primaires fonctionnent avec un raisonnement clinique prioritaire, en ayant un recours raisonné à l’avis du consultant ou au plateau technique. - Permettre aux étudiants de découvrir la médecine générale, ses fonctions, ainsi que les tâches des médecins généralistes et ainsi de se constituer un modèle d’identification non hospitalier. On espère ainsi contribuer à répondre à la désaffection pour la profession généraliste et faire connaître la médecine générale à ceux qui ne l’exerceront pas mais collaboreront avec elle. - Permettre aux futurs professionnels de santé de mieux identifier la place de première ligne de la spécialité médecine générale. On espère ainsi améliorer la coordination des soins. Avec la réforme du 2 ème cycle (R2C) dont l’approche par compétence est une des innovations, deux nouveaux objectifs sont apparus : - Former les étudiants aux Situations de Départ (SDD) de la Médecine Générale, avec les attendus d’apprentissages. - Aborder les 20 items de l’ECN (prochainement EDN : Examen Discriminant National) attribués à la Médecine Générale. Ceci permettra d’améliorer les compétences des futurs professionnels, mais aussi des professionnels actuels acceptant de recevoir des externes après y avoir été formé. Ces praticiens sont « contraints à l’excellence » dans leur exercice, dans une logique pédagogique où le rôle de modèle est important. Ce programme est destiné à former les médecins généralistes désireux de recevoir un étudiant en deuxième cycle des études médicales, dans le cadre ambulatoire, au moment où ce stage se développe sur tout le territoire. Elle est un enjeu prioritaire pour l’apprentissage des étudiants (10) et au-delà pour le système de soins de demain. ENCADREMENT DES ETUDIANTS DE 3 ème CYCLE EN MEDECINE GENERALE Dans le cadre du Diplôme d’Etudes Spécialisées (D.E.S) de médecine générale, la formation des étudiants se fonde sur les apprentissages réalisés dans les stages de la maquette. Les compétences professionnelles se construisent avant tout en situation authentique : lors du stage en médecine générale de niveau 1, lors du stage ambulatoire en autonomie supervisée, dans les autres stages possibles en médecine générale ambulatoire (santé de la femme et santé de l’enfant). Les futurs généralistes sont confrontés à des situations de complexité variable. Ils bénéficient d’un environnement et d’un encadrement pédagogique adéquats par un Praticien Agréé Maitre de stage des universités (PAMSU), spécialisé en médecine générale, qui les supervise au cours de : · Une phase d’observation active pour s’approprier le cadre, l’environnement de l’exercice, le contexte et le contenu des soins premiers ambulatoires · Une phase de supervision directe lors de laquelle l’étudiant exécute des tâches simples puis complexes sous la supervision constante du PAMSU · Une phase de supervision indirecte lors de laquelle la mise en situation authentique et la confrontation réelle aux demandes de soins sont supervisées à distance et a posteriori . Ces trois phases sont également l’occasion pour les PAMSU de repérer les situations à risque psychosociaux et de violences sexistes et sexuelles et de mettre en place, avec les enseignants universitaires, des mesures d’accompagnement adaptées. Avant d’accueillir et de superviser un étudiant de DES, le MSU doit s’approprier les bases de la maîtrise de stage, le contexte et le cadre réglementaire et s’initier à la pédagogie contextualisée au contenu de la discipline. Ce programme est destiné à former les MSU aux modalités d’apprentissage, à la maquette du D.E.S. de médecine générale, et au dépistage des situations particulières nécessitant un accompagnement personnalisé. La finalité est de permettre aux futurs généralistes de bénéficier d’un apprentissage selon une démarche efficiente et rigoureuse, répondant à des standards de qualité intégrant les fondamentaux et spécificités de la discipline et de la pédagogie, les données actualisées de la science, le parcours de soins, le raisonnement médico-économique. Les médecins généralistes formés de cette façon par des enseignants universitaires formés à la pédagogie, sont en mesure d’être agréés par les Agences Régionales de Santé. OBJECTIFS Objectif général Acquérir les éléments conceptuels, théoriques, administratifs et pratiques nécessaires à la maîtrise de stage ambulatoire en 2 ème et 3 ème cycle de médecine générale. Objectifs pédagogiques A l'issue de sa formation, l'apprenant doit avoir la capacité de : 1) Connaître les aspects législatifs, administratifs et pratiques du stage ambulatoire des étudiants de deuxième et de troisième cycles des études de médecine : a) Connaître le rôle et les responsabilités des acteurs de la formation au sein des subdivisions et régions tant en termes administratifs que pédagogiques : – connaître le processus de validation des stages et de la maquette de formation ; –connaître la place des différents acteurs/institutions dans le déroulé du parcours de formation (unité de formation et de recherche / directeur d’unité de formation et de recherche / coordonnateur local/régional du diplôme d’études spécialisées, le cas échéant pilote de la formation spécialisée transversale / agence régionale de santé) et les recours possibles en cas de différends. b) Comprendre les enjeux territoriaux et démographiques des stages ambulatoires pour les étudiants de deuxième ou de troisième cycle des études de médecine et leur place dans la formation (démographie médicale du territoire, organisation du système de santé, de la subdivision et du maillage territorial de la formation, diversité des modalités de l’exercice ambulatoire) ; c) Connaître le statut des étudiants (temps de travail, gardes et repos de sécurité, outils de suivi, congés, demi- journées programmées au titre de la formation hors stage, etc.) ; d) Connaître les aspects réglementaires de la maîtrise de stage universitaire (assurance, convention, rémunération). 2) Comprendre les spécificités de chacun des cycles de formation et savoir utiliser les ressources pédagogiques appropriées : a) Connaître les principaux éléments du parcours de formation des étudiants en médecine ; b) Connaître les principes de la réforme du deuxième cycle des études de médecine et les attendus de la formation, notamment les situations cliniques de départ listées en annexe de l’arrêté du 8 avril 2013 susvisé et les attendus d’apprentissage ; c) Connaître les principes de la réforme du troisième cycle des études de médecine : la progressivité, les différentes phases et la structure des maquettes annexées à l’arrêté du 21 avril 2017 susvisé (enseignement hors stage et en stage) ; d) Comprendre le processus global d’évaluation des formations et la démarche continue d’amélioration à travers l’instance chargée des stages et des gardes au sein de la commission pédagogique (deuxième cycle des études de médecine) / la commission locale de DES (troisième cycle des études de médecine) ; e) Connaître les plateformes numériques à disposition des formateurs et leurs fonctionnalités ; 3) Encadrer et superviser l’étudiant : a) Connaître les grands principes de la pédagogie par objectifs et l’approche par compétences ; b) S’approprier les outils de supervision : supervision directe et indirecte, rétroactions constructives, relevé d’activité au quotidien, etc.. ; c) Appréhender les éléments de la relation pédagogique : écoute active et bienveillante, repérage des situations à risques psychosociaux et de violences sexistes et sexuelles, communication persuasive, analyse transactionnelle, négociation, débriefing, feed-back, etc.. ; d) Faire une place à l’étudiant : place de l’étudiant en stage dans la consultation selon son niveau, contraintes spécifiques de l’exercice sur plateaux techniques, etc..; e) Accompagner la progression de l’étudiant dans sa maîtrise des principes et enjeux du raisonnement clinique : analyse séméiologique, médecine fondée sur les preuves (EBM), confrontation anatomoclinique, justification thérapeutique, etc.. ; f) Accompagner la progression de l’étudiant dans sa relation avec le patient et l’éthique du soin : approche globale centrée sur le patient (modèle bio psycho social). 4) Rendre compte de l’évolution de l’étudiant et repérer les difficultés : a) Repérer un étudiant en difficultés et mettre en œuvre les démarches pour l’accompagner dont celles de remédiation ; b) Connaître les structures d’aide et d’accompagnement des étudiants en difficulté, que celles-ci soient d’ordre universitaire ou psycho-sociales (numéros verts, syndicats et associations locaux, structures locales d’appui). 5) Evaluer l’étudiant : a) Connaître les modalités et le calendrier d’évaluation et s’approprier les outils mis à disposition des encadrants ; b) Evaluer une compétence en construction, qu’elle soit clinique ou de savoir-être ; c) Intégrer dans sa pratique de maître de stage, le retour évaluatif des étudiants. CONTEXTE ENCADREMENT DES ETUDIANTS DE 2 ème CYCLE EN MEDECINE GENERALE OBJECTIFS
Médecin Généraliste
En présentiel
Formation complémentaire des MSU : « Compétences, approche par compétences, et rôle des MSU dans l’évaluation des compétences des étudiants du DES de MG »
DPC
CONTEXTE DE LA FORMATION La mise en œuvre d’une procédure de certification des compétences en fin d’études de médecine générale est une exigence sociale résultant de l’évolution naturelle des différents mouvements culturels, sociaux, et politiques intervenant dans le champ de la santé. La notion à priori de compétences des médecins reposait jusqu’alors sur la confiance en l'université (garante des savoirs), sur la longueur des études et sur la confiance aux différents pouvoirs institutionnels. Elle est actuellement remise en cause dans la plupart des disciplines. Au moment où les pratiques des médecins vont être évaluées selon des procédures explicitées, la certification de la compétence à exercer en fin de D.E.S est une des réponses à la question fondamentale de la qualité des soins. Le modèle visé est celui d’un praticien réflexif, expert de sa discipline, capable de répondre pertinemment aux problèmes de santé multiples, flous et complexes qui se poseront à lui, dans une société en perpétuel mouvement. Les questions fondamentales sont : quel professionnel veut-on former ? Quels problèmes de santé doit-il savoir résoudre ? Quelles sont les compétences qu’il doit construire pour assumer ces fonctions ? Le recours à un cadre théorique validé et solide permet, qu’il s’agisse de soins, de recherche ou d’éducation médicale, d’argumenter nos choix, nos jugements et nos décisions. En s’appuyant sur les travaux actuels de recherche en éducation médicale et sur des rapports officiels (2-4), la théorie de la formation la plus appropriée pour asseoir ces choix repose sur trois piliers (5) : * Une théorie de l’expertise qui décrit les compétences, les rôles et les caractéristiques professionnelles que nous souhaitons susciter chez nos étudiants ; * Une théorie de l’apprentissage qui décrit les processus de construction de ces compétences par les étudiants ; * Une théorie de l’enseignement et de l’évaluation qui prescrit les actions devant être mises en œuvre par les enseignants et notamment les maîtres de stage. Certifier est une procédure attestant que les compétences à exercer la profession de médecin généraliste sont acquises. Cet aboutissement est construit sur une évaluation tout au long des trois années du D.E.S., dans laquelle les Maîtres de Stage des Universités (M.S.U.) ont un rôle essentiel. Cette démarche est déclinée dans les différents lieux d’apprentissage et aboutit à l’autorisation d’exercer. Par ce processus, autorisation d’exercer est donnée à de jeunes professionnels capables de s’insérer d’emblée dans le système de soins (parcours de soins), la démarche qualité et les contraintes médico économiques. Cette démarche est particulièrement importante alors que la loi HPST inscrit les missions du généraliste dans le code de la santé publique, notamment celle de la formation des étudiants, et que le Référentiel Compétence en Médecine Générale (6) et le référentiel métier de la Médecine Générale (7) ont été publiés. La réforme du DES de 2017 donne par ailleurs des objectifs d’évaluation intermédiaire, un niveau attendu de maitrise des compétences étant requis pour valider chaque phase. OBJECTIFS Objectif général Acquérir les habiletés permettant de participer efficacement à la certification des compétences des étudiants du DES de médecine générale : *en mettant en place des activités pédagogiques à visée de formation et d'évaluation qui prennent sens dans le modèle par approche par compétence (APC) *en évaluant les apprentissages des étudiants dans une perspective de compétence *en évaluant le niveau de compétence des étudiants eu cours des stages ambulatoires du DES Objectifs pédagogiques A l'issue de la formation, les participants pourront : *Expliquer les différences entre les logiques d'enseignement et d'apprentissage en s'appropriant le concept de facilitateur d'apprentissage *Expliquer les concepts de compétence, d'apprentissage par compétence : - En définissant ce que l'on entend par compétence ; en les différenciant de la performance - en différenciant les principaux types de composantes : habiletés, capacités, ressources - en s'appropriant les compétences génériques du référentiel métier de médecine générale pour : ¤ identifier les rôles et les tâches à réaliser renseignant sur les compétences mobilisées ¤ identifier ce que les missions / rôles professionnels requièrent comme compétences ¤ identifier les situations cliniques favorisant l'acquisition et la certification des compétences - Faciliter et évaluer les apprentissages dans ce modèle: ¤ en comprenant les principes de l'évaluation des apprentissages dans une logique de compétences ¤ en utilisant des méthodes pédagogiques cohérentes avec le modèle de l'APC ¤ en utilisant des outils renseignant valablement sur les compétences : +pour évaluer les performances constatées ( supervision directe) +pour évaluer les performances rapportées ( supervision indirecte) - Expliquer le concept de niveau de compétence à certifier: ¤ en s'appropriant les niveaux de compétences pour mettre en place la certification en s'appropriant les niveaux de compétences attendues à chaque phase ¤ en s'appropriant les familles de situations à faire travailler à leurs étudiants selon leur phase
Médecin Généraliste
E-learning
Prévention de l’insuffisance rénale chez les personnes présentant un diabète de type 2 suivies en médecine générale
DPC
Le nombre de patients diabétiques est en augmentation constante en France en raison du vieillissement de la population, de « l’épidémie d’obésité » et de la sédentarité. En France la prévalence du diabète traité pharmacologiquement était estimée à 4,6 % en 2012, 1, et a été actualisée à 5,2% en 2019,. Cette augmentation de la prévalence du diabète est observée depuis les premières estimations établies par l'Assurance maladie en 2000 2. Un pic de prévalence est observé entre 70 et 85 ans chez les hommes : 1 homme sur 5 est concerné et entre 75 et 85 ans chez les femmes : 1 femmes sur 7 est concernée. La prévalence du diabète est plus élevée dans les communes les plus défavorisées socio-économiquement, chez les personnes d'un niveau socio-économique moins favorisé et dans certaines catégories socio-professionnelles. La sévérité du diabète au long cours est liée aux complications micro et macro-angiopathique qu’il entraine. L’atteinte micro-angiopathique est principalement représentée par la rétinopathie, la neuropathie et la néphropathie. Dans l’étude ENTRED de 2007 portant sur un échantillon de diabétiques français, les médecins déclaraient pour leurs patients un DFG>90 ml/mn dans 23% des cas, DFG entre 60 et 90 dans 43% des cas, entre 30 et 60 dans 18% des cas et entre 15 et 30 dans 1% des cas. Pour les autres patients les données étaient absentes. La néphropathie diabétique est la première cause d’insuffisance rénale en France (23% des IRT en 2019 dans le registre REIN) et elle est responsable d’un risque cardio-vasculaire accrus et d’une surmortalité toutes causes. 3. Le diabète de type 2 est responsable de la très grande majorité de ces situations (plus des trois quarts). Il existe une élévation très importante du nombre de patients pris en charge pour hémodialyse. L’insuffisance rénale chronique terminale et le recours à l’hémodialyse concernaient en 2010 un total de 2,6 millions de personnes dans le monde. En 2030, ce chiffre atteindra plus de 5,4 millions d’individus 4. Dans 22 % des cas, la maladie causale est le diabète 5. L'insuffisance rénale diabétique est la cause la plus fréquente d'insuffisance rénale terminale et pose un problème de santé mondial majeur. Trouver de nouvelles stratégies sûres et efficaces pour stopper cette maladie s'est avéré être un défi. L’amélioration de l’espérance de vie des patients diabétiques de type 2 notamment intervient dans le risque d’évolution de la néphropathie diabétique vers le stade terminal. Elle a aussi permis d’élargir les indications de l’épuration extrarénale chronique, y compris chez des personnes âgées. Il est donc essentiel de limiter la progression de la néphropathie diabétique vers l’insuffisance rénale chronique terminale. Différentes interventions permettent de diminuer cette perte néphronique et d’améliorer la qualité de vie des patients diabétiques de type 2 Le suivi des patients DT2 en médecine de soins primaires Chaque année, 300 millions d’actes sont réalisés pour des patients vus uniquement en médecine générale. Au long d’une année, le suivi et l’adaptation thérapeutique des patients DT 2 est faite par le médecin généraliste dans 90% des cas. La prise en charge conjointe avec d’autres spécialistes, diabétologues, cardiologues, néphrologues intervient plus tard, lors de la survenue de signes évocateurs de complications ou de difficultés à contrôler l’équilibre glycémique. C’est donc en médecine générale que la prévention précoce de la perte néphronique dont être progressivement construite. Du fait de sa position de premier contact, le médecin généraliste est également en position privilégiée pour mener des actions de prévention primaire et de dépistage, et également de prévention secondaire par la gestion des facteurs de risque pour ses patients ayant eu un premier épisode de maladie et présentant un risque de récidive. Il peut également jouer un rôle important en matière d’éducation à la santé. Enfin, dans son rôle de médecin traitant, il doit adopter une démarche globale de prise en charge qui prenne en compte les dimensions biologiques, psychologiques et sociales des affections présentées par ses patients. Cette démarche s’inscrit dans la durée. Ces dimensions sont également présentes à l’hôpital. Cependant, à l’exception des pathologies chroniques, requérant des séquences multiples de recours à l’hôpital, une hospitalisation est un contact isolé dans le temps et non répétitif. La dimension sociale interviendra principalement aux urgences, pour les personnes âgées fragiles et les personnes socialement défavorisées. L’amélioration de la fonction rénale chez la personne porteuse d’un diabète de type 2 nécessite un repérage précoce de la perte néphronique par le médecin généraliste, la mise en place de mesures adaptées, l’intégration du patient dans un parcours de soins coordonné avec le diabétologue et le néphrologue. Objectif général : Prévenir l’insuffisance rénale chez les personnes suivies pour un diabète de type 2 en médecine générale. Objectifs spécifiques: -Connaître les outils de repérage de la perte néphronique chez les patients diabétiques de type 2 -Savoir utiliser les outils de repérage de la perte néphronique -Connaître et savoir identifier les éléments principaux pouvant favoriser cette perte néphronique -Savoir procéder à la mise en place des moyens de prévention de la perte néphronique chez les patients diabétiques de type 2 -Savoir adapter le traitement antihypertenseur - Savoir adapter le traitement antidiabétique oral . -Savoir adapter le traitement de la dyslipémie - Être capable de mettre en place les différentes interventions permettant de diminuer cette perte néphronique et d’améliorer la qualité de vie des patients diabétiques de type 2 - Être capable d’identifier quand adresser le patient au néphrologue, sur quels critères
Médecin Généraliste
En présentiel
IPP et prescriptions inappropriées
DPC
Contexte : La recherche d'une prescription inappropriée, définie comme l'utilisation d'un médicament dont les risques dépassent les bénéfices escomptés (HAS), est une préoccupation quotidienne en soins premiers, en particulier chez les personnes âgées. Nous pouvons prendre l’exemple des IPP comme dans l’étude PAPI. La prévalence de la consommation d'inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) est estimée à près de 40% dans plusieurs études sur les personnes âgées, dont 60% sont inappropriées. Un peu plus de 90% des IPP prescrits proviennent de médecins généralistes. Les IPP ne sont pas identifiés comme des médicaments à déprescrire par les médecins généralistes. Mais ils sont souvent renouvelés de manière inappropriée. Cependant, ils ont des effets secondaires et des problèmes de iatrogénie potentiels : douleurs abdominales et diarrhée fréquente, infection à Clostridium difficile, pneumonie, fracture à risque, malnutrition et risque cardiovasculaire par interaction médicamenteuse…etc. Le rapport bénéfice/ risque peut alors devenir négatif. De plus, ils génèrent un coût sociétal important. Le coût du remboursement des IPP était estimé à 960 millions d'euros en France en 2009. Cette valeur est en réalité beaucoup plus élevée si l'on considère les conséquences de problèmes iatrogènes, les consultations itératives avec le généraliste ou les hospitalisations consécutives. La formation des médecins généralistes à l’éducation des patients réduirait les prescriptions inappropriées et faciliterait la « déprescription ». Objectifs pédagogiques : - Identifier les prescriptions inappropriées d'IPP - S'approprier les quatre stades de l'éducation du patient : diagnostic pédagogique, contrat d’objectifs, activités éducatives et évaluation de l'impact - S’approprier des éléments de l’entretien motivationnel (stratégie OuVER, Échelle d’importance, échelle de confiance, balance décisionnelle incluant les échelles de qualité de vie) - Utiliser l’éducation du patient pour «déprescrire» un IPP inapproprié
Médecin Généraliste
En présentiel
La dé-prescription des IPP prescrits de manière inappropriée
DPC
La recherche d'une prescription inappropriée, définie comme l'utilisation d'un médicament dont les risques dépassent les bénéfices escomptés (HAS), est une préoccupation quotidienne en soins premiers, en particulier chez les personnes âgées. La prévalence de la consommation d'inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) est estimée à près de 40% dans plusieurs études sur les personnes âgées, dont 60% sont inappropriées. Un peu plus de 90% des IPP prescrits proviennent de médecins généralistes. Les IPP ne sont pas identifiés comme des médicaments à déprescrire par les médecins généralistes. Mais ils sont souvent renouvelés de manière inappropriée. Cependant, ils ont des effets secondaires et des problèmes de iatrogénie potentiels : douleurs abdominales et diarrhée fréquente, infection à Clostridium difficile, pneumonie, fracture à risque, malnutrition et risque cardiovasculaire par interaction médicamenteuse...etc. Le rapport bénéfice/ risque peut alors devenir négatif. De plus, ils génèrent un coût sociétal important. Le coût du remboursement des IPP était estimé à 960 millions d'euros en France en 2009. Cette valeur est en réalité beaucoup plus élevée si l'on considère les conséquences de problèmes iatrogènes, les consultations itératives avec le généraliste ou les hospitalisations consécutives. Les seules études portant sur les prescriptions inappropriées d'IPP ont été réalisées à l'hôpital. La formation des médecins généralistes à l’éducation des patients réduirait les prescriptions inappropriées et faciliterait la « déprescription ». Objectifs : Objectif principal : - S’approprier les démarches permettant d’optimiser la prescription des IPP chez la personne âgée Objectifs pédagogiques: - Identifier les effets secondaires des IPP - Identifier les prescriptions inappropriées d'IPP - Prendre en compte le rebond d’acidité et proposer des stratégies pour le gérer - Utiliser l’éducation thérapeutique et l’entretien motivationnel pour «déprescrire» un IPP inapproprié - Connaitre les méthodes pour mieux prescrire les IPP chez la personne âgée
Médecin Généraliste, Pharmacien
E-learning
DIAGNOSTIQUER ET TRAITER LES INFECTIONS RESPIRATOIRES BASSES. Serious game
DPC
Contexte du programme de DPC Les infections respiratoires représentent un motif fréquent de recours en médecine générale1. On distingue les infections respiratoires hautes (rhinopharyngite, angine, sinusite aiguë et otite moyenne aiguë) et les infections respiratoires basses aiguës (IRB) de l’adulte regroupant plusieurs maladies de gravité variable : bronchites aiguës, exacerbations de broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), et pneumonies aiguës communautaires (PAC). Même si les IRB sont le plus souvent des épisodes de bronchites aiguës virales (80 %) ne nécessitant pas d’antibiotique, le diagnostic différentiel est parfois difficile entre ces différentes maladies. En Europe, le taux de prescription d’antibiotiques pour les IRB a été estimé entre 70 et 90 %, ce qui est particulièrement élevé au regard de la faible incidence des infections bactériennes. En 2012, la consommation française d’antibiotiques figurait parmi les plus élevées d’Europe avec 29 doses thérapeutiques quotidiennes (DTQ) pour 1 000 habitants. Cette forte consommation d’antibiotiques est associée à des taux plus élevés de résistance. La résistance aux antibiotiques est reconnue comme une des plus grandes menaces pour la santé publique en Europe et au niveau mondial. Les conséquences de ce défi sanitaire croissant sont nombreuses : un allongement des durées d’hospitalisation, une hausse de la mortalité, des impasses thérapeutiques, etc. Actuellement, on estime que 25 000 personnes meurent chaque année des suites de la résistance aux antibiotiques en Europe. Au niveau mondial, ce chiffre pourrait atteindre 10 millions d’ici 20502. Le coût économique cumulé est de 1,5 milliards d’euros par an au sein de l’Union européenne. Le DPC est basé sur la prise en compte des priorités de santé publique. La juste prescription des antibiotiques et mesures de prévention des infections pour maitriser l’antibiorésistance est l’orientation numéro 10 des orientations pluriannuelles prioritaires de DPC dans le cadre de la politique nationale de santé pour 2020-2022. L’objectif de cette formation est d’améliorer la pertinence de la prescription des antibiotiques dans les infections respiratoires basses chez l’adulte et l’enfant, dans ce contexte de surprescription d’antibiotiques et d’antibiorésistance. Objectifs Objectif général : Améliorer les compétences en prescription des antibiotiques dans les infections respiratoires basses en soins premiers. Objectifs intermédiaires : 1. Être capable de s’approprier les dernières données validées sur les infections respiratoires basses 2. Mettre en œuvre la prise en charge et le traitement adapté de la bronchite selon les dernières recommandations 3. Gérer la prise en charge et le traitement des exacerbations de bronchopathie chronique obstructive 4. Adapter la prise en charge selon la situation clinique, notamment thérapeutique dans les pneumopathies aigues communautaire et évoquer les différentes ressources pour répondre aux questions des praticiens 5. S’approprier les dernières données validées sur le sujet des infections au Covid-19, et revenir sur un sujet au cœur de l’actualité, pouvoir informer le patient
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En présentiel
Formation complémentaire des MSU : Accueil des étudiants de deuxième cycle, centrée sur les situations de départ
DPC
S2 Accueil des étudiants de deuxième cycle, centrée sur les ECOS et les situations de départ CONTEXTE Le stage en médecine générale est obligatoire pour tous les étudiants lors du deuxième cycle des études médicales (5) (6) (7) (8). Il le reste dans la réforme du 2ème cycle (R2C) avec la mise en place du DFASM (diplôme de formation approfondie des sciences médicales) (29). Il s’agit d’un véritable enjeu pour le système de soins afin de former et de motiver les étudiants en médecine à se destiner à la médecine générale. Ce programme existe depuis 2009. Il est destiné à former les médecins généralistes, PAMSU de troisième cycle, désireux de recevoir un étudiant en deuxième cycle des études médicales, dans le cadre ambulatoire, au moment où ce stage se développe sur tout le territoire. Ce stage avait initialement trois missions (1) : - Enseigner la sémiologie du patient sain, celle des maladies prévalentes et des stades précoces des maladies. Former à la décision médicale en soins primaires. On espère ainsi montrer comment les soins primaires fonctionnent avec un raisonnement clinique prioritaire, en ayant un recours raisonné à l’avis du consultant ou au plateau technique. - Permettre aux étudiants n’ayant que le modèle d’identification hospitalier de découvrir la médecine générale, ses fonctions, ainsi que les tâches des médecins généralistes. On espère ainsi contribuer à répondre à la désaffectation pour la profession généraliste et faire connaître la médecine générale à ceux qui ne l’exerceront pas mais collaboreront avec elle. - Permettre aux futurs professionnels de santé de mieux identifier la place de première ligne de la spécialité médecine générale. On espère ainsi pouvoir améliorer la coordination des soins. Avec la réforme du 2 ème cycle (R2C) dont l’approche par compétence est une des innovations, deux nouveaux objectifs sont apparus : - Former les étudiants aux Situations de Départ (SDD) de la Médecine Générale, avec les attendus d’apprentissages. - Insister sur les 20 items de l’ECN (prochainement EDN : Examen Discriminant National) attribués à la Médecine Générale. Ceci permettra d’améliorer les compétences des futurs professionnels, mais aussi des professionnels actuels acceptant de recevoir des externes après y avoir été formé. Ces praticiens sont « contraints à l’excellence » dans leur exercice, dans une logique pédagogique où le rôle de modèle est important (15). Cette formation a donc un enjeu prioritaire pour l’apprentissage des étudiants (10) et au-delà pour le système de soins de demain. Cette formation des Maîtres de Stage des Universités (MSU) au stage de 2 ème cycle en Médecine Générale a été un projet innovant en 2009 et a été mis à jour en 2023 en corrélation avec la mise en place de la R2C. Le nombre de MSU est actuellement insuffisant pour accueillir la cohorte complète des externes ce qui justifie son déploiement national. Nous apporterons les modifications nécessaires à ce programme au fur et à mesure de la diffusion de données nouvelles et de la mise en place des réformes du premier et du 2 ième cycle. Objectif général de la formation Acquérir les éléments conceptuels, théoriques, et pratiques nécessaires à être enseignant clinicien ambulatoire, maître de stage des universités des étudiants en stage ambulatoire de 2 ième cycle (Dfasm) de médecine générale. Objectifs pédagogiques A l'issue de cette formation, l'apprenant doit : A l'issue de sa formation, l'apprenant doit avoir la capacité de : Ø Connaître les aspects législatifs, administratifs et pratiques du stage ambulatoire des étudiants de deuxième cycle des études de médecine : a) Connaître le rôle et les responsabilités des acteurs de la formation au sein des subdivisions et régions tant en termes administratifs que pédagogiques: – connaître le processus de validation des stages et de la maquette de formation; – connaître la place des différents acteurs/institutions dans le déroulé du parcours de formation (unité de formation et de recherche / directeur d’unité de formation et de recherche / coordonnateur local/régional du diplôme d’études spécialisées, le cas échéant pilote de la formation spécialisée transversale / agence régionale de santé) et les recours possibles en cas de différends. b) Comprendre les enjeux territoriaux et démographiques des stages ambulatoires pour les étudiants de deuxième ou de troisième cycle des études de médecine et leur place dans la formation (démographie médicale du territoire, organisation du système de santé, de la subdivision et du maillage territorial de la formation, diversité des modalités de l’exercice ambulatoire); c) Connaître le statut des étudiants (temps de travail, gardes et repos de sécurité, outils de suivi, congés, demi- journées programmées au titre de la formation hors stage, etc.); d) Connaître les aspects réglementaires de la maîtrise de stage universitaire (assurance, convention, rémunération). Ø Connaître le nouveau cursus des études médicales en particulier du deuxième cycle (Dfasm) avec les modalités de formation et les nouveautés concernant les procédures d’évaluation et la place du stage de 2 e cycle en médecine générale. Ø Décrire le contexte institutionnel et réglementaire du stage du Dfasm en médecine générale ambulatoire. Ø Décrire le raisonnement et la démarche en médecine générale. Ø Identifier les fonctions et les compétences du médecin généraliste. Ø Connaître le référentiel d’apprentissage d’un étudiant de 2 e cycle (référentiel compétences, Situations de Départ, attendus d’apprentissage dans le cadre de la R2C) Ø Lister les objectifs pédagogiques du stage de 2 e cycle en médecine générale. Ø Lister les implications organisationnelles des cabinets pour la mise en place du stage de 2 e cycle en médecine générale. Ø Identifier les missions de l’étudiant 2 e cycle au cabinet de médecine générale. Ø Connaître les techniques de formation, de supervision et d’évaluation des étudiants de 2 e cycle. Ø Enoncer les modalités pratiques de la maîtrise de stage dans la faculté locorégionale : o Rendre compte de l’évolution de l’étudiant et repérer les difficultés : a) Repérer un étudiant en difficultés et mettre en œuvre les démarches pour l’accompagner dont celles de remédiation ; b) Connaître les structures d’aide et d’accompagnement des étudiants en difficulté, que celles-ci soient d’ordre universitaire ou psycho-sociales (numéros verts, syndicats et associations locaux, structures locales d’appui). o Evaluer l’étudiant : a) Connaître les modalités et le calendrier d’évaluation et s’approprier les outils mis à disposition des encadrants ; b) Evaluer une compétence en construction, qu’elle soit clinique ou de savoir-être ; c) Intégrer dans sa pratique de maître de stage, le retour évaluatif des étudiants. S2 Accueil des étudiants de deuxième cycle, centrée sur les ECOS et les situations de départ CONTEXTE
Médecin Généraliste
E-learning
Vaccination en médecine générale
DPC
CONTEXTE DU PROGRAMME DE DPC Le rôle du médecin généraliste est de fournir les soins de premier recours, a un rôle majeur dans la prévention en santé publique, et la vaccination fait partie. Les couvertures vaccinales contre des maladies infectieuses fréquentes comme la rougeole ou les infections invasives à méningocoque étaient en baisse et donc insuffisantes pour éviter l’apparition de foyers endémiques voire des épidémies d’ampleur nationale comme celle de la rougeole en 2010-2011. Aujourd’hui, l’Organisation Mondiale de la Santé se fixe pour objectif que 95 % de la population soit vaccinée pour tous les vaccins recommandés ou obligatoires1. Elle place l’hésitation vaccinale comme l’une des dix menaces de santé publique dans le monde2. La pandémie actuelle de la COVID 19 démontre à quel point la vaccination est un enjeu majeur pour la santé publique, il est dont fondamental de former les médecins généralistes à répondre aux hésitants vaccinaux pour améliorer la couverture vaccinale. Le DPC est basé sur la prise en compte des priorités de santé publique. Ces orientations prioritaires sont de trois ordres : priorités définies par profession et/ou discipline sur proposition des Collèges Nationaux Professionnels (CNP), priorités nationales de santé et priorités conventionnelles avec l’Assurance maladie. La promotion de la vaccination est l’orientation n°3 des orientations pluriannuelles prioritaires de développement professionnel continu s'inscrivant dans le cadre de la politique nationale de santé pour les années 2020 à 20223, c’est donc dans ce contexte que cette formation a été réalisée. OBJECTIFS Objectif général : Améliorer les connaissances sur la vaccination en soins primaires. Objectifs intermédiaires : Le médecin participant à ce programme de DPC doit être capable de : 1. S’approprier les dernières données validées sur le sujet (références bibliographiques mise sous forme de lien dans les réponses) 2. Mettre en œuvre les vaccins des patients selon les indications du calendrier vaccinal en vigueur en soins primaires 3. Procéder au rattrapage vaccinal quelque soit le statut vaccinal du patient 4. Savoir mobiliser et utiliser les différentes ressources pour répondre à leurs questions (recommandations, outils d’aide à la prescription.) 5. Identifier les situations à risque, notamment les contre-indications vaccinales 6. Savoir adopter la meilleure stratégie pour répondre aux hésitants vaccinaux
Sage-Femme, Gynécologue, Médecin Généraliste
E-learning
Décision partagée et dépistage organisé du cancer du sein
DPC
CONTEXTE En France, le cancer du sein était le plus fréquent chez la femme en 2018 (58 459 cas) et le responsable du plus grand nombre de décès (12146). Le dépistage organisé du cancer du sein (DOCS) est proposé à toutes les femmes âgées de 50 à 74 ans, sur l’ensemble du territoire sous la forme d’un examen clinique et d’une mammographie (double lecture). Leur réalisation par un radiologue agréé est prise en charge à 100 % par l’assurance maladie1. La balance bénéfices-risques du DOCS fait l’objet de controverses scientifiques et de polémiques médiatiques. Dans ce contexte, l’Institut national du cancer (INCa), à la demande du ministère des Affaires sociales et de la Santé, a organisé une concertation citoyenne et scientifique nationale sur le dépistage du cancer du sein en octobre 2015. Les conclusions de la « concertation citoyenne » réalisée dans ce contexte de polémiques recommandent de prendre en compte la controverse dans l’information fournie aux femmes et dans la formation initiale et continue des professionnels en particulier des médecins généralistes2. Participer à un dépistage devrait s’inscrire dans un processus de décision médicale partagée (ou décision partagée) avec une information claire, loyale et appropriée3. Ce processus repose sur les connaissances, les représentations et les valeurs des femmes et des professionnels4-7. L’objectif de ce séminaire est de mettre à jour les connaissances des professionnels de santé susceptibles de participer au processus de décision médicale partagée avec les femmes au sujet du dépistage organisé du cancer du sein. OBJECTIFS Objectif général Améliorer les connaissances des professionnels de santé sur la balance bénéfices/avantages et risques/inconvénients du dépistage organisé du cancer du sein (DOCS) afin qu’ils puissent délivrer une information adéquate aux femmes, support de la décision médicale partagée. Objectifs pédagogiques À l'issue de sa formation, l'apprenant doit : Connaître le processus de décision médicale partagée Connaître les bénéfices/avantages du dépistage Connaître les risques/inconvénients du dépistage Être capable d’expliquer les incertitudes autour du dépistage.