Objectifs Le diagnostic préimplantatoire a été autorisé en Farnce en 1998 (decret d’application de la Loi de 199

4-. Il est réservé aux couples ayant une forte probabilité de donner naissance à un enfant atteint d’une maladie grave et incurable. En 2006 ses indications ont été élargies au typage tissulaire des embryons et au diagnostic d’exclusion. Aujourd’hui 4 centres français pratiquent cette activité, qui reste relativement confidentielle. L’objectif de cette journée est de faire un état des lieux des pratiques en France et dans le monde, de faire un point sur les extensions d’indications de la Loi de 2006, et sur des indications particulières pour lesquelles la France a été précurseur (maladie par mutation de l’Adn mitochondrial), et de discuter des nouvelles possibilités de correction génétique des embryons humains, et de leurs implications éthiques. Résumé de l’action Faire un état des lieux sur la pratique du diagnostic préimplantatoire en France après 18 années d’activité, sur les chances de succès de cette procédure et ses limites. Discuter des pratiques de screening très répandues dans le reste du monde mais interdite en France. Faire un point sur les extensions de ses indications. Donner un aperçu des résultats de cette technique appliquée à des indications rares (maladie par mutation de l’ADN mitochondrial). Discuter des possibilités de correction génétique sur des embryons humains et de leurs implications éthiques. Méthodologies Cours magistral avec présentation de diapositives sous la forme d’un diaporama