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LE RISQUE DE PERTE D'AUTONOMIE CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES A DOMICILE

DPC

Contexte : Les projections démographiques pour les décennies à venir sont désormais bien connues ; les personnes âgées de 65 ans ou plus seront plus nombreuses et leur part dans la population va augmenter de manière significative en France. La notion de « personnes âgées en risque de perte d’autonomie » recouvre l’ensemble des personnes de 75 ans et plus, pouvant être encore autonomes, mais dont l’état de santé peut s’altérer pour des raisons d’ordre médical et /ou social. Les chiffres clés soulignés par le Ministère des solidarités et de la santé (2018) mettent en évidence que ce phénomène sociétal constitue une priorité de santé publique : « 40% des personnes qui décèdent ont connu la perte d’autonomie. 2,2 millions de personnes en perte d’autonomie en 2050, contre 1,3 million en 2017 » . Il est établi que la perte d’autonomie est corrélative de l’état de santé des personnes dites fragiles, c’est à dire dans un état précurseur de la dépendance fonctionnelle . Pourtant, les personnes âgées souhaitent se maintenir à domicile le plus longtemps possible. Les politiques de santé s’adossent à cette aspiration soutenant le « Bien vieillir la prévention de la perte d’autonomie » (dispositif PAERPA , depuis 2014 ; Plan « Priorité prévention », 2018 ; Feuille de route « grand âge et autonomie, 2018 ). Avec la stratégie nationale « Ma santé 2022 », une mission de maintien à domicile et de développement de la qualité de vie est dévolue aux professionnels de santé de proximité, dont les infirmiers(ère)s à domicile constituent le maillon de 1ère ligne. La dénutrition, les chutes, la dépression, la iatrogénie médicamenteuse, sont les principales causes d’hospitalisation des personnes âgées , auxquels s’ajoutent les conditions de vie et parfois l’incidence climatique (canicule, grand-froid…) autant de risques qui font miroir aux compétences et à la vigilance des infirmiers(ère)s au domicile. L’infirmier(ère) de par son champ de compétences, a une double posture, d’une part d’acteur de la prévention du risque de perte d’autonomie, d’autre-part de repérage des signes de perte d’autonomie et enfin de réponse coordonnée de prise en charge Objectifs : Ce programme de formation continue, dont la vocation est l’actualisation des connaissances, s’adresse aux infirmiers libéraux ou salariés en centre de santé conventionné. IL A POUR OBJECTIF GLOBAL DE REPERER ET PRENDRE EN CHARGE LE RISQUE DE PERTE D’AUTONOMIE CHEZ LES PERSONNES AGEES A DOMICILE Les objectifs intermédiaires sont : - OBJECTIF 1 : REPERER ET EVALUER LES FRAGILITES - OBJECTIF 2 : RECONNAITRE LES SIGNES DE FRAGILITE ET DE PERTE D’AUTONOMIE PAR UNE APPROCHE FONCTIONNELLE - OBJECTIF 3 : INTEGRER LA PREVENTION A LA PRATIQUE SOIGNANTE AU DOMICILE - OBJECTIF 4 : PRENDRE EN CHARGE LA PERTE D’AUTONOMIE - OBJECTIF 5 : CONNAITRE LA COORDINATION AUTOUR DE LA PERSONNE AGEE - OBJECTIF 6 : ETABLIR UN BILAN DE SES ACQUIS ET UN PLAN D’ACTIONS D’AMELIORATION Le programme comporte les éléments de contenus suivants : l’approche de la perte d’autonomie chez la personne âgée (épidémiologie, définitions, représentations de la profession infirmière), les pathologies chroniques (ALD), les facteurs de risques, l’aggravation et les comorbidités, la classification GIR, les signes de perte d’autonomie à repérer (condition physique, état nutritionnel, troubles neuro-cognitifs ou/et psychiques, isolement social, sensoriels, bucco-dentaires…), le bilan de soins infirmiers (BSI), l’approche préventive, le plan personnalisé de santé (PPS), les approches thérapeutiques non médicamenteuses, les modèles de santé, l’environnement du patient, les aidants, le dispositif PAERPA, la prise en charge coordonnée (1er et 2ème recours, IPA, parcours de santé coordonné…), les recommandations nationales et les ressources locales (plans, offre médico-sociale…). L’action se déroule en présentiel sur 4 demi-journées, soit d’une durée totale de 14h. Elle est organisée pour un effectif maximum de 25 personnes et animée par un formateur expert dans le domaine du thème abordé et en matière de pédagogie. Les méthodes pédagogiques reposent sur une alternance d’apports théoriques et de travaux collaboratifs et participatifs réalisés par les participants, facilitant la mémorisation et la mise en lien avec les pratiques professionnelles. De nombreux échanges sont prévus tout au long de la formation.

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SOINS INFIRMIERS ET SURVEILLANCE DES PATIENTS EN PÉRIODE POST OPÉRATOIRE IMMÉDIATE

DPC

Le « virage ambulatoire », ainsi dénommé par Marisol Touraine, alors ministre des affaires sociales et de la santé, lors d’une conférence de presse en 2015 , n’est plus un slogan mais est devenue une réalité qui correspond à une réforme d’envergure, voire à un changement de paradigme de notre système de santé. En effet, auparavant le système de santé était majoritairement hospitalo-centré. Dorénavant le système de santé se caractérise par un exercice coordonné qui fait du médecin traitant et des équipes coordonnées autour de lui le centre de gravité du système. La plus-value attendue est une optimisation de l’organisation des prises en charge entre la ville et l’hôpital. La principale activité est la chirurgie ambulatoire, soumise à une autorisation de l’Agence régionale de santé (ARS), qui se définit en France « comme une chirurgie programmée et réalisée dans les conditions techniques nécessitant impérativement la sécurité d’un bloc opératoire, sous une anesthésie de mode variable, suivie d’une surveillance postopératoire permettant, sans risque majoré, la sortie du patient le jour même de son intervention » (HAS, 2012) . La HAS (2019) précise encore que la chirurgie ambulatoire correspond à une « hospitalisation de moins de 12 heures sans hébergement de nuit » . Encouragée par les pouvoirs publics comme priorité nationale et facilitée par les avancées technologiques, la pratique de la chirurgie ambulatoire progresse nettement. Le taux de chirurgie ambulatoire est ainsi passé de 38% en 2008 à 54% en 2016 (DREES, 2019) . Dans ce mouvement en avant, le Ministère des solidarités et de la santé, dans sa stratégie nationale de santé 2018-2022, souligne qu’il faut « poursuivre le virage ambulatoire et développer les alternatives à l’hospitalisation conventionnelle » . L’objectif national est une pratique ambulatoire majoritaire de 70% à l’horizon 2022 (HAS, 2019). Par ailleurs, l’avènement des Programmes de récupération améliorée après chirurgie (RAAC), issues du mouvement danois « Fast-track » a créé du lien entre les acteurs des équipes hospitalières et de ville en catalysant une réorganisation des soins et des efforts combinés au sein d’une équipe pluripro­fessionnelle. Dans ce dispositif, c’est avant tout la qualité des soins et donc le service rendu au patient qui est optimisé. Parmi les bénéfices constatés, citons une relation de confiance soigné-soignant élevée, un réveil accéléré réduisant les risques de morbidité post-opératoire, des douleurs au réveil et post-opératoires immédiates moins fortes, une récupération plus rapide, une diminution du temps de séjour hospitalier concomitante d’une diminution du risque d’infection nosocomiale… Des études ont montré un taux de satisfaction élevé des patients et leurs familles (souvent > 90%) (HAS et ANAP, 2012) . Du côté institutionnel la chirurgie ambulatoire permet un gain d’efficacité dans l’organisation des services de chirurgie, ainsi qu’une réduction des coûts pour les établissements de santé et l’Assurance maladie (ANAP, 2011). Enfin au niveau des professionnels de santé, une étude de 2008 menée auprès de 682 professionnels hospitaliers français a révélé un taux de satisfaction global de 92,3%. 97,3 % des répondants conseilleraient à quelqu’un, ou se feraient opérer eux-mêmes en ambulatoire. Pour l’infirmière à domicile, comprise comme intervenante au sein d’un exercice coordonnée des soins, le virage ambulatoire signifie une prise en soin plus précoce engageant un niveau de responsabilité plus élevé dans le parcours du patient. En effet, l’infirmière à domicile intervient tant dans l’évaluation initiale au retour à domicile du patient, que du point de vue des surveillances du risque post-opératoire immédiat lié à l’anesthésie (nausées et vomissements, vigilance, fonctions cognitives) et du risque i lié à la chirurgie (infectieux, hémorragique, thromboembolique). Elle est aussi la soignante de proximité immédiate dans l’accompagnement du patient pour gérer son angoisse, pour l’informer et répondre à ses questions. Elle est la garante d’un dossier de soins actualisé et exhaustif. Ses compétences lui permettent notamment d’évaluer et prendre en soin la douleur à tous les âges de la vie, ainsi que de réaliser un éventail de soins, dont : collyres, pansements, analgésie, surveillance des constantes, aide à la toilette... Par ailleurs l’infirmière à domicile est en position idéale pour repérer des vulnérabilités (isolement, non observance, dénutrition, santé mentale...). L’avenant 6 de la convention nationale des infirmiers et infirmières libérales du 29 mars 2019, a permis de créer de nouveaux actes infirmiers (mise en œuvre en janvier 2021) correspondant à la prise en charge de soins en post-opératoires à domicile : séance de surveillance clinique, surveillance de cathéter péri-nerveux pour analgésie en post-opératoire, retrait de sonde urinaire et changement de flacon de redon ou de retrait post-opératoire de drain. Des expérimentations ont également été menées sur certains territoires où l’infirmière libérale est incluse dans Dispositif infirmier d’accompagnement et de suivi post-ambulatoire à domicile (DIASPAD) permettant à la fois de sécuriser le parcours du patient et d’augmenter le nombre de patients éligibles à la chirurgie ambulatoire. L’objectif global de cette action de formation continue est d’actualiser les connaissances en lien avec la prise en soin des patients en période post opératoire immédiate. Les objectifs intermédiaires sont : • Objectif 1 : Appréhender les différentes modalités organisationnelles de la chirurgie ambulatoire et de la RAAC • Objectif 2 : Identifier les risques post opératoires immédiats liés à l’anesthésie et à la chirurgie • Objectif 3 : Connaître les surveillances infirmières postopératoires • Objectif 4 : Participer à la coordination des soins et assurer leur traçabilité • Objectif 5 : identifier l’évolution de la nomenclature liée à l’Avenant 6 de la convention nationale des infirmiers et infirmières libérales • Objectif 6 : Prendre en compte l’expérience patient et améliorer la qualité de la prise en charge et la gestion des risques • Objectif 7 : Établir un bilan de ses acquis et un plan d’actions d’amélioration de ses pratiques suite à la formation Les éléments de programme comportent notamment une définition de la chirurgie ambulatoire et de son organisation, du chemin clinique du patient lié aux programmes RAAC, l’approche des types de chirurgie les plus représentatives des patients bénéficiant d’un sorties post-opératoire précoce/immédiate, des risques pouvant découlés de l’acte anesthésique et chirurgical, de l’inclusion dans un dispositif ville-hôpital et dans un exercice coordonné des soins à domicile, des surveillances infirmières spécifiques, de la cotation et de la traçabilité des soins, la prise en compte de l’expérience patient, ainsi que l’inscription dans une démarche continue d’amélioration des soins et de gestion des risques (évènements indésirables). L’action se déroule en présentiel sur 4 demi-journées, soit d’une durée totale de 14h. Elle est organisée pour un effectif maximum de 25 personnes et animée par un formateur expert dans le domaine du thème abordé et en matière de pédagogie. Les méthodes pédagogiques reposent sur une alternance d’apports théoriques et de travaux collaboratifs et participatifs réalisés par les participants, facilitant la mémorisation et la mise en lien avec les pratiques professionnelles. De nombreux échanges sont prévus tout au long de la formation.

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E-LEARNING - LE PICC-LINE

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Contexte : Le PICC line (Cathéter Central par Insertion Périphérique) est un cathéter veineux central inséré dans une veine périphérique (généralement la veine basilique, au-dessus du pli du coude). Depuis les années 1980, il connait un essor important chez les patients adultes dans les pays anglo-saxons. Son utilisation se développe actuellement en France. Utilisé pour des traitements parentéraux centraux de trois à six mois, il est également indiqué pour la nutrition parentérale et pour l’administration de médicaments anticancéreux et d’antibiotiques. S’agissant d’un accès central, il est à l’origine néanmoins de nombreuses complications et son utilisation doit être suivie d’une éducation rigoureuse du patient. Un grand avantage de ce dispositif est qu’il permet le maintien à domicile du patient sous la surveillance de professionnels de santé, dont l’infirmière constitue un maillon de premier recours. Les actions de soins infirmiers auprès des patients porteurs de le PICC Line, sont nombreuses et les prises en charge sont très souvent techniquement complexes et psychologiquement difficiles. Qui plus est, l’état de santé de ces patients requiert des traitements lourds, en particulier les traitements anticancéreux de courte et moyenne durée. La manipulation de ces voies d’abord peut entrainer des complications, notamment infectieuses, et nécessite des précautions d’hygiène et d’asepsie spécifiques. Les soins infirmiers auprès des patients porteurs de PICC Line font l’objet de recommandations de sociétés savantes, relatives aux surveillances, aux bonnes pratiques de manipulation, d’hygiène et d’asepsie. Pour le patient à domicile, une fiche de suivi ou un carnet de surveillance permet d'assurer la traçabilité des soins sur PICC Line. Par ailleurs, la prévention des infections associées aux soins une priorité prise en compte par des plans nationaux de santé publique. La sélection de ce thème dans le cadre du développement professionnel continu devient alors une évidence, car il répond à un double enjeu : un besoin prégnant d’actualisation des connaissances et de développement des compétences de l’ensemble des infirmières à domicile, et une saillance en santé publique. Objectifs : L’objectif global est de réactualiser les connaissances des infirmières sur les PICC line, et d’améliorer les pratiques en matière de manipulations, de soins et surveillances auprès des patients porteurs de PICC line, le tout au bénéfice de la qualité et de la sécurité des soins Les objectifs intermédiaires sont : • OBJECTIF 1 : ÉTABLIR UN ÉTAT DES LIEUX DE SES BESOINS EN FORMATION EN MATIÈRE DE MANIPULATION DES ABORDS VEINEUX CENTRAUX • OBJECTIF 2 : DEFINIR LE PICC LINE ET SES COMPOSANTS • OBJECTIF 3 : PREVENIR LES COMPLICATIONS • OBJECTIF 4 : SAVOIR EFFECTUER LES MANIPULATIONS (PRELEVEMENT, INJECTION, CHANGEMENT DE TUBULURE) • OBJECTIF 5 : SAVOIR REALISER LA REFECTION DU PANSEMENT • OBJECTIF 6 : ÉVALUER SES ACQUIS, DÉGAGER ET SUIVRE DES AXES D’AMÉLIORATIONS DANS SA PRATIQUE QUOTIDIENNE Le programme de formation comporte les éléments de contenus principaux suivants : un état des lieux des besoins en formation en matière de PICC line, les PICC Line et leurs composantes, les complications, la manipulation, la réfection du pansement, notamment sous la forme de vidéo de séquences de soins

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E LEARNING - LES ABORDS VEINEUX CENTRAUX

DPC

Contexte : Les actions de soins infirmiers auprès des patients porteurs de voies veineuses centrales à domicile sont nombreuses et les prises en charge sont très souvent techniquement complexes et psychologiquement difficiles. Qui plus est, l’état de santé de ces patients requiert des traitements lourds, en particulier les traitements anticancéreux. La manipulation de ces voies d’abord peut entrainer des complications, notamment infectieuses, et nécessite des précautions d’hygiène et d’asepsie spécifiques. Les soins infirmiers auprès des patients porteurs de voies veineuses font l’objet de nombreuses recommandations de sociétés savantes. Et parmi elles, principalement la Haute Autorité de Santé, la Société Française d’Hygiène Hospitalière, les CCLIN. Elles sont relatives aux surveillances, aux bonnes pratiques de manipulation, d’hygiène et d’asepsie. Par ailleurs, la prévention des infections associées aux soins et la prise en charge des pathologies cancéreuses constituent deux priorités prises en compte par des plans nationaux de santé publiques. Ces priorités sont naturellement déclinées dans le développement professionnel continu, entre autres au travers de deux orientations : l’une relative à la prévention des infections associées aux soins, l’autre, plus spécifique, relevant des soins infirmiers au patient en chimiothérapie. La sélection de ce thème dans le cadre du développement professionnel continu devient alors une évidence, car il répond à un double enjeu : un besoin prégnant de l’ensemble des infirmières et une saillance en santé publique. Objectifs : L’objectif global est de réactualiser les connaissances des infirmières sur les voies veineuses centrales, et d’améliorer les pratiques en matière de manipulations, de soins et surveillances auprès des patients porteurs de voies veineuses centrales, le tout au bénéfice de la qualité et de la sécurité des soins. Les objectifs intermédiaires sont : • OBJECTIF 1 : ÉTABLIR UN ÉTAT DES LIEUX DE SES BESOINS EN FORMATION EN MATIÈRE DE MANIPULATION DES ABORDS VEINEUX CENTRAUX • OBJECTIF 2 : DÉFINIR LES CHAMBRES IMPLANTABLES, LEURS INDICATIONS, TECHNIQUES DE POSE ET MATÉRIELS ASSOCIES • OBJECTIF 3 : RECONNAITRE LES COMPLICATIONS ET RISQUES LIÉS AUX CHAMBRES IMPLANTABLES • OBJECTIF 4 : MAITRISER LES BONNES PRATIQUES RELATIVES AUX SOINS ET MANIPULATIONS DES CHAMBRES IMPLANTABLES • OBJECTIF 5 : ANALYSER SES PRATIQUES A L’APPUI D’UN CAS PRATIQUE RELATIF A LA CHAMBRE IMPLANTABLE • OBJECTIF 6 : DEFINIR LE PICC LINE, SES INDICATIONS ET TECHNIQUES DE POSE • OBJECTIF 7 : RECONNAITRE LES COMPLICATIONS ET RISQUES LIÉS AUX VOIES VEINEUSES CENTRALES • OBJECTIF 8 : MAITRISER LES BONNES PRATIQUES RELATIVES AUX SOINS ET MANIPULATIONS DU PICC LINE • OBJECTIF 9 : ANALYSER SES PRATIQUES EN MATIÈRE DE SOINS SUR PICC LINE • OBJECTIF 10 : ÉVALUER SES ACQUIS, DÉGAGER ET SUIVRE DES AXES D’AMÉLIORATIONS DANS SA PRATIQUE QUOTIDIENNE Le programme de formation comporte les éléments de contenus principaux suivants : Des rappels sur les chambres implantables, les PICC Line. Puis les bonnes pratiques en matière de manipulation, soins, surveillance, règles d’hygiène et asepsie seront détaillées, notamment sous la forme de vidéo de séquences de soins sur ces voies veineuses centrales. Le programme s’appuie sur la méthode formation continue au format e-learning. Les contenus sont organisés en unités d’apprentissage alternant apports cognitifs, interpellation de l’apprenant, et séquence d’entrainement. La participation active de l’apprenant est sollicitée afin de maintenir un niveau d’attention adapté aux objectifs d’apprentissage. Par ailleurs le parcours prévoit un temps de travail et de réflexion en dehors de toute connexion. Enfin, un forum est attaché à chaque groupe de participants. Ceux-ci sont incités à s’y rendre, afin d’échanger sur leurs pratiques professionnelles, permettant ainsi de stimuler l’analyse de pratiques et la réflexivité. Le programme est accessible sur un espace de formation individuel, depuis un ordinateur ou une tablette, au moyen d’un identifiant et d’un mot de passe et nécessite une connexion internet haut débit.

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PARTAGE DE PRATIQUES : SOINS INFIRMIERS ET SURVEILLANCE DES PATIENTS SOUFFRANT DE PATHOLOGIES CARDIAQUES

DPC

Ce programme est une action d’évaluation des pratiques professionnelles au format groupe d’analyse de pratiques entre pairs, à destination des infirmières libérales ou salariées d’un centre de santé. Cette action a pour ambition de permettre aux infirmières d’évaluer et analyser leurs pratiques en matière de prise en charge, de suivi et d’éducation des patients atteints de pathologies cardiaques, d’améliorer les pratiques. Les objectifs pédagogiques sont les suivants : - Analyser ses pratiques en matière de prise en charge, de suivi et d’éducation des patients atteints de pathologies cardiaques et identifier les références bibliographiques d’appui - S’approprier les recommandations de bonnes pratiques en matière de surveillances cliniques, de dépistage précoce des signes de décompensation ou d’exacerbation et gestion des alertes auprès des patients atteints de pathologies cardiaques en vue d’améliorer ses pratiques dans ce domaine - S’approprier les recommandations et textes législatifs et règlementaires en matière de responsabilité infirmière et de traçabilité dans la prise en charge et le suivi des patients atteints de pathologies cardiaques, et d’éducation du patient, en vue d’améliorer ses pratiques dans ce domaine - Dégager des axes d’amélioration de ses pratiques et en assurer le suivi au regard de leurs indicateurs - Evaluer l’impact du programme sur ses pratiques. Le programme comporte les objectifs scientifiques suivants : détailler les pratiques de soins relatifs aux patients atteints de pathologies cardiaques, les surveillances cliniques, les signes de décompensation ou d’exacerbation, la gestion des alertes essentiellement sous le prisme des recommandations de bonnes pratiques, du cadre réglementaire et de nombreux échanges entre professionnels. Le programme se déroule en 4 séances de 3 à 4 h chacune, espacées de 15 jours à 1 mois entre chaque séance, laissant ainsi le temps aux participants de mettre des actions en place et d’en évaluer l’impact. Les réunions se déroulent dans une salle équipée d’un paperboard, disposée au format table ronde, suffisamment spacieuse pour accueillir 15 personnes. Les participants disposeront du recueil des principaux textes et recommandations scientifiques de référence relatifs au thème traité. Les séances sont animées par un formateur expert du thème abordé, expérimenté en formation des adultes et spécifiquement formé à la méthode « analyse de pratiques ». Cette méthode repose sur l’échange et l’analyse de pratiques sur la base de cas cliniques réels apportés par les participants. La finalité de la méthode est de trouver un consensus sur les bonnes pratiques relatives au thème abordé à l’aune des échanges, et de l’examen collectif des textes et recommandations scientifiques de référence, en vue d’améliorer la qualité et la sécurité des soins au bénéfice du patient et de son entourage.

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E-LEARNING : LE BILAN DE SOINS INFIRMIERS (BSI)

DPC

Contexte : Depuis longtemps annoncé, et très attendu par la profession, le Bilan de Soins Infirmiers (BSI) est amené à remplacer la Démarche de Soins Infirmiers (DSI). Particulièrement innovant, plus simple et plus concret dans son concept, le BSI a été élaboré pour répondre à un double attendu. Le 1er attendu est une réponse à la demande croissante de besoins en soins des patients à domicile, comprise dans une vision globale de santé, physique, psychologique et sociologique. Le 2ème attendu est une réponse à une optimisation de la pratique infirmière à domicile. Pour que les infirmières s’emparent de ce nouvel outil, il est fondé sur la charge en soins et sur toutes les dimensions du rôle propre. Il valorise ainsi l’infirmière dans les soins infirmiers d’hygiène, mais aussi dans les soins relationnels, les soins éducatifs et préventifs. Il valorise également l’infirmière dans son rôle au sein de l’équipe soignante à domicile. La convention nationale des infirmiers, avec l'avenant 6 signé fin mars 2019, confirme l'arrivée du BSI pour 2020. De là, cette convention vient réaffirmer la place de l’infirmière à domicile comme catalyseur du maintien à domicile d’une patientèle à forte proportion de personnes âgées et/ou porteurs de maladies chroniques. De même, avec cette convention et le BSI, l’infirmière à domicile est reconnue comme l’épicentre de la coordination des soins de proximité. Cette formation continue en présentiel est conçue pour les infirmières libérales ou salariées d’un centre de santé, dans l’optique d’actualiser leurs connaissances sur le concept et la mise en œuvre du BSI. Le contenu pédagogique répondra à toutes les interrogations et doutes des infirmières en leur permettant d’approfondir ces nouvelles compétences L’objectif global de cette formation est de permettre à l’infirmière d’optimiser au mieux l’évaluation des besoins des patients dans une approche holistique, et être en capacité de proposer et appliquer un plan de soins personnalisé. Cette action de formation a pour ambition de permettre aux participants de réactualiser leurs connaissances dans le domaine du bilan de soins infirmiers (BSI). L’objectif global de cette formation est de permettre à l’infirmière d’optimiser au mieux l’évaluation des besoins des patients dans une approche holistique, et être en capacité de proposer et appliquer un plan de soins personnalisé. Les objectifs pédagogiques détaillés sont les suivants : - Comprendre les principes conceptuels du BSI et son inscription dans une coordination sanitaire et médico-sociale - Évaluer la situation clinique et environnementale du patient - Préparer un plan de soins pertinent à la situation du patient - Connaitre les procédures administratives liées à l'utilisation du BSI et les différents items le composant - Assurer la traçabilité et participer à la coordination du parcours de soins du patient - Examiner l’impact de l’avenant 6 dans la pratique infirmière Le programme s’appuie sur la méthode de formation e-learning. Celle-ci repose sur l’acquisition ou l’approfondissement par les participants de connaissances ou compétences. Les méthodes pédagogiques reposent sur une alternance de méthodes affirmatives à type d’apports théoriques et de vidéolearning, de méthodes interrogatives à type d’autoévaluation, de méthodes actives à type de cas clinique et participatives réalisées par les participants au niveau du forum, facilitant la mémorisation et la mise en lien avec les pratiques professionnelles. Un dispositif d’évaluation est prévu en amont, pendant, et en fin de formation portant sur les connaissances et la satisfaction des participants. En fin de formation, un bilan est organisé afin de permettre aux participants de déterminer des axes d’amélioration de ses pratiques suite à la formation

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PARTAGE DE PRATIQUES : LES PATIENTS ATTEINTS DE PATHOLOGIES CARDIAQUES SOUS ANTICOAGULANTS

DPC

Ce programme est une action d’évaluation des pratiques professionnelles au format groupe d’analyse de pratiques entre pairs, à destination des infirmières libérales ou salariées d’un centre de santé. Cette action a pour ambition de permettre aux infirmières d’évaluer et analyser leurs pratiques en matière de prise en charge, suivi et éducation des patients atteints de pathologies cardiaques sous anticoagulant, et d’améliorer les pratiques de soins dans ce domaine, au bénéfice de la qualité et de la sécurité des soins. Les objectifs pédagogiques sont les suivants : - Analyser ses pratiques en matière de prise en charge, de suivi et d’éducation des atteints de pathologies cardiaques sous anticoagulants et identifier les références bibliographiques d’appui - S’approprier les recommandations de bonnes pratiques en matière de surveillances biologiques et cliniques, de dépistage des signes de surdosage et sous dosage des patients atteints de pathologies cardiaques s sous anticoagulants en vue d’améliorer ses pratiques dans ce domaine - S’approprier les recommandations et textes législatifs et règlementaires en matière de responsabilité infirmière, de traçabilité, et d’éducation du patient atteint d’une pathologie cardiaque sous anticoagulants en vue d’améliorer ses pratiques dans ce domaine - Dégager des axes d’amélioration de ses pratiques et en assurer le suivi au regard de leurs indicateurs - Evaluer l’impact du programme sur ses pratiques Le programme comporte les objectifs scientifiques suivants : détailler les pratiques de prise en charge, de suivi et d’éducation des patients atteints de pathologies cardiaques sous anticoagulants, la surveillance biologique et clinique de ces patients, essentiellement sous le prisme des recommandations de bonnes pratiques, du cadre réglementaire et de nombreux échanges entre professionnels. Le programme se déroule en 4 séances de 3 à 4 h chacune, espacées de 15 jours à 1 mois entre chaque séance, laissant ainsi le temps aux participants de mettre des actions en place et d’en évaluer l’impact. Les réunions se déroulent dans une salle équipée d’un paperboard, disposée au format table ronde, suffisamment spacieuse pour accueillir 15 personnes. Les participants disposeront du recueil des principaux textes et recommandations scientifiques de référence relatifs au thème traité. Les séances sont animées par un formateur expert du thème abordé, expérimenté en formation des adultes et spécifiquement formé à la méthode « analyse de pratiques ». Cette méthode repose sur l’échange et l’analyse de pratiques sur la base de cas cliniques réels apportés par les participants. La finalité de la méthode est de trouver un consensus sur les bonnes pratiques relatives au thème abordé à l’aune des échanges, et de l’examen collectif des textes et recommandations scientifiques de référence, en vue d’améliorer la qualité et la sécurité des soins au bénéfice du patient et de son entourage.

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PARTAGE DE PRATIQUES - LES STOMIES

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Ce programme est une action d’évaluation des pratiques professionnelles au format groupe d’analyse de pratiques entre pairs, à destination des infirmières libérales ou salariées d’un centre de santé. Cette action a pour ambition de permettre aux infirmières d’évaluer et analyser leurs pratiques en matière de prise en charge, de suivi et d’éducation des patients porteurs de stomies, d’améliorer les pratiques. Les objectifs pédagogiques sont les suivants : - Analyser ses pratiques en matière de prise en charge, de suivi et d’éducation des patients porteurs de stomies et identifier les références bibliographiques d’appui - S’approprier les recommandations de bonnes pratiques en matière de surveillances cliniques, de dépistage précoce des signes de décompensation ou d’exacerbation et gestion des alertes auprès des patients porteurs de stomies en vue d’améliorer ses pratiques dans ce domaine - S’approprier les recommandations et textes législatifs et règlementaires en matière de responsabilité infirmière et de traçabilité dans la prise en charge et le suivi des patients porteurs de stomies, et d’éducation du patient, en vue d’améliorer ses pratiques dans ce domaine - Dégager des axes d’amélioration de ses pratiques et en assurer le suivi au regard de leurs indicateurs - Evaluer l’impact du programme sur ses pratiques. Le programme comporte les objectifs scientifiques suivants : détailler les pratiques de soins relatifs aux patients porteurs de stomies, les surveillances cliniques, les signes de complications, la gestion des alertes essentiellement sous le prisme des recommandations de bonnes pratiques, du cadre réglementaire et de nombreux échanges entre professionnels. Le programme se déroule en 4 séances de 3 à 4 h chacune, espacées de 15 jours à 1 mois entre chaque séance, laissant ainsi le temps aux participants de mettre des actions en place et d’en évaluer l’impact. Les réunions se déroulent dans une salle équipée d’un paperboard, disposée au format table ronde, suffisamment spacieuse pour accueillir 15 personnes. Les participants disposeront du recueil des principaux textes et recommandations scientifiques de référence relatifs au thème traité. Les séances sont animées par un formateur expert du thème abordé, expérimenté en formation des adultes et spécifiquement formé à la méthode « analyse de pratiques ». Cette méthode repose sur l’échange et l’analyse de pratiques sur la base de cas cliniques réels apportés par les participants. La finalité de la méthode est de trouver un consensus sur les bonnes pratiques relatives au thème abordé à l’aune des échanges, et de l’examen collectif des textes et recommandations scientifiques de référence, en vue d’améliorer la qualité et la sécurité des soins au bénéfice du patient et de son entourage.

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PARTAGE DE PRATIQUES – PLAIES CHRONIQUES ET CICATRISATION

DPC

Ce programme est une action d’évaluation des pratiques professionnelles au format groupe d’analyse de pratiques entre pairs, à destination des infirmières libérales ou salariées d’un centre de santé. Cette action a pour ambition de permettre aux participants d’améliorer la prise en charge et le suivi des patients porteurs de plaie(s) chronique(s) par une analyse et une évaluation de leurs pratiques professionnelles, au bénéfice de la qualité et de la sécurité des soins. Les objectifs pédagogiques sont les suivants : - Analyser ses pratiques en matière de prise en charge et de suivi d’un patient porteur de plaie(s) chronique(s) et identifier les références bibliographiques d’appui afin de répondre aux problématiques de soins - S’approprier les recommandations de bonnes pratiques en matière d’évaluation des plaies, de contention/compression, de soins locaux des plaies, de choix du dispositif médical et sa prescription, de traçabilité, en vue d’améliorer ses pratiques dans ce domaine - Dégager des axes d’amélioration en matière de prise en charge et de suivi d’un patient porteur de plaie(s) chronique(s) et en assurer le suivi au regard de leurs indicateurs - Evaluer l’impact du programme sur ses pratiques Le programme comporte les objectifs scientifiques suivants : détailler les pratiques de soins relatives à la prise en charge globale et au suivi des plaies chroniques, les bonnes pratiques d’évaluation, de contention/compression, les dispositifs médicaux adaptés et leur prescription, la traçabilité, essentiellement sous le prisme des recommandations de bonnes pratiques, du cadre législatif et réglementaire, et de nombreux échanges entre professionnels. Le programme se déroule en 4 séances de 3 à 4 h chacune, espacées de 15 jours à 1 mois entre chaque séance, laissant ainsi le temps aux participants de mettre des actions en place et d’en évaluer l’impact. Les réunions se déroulent dans une salle équipée d’un paperboard, disposée au format table ronde, suffisamment spacieuse pour accueillir 15 personnes. Les participants disposeront du recueil des principaux textes et recommandations scientifiques de référence relatifs au thème traité. Les séances sont animées par un formateur expert du thème abordé, expérimenté en formation des adultes et spécifiquement formé à la méthode «analyse de pratiques». Cette méthode repose sur l’échange et l’analyse de pratiques sur la base de cas cliniques réels apportés par les participants. La finalité de la méthode est de trouver un consensus sur les bonnes pratiques relatives au thème abordé à l’aune des échanges, et de l’examen collectif des textes et recommandations scientifiques de référence, en vue d’améliorer la qualité et la sécurité des soins au bénéfice du patient et de son entourage.

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PARTAGE DE PRATIQUES - SOINS ET SUIVI DU PATIENTS CANCEREUX

DPC

Ce programme est une action d’évaluation des pratiques professionnelles au format groupe d’analyse de pratiques entre pairs, à destination des infirmières libérales ou salariées d’un centre de santé. Cette action a pour ambition de permettre aux infirmières d’évaluer et analyser leurs pratiques en matière de prise en charge et de suivi des patients atteints de cancer, d’améliorer les pratiques de soins dans ce domaine, au bénéfice de la qualité et de la sécurité des soins. Les objectifs pédagogiques sont les suivants : - Analyser ses pratiques en matière de en matière de prise en charge et suivi des patients atteints de cancer et identifier les références bibliographiques d’appui - S’approprier les recommandations de bonnes pratiques en matière de soins sur voies veineuses centrales, de dépistage des toxicités des traitements, de soins de support, de responsabilité infirmière et de traçabilité, en vue d’améliorer leurs pratiques dans ce domaine - S’approprier les bonnes pratiques en matière d’accompagnement relationnel des patients cancéreux et leur entourage en vue d’améliorer leurs pratiques dans ce domaine - Dégager des axes d’amélioration de ses pratiques en matière de prise en charge et suivi des patients cancéreux et en assurer le suivi au regard de leurs indicateurs - Evaluer l’impact du programme sur ses pratiques Le programme comporte les objectifs scientifiques suivants : détailler les pratiques de soins et surveillances auprès du patient cancéreux, le dépistage des toxicités liées aux traitements anticancéreux, l’accompagnement relationnel du patient et son entourage, la responsabilité infirmière et la traçabilité, essentiellement sous le prisme des recommandations de bonnes pratiques, du cadre réglementaire et de nombreux échanges entre professionnels. Le programme se déroule en 4 séances de 3 à 4 h chacune, espacées de 15 jours à 1 mois entre chaque séance, laissant ainsi le temps aux participants de mettre des actions en place et d’en évaluer l’impact. Les réunions se déroulent dans une salle équipée d’un paperboard, disposée au format table ronde, suffisamment spacieuse pour accueillir 15 personnes. Les participants disposeront du recueil des principaux textes et recommandations scientifiques de référence relatifs au thème traité. Les séances sont animées par un formateur expert du thème abordé, expérimenté en formation des adultes et spécifiquement formé à la méthode « analyse de pratiques ». Cette méthode repose sur l’échange et l’analyse de pratiques sur la base de cas cliniques réels apportés par les participants. La finalité de la méthode est de trouver un consensus sur les bonnes pratiques relatives au thème abordé à l’aune des échanges, et de l’examen collectif des textes et recommandations scientifiques de référence, en vue d’améliorer la qualité et la sécurité des soins au bénéfice du patient et de son entourage.