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En présentiel
PROMOTION DES COMPORTEMENTS SAINS : ALIMENTATION ET ACTIVITÉ PHYSIQUE
DPC
Contexte : A l’instar des autres pays développés, la France est impactée par une élévation des comportements inadaptés au maintien d’une santé optimale. Si globalement le niveau et l’espérance de vie n’ont cessé de progresser, notre société post-moderne a généré un style de vie étroitement lié à un régime de consommation de masse. L’environnement sociétal, inclus dans un espace mondialisé de partage de biens et d’informations, touche en premier lieu les comportements nutritionnels. Il est constaté une augmentation de la consommation d’aliments très caloriques riches en lipides, ainsi qu’un défaut d’activité physique lié à une sédentarité accrue, notamment dans la sphère professionnelle, générant surpoids et obésité. Cette évolution péjorative pour la santé est souvent potentialisée par l’absence de politiques ambitieuses, principalement dans les secteurs de la santé, de l’agriculture, des transports, de l’urbanisme, de l’environnement, de la transformation des aliments, de la distribution, du marketing et de l’éducation (OMS, 2018). Dans le même temps, dans le contexte socio-démographique français actuel, le vieillissement de la population est un enjeu phare et confronte notre société à plusieurs défis dont celui de l’adaptation et de l’organisation de la prise en charge sanitaire et médico-psycho-sociale des personnes âgées. On assiste à l’augmentation des pathologies liées à l’âge telle que la dénutrition, qui entraîne ou aggrave un état de fragilité ou de dépendance, et favorise la survenue de morbidités. Elle est également associée à une aggravation du pronostic des maladies sous-jacentes et augmente le risque de décès (Ferry et Mischlich, 2012). D’un point de vue épidémiologique, au niveau mondial, en 2016, plus de 1,9 milliard d’adultes étaient en surpoids et sur ce total, plus de 650 millions étaient obèses. De plus, 41 millions d’enfants de moins de 5 ans étaient en surpoids ou obèses et plus de 340 millions d’enfants et d’adolescents âgés de 5 à 19 ans étaient en surpoids ou obèses (OMS, 2018). La prévalence de l’obésité est estimée à 17% et l’excès de poids concerne près 50% de la population, y compris chez les enfants de 6 à 17 ans avec une prévalence du surpoids estimée à 17%, dont 4% d’obèses (Santé publique France, 2017). Par ailleurs, on estime, en Europe, la prévalence de la dénutrition entre 5 et 10 %. Elle est supérieure dans la population française âgée, dont la proportion de plus de 75 ans atteindra en 2050 une personne sur cinq, dont deux millions d’individus déments (Ministère de la santé et de sports et SFNEP, 2010). Plus précisément, 2 millions de personnes sont aujourd’hui touchées par la dénutrition, dont 270 000 en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) et 400 000 personnes âgées à domicile (Comité de lutte contre la dénutrition, 2018). La promotion de la santé, approche holistique conçue pour favoriser et protéger la santé et la qualité de vie au niveau individuel en luttant contre les principales causes de la mauvaise santé (OMS, 2016), incluant une dynamique active de prévention des comportements malsains pour la santé, est donc pleinement d’actualité et constitue un réel défi de santé publique. Parmi les axes de prévention, la promotion de l’activité physique et de l’activité physique adaptée dans le cadre des maladies chroniques est un vecteur important. Dans ce contexte, les professionnels de santé de 1er recours, prenant appui sur l’expérience des patients, constituent un maillon essentiel dans la chaîne de la prévention primaire de l’obésité, de la dénutrition et du dépistage de leurs signes précoces d’apparition. Ce mouvement s’inclut désormais dans une volonté gouvernementale forte de développer une approche coordonnée des soins, dont les équipes de soins primaires (ESP) et communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) sont les repères organisationnels. De là, la formation continue s’avère indispensable pour maintenir les connaissances et développer des compétences pour assurer une promotion de la santé fondée sur des données probantes actualisées. Objectifs de la formation : L’objectif global de cette action est d’actualiser les connaissances des professionnels de santé à domicile en matière de promotion de la santé. Les objectifs pédagogiques intermédiaires sont : - OBJECTIF 1 : APPREHENDER LES CONCEPTS LIES A LA PROMOTION DE LA SANTE - OBJECTIF 2 : ACQUÉRIR UN SAVOIR-FAIRE RELATIF AUX COMPÉTENCES PSYCHOSOCIALES DES PATIENTS - OBJECTIF 3 : REPÉRER LES FACTEURS DE RISQUE DE PATHOLOGIES EN LIEN AVEC LA NUTRITION ET LA SÉDENTARITÉ - OBJECTIF 4 : INTÉGRER LA DIMENSION PRÉVENTION DE LA SANTÉ DANS SES PRATIQUES PROFESSIONNELLES - OBJECTIF 5 : ÉTABLIR UN BILAN DE SES ACQUIS ET UN PLAN D’AMÉLIORATION DE SES PRATIQUES Le programme de formation comporte les éléments de contenus principaux suivants : - Travail en sous-groupes sur deux cas concrets ; - Relier les données épidémiologiques et la politique de santé publique ; - Concepts fondamentaux de la promotion de la santé ; - Situations spécifiques de vulnérabilité : représentations de la santé et de ses déterminants individuels socio-environnementaux et économiques ; - Connaître le mécanisme de la digestion ; - Comprendre la régulation physiologique du comportement alimentaire ; - Explorer les représentations liées aux troubles nutritionnels ; - Principales causes de pathologies nutritionnelles : obésité et dénutrition et repérage des évènements de vie associés ; - Conséquences de l’obésité ; - Conséquences de la dénutrition ; - Evaluation du risque de dénutrition (MNA) ; - Evaluation de la masse corporelle (IMC) ; - Facteurs de risques des pathologies chroniques cardiaques et cancéreuses ; - Intérêt de l’activité physique adaptée ; - Environnements défavorables ou favorables, mesures structurelles ; - Compétences psycho-sociales des patients et technique de l’entretien motivationnel ; - Connaissance des recommandations de bonnes pratiques en éducation à la santé ; - Approche de la promotion de la santé et de la prévention dans l’exercice coordonné pluri et interprofessionnel ; - La méthodologie de suivi d’indicateurs de qualité et de sécurité de soins…
Masseur-Kinésithérapeute, Infirmier
Mixte
LA PERTINENCE DES PARCOURS DE SOINS DES PATIENTS ATTEINTS DE BPCO OU D’INSUFFISANCE CARDIAQUE
DPC
L’insuffisance cardiaque et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) sont des pathologies chroniques répandues dans la patientèle des professionnels de santé à domicile. Ces deux pathologies font l’objet de programmes relatifs à la coordination du retour à domicile suite à l’hospitalisation, le PRADO. Il est un parcours de soins spécifique porté par l’assurance maladie. Ils se doivent d’être formés à ces pathologies pour pouvoir y participer. Par ailleurs, à l’heure où la question de la pertinence des parcours de soins est régulièrement questionnée, les professionnels de santé ont à inscrire leurs pratiques professionnelles dans une dynamique d’évaluation et d’amélioration, en regard des recommandations de bonne pratique. Aussi, cette formation a pour ambition de former les infirmiers et masseurs kinésithérapeutes libéraux à la pertinence des parcours de soins des patients atteints d’insuffisance cardiaque et de BPCO. Cette action est un programme intégré qui combine les actions de DPC suivantes : formation continue et évaluation des pratiques professionnelles par la méthode de l’audit clinique. L’EPP, se déroule en distanciel sur deux fois une heure. Les participants auront à remplir une grille d’audit clinique avant et après la formation afin d’analyser les écarts entre vos pratiques et les recommandations de bonne pratique. La formation continue se déroule sur 14 h (2 jours), en présentiel. Ils bénéficieront de contenus théoriques et pratiques leur permettant d’appréhender au mieux cette thématique. Ce parcours est organisé pour un effectif maximum de 25 personnes et animé par un formateur expert dans le domaine du thème abordé et en matière de pédagogie. Les méthodes pédagogiques reposent sur une alternance d’apports théoriques et de travaux collaboratifs et participatifs réalisés par les participants, facilitant la mémorisation et la mise en lien avec les pratiques professionnelles. De nombreux échanges sont prévus tout au long de la formation. Au terme de la formation, les apprenants seront capables de : - Objectif 1 : Inscrire sa pratique professionnelle dans une dynamique d’évaluation et d’amélioration pour contribuer à la pertinence des soins lors de la prise en charge de patients atteints d’insuffisance cardiaque ou de BPCO - Objectif 2 : Établir un état des lieux de ses besoins en formation lors de la prise en charge de patients atteints d’insuffisance cardiaque ou BPCO à l’appui de cas cliniques - Objectif 3 : Reconnaitre les caractéristiques majeures de l’insuffisance cardiaque et sa prise en charge - Objectif 4 : Identifier les éléments physiopathologiques de la BPCO et sa prise en charge - Objectif 5 : Inscrire sa pratique professionnelle dans le parcours de soins dédié - Objectif 6 : Collaborer avec les autres professionnels lors de prise en charge des patients souffrants d’insuffisance cardiaque ou de BPCO - Objectif 7 : Éduquer le patient pour une meilleure adhésion à son parcours de soins
Infirmier
En présentiel
LE BON USAGE DES MÉDICAMENTS
DPC
Contexte : Les accidents liés à la polymédication des personnes âgées occasionnent chaque année 130 000 hospitalisations et environ 10 000 décès, selon les estimations de l’Assurance maladie. Une hospitalisation sur 5 chez les seniors de plus de 80 ans est à mettre sur le compte du mauvais usage du médicament. Dans 45 à 70% des cas, ces effets indésirables seraient évitables. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la polymédication comme « l’administration de nombreux médicaments de façon simultanée ou l’administration d’un nombre excessif de médicaments ». Psychotropes, anticholinergiques, antihypertenseurs, antidiabétiques oraux ou encore anti-thrombotiques… la liste des molécules que nos aînés ingurgitent au quotidien est longue comme un jour sans pain. Avec le vieillissement de la population, les maladies chroniques ainsi que les polypathologies tendent à devenir le centre de gravité du système de santé et constituent un enjeu majeur en matière de surconsommation médicamenteuse. La politique de santé publique s’est emparée de cette problématique en se fixant comme objectif de parvenir à court terme à une réduction de la fréquence des événements iatrogènes entraînant une hospitalisation. « Mieux prescrire, mais aussi mieux observer et surveiller, prévenir et agir sur les facteurs de risque, éduquer et informer » sont les maîtres mots de toutes les recommandations de la HAS. Tous les acteurs de la chaîne de consommation et d’administration des médicaments doivent rassembler leur énergie et concentrer leurs efforts afin d’améliorer l’encadrement de la vie du médicament. L’infirmière y joue un rôle essentiel : elle est au cœur de la prise en charge des personnes âgées à domicile. Son expérience, sa compétence, ses relations privilégiées avec les personnes fragilisées sont un atout majeur pour améliorer leur état de santé et leur qualité de vie. La convention nationale des infirmiers avec l’avenant 3 publié en 25 novembre 2011 renforce la place et le rôle des infirmiers libéraux en matière de suivi des patients atteints de pathologies chroniques et notamment des maladies cardiaques. L’avenant 6, publié au journal officiel le 13 juin 2019, prévoit quant à lui un accompagnement spécifique à la prise médicamenteuse chez les personnes fragiles et polymédiquées La formation reste l’outil le plus performant pour optimiser leur rôle en matière de prévention de la iatrogénie et d’éducation sur les risques liés à l’automédication en particulier. .Objectifs de la formation : L’objectif global de cette action est d’actualiser les connaissances des infirmiers à domicile en matière de polymédication et iatrogénie médicamenteuse Les objectifs pédagogiques intermédiaires sont : • Objectif 1 : Comprendre le risque iatrogène • Objectif 2 : Répertorier les médicaments favorisant l'accident iatrogène • Objectif 3 : Identifier la fréquence, les facteurs de risque et les principales causes d’accidents iatrogènes • Objectif 4 : Actualiser ses connaissances sur le circuit du médicament • Objectif 5 : Mettre en œuvre une politique de prévention du risque iatrogène à domicile • Objectif 6 : Établir un bilan de ses acquis et un plan d’actions d’amélioration de ses pratiques suite à la formation Le programme de formation comporte les éléments de contenus principaux suivants : - Travail en sous-groupe sur des cas concrets de prescriptions à risque iatrogène - Les termes usuels en pharmacologie - Les différentes étapes du parcours du médicament - La place et le rôle du médicament générique - Identification du risque iatrogène - Les facteurs de risque d’accidents iatrogènes - Les causes des accidents iatrogènes - Les médicaments à risque - Les organismes et professionnels en charge du risque iatrogène - Le parcours du médicament dans l’organisme - Le rôle infirmier - Le bilan des acquis et la réflexion sur la mise en place d’indicateurs de suivi
Masseur-Kinésithérapeute, Médecin Généraliste, Médecin urgentiste, Infirmier
En présentiel
L’HYPNOANALGÉSIE EN ÉQUIPE DE SOINS - PERFECTIONNEMENT
DPC
La douleur est multifactorielle. Elle se définit comme une « expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, liée à une lésion tissulaire existante ou potentielle, ou décrite en termes évoquant une telle lésion » (International Association for the Study of Pain). La douleur reste depuis de nombreuses années une priorité de santé publique et les professionnels de santé y sont confrontés quotidiennement. Au-delà des moyens pharmacologiques pour traiter la douleur, nombre de thérapeutiques non médicamenteuses sont efficaces et validées. L’hypnoanalgésie y concourt. Elle a ainsi fait l’objet d’un rapport d’évaluation de son efficacité par l’INSERM, en juin 2015. Dans ce cadre, le médecin habilité à pratiquer l’hypnose pourra déléguer aux professionnels de santé non médicaux la mise en œuvre de techniques d’hypnoanalgésie. Dans le cadre de pratiques en Équipe de soins, passer d’un exercice « isolé » à un exercice regroupé présente le double avantage de conditions de travail plus sécures et attractives. Cela permet d’améliorer considérablement la coordination des interventions des uns et des autres autour des patients algiques. Après avoir suivi le niveau 1, cette action a pour ambition de permettre aux participants d’appréhender le référentiel d’analyse et de progression des regroupements pluriprofessionnels de soins primaires et d’approfondir les notions d’hypnoanalgésie vues au cours du niveau 1 en acquérant des outils hypnotiques avancés. Elle se déroule en présentiel sur 2 jours, soit d’une durée totale de 14 h. Elle abordera les modes d’organisation pluriprofessionnelle, les bases de l’hypnoanalgésie, la structure de séance, l’élaboration d’une séance à l’appui de plusieurs cas cliniques et les bases de l’autohypnose. Elle est organisée pour un effectif maximum de 22 personnes et animée par un formateur expert dans le domaine du thème abordé et en matière de pédagogie. Les objectifs pédagogiques détaillés sont les suivants : - Évaluer et améliorer son mode d’organisation pluriprofessionnelle de façon à avoir un impact bénéfique sur la prise en charge des patients algiques - Utiliser les bases de l’hypnoanalgésie - Élaborer une séance à l’appui de plusieurs cas cliniques - Utiliser les bases de l’autohypnose
Masseur-Kinésithérapeute, Médecin Généraliste, Médecin urgentiste, Infirmier
En présentiel
L’HYPNOANALGÉSIE EN ÉQUIPE DE SOINS
DPC
La douleur est multifactorielle. Elle se définit comme une « expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, liée à une lésion tissulaire existante ou potentielle, ou décrite en termes évoquant une telle lésion » (International Association for the Study of Pain). La douleur reste depuis de nombreuses années une priorité de santé publique et les professionnels de santé y sont confrontés quotidiennement. Au-delà des moyens pharmacologiques pour traiter la douleur, nombre de thérapeutiques non médicamenteuses sont efficaces et validées. L’hypnoanalgésie y concourt. Elle a ainsi fait l’objet d’un rapport d’évaluation de son efficacité par l’INSERM, en juin 2015. Dans ce cadre, le médecin habilité à pratiquer l’hypnose pourra déléguer aux professionnels de santé non médicaux la mise en œuvre de techniques d’hypnoanalgésie. Dans le cadre de pratiques en Équipe de soins, passer d’un exercice « isolé » à un exercice regroupé présente le double avantage de conditions de travail plus sécures et attractives. Cela permet d’améliorer considérablement la coordination des interventions des uns et des autres autour des patients algiques. Cette action de DPC de formation continue a pour ambition de permettre aux participants d’expérimenter les outils hypnotiques afin d’aider, dans leurs pratiques en équipe de soins, les patients à mieux gérer leur douleur. Cette formation étant une initiation, les professionnels engagés pourront suivre un niveau de perfectionnement. Elle se déroule en présentiel sur 2 jours, soit d’une durée totale de 14 h. Elle est organisée pour un effectif maximum de 22 personnes et animée par un formateur expert dans le domaine du thème abordé et en matière de pédagogie. Les objectifs pédagogiques détaillés sont les suivants : - Identifier la douleur, ses causes et ses composantes - Reconnaitre la place de l’hypnoanalgésie, ses indications et ses principes éthiques fondateurs - S’approprier la structure d’une séance d’hypnose - Utiliser différentes techniques pour agir sur les symptômes algiques - Inscrire sa pratique dans les nouvelles organisations de soins et du renforcement territorial
Médecin Généraliste
En présentiel
TRAITEMENTS SPÉCIFIQUES, VENTILATION NON INVASIVE, SYNDROME D'APNÉES CENTRALES DU SOMMEIL, SYNDROME OBÉSITÉ-HYPOVENTILATION, SUIVI SYNDROME D’APNÉES DU SOMMEIL - J5
DPC
Cette formation de DPC présentielle de 8 h est destinée aux médecins spécialistes en médecine générale, dans le cadre de la validation d’un parcours « sommeil » selon l’arrêté du 13 décembre 2017, concernant aussi bien : - Les prescripteurs réguliers de PPC (minimum 20 par an et pratiquant plus de 50 polygraphies/an) - Les nouveaux prescripteurs de PPC. Ce parcours a pour objectif de former les participants au diagnostic aux troubles respiratoires du sommeil, dont le syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS). Le SAHOS est une pathologie fréquente, altérant la qualité de vie et du sommeil, dont la gravité repose sur ses complications accidentologiques, cardio-vasculaires et métaboliques. Il s’agit d’une pathologie insuffisamment dépistée et traitée, dont la prévalence est particulièrement élevée chez les patients porteurs de pathologie cardio-vasculaire. Le diagnostic du SAHOS repose, après une analyse clinique et contextuelle, sur la réalisation d’examens complémentaires adaptés : - La polysomnographie constitue le gold standard, mais l’accès à cet examen reste limité par son coût (en temps et en moyen) et les délais de réalisation à l’hôpital. - Le diagnostic s’est démocratisé et déplacé vers les cabinets libéraux avec la polygraphie ventilatoire nocturne en s’affranchissant des paramètres neurologiques. L’évaluation clinique, des comorbidités et la qualité de l’analyse de ces examens conditionnent les choix thérapeutiques (prise en charge des comorbidités, mise en œuvre des règles hygiéno-diététiques, mise en place d’une orthèse d’avancée mandibulaire ou d’une PPC dans le cadre d’une prise en charge globale et multidisciplinaire. OBJECTIFS : - Savoir lire une polygraphie ventilatoire - Connaitre les limites de la polygraphie ventilatoire (intérêt et indication de la polysomnographie) - Connaître les différents phénotypes de syndrome d’apnée du sommeil : femme, sujet jeune, sujets âgés - Connaître le syndrome de haute résistance des voies aériennes supérieures et son traitement - Connaître le Syndrome obésité-hypoventilation et sa prise en charge : pression positive continue ou ventilation non invasive - Comprendre la ventilation non invasive et savoir quand la demander - Savoir prescrire orthèse d’avancée mandibulaire, le parcours de soins et les démarches administratives - Connaître les modalités de suivi et de renouvellement de l’orthèse - Connaître les indications d’endoscopie du sommeil Intérêt des règles hygiéno-diététique et de la kinésithérapie oro-linguale - Connaître les limites de la polygraphie et les indications de polysomnographie - Savoir-faire une consultation de suivi thérapeutique
Médecin Généraliste
En présentiel
TRAITEMENT VENTILATOIRE DU SYNDROME D’APNÉES DU SOMMEIL - J4
DPC
Cette formation de DPC présentielle de 8 h est destinée aux médecins spécialistes en médecine générale, dans le cadre de la validation d’un parcours « sommeil » selon l’arrêté du 13 décembre 2017, concernant aussi bien : - Les prescripteurs réguliers de PPC (minimum 20 par an et pratiquant plus de 50 polygraphies/an) - Les nouveaux prescripteurs de PPC. Ce parcours a pour objectif de former les participants au diagnostic aux troubles respiratoires du sommeil, dont le syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS). Le SAHOS est une pathologie fréquente, altérant la qualité de vie et du sommeil, dont la gravité repose sur ses complications accidentologiques, cardio-vasculaires et métaboliques. Il s’agit d’une pathologie insuffisamment dépistée et traitée, dont la prévalence est particulièrement élevée chez les patients porteurs de pathologie cardio-vasculaire. Le diagnostic du SAHOS repose, après une analyse clinique et contextuelle, sur la réalisation d’examens complémentaires adaptés : - La polysomnographie constitue le gold standard, mais l’accès à cet examen reste limité par son cout (en temps et en moyen) et les délais de réalisation à l’hôpital. - Le diagnostic s’est démocratisé et déplacé vers les cabinets libéraux avec la polygraphie ventilatoire nocturne en s’affranchissant des paramètres neurologiques. L’évaluation clinique, des comorbidités et la qualité de l’analyse de ces examens conditionnent les choix thérapeutiques (prise en charge des comorbidités, mise en œuvre des règles hygiéno-diététiques, mise en place d’une orthèse d’avancée mandibulaire ou d’une PPC dans le cadre d’une prise en charge globale et multidisciplinaire. Objectifs : - Connaître le fonctionnement de la PPC (ventilation en Pression Positive Continue), ses indications et contre-indications - Savoir quand passer à une PPC en mode fixe - Connaître les différentes possibilités de ventilation à domicile Connaître les formalités administratives, la stratégie thérapeutique et les interactions avec les PSAD, les limites du traitement - Savoir choisir le traitement du syndrome d’apnées du sommeil adapté selon les données cliniques et polygraphiques avec mise en place d’une prise en charge personnalisée - Savoir rédiger une demande d’appareillage et le réglage d’une PPC (choix de la machine, de l’interface) - Connaitre les modes confort, les systèmes de rampe, d’humidification et circuit chauffant Connaître les modalités de suivi d’une PPC - Connaître la gestion pratique des rapports machine
Médecin Généraliste
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ORTHÈSE D’AVANCÉE MANDIBULAIRE, ENDOSCOPIE DU SOMMEIL, ET TRAITEMENTS CHIRURGICAUX DU SYNDROME D’APNÉES DU SOMMEIL - J3
DPC
Cette formation de DPC présentielle de 8 h est destinée aux médecins spécialisées en médecine générale, dans le cadre de la validation d’un parcours « sommeil » selon l’arrêté du 13 décembre 2017, concernant aussi bien : - Les prescripteurs réguliers de PPC (minimum 20 par an et pratiquant plus de 50 polygraphies/an) - Les nouveaux prescripteurs de PPC. Ce parcours a pour objectif de former les participants au diagnostic aux troubles respiratoires du sommeil, dont le syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS). Le SAHOS est une pathologie fréquente, altérant la qualité de vie et du sommeil, dont la gravité repose sur ses complications accidentologiques, cardio-vasculaires et métaboliques. Il s’agit d’une pathologie insuffisamment dépistée et traitée, dont la prévalence est particulièrement élevée chez les patients porteurs de pathologie cardio-vasculaire. Le diagnostic du SAHOS repose, après une analyse clinique et contextuelle, sur la réalisation d’examens complémentaires adaptés : - La polysomnographie constitue le gold standard, mais l’accès à cet examen reste limité par son coût (en temps et en moyen) et les délais de réalisation à l’hôpital. - Le diagnostic s’est démocratisé et déplacé vers les cabinets libéraux avec la polygraphie ventilatoire nocturne en s’affranchissant des paramètres neurologiques. L’évaluation clinique, des comorbidités et la qualité de l’analyse de ces examens conditionnent les choix thérapeutiques (prise en charge des comorbidités, mise en œuvre des règles hygiéno-diététiques, mise en place d’une orthèse d’avancée mandibulaire ou d’une PPC dans le cadre d’une prise en charge globale et multidisciplinaire). OBJECTIFS : - Connaître les bases du sommeil normal - Connaître les différents modes d’évaluation de la somnolence subjective et objective - Connaître les principales causes d’hypersomnolence - Savoir diagnostiquer une narcolepsie, une hypersomnie idiopathique et l’orienter - Savoir reconnaître et traiter une insomnie - Connaitre les bases de la polysomnographie et savoir quand la demander - Connaître les principales études, l’épidémiologie du syndrome d’apnées du sommeil (SAS) en cardiologie, en médecine générale, en anesthésie et en obstétrique. - Reconnaître un tracé de polysomnographie - Connaître les déclinaisons du SAS dans chaque spécialité
Médecin Généraliste
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PHYSIOLOGIE DU SOMMEIL, SOMNOLENCE, NEUROLOGIE, SYNDROME D’APNÉES DU SOMMEIL À TRAVERS LE PRISME DES SPÉCIALITÉS - J2
DPC
Cette formation de DPC présentielle de 8 h est destinée aux médecins spécialisés en médecine générale, dans le cadre de la validation d’un parcours « sommeil » selon l’arrêté du 13 décembre 2017 , concernant aussi bien : - les prescripteurs réguliers de PPC (minimum 20 par an et pratiquant plus de 50 polygraphies/an) - les nouveaux prescripteurs de PPC. Cette formation a pour objectif de former les participants au diagnostic aux troubles respiratoires du sommeil dont le syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS). Le SAHOS est une pathologie fréquente , altérant la qualité de vie et du sommeil , dont la gravité repose sur ses complications accidentologiques, cardio-vasculaires et métaboliques. Il s’agit d’une pathologie insuffisamment dépistée et traitée, dont la prévalence est particulièrement élevée chez les patients porteurs de pathologie cardio-vasculaire. Le diagnostic du SAHOS repose, après une analyse clinique et contextuelle, sur la réalisation d’examens complémentaires adaptés : - La polysomnographie constitue le gold standard, mais l’accès à cet examen reste limité par son coût (en temps et en moyen) et les délais de réalisation à l’hôpital. - Le diagnostic s’est démocratisé et déplacé vers les cabinets libéraux avec la polygraphie ventilatoire nocturne en s’affranchissant des paramètres neurologiques. L’évaluation clinique, des comorbidités et la qualité de l’analyse de ces examens conditionnent les choix thérapeutiques (prise en charge des comorbidités, mise en œuvre des règles hygiéno-diététiques, mise en place d’une orthèse d’avancée mandibulaire ou d’une PPC dans le cadre d’une prise en charge globale et multidisciplinaire. Objectifs : - Connaître les bases du sommeil normal - Connaître les différents modes d’évaluation de la somnolence subjective et objective - Connaître les principales causes d’hypersomnolence - Savoir diagnostiquer une narcolepsie, une hypersomnie idiopathique et l’orienter - Savoir reconnaître et traiter une insomnie - Connaitre les bases de la polysomnographie et savoir quand la demander - Connaître les principales études, l’épidémiologie du SAS en cardiologie, en médecine générale, en anesthésie et en obstétrique. - Reconnaître un tracé de polysomnographie - Connaître les déclinaisons du SAS dans chaque spécialité
Médecin Généraliste
En présentiel
SYNDROME D’APNÉES DU SOMMEIL ET POLYGRAPHIE VENTILATOIRE – J1
DPC
Cette formation de DPC présentielle de 8 h est destinée aux médecins spécialisés en médecine générale, dans le cadre de la validation d’un parcours « sommeil » selon l’arrêté du 13 décembre 2017, concernant aussi bien : - Les prescripteurs réguliers de PPC (minimum 20 par an et pratiquant plus de 50 polygraphies/an) - Les nouveaux prescripteurs de ventilation en Pression Positive Continue. Ce parcours a pour objectif de former les participants au diagnostic aux troubles respiratoires du sommeil, dont le syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS). Le SAHOS est une pathologie fréquente, altérant la qualité de vie et du sommeil, dont la gravité repose sur ses complications accidentologiques, cardio-vasculaires et métaboliques. Il s’agit d’une pathologie insuffisamment dépistée et traitée, dont la prévalence est particulièrement élevée chez les patients porteurs de pathologie cardio-vasculaire. Le diagnostic du SAHOS repose, après une analyse clinique et contextuelle, sur la réalisation d’examens complémentaires adaptés : - La polysomnographie constitue le gold standard, mais l’accès à cet examen reste limité par son coût (en temps et en moyen) et les délais de réalisation à l’hôpital. - Le diagnostic s’est démocratisé et déplacé vers les cabinets libéraux avec la polygraphie ventilatoire nocturne en s’affranchissant des paramètres neurologiques. L’évaluation clinique, des comorbidités et la qualité de l’analyse de ces examens conditionnent les choix thérapeutiques (prise en charge des comorbidités, mise en œuvre des règles hygiéno-diététiques, mise en place d’une orthèse d’avancée mandibulaire ou d’une PPC) dans le cadre d’une prise en charge globale et multidisciplinaire. OBJECTIFS : - Connaître les différents troubles respiratoires du sommeil, les questionnaires pré-test, les différents moyens de dépistage et identifier les patients susceptibles d’être dépistés. - Connaître l’épidémiologie, la réglementation, la physiopathologie et étiologies du SAS - Connaître la stratégie diagnostique chez un patient suspect de SAS - Connaître les différents événements respiratoires de la polygraphie ventilatoire : définition, identification et hiérarchisation - Connaitre la polygraphie ventilatoire : principes, règles de cotation SFRMS et AASM, cotation, aspects réglementaires et bonnes pratiques - Savoir reconnaître tous les évènements respiratoires d’une polygraphie ventilatoire - Savoir interpréter les différents évènements et les hiérarchiser, savoir critiquer l’IAH Savoir rédiger un compte-rendu complet de polygraphie ventilatoire - Savoir pour qui et quand demander une polysomnographie