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CATHETERS VEINEUX CENTRAUX ET PICC-LINE

DPC

Les dispositifs de types cathéters veineux centraux sont soumis à des recommandations de bonnes pratiques. Les personnels ayant la charge de la pose et l’utilisation de ces dispositifs doivent avoir reçu une formation spécifique et tout changement dans les modalités de prise en charge ou de matériels utilisés doit faire l’objet d’une information ou d’une formation de l’ensemble des professionnels du réseau de soins. De plus, ces dispositifs sont de plus en plus fréquents à domicile, en particulier pour les patients recevant un traitement pour chimiothérapie, antibiothérapie, nutrition parentérale, etc. Ces soins présentent des spécificités techniques et sont soumis à des recommandations qui sont régulièrement réactualisées. Les infirmiers doivent donc être formés à ces réactualisations, pour limiter les risques inhérents à ces dispositifs : risque infectieux, complications mécaniques (obstruction, extravasation), organiques... Cette formation à destination des infirmiers s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques professionnelles et de l'approfondissement de leurs connaissances relatives à l’utilisation et à la surveillance de cathéters veineux centraux et PICC-line afin de prévenir les risques induits par ces dispositifs, d'améliorer la prise en charge des patients et la pertinence des soins. A travers les trois étapes de l’acquisition de connaissances, de l’analyse des pratiques et de l’évaluation des compétences acquises, cette formation va permettre aux infirmiers de manipuler les Cathéters Veineux Centraux (CVC), les Cathéters à Chambre Implantable (CCI) et les Picc-line selon les normes de sécurité en vigueur en y intégrant les dimensions techniques procédurales, réglementaires et organisationnelles, d'appliquer les règles d’asepsie et d’hygiène hospitalière relatives aux CVC, CCI et Picc-line, de connaitre les spécificités de pose, de manipulation, d’hygiène et les risques de complications inhérentes à chaque type de cathéter central et de connaitre les normes de sécurité spécifiques à l’injection de chimiothérapies intraveineuses. L'objectif principal étant l'amélioration de la prise en charge des patients porteurs de ce genre de dispositif, des pratiques et de la pertinence des soins ainsi que de la prévention des risques induits par ces dispositifs. Etape 1 : Acquisition et perfectionnement des connaissances. Questionnaire de pré formation, puis méthodes pédagogiques affirmatives et interrogatives: • Règles d’asepsie et d’hygiène hospitalière selon les recommandations des comités d’hygiène • Les différents cathéters veineux centraux • Les différents lieux de poses et les critères possibles de choix de pose d’un cathéter central • Rappels anatomiques à mettre en lien avec les actions de surveillance en fonction de chaque catégorie de cathéter • Rappel des règles professionnelles et du code de déontologie • Les différentes préparations possibles • Les différentes injections indiquées (injections de médicaments irritants pour les veines périphériques, perfusion de solutés hypertoniques, alimentation parentérale, chimiothérapies...) • Les moyens de prévention et précautions à prendre pour prévenir les risques pour le soignant et le patient en fonction des différentes catégories de cathéters • Les différents risques et la mise en place d’actions correctives (bactériémie, phlébite, thrombose du cathéter, embolie gazeuse...) • Surveillance quotidienne des différentes catégories de cathéters veineux centraux • Prise en charge de la douleur relative à la pose et à l’utilisation des différentes catégories de cathéters • L’injection des chimiothérapies intraveineuses • Informations et éducation thérapeutique sur les différents cathéters ainsi que sur les produits administrés Etape 2 : Mise en situation et analyse des pratiques. Méthode pédagogique active, méthode démonstrative. Etudes de cas cliniques en sous groupes : différentes propositions d’injections, comment adapter les modalités de prise en charge en fonction de chaque patient, antibiothérapie et intérêt du PICC-Line pour le patient … Mises en situation pratique sur mannequins avec utilisation des différents cathéters, utilisation des EPI et des équipements d’hygiène puis analyse des pratiques professionnelles des stagiaires. Puis temps d’analyse permettant au professionnel d’identifier ses axes d’amélioration et de bénéficier de l’expérience des autres stagiaires et du formateur. Etape 3 : Évaluation et suivi. Questionnaire de satisfaction à chaud (Niveau 1 de l’échelle de Kirkpatrick) et questionnaire de post formation permettant de reboucler avec le questionnaire initial (Niveau 3 de l’échelle de Kirkpatrick). Questionnaire d’évaluation individuel permettant de connaitre ses points forts et axes d’amélioration. Objectifs détaillés : Objectifs généraux : • Manipuler les Cathéters Veineux Centraux (CVC), les Cathéters à Chambre Implantable (CCI) et les Picc-line selon les normes de sécurité en vigueur en y intégrant les dimensions techniques procédurales, réglementaires et organisationnelles • Appliquer les règles d’asepsie et d’hygiène hospitalière relatives aux CVC, CCI et Picc-line • Connaitre les spécificités de pose, de manipulation, d’hygiène et les risques de complications inhérentes à chaque type de cathéter central • Connaitre les normes de sécurité spécifiques à l’injection de chimiothérapies intraveineuses • Réaliser les démarches d’éducation thérapeutique spécifiques auprès des patients porteurs de ces dispositifs Objectifs secondaires : • Connaitre le cadre législatif patient et professionnel de santé relatif à l’emploi des cathéter veineux centraux (CVC) • Préparer les perfusions et injections sur DVC selon les recommandations d’hygiène et de sécurité. • Connaître les spécificités des injections sur DVC afin d’organiser le soin de façon optimale. • Maitriser le cadre et les principes d’emploi des dispositifs veineux centraux • Savoir utiliser et surveiller un CVC • Connaître les cas de figures pour lesquels la pose d’un CVC est indiquée et identifier les situations de contre-indication. • Connaître les différents types de CVC et les différentes voies d’abord. • Connaître les recommandations concernant la pose et les conditions d’hygiène. • Connaître les règles de la vie quotidienne pour les patients porteurs de CVC • Appréhender et acquérir les éléments concernant la réfection du pansement des cathéters veineux centraux, les prélèvements sur cathéters veineux centraux, les manipulations et la gestion des connexions sur cathéters veineux centraux • Définir une Chambre à Cathéter Implantable (CCI) • Connaître les cas de figure pour lesquels la pose d’une CCI est indiquée • Identifier les situations de contre-indication d’une CCI • Connaître les éléments descriptifs concernant la CCI • Appréhender et acquérir les éléments concernant la pose de la CCI • Connaître les règles de la vie quotidienne pour les patients porteurs de CCI • Savoir utiliser et surveiller une CCI • Maîtriser les bonnes pratiques de pose de l’aiguille de Huber sur CCI. • Maîtriser les bonnes pratiques de retrait de l’aiguille de Huber sur CCI • Appréhender et acquérir les éléments concernant la réfection du pansement du CCI, les prélèvements sur CCI, les manipulations et la gestion des connexions sur CCI • Définir le PICC-Line • Connaître les indications et contre-indications de la pose de PICC-line • Connaître les recommandations de choix de matériel • Connaître les éléments descriptifs concernant le PICC-Line • Connaître les recommandations concernant la pose et les conditions d’hygiène • Identifier les avantages et inconvénients de ce dispositif médcial • Prévenir les risques et assurer la surveillance • Connaître les règles de la vie quotidienne pour les patients porteurs de PICCLine • Informer et éduquer les patients porteurs de PICCLine • Appréhender et acquérir les éléments concernant la réfection du pansement, les prélèvements, les manipulations et gestion des connexions sur PICC-Line • Adapter les modalités de prise en charge en fonction de chaque patient • Maîtriser les risques et les complications inhérents à la mise en place d’un cathéter veineux central et PICC-Line • Prévenir les risques et assurer la surveillance de ces dispositifs • Assurer une bonne traçabilité tout au long de la prise en charge de patients porteurs d’un cathéter veineux central et PICC-Line

Infirmier


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L'INFIRMIER FACE AU RISQUE INFECTIEUX AU BLOC OPERATOIRE

DPC

Depuis la parution du décret n° 2010-1408 du 12 novembre 2010, les infections nosocomiales déjà élargies aux infections associées aux soins (IAS) font désormais partie du groupe des évènements indésirables associés aux soins (EIAS). Les principaux facteurs de risques d’apparition d'une infection nosocomiale sont la situation médicale du patient, son âge et sa pathologie, la réalisation d'actes invasifs nécessaires au traitement du patient, certains traitements peuvent également augmenter le risque, de même que l’environnement qui peut constituer un vecteur de germes. Les établissements de santé ont l’obligation de porter, à la connaissance des usagers, les indicateurs du tableau de bord des infections nosocomiales (TBIN). La mise en œuvre de ce tableau de bord s’intègre dans une démarche globale d’amélioration de la qualité des soins. Depuis 2016, c’est la HAS qui se charge de la gestion des indicateurs du thème « Infections Associées aux Soins » (auparavant réalisée par la DGOS). En 2017, 2752 établissements de santé étaient concernés par l’obligation de participer à la campagne de recueil des indicateurs IAS. Un total de 2 733 établissements de santé y a participé (99,3%). Les ARS quant à elles poursuivent l’accompagnement des établissements de santé sur ce thème. Cette année, la politique globale de prévention des IAS met l’accent sur deux axes du programme national d’actions de prévention des affections nosocomiales associées aux soins (PROPIAS) : développer la prévention des infections associées aux soins et réduire les risques associés aux actes invasifs. Cette formation s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques, la réactualisation et l'approfondissement des connaissances sur les précautions standard et complémentaires en matière d'hygiène notamment au bloc opératoire, , les risques liés à l’environnement hospitalier... afin de lutter efficacement contre les risques de contamination des patients et du personnel lors des soins et d’appliquer les mesures de prévention adéquates. A travers les trois étapes d'acquisition et perfectionnement des connaissances, de l’analyse des pratiques et de l’évaluation des compétences acquises, cette formation a pour objectifs de permettre à des infirmiers désirant travailler au bloc opératoire de comprendre la pertinence des actions de lutte contre les infections associées aux soins, de connaître les risques liés à la contamination de l’environnement hospitalier et intégrer les contraintes règlementaires, d'identifier les risques de contamination des patients et du personnel lors des soins et d'appliquer les mesures de prévention adéquates. Etape 1 : Acquisition et perfectionnement des connaissances Questionnaire de pré-formation, puis méthodes pédagogiques affirmatives et interrogatives. Questionnaire d’auto-évaluation avant/après, l’objectif étant de permettre au participant d’avoir une posture réflexive sur son entrée en formation. Introduction sur le bloc opératoire, les Infections du site opératoire (définition, épidémiologie, modes de transmission, causes et facteurs de risque, enjeux, coûts et obligations de chacun dans la prévention du risque infectieux au bloc opératoire, rôle de l’IDE...), l’hygiène du personnel (tenue professionnelle, lavage et friction des mains, prévention des AES), les différents circuits au bloc opératoire et les règles à respecter, le principe de l’asepsie progressive, la prévention des ISO durant la prise en charge du patient en pré- per et post-opératoire, l’hygiène de l’environnement (risque lié au matériel, aux locaux, à l’air, à l’eau...), l’importance de la gestion du risque infectieux au bloc opératoire et la démarche qualité (roue de Deming). Etape 2 : Mise en situation et analyse des pratiques Méthode pédagogique active, méthode affirmative. Étude de cas concrets (la prise en charge d’un patient septique...) et mises en pratiques (hygiène des mains..). Travaux de groupe sur la prévention des ISO durant la prise en charge du patient en pré- per et post-opératoire. Puis temps d’analyse permettant au professionnel d’identifier ses axes d’amélioration et de bénéficier de l’expérience des autres stagiaires et du formateur. Etape 3 : Évaluation et suivi Questionnaire de satisfaction à chaud (Niveau 1 de l’échelle de Kirkpatrick) et questionnaire de post formation permettant de reboucler avec le questionnaire initial (Niveau 3 de l’échelle de Kirkpatrick). Questionnaire d’évaluation individuel permettant de connaitre ses points forts et axes d’amélioration. Objectifs généraux : • Comprendre l’importance du bon respect des règles d’hygiène et les enjeux qui y sont attachés • Connaître et comprendre les spécificités du bloc opératoire concernant le matériel et les produits utilisés • Acquérir les bonnes pratiques par la maîtrise des connaissances techniques Objectifs spécifiques : • Connaître et comprendre les spécificités du bloc opératoire • Identifier les modes de transmissions des infections du site opératoire • Connaitre les causes ainsi que les facteurs de risques infectieux au bloc • Prendre conscience des enjeux, des coûts et des obligations de chacun dans la prévention du risque infectieux • Connaitre le rôle de l’IDE dans la prévention du risque infectieux, se familiariser avec la législation professionnelle s’y référant • Respecter les précautions standard au bloc opératoire • Adopter les bonnes pratiques en matière d’hygiène des mains. • Connaitre les recommandations en matière de tenue de travail et porter une tenue adaptée. • Prévenir les accidents d’exposition au sang (AES) et connaitre la conduite à tenir en cas d’accident • Connaître l’importance du bon respect des règles d’hygiène et des enjeux qui y sont attachés • Connaître l’importance du bon respect des précautions standard en matière d’hygiène et de gestion des déchets. • Identifier les différents circuits du bloc et se familiariser avec les règles à respecter • Définir le principe de l’asepsie progressive • Acquérir les bonnes pratiques en pré, per et post opératoire pour éviter tout risque de contamination • Prévenir les infections du site opératoire (ISO) durant la prise en charge du patient • Effectuer les différents contrôles indispensables lors de la préparation de la salle et du matériel et respecter les précautions d’hygiène • Acquérir les bons gestes pour la préparation cutanée de l’opéré, l’habillage stérile et la préparation des tables d’instruments • Effectuer les différents contrôles nécessaires en per-opératoire • Acquérir les bonnes pratiques par la maîtrise des connaissances techniques • Adopter les bonnes pratiques lors du stockage du matériel, son utilisation et son entretien (afin de limiter le risque de contamination • Connaitre les principes à respecter dans l’entretien des locaux : les techniques, le matériel et les produits à utiliser • Appliquer les précautions complémentaires d’hygiène (gouttelettes, air…) afin de limiter la diffusion de certaines bactéries. • Prendre en charge un patient septique et connaitre les précautions complémentaires à appliquer en fonction du mode de transmission

Infirmier


En présentiel

AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE DU PATIENT DOULOUREUX

DPC

La douleur est une priorité de santé publique, à tous les âges de la vie. Elle peut devenir une source d'altérations majeures de la qualité de vie des patients entrainant des conséquences économiques importantes sur le plan individuel et sociétal. En 2002, la loi relative au droit des malades et à la qualité du système de santé, reconnait le soulagement de la douleur comme un droit fondamental de toute personne. La sensibilisation du public et des professionnels ainsi que la mise en place de mesures actives par les différents plans gouvernementaux permettent une meilleure prise en charge des patients. Les différents professionnels de santé se trouvent confrontés au quotidien à ces situations complexes. Ils occupent une place essentielle dans l’évaluation, la transmission, le suivi et la surveillance des traitements antalgiques. Cette formation destinée aux infirmiers vise à mieux comprendre la complexité du phénomène douloureux, son aspect multidimensionnel, à actualiser ses connaissances et à s’approprier des outils validés pour améliorer sa pratique. A travers les trois étapes de l’acquisition de connaissances, de l’analyse des pratiques et de l’évaluation des compétences acquises, cette formation permettra aux soignants de connaître le cadre légal et réglementaire ainsi que les traitements adaptés (traitements médicamenteux et non médicamenteux) concernant la prise en charge de la douleur, de repérer et analyser les composantes de la douleur et de savoir évaluer efficacement la douleur des patients. Etape 1 : Acquisition et perfectionnement des connaissances. Questionnaire de pré formation, puis méthodes pédagogiques affirmatives et interrogatives : définition et composantes de la douleur (composante sensori-discriminative, composante affective et émotionnelle, composante cognitive, composante comportementale) ; le cadre légal et réglementaire (droits des patients, plans de lutte contre la douleur, charte de la douleur) ; le phénomène douloureux dans sa globalité (mécanismes générateurs, différents types de douleurs, modèle multidimensionnel, douleur aiguë, douleur chronique, prescriptions et les protocoles, transmissions...) ; les outils d'évaluation de la douleur (les échelles les plus couramment utilisées) ; les traitements médicamenteux et non médicamenteux de la douleur (recommandations de bonnes pratiques, traitements antalgiques, paliers de l'OMS, anesthésiques locaux, prise en charge psychologique, relaxation, toucher-massage, effet placebo...) ; la posture du soignant (communication, savoir être et savoir-faire, notion de Bientraitance, rôle éducationnel) ; situations particulières (douleurs chez la personne âgée, douleurs chez l’enfant, douleurs induites...). Etape 2 : Mise en situation et analyse des pratiques. Méthode pédagogique active, méthode expérientielle : études de cas concrets (appréhender un patient anxieux, comment aborder un soin, démarche d’évaluation à partir de cas cliniques avec une restitution en séance plénière...), études de situations spécifiques à partir de projection de vidéos et de retours d'expériences (un enfant aux urgences, en SSPPI, pose voie veineuse et d’une sonde gastrique...), temps d’analyse permettant au professionnel d’identifier ses axes d’amélioration et de bénéficier de l’expérience des autres stagiaires et du formateur, puis synthèse et évaluation. Etape 3 : Évaluation et suivi. Questionnaire de satisfaction à chaud (Niveau 1 de l’échelle de Kirkpatrick) et questionnaire de post formation permettant de reboucler avec le questionnaire initial (Niveau 3 de l’échelle de Kirkpatrick). Questionnaire d’évaluation individuel permettant de connaitre ses points forts et axes d’amélioration. Objectifs : Objectifs généraux :  Connaître la législation en vigueur  Identifier les différents types de douleur et leurs mécanismes  Acquérir les connaissances nécessaires à la prise en charge de la douleur du patient Objectifs spécifiques : Séquence 1 : Généralités sur la douleur  Connaitre le cadre légal et réglementaire  Connaitre l’organisation de la prise en charge de la douleur au sein de son établissement  Se familiariser avec les recommandations de la HAS  Définir la douleur  Identifier les composantes de la douleur : composante sensori-discriminative, affective et émotionnelle, cognitive, comportementale  Caractériser le phénomène douloureux dans sa globalité  Repérer les mécanismes générateurs de douleur : nociceptif, neuropathique, psychogène, mixte  Identifier les différents types de douleur présentés par les patients en respectant les exigences réglementaires  Effectuer une classification des douleurs selon le mécanisme générateur et selon la durée  Connaitre le modèle multidimensionnel, douleur aigu, douleur chronique Séquence 2 : L’évaluation de la douleur  Evaluer efficacement la douleur d’un patient en tenant compte de son âge et de son état  Formaliser une démarche d’évaluation globale de la douleur adaptée selon l’âge, l’état et la possibilité de communication ou non du patient  Appliquer les prescriptions et les protocoles établis  Savoir pourquoi évaluer systématiquement la douleur, qui l’évalue et comment  Utiliser des outils d’évaluation adaptés au patient douloureux  Prendre en compte l’état clinique, la qualité de vie ainsi que l’âge du patient afin de choisir l’échelle d’évaluation appropriée  Evaluer le soulagement de la douleur du patient Séquence 3 : Les traitements médicamenteux et non médicamenteux  Connaître les différents traitements médicamenteux dans la prise en chage de la douleur  Identifier les trois Paliers de l’OMS  Connaître les principaux médicaments antalgiques, les analgésiques locaux, les interdoses à utiliser pour soulager la douleur du patient et en repérer les effets indésirales et les contre-indications  Assurer la surveillance du patient  Connaître les différents traitements non médicamenteux dans la prise en chage de la douleur  Etre sensibilisé aux différentes techniques telles que le froid/le chaud, le toucher-massage, la respiration contrôlée, la relaxation, la diversion, l’hypnose  Prendre conscience de l’importance de l’effet placebo  Adopter la bonne posture en tenant un rôle éducationnel auprès des patients  Ajuster sa communication aux patients et aux situations particulières  Se familiariser avec des techniques de communication adaptées  Savoir comment aborder un soin  Aquérir les clés pour appréhender un patient anxieux, douloureux  Prendre en charge un patient dans des situations particulières : les enfants atteints de cancers, les patients en fin de vie  Adopter les bons gestes pour prévenir et soulager efficacement les douleurs induites par les soins

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CHEZ LA PERSONNE AGEE

DPC

La douleur est une priorité de santé publique, à tous les âges de la vie. Elle peut devenir une source d'altérations majeures de la qualité de vie des patients entrainant des conséquences économiques importantes sur le plan individuel et sociétal. En 2002, la loi relative au droit des malades et à la qualité du système de santé, reconnait le soulagement de la douleur comme un droit fondamental de toute personne. La sensibilisation du public et des professionnels ainsi que la mise en place de mesures actives par les différents plans gouvernementaux permettent une meilleure prise en charge des patients. Les différents professionnels de santé se trouvent confrontés au quotidien à ces situations complexes. Ils occupent une place essentielle dans l’évaluation, la transmission, le suivi et la surveillance des traitements antalgiques. Cette formation destinée aux soignants vise à mieux comprendre la complexité du phénomène douloureux, son aspect multidimensionnel, à actualiser ses connaissances et à s’approprier des outils validés pour améliorer sa pratique. A travers les trois étapes de l’acquisition de connaissances et de l’analyse des pratiques, cette formation permettra aux soignants de connaître le cadre légal et réglementaire, prendre en compte la spécificité gérontologique dans la prise en charge de la douleur, d'effectuer une évaluation adaptée à la prise en charge de la douleur chez la personne qui communique mal ou ne communique pas, d’appliquer un traitement antalgique et d’en dépister les éventuelles complications. Etape 1 : Acquisition et perfectionnement des connaissances Questionnaire de pré formation, puis méthodes pédagogiques affirmatives et interrogatives: le cadre légal et réglementaire (textes de loi, plans de lutte contre la douleur), définition de la douleur, physiologie et composantes de la douleur, stratégies thérapeutiques et spécificités liées à la gériatrie, les différents types de douleur, les douleurs induites par les soins (classification des soins douloureux et prévention), les méthodes d'évaluation de la douleur (les échelles les plus couramment utilisées, les obstacles à l'expression douloureuse, particularités liées au sujet âgé), les traitements médicamenteux et non médicamenteux de la douleur (paliers de l'OMS, principaux médicaments utilisés, MEOPA, techniques de relaxation, massages, etc.), douleur et soins palliatifs, surveillance du patient et dysfonctionnement... Etape 2 : Mise en situation Méthodes pédagogiques actives, méthodes affirmatives : étude de cas concrets à partir de séquences filmées, étude de situations spécifiques à partir de retours d'expériences, temps d’analyse permettant au professionnel d’identifier ses axes d’amélioration et de bénéficier de l’expérience des autres stagiaires et du formateur, puis synthèse et évaluation. Etape 3 : Evaluation et suivi Évaluation et suivi à l'aide d'un questionnaire de satisfaction à chaud (Niveau 1 de l’échelle de Kirkpatrick) et questionnaire de post formation permettant de reboucler avec le questionnaire initial (Niveau 3 de l’échelle de Kirkpatrick). Et également un questionnaire d’évaluation individuel permettant de connaitre ses points forts et axes d’amélioration. Objectifs : Objectifs généraux :  Savoir prendre en compte la spécificité gérontologique dans la prise en charge de la douleur  Savoir effectuer une évaluation adaptée à la prise en charge de la douleur chez la personne qui communique mal ou ne communique pas  Être capable d’appliquer un traitement antalgique et d’en dépister les éventuelles complications Objectifs spécifiques : Séquence 1 : le concept de la douleur  Connaitre le cadre légal et réglementaire  Se familiariser avec les recommandations de la HAS  Définir la douleur  Reconnaitre les caractéristiques de la douleur  Identifier les composantes de la douleur : composante sensori-discriminative, affective et émotionnelle, cognitive, comportementale  Caractériser le phénomène douloureux dans sa globalité  Repérer les mécanismes générateurs de douleur : nociceptif, neuropathique, psychogène, mixte  Identifier les différents types de douleur présentés par les personnes âgées  Effectuer une classification des douleurs selon le mécanisme générateur et selon la durée Séquence 2 : évaluation de la douleur et outils d’évaluation  Déceler et prévenir la douleur en utilisant les outils adaptés  Evaluer efficacement la douleur d’un patient âgé  Connaitre les particiularités liées à un patient qui communique mal ou ne communique pas  Appliquer les prescriptions et les protocoles établis  Savoir pourquoi évaluer systématiquement la douleur, qui l’évalue et comment  Utiliser des outils d’évaluation adaptés au sujet âgé Séquence 3 : surveillance des différentes thérapeutiques et complications éventuelles  Connaître les différents traitements médicamenteux dans la prise en chage de la douleur du patient âgé  Identifier les trois Paliers de l’OMS  Assurer la surveillance et dépister d’éventuelles complications sur un sujet âgé  Connaître les différents traitements non médicamenteux dans la prise en chage de la douleur du patient âgé  Etre sensibilisé aux différentes techniques telles que le froid/le chaud, le toucher-massage, la respiration contrôlée, la relaxation, la diversion, l’hypnose  Prendre conscience de l’importance de l’effet placebo  Adopter la bonne posture en tenant un rôle éducationnel auprès des patients  Se familiariser avec des techniques de communication adaptées  Adopter les bons gestes pour prévenir et soulager efficacement les douleurs induites par les soins  Prendre en charge un patient en fin de vie  Analyser ses pratiques professionnelles

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Infirmier


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IDENTITOVIGILANCE

DPC

Ce programme vise à répondre à la proposition de la HAS « Poursuivre les actions mises en œuvre concernant l’identification du patient et mettre en œuvre les procédures de contrôle». L'identitovigilance a pour but d'anticiper les erreurs et risques liés à une mauvaise identification du patient pris en charge. Les enjeux en termes de sécurité de la prise en charge et ceux liés aux droits des patients en font une Pratique Exigible Prioritaire du Manuel de certification de la HAS. A travers les deux étapes de l’acquisition des connaissances et de l’analyse des pratiques, cette formation permettra aux soignants des établissements de soins de connaitre les enjeux et mettre en place une politique de fiabilisation de l’identification des patients, repérer les risques pour le patient, pour l’établissement et pour les professionnels, de définir les bonnes pratiques au sein de l’établissement, d'intégrer l’identification du patient comme acte de soin. Etape 1 : Acquisition et perfectionnement des connaissances Questionnaire de pré formation, puis méthodes pédagogiques affirmatives et interrogatives : Les attentes des tutelles, la notion de risque et les conséquences, la définition de vigilance, la politique d'identification au sein d'un établissement de santé ets a formalisation, les bonnes bonnes pratiques au sein du système d’information et les bonnes pratiques soignantes Étape 2 : Mises en situation Méthodes pédagogiques actives, méthodes interrogatives : Échanges sur les situations rencontrées et les pratiques mises en œuvre. Analyse des risques et leurs facteurs déclenchant entre les apports de connaissances et les cas concrets. Identification des axes d'amélioration individuels et collectifs. Temps d’analyse permettant au professionnel d’identifier ses axes d’amélioration et de bénéficier de l’expérience des autres stagiaires et du formateur. Étape 3 : Évaluation et suivi Questionnaire de satisfaction à chaud (Niveau 1 de l’échelle de Kirkpatrick) et questionnaire de post formation permettant de reboucler avec le questionnaire initial (Niveau 3 de l’échelle de Kirkpatrick). Questionnaire d’évaluation individuel permettant de connaitre ses points forts et axes d’amélioration. Objectifs détaillés : Séquence n°1 : le contexte • Sensibiliser le personnel aux différents enjeux, afin de mettre en place une politique de fiabilisation de l’identification des patients • Connaitre les enjeux majeurs de l’identitovigilance ainsi que les acteurs concernés • Connaitre le cadre réglementaire et législatif ainsi que les priorités de l’OMS en matière d’identitovigilance Séquence n°2 : gestion des risques • Connaitre l’origine des erreurs ainsi que les conséquences pour les patients, les professionnels et les établissements de santé • Connaitre les principaux risques au quotidien • Reconnaître avec pertinence les situations à risque afin de prévenir toute erreur • Prendre conscience de l’importance de pouvoir localiser un patient à tout moment de sa prise en charge • Savoir comment alerter et signaler une erreur d’identification Séquence n°3 : mise en œuvre de l’identitovigilance dans un établissement de santé • Connaitre les étapes clés dans l’identification d’un patient • Repérer les points critiques et établir une cartographie des risques • Connaitre les moyens d’identification d’un patient permettant de limiter les erreurs et de rester vigilant tout au long de sa prise en charge • Intégrer l’identification du patient comme un acte de soins • Acquérir les bonnes pratiques en respectant les procédures de l’établissement

Médecin Généraliste


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REPERAGE ET PARCOURS DU PATIENT ATTEINT DE LA MALADIE D’ALZHEIMER

DPC

En France, plus de 900 000 personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer. Elle touche 2 à 4 % de la population générale à 65 ans et augmente rapidement pour atteindre 15 % de la population à 80 ans. Par ailleurs, l’augmentation de l’espérance de vie conduit également à une augmentation des malades : 1, 3 millions de malades sont attendus pour 2020. Le médecin généraliste étant bien souvent le premier professionnel de santé à être confronté à ces patients, il semble nécessaire de leur apporter un ensemble de connaissances fondamentales, en particulier sur les signes et symptômes de la phase prodromale, et d’outils diagnostiques pour un dépistage précoce et une prise en charge efficace des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. RESUME Questionnaire pré-formation 1. Vieillissement et cerveau 2. Étiologie de la maladie d’Alzheimer 3. Clinique de la maladie d’Alzheimer 4. Prise en charge de la maladie d’Alzheimer 5. Études de cas Questionnaire post-formation OBJECTIF GENERAUX En fin de programme, les médecins spécialistes en médecine générale ayant suivi la formation seront capables de : - Distinguer un vieillissement psychologique lié à l’âge, d’un vieillissement pathologique. - Conduire un diagnostic différentiel des syndromes démentiels. - Décrire la physiopathologie et les facteurs de risques de la maladie d’Alzheimer. - Mettre en place des moyens de prévention de la maladie. - Appréhender les critères diagnostiques de la maladie et ses différents stades d’évolution. - Repérer la maladie au stade prodromal et la diagnostiquer dès les premiers stades, dans le cadre de l’évaluation initiale de la maladie d’Alzheimer (recommandations HAS). - S’intégrer dans un parcours de soins pluriprofessionel. - Décrire les moyens de prise en charge (médicamenteuse ou non), leurs intérêts et leurs limites.

Médecin Généraliste


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LE MEDECIN SPECIALISTE DE MEDECINE GENERALE ET LA PRISE EN CHARGE DE PATIENTS LORS D'UNE SITUATION SANITAIRE EXCEPTIONNELLE

DPC

Les enjeux sanitaires et géopolitiques actuels imposent aux pouvoirs publics de disposer d’une capacité de réponse efficace face aux problématiques soulevées par les enjeux suivants : pandémies grippales, maladies émergentes et flux de populations mondialisés, attentats et attaques terroristes, sinistres climatiques… Les professionnels de santé libéraux, dont les médecins spécialistes de médecine générale, sont directement concernés par la prise en charge de ces situations sanitaires exceptionnelles de par leur proximité avec les populations. Des dispositifs organisationnels de réponse collective, tels que l’ORSAN, prévoient leur mobilisation pour des campagnes de vaccinations ou d’information exceptionnelles par exemple, pour assurer la continuité des soins pendant et après une situation sanitaire exceptionnelle, entre autres. Par ailleurs, la prise en charge d’une personne en détresse vitale est une obligation déontologique et législative (Article R.4127-9 du code de la santé publique) pour tout médecin spécialiste de médecine générale , qu’il y soit confronté dans le cadre de son exercice professionnel ou de façon fortuite. Cette formation permettra au médecin spécialiste de médecine générale de répondre efficacement à cette obligation de gestion des urgences, en réalisant les mesures pertinentes de prise en charge, à la fois au niveau individuel et collectif. Le médecin spécialiste de médecine générale, en tant qu’acteur essentiel de l’offre de soin territoriale, se doit de répondre à l’urgence individuelle et collective. Résumé : 1. Stratégies de prise en charge des urgences collectives et rôle du médecin spécialiste de médecine générale 2. Stratégies de prise en charge des urgences vitales. 3. Stratégies de prise en charge des urgences potentielles. 4. Mises en situation. 5. Bilan. En fin de formation, les médecins spécialistes de médecine générale ayant suivi ce module seront capables de : • Expliquer les modalités des principaux dispositifs organisationnels des situations sanitaires exceptionnelles, notamment par les acteurs du secteur sanitaire (ORSEC, ORSAN, plan blanc, plan bleu, plans de renfort sanitaires...). • Décrire les principales modalités de prise en charge des victimes en médecine de l‘avant, sur les lieux du sinistre. • Expliquer les différents rôles possibles du médecin spécialiste de médecine générale dans le cadre d’une situation sanitaire exceptionnelle. • Expliquer les signes permettant de diagnostiquer les troubles associés à l’état de stress post-traumatique et en initier les modalités de prise en charge préventives et curatives. • Expliquer les premières mesures de prise en charge à mener face à un patient présentant une détresse vitale. • Expliquer les premières mesures de prise en charge à mener à mener face à un patient présentant une urgence potentielle.

Médecin Généraliste


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DEPISTAGE ET PRISE EN CHARGE INITIALE DU DIABETE DE TYPE 2 ET DES RISQUES ASSOCIES

DPC

En France, 3,3 millions de personnes sont atteintes de diabète (2016, Santé Publique France), dont environ 90 % de type 2. Or le diabète est une maladie chronique, dont les complications à moyen et long terme altèrent la qualité de vie et réduisent la durée de vie, en plus de représenter un coût sociétal de plus en plus important. Ainsi en 2014, les dépenses imputables au diabète et remboursées par l’assurance maladie étaient d’environ 10 milliards d’euros, dont 2,3 milliards pour les dépenses directement imputables au diabète et 7,7 milliards imputables aux complications de la maladie. Pour faire face à cette épidémie de plus en plus prégnante, les stratégies médicales de prise en charge doivent être homogènes et conduites par une médecine basée sur des données probantes (démarche EBM). C’est pourquoi la diffusion des recommandations HAS de 2013 (cibles glycémiques et stratégies médicamenteuses), ainsi qu’une incitation des patients aux modifications thérapeutiques des modes de vie (MTMV) doivent être diffusées et intégrées aux pratiques de prise en charge des médecins spécialistes de médecine générale. RESUME Questionnaire pré formation 1. Données épidémiologiques et principes généraux de prise en charge du diabète de type 2 2. Physiopathologie du diabète de type 2 3. Diagnostic du diabète de type 2 4. Prévention des complications du diabète de type 2 5. Prise en charge initiale du diabète de type 2 : modifications thérapeutiques des modes de vie (MTMV) et observance 6. Cas cliniques Questionnaire post formation OBJECTIFS GENERAUX En fin de programme, les médecins spécialistes en médecine générale ayant suivi la formation seront capables de :  Expliquer les mécanismes physiopathologiques du diabète de type 2.  Citer les critères diagnostiques du diabète de type 2.  Expliquer l’impact de l’équilibre glycémique sur l’émergence des complications du diabète de type 2.  Connaître les différentes cibles glycémiques du diabète de type 2 et être capable de les individualiser en fonction du patient.  Expliquer les principes généraux de prise en charge du diabète de type 2.  Connaître l’arborescence décisionnelle des stratégies médicamenteuses du diabète de type 2.  Expliquer l’impact physiologique du déséquilibre nutritionnel, de la sédentarité, du sommeil, de l’alcoolisme et du tabagisme sur le diabète de type 2 et ses complications.  Expliquer les modalités relationnelles patient/médecin étayant les modifications thérapeutiques des modes de vie.  Expliquer les modalités relationnelles patient/médecin étayant l’observance. OBJECTIFS PEDAGOGIQUE DETAILLES ETAPE 0 : QUESTIONNAIRE PRE-FORMATION - Faire le point sur ses connaissances pré-formation. ETAPE 1 : DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES ET PRINCIPES GENERAUX DE PRISE EN CHARGE DU DIABETE DE TYPE 2 - Expliquer l’impact sociétal de l’épidémie de diabète, au niveau mondial et en France. - Expliquer les principes généraux de prise en charge du diabète. COURS 1 : Données épidémiologiques du diabète de type 2 - Connaître les données épidémiologiques essentielles du diabète de type 2. COURS 2 : Principes généraux de prise en charge - Expliquer l’intérêt du dépistage précoce et de la prise ne charge multifactorielle du diabète de type 2. - Connaître les stratégies médicamenteuses recommandées pour traiter le diabète de type 2. ETAPE 2 : PHYSIOPATHOLOGIE DU DIABETE DE TYPE 2 - Expliquer les mécanismes de la régulation physiologique de la glycémie et ses modifications pathologiques dans le cadre d’un diabète de type 2. COURS 1 : Régulation physiologique de la glycémie - Discriminer les principes de la régulation glycémique à jeun et en phase post prandiale. - Expliquer le rôle de la balance hormonale dans la régulation de la glycémie. COURS 2 : Mécanismes physiopathologiques du diabète de type 2 - Décrire la physiopathologie du diabète de type 2 et identifier le lien entre ses différentes phases. - Connaître les causes du diabète de type 2. ETAPE 3 : DIAGNOSTIC DU DIABETE DE TYPE 2 - Citer les étapes diagnostiques du DIABÈTE DE TYPE 2. COURS 1 : Démarche diagnostique - Expliquer la place de la glycémie à jeun, de l’hyperglycémie provoquée et de l’hémoglobine glyquée dans la démarche diagnostique du diabète de type 2. - Citer les symptômes d’une hyperglycémie. - Expliquer les critères d’affirmation du diabète de type 2 versus diabète de type 1. COURS 2 : Populations à risque et dépistage - Citer les différents critères définissant les populations à risque de présenter un diabète de type 2. - Discriminer les patients chez qui effectuer un dépistage précoce. ETAPE 4 : PREVENTION DES COMPLICATIONS DU DIABETE DE TYPE 2 - Expliquer les mécanismes physiopathologiques d’apparition des complications du diabète de type 2. - Expliquer l’impact de l’équilibre glycémique sur l’émergence des complications du diabète de type 2. - Connaître les différentes cibles glycémiques du DIABÈTE DE TYPE 2. COURS 1 : Complications générales - Citer les différentes complications microangiopathiques et macrovasculaires du diabète de type 2. - Expliquer les principes physiopathologiques des complications microangiopathiques et macro vasculaires. - Expliquer l’incidence de la mortalité dans le DIABÈTE DE TYPE 2. COURS 2 : Equilibre glycémique et complications - Expliquer l’impact de l’équilibre glycémique sur les complications microangiopathiques - Expliquer le lien entre la régulation de l’hémoglobine glyquée et la prévalence des complications macrovasculaires COURS 3 : Cibles glycémiques et prévention des complications - Citer les recommandations HAS des cibles glycémiques pour les différents profils de patients - Discriminer les cibles glycémiques en fonction du profil du patient. ETAPE 5 : PRISE EN CHARGE INITIALE DU DIABETE DE TYPE 2 : MODIFICATIONS THERAPEUTIQUES DES MODES DE VIE (MTMV) ET OBSERVANCE - Expliquer l’impact physiologique du déséquilibre nutritionnel, de la sédentarité, du sommeil et des rythmes de vie sur le diabète de type 2. - Expliquer les modalités relationnelles patient/médecin étayant les modifications thérapeutiques des modes de vie. - Expliquer les modalités relationnelles patient/médecin étayant l’observance. COURS 1 : Alcool et sevrage tabagique - Expliquer l’impact de l’imprégnation alcoolique sur l’équilibre glycémique et les complications du DIABÈTE DE TYPE 2. - Expliquer l’impact du tabagisme sur les complications du diabète de type 2. - Expliquer les modalités de l’entretien motivationnel spécifique au sevrage tabagique. COURS 2 : Equilibre alimentaire - Citer les critères de détermination d’un objectif pondéral. - Expliquer l’impact de la masse graisseuse abdominale sur les mécanismes physiopathologiques du diabète de type 2. - Définir l’index glycémique alimentaire et définir sa place et ses limites dans l’alimentation du patient diabétique de type 2. - Expliquer l’impact sur l’équilibre glycémique des différents types de lipides. - Expliquer la place de l’auto-surveillance glycémique dans l’équilibre alimentaire du patient atteint de diabète de type 2. COURS 3 : Activité physique adaptée (APA) - Définir l’activité physique adaptée. - Discriminer APA et pratique sportive - Expliquer l’impact de l’APA sur l’équilibre glycémique et la survenue de complications du diabète de type 2. - Expliquer les critères de prescription de l’APA par le médecin spécialiste de médecine générale. COURS 4 : Sommeil et rythme de vie - Expliquer les liens entre sommeil et métabolisme - Définir le syndrome d’apnée du sommeil et citer sa prévalence dans la population de patients atteints de diabète. COURS 5 : Annonce diagnostique, stress et gestion des émotions du patient - Adapter les modalités de l’annonce diagnostique au profil du patient atteint de diabète de type 2. - Expliquer l’impact du stress sur l’équilibre glycémique et les complications du diabète de type 2. - Citer différentes modalités d’étayage à la gestion des émotions. COURS 6 : Incitation à l’observance et motivation du patient au changement - Identifier les modalités du discours médical et de la relation médecin/patient qui étayent l’observance. - Expliquer les modalités de l’entretien motivationnel. ETAPE 6 : ETUDES DE CAS - Appliquer les connaissances acquises en les contextualisant. Mise en situation N°1 Mise en situation N°2 Mise en situation N°3 Mise en situation N°4 ETAPE 7 : QUESTIONNAIRE POST-FORMATION - Faire le point sur ses connaissances post-formation.

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EXAMEN ET DIAGNOSTIC DES PRINCIPALES ARTHRALGIES MECANIQUES ET INFLAMMATOIRES

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Le médecin spécialiste de médecine général est en général le premier dépositaire médical de la plainte rhumatologique. L'accés de plus en plus difficile aux médecins spécialistes en fait un intervenant central de ces prises en charge et le vieillissement de la population de même que le maintien à domicile des patients du 3ème et 4ème âge rendent préeminentes ce type de consultations en médecine générale. Une arthralgie mécanique comme l'arthrose touche environ 9 à 10 millions de personnes en France. De plus, être capable d'orienter correctement le diagnostic entre les arthralgies d'étiologie inflammatoires et mécaniques est primordial pour la suite de la prise en charge. C'est pourquoi une formation basée sur la démarche diagnostique des principales arthralgies mécaniques et inflammatoires est pertinente pour un praticien spécialiste de médecine générale. OBJECTIFS GENERAUX  Identifier et caractériser les lésions rhumatologiques et leur pathogénie dans la plainte du patient..  Discriminer les différents types de douleurs articulaires (chroniques vs aiguës, mécaniques vs inflammatoires) et en évaluer l'intensité.  Citer les éléments pertinents lors de l’interrogatoire du patient pour orienter le diagnostic d’une arthralgie inflammatoire ou mécanique.  Identifier les éléments sémiologiques pertinents lors de l’examen clinique articulaire.  Discriminer les examens paracliniques pertinents dans le cas d’une arthralgie inflammatoire ou mécanique.  Identifier les éléments pertinents permettant d’affirmer le diagnostic d’un du syndrome mécanique d’arthrose ou d’un syndrome de rhumatisme inflammatoire.

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EXAMEN ET ANALYSE MUSCULO-SQUELETTIQUE DU MEMBRE INFERIEUR EN PRATIQUE QUOTIDIENNE

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Le médecin spécialiste de médecine général est en général le premier dépositaire médical de la plainte rhumatologique. L'accés de plus en plus difficile aux médecins spécialistes en fait un intervenant central de ces prises en charge et le vieillissement de la population de même que le maintien à domicile des patients du 3ème et 4ème âge rendent préeminentes ce type de consultations en médecine générale. Une pathologie comme l'arthrose, qui touche environ 9 à 10 millions de personnes en France. C'est pourquoi une formation basée sur la démarche diagnostique des troubles musculo-squelettiques des membres supérieurs semble pertinente. Objectifs généraux : - Examiner et explorer le membre supérieur et poser un premier diagnostic. - Maîtriser les gestes de l'examen clinique rhumatologique, segment anatomique par segment anatomique, notamment au moyen de vidéos conues et validées par le COFER (Collège Français des Enseignants en Rhumatologie). - Améliorer le parcours patient pour les personnes présentant des douleurs au niveau du membre supérieur.