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Aide-soignant
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CYCLE LA NUTRITION COMME FACTEUR DE BIENTRAITANCE ET DE QUALITÉ DE VIE EN ÉTABLISSEMENT : L’ALIMENTATION DE LA PERSONNE AGEE
DPC
• Déterminer en quoi la nutrition contribue à la qualité de la prise en soin et de l’accompagnement • Identifier les besoins nutritionnels des personnes âgées et se référer aux recommandations du GEM RCN relatives aux besoins alimentaires • Apprendre à faire du repas un moment de plaisir et repositionner l'usager dans le choix de son alimentation • Identifier les troubles du comportement alimentaire en fonction des différentes pathologies • Développer une attention collective et pluridisciplinaire concernant la nutrition et les pathologies associées • Prévenir la dénutrition • Faire face aux troubles de la déglutition 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Textes réglementaires :  Décret n° 2012-143 du 30 janvier 2012 relatif à la qualité nutritionnelle des repas servis dans le cadre des services de restauration des établissements de santé  Arrêté du 8 octobre 2013 relatif aux règles sanitaires applicables aux activités de commerce de détail, d'entreposage et de transport de produits et denrées alimentaires autres que les produits d'origine animale et les denrées alimentaires en contenant  Paquet hygiène, est composé de cinq règlements adoptés par l'Union Européenne 2004/2005. Recommandations de bonnes pratiques :  La circulaire du 20 février 2014 relative au renforcement de la lutte contre la maltraitance et au développement de la bientraitance des personnes âgées et des personnes handicapées dans les établissements et services médico-sociaux et autres recommandations si nécessaire sur la bientraitance  alimentation.gouv - Programme National Nutrition Santé - 2011/2015  Manuel de certification V2010 – Janvier 2014  Qualité de vie en MAS-FAM (Vol et 2), Vie quotidienne, sociale, culture et loisirs « Assurer la qualité gustative des repas en tenant compte des besoins spécifiques des personnes »  Recommandations du PNNS  GEMRCN ; recommandations nutritions – version 1.3 Août 2013  ANESM – Recommandations de bonnes pratiques professionnelles – Volet 2 - Organisation du cadre de vie et de la vie quotidienne  ANESM - Qualité de vie en Ehpad (volet 4) L’accompagnement personnalisé de la santé du résident – novembre 2012  ANESM - L’évaluation interne: repères pour les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes – février 2012  HAS – stratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée – janvier 2008  MOBIQUAL Dénutrition – avril 2011  HAS Septembre 2011 /Surpoids et obésité de l'enfant et de l'adolescent  HAS Septembre 2011/ Surpoids et obésité de l’adulte (fiches conseils pratiques notamment)  HAS Juin 2010 Anorexie mentale : prise en charge  social-sante.gouv.fr – Recueil d’actions pour l’amélioration de l’alimentation en EHPAD – Février 2014  GEM-RCN – Recommandations relatives à la nutrition - Août 2013 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Diététicien, Ergothérapeute, + 6 autres
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PRISE EN CHARGE DES PATIENTS PRÉSENTANT DES CONDUITES ADDICTIVES EN PSYCHIATRIE
DPC
 Identifier les différentes typologies de conduites addictives et leurs risques  Comprendre les mécanismes propres à l’addiction et déterminer le lien entre addictions et troubles associés, afin de proposer un accompagnement spécifique à chaque situation rencontrée  Reconnaitre la place des familles et des proches dans l’accompagnement  Identifier et connaitre les réseaux existants et leur périmètre d’actions pour pouvoir orienter les personnes en cas de besoin  Développer la mise en place de démarches de prévention et de prise en charge collective et pluridisciplinaire associant l’ensemble des acteurs concernés  Transmettre les apports de formation au sein de leur établissement  Appréhender la toxicomanie à partir du modèle tridimensionnel : sujet-produit-environnement / : le modèle d’Olivenstein  S'inscrire dans une relation d'aide  Apporter des réponses pertinentes aux divers comportements présentés par les personnes toxicomanes 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  Note de cadrage : Repérage précoce et intervention brève en alcoologie en premier recours – HAS – Mars 2014  Plan gouvernemental de lutte contre la drogue et les conduites addictives 2013-2017  Institut Montaigne – Etude « Prévention des maladies psychiatriques : pour en finir avec le retard français » - Octobre 2014  Outil d’aide au repérage précoce et intervention brève : alcool, cannabis, tabac chez l’adulte - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles - novembre 2014  Intervention auprès des consommateurs excessifs d'alcool - Repères pour votre pratique - Novembre 2004  ANESM – Recommandations « La participation des usagers dans les établissements médico-sociaux relevant de l’addictologie » - 2009  HAS : Echelle Addiction Severity Index (version française)  Anderson P., Gual A., Colom J., INCa (trad.) - Alcool et médecine générale. Recommandations cliniques pour le repérage précoce et les interventions brèves. Paris, 2008 ; 141 p.  HAS : Polyconsommations stratégies de soins - Recommandations de la commission d'audition - Mai 2007  Loi du 31 décembre 1970 qui constitue le fondement de la politique française en matière de drogue  Code de la santé publique : délit d’usage  Code pénal : délit de trafic Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Infirmier
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REPÉRAGE ET PRISE EN CHARGE DE LA PERTE D'AUTONOMIE DE LA PERSONNE AGEE : LE CAS DE LA DÉNUTRITION
DPC
• Développer ses connaissances en matière de dénutrition. • Identifier les enjeux socio-économiques et réglementaires de la prise en charge de la dénutrition. • Prendre conscience de l'impact de la dénutrition sur l'autonomisation de la personne âgée. • Connaître et utiliser les outils de dépistage et d'appréciation de la dénutrition de la personne âgée. • Optimiser la prise en charge et la qualité des soins dispensés aux personnes âgées. 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Apports didactiques interactifs Analyse des pratiques et outils existants Etudes de cas concrets Échanges à partir de situations de terrain Exercices Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Infirmier
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LES CONDUITES ADDICTIVES
DPC
 Actualiser ses connaissances en addictologie  Appréhender la notion de trajectoire : dépendance, perte d'autonomie  Améliorer la relation aux personnes présentant des conduites addictives  Construire un mode relationnel adapté Bienveillant et professionnel 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : méthodes HAS : FPTLV Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant
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GESTION DE L’AGRESSIVITE ET DE LA VIOLENCE DES PATIENTS ET DE LEUR ENTOURAGE
DPC
 Définir le concept d'agressivité et de violence,  Identifier les facteurs d'apparition et les mécanismes de la violence et de l'agressivité,  Acquérir des méthodes simples, concrètes et applicables, afin de gérer au mieux ces situations difficiles et quelquefois à risques,  Adapter son comportement en fonction de l'analyse de la situation et du décodage de l'expression verbale et non verbale de l'interlocuteur,  Repérer dans notre personnalité les attitudes génératrices d'agressivité,  Savoir mettre en œuvre un comportement adapté permettant de désamorcer un conflit,  S'interroger sur le vécu des soignants dans les situations dites agressives,  Prise de connaissance des éléments juridiques nécessaires pour gérer l'agressivité,  Mettre en place 'une stratégie interne sur d'attitudes efficaces en situation agressive. 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Recommandations & guides de bonnes pratiques  CNOM / IPSOS – Observatoire de la sécurité des médecins en 2015 - Recensement national des incidents par la section EP du CNOM - Fiches 2015 – Octobre 2016  ONVS – Fiche REFLEXES : Points clés d’une politique de sécurité en établissements de soins – Août 2016  ONVS (Observatoire National des Violences en milieu de Santé) – Rapport de 2015 sur les données 2014  Ministère des affaires sociales et de la santé - Échelle de gravité des évènements de violence en milieu de santé / Les bonnes pratiques contre les violences en milieu de santé - Mai 2013  ONVS - Fiches REFLEXES - 2012  ONVS - Guide victimes du ministère de la justice - 2012  Guide pratique pour la sécurité des professionnels de sante - 2011 Textes réglementaires  Legifrance.gouv.fr : Code civil (article 9)  Legifrance.gouv.fr : Code de l’action sociale et des familles : Loi du 2 janvier 2002 (art. L311-3)  Legifrance.gouv.fr : Code de la santé publique : Loi du 4 mars 2002 (art. L1110-4 al 1)  Legifrance.gouv.fr : Charte des droits et liberté des personnes accueillies (arrêté du 8 septembre 2003)  Protocole du 20 avril 2011 relatif à la sécurité des professionnels de santé - Mise en œuvre du protocole national du 20 avril 2011 relatif à la sécurité des professionnels de santé  Circulaire du 2 mars 2011 relative à la mise en œuvre de la loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public  Instruction n° DGOS/DSR/MISSION DES USAGERS/2011/139 du 13 avril 2011 relative à la conduite à tenir en cas de détention illégale de stupéfiants par un patient accueilli dans un établissement de santé  Protocole d’accord entre ministère de la santé et ministère de l’intérieur du 12 août 2005  Circulaire n°DHOS/P1/2005/327 du 11 juillet 2005 relative au recensement des actes de violence dans les établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général de la fonction publique  Circulaire n° DHOS/P1/2000/609 du 15 décembre 2000 relative à la prévention et à l’accompagnement des situations de violence Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Pharmacien, Infirmier
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PREVENTION DES ERREURS MEDICAMENTEUSES
DPC
• Sensibiliser le personnel à la gestion des erreurs médicamenteuses • Le doter de méthodes et outils indispensables pour évaluer le circuit du médicament de l'établissement et identifier les axes d'amélioration afin de prévenir tout risque lié aux erreurs médicamenteuses • Permettre aux participants d'intégrer les notions fondamentales et de se positionner dans une démarche d'analyse des risques en travaillant sur des cas pratiques d'EM 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Afin de répondre aux exigences de DPC des professionnels concernés par cette action, nous vous proposons une action qui s’appuie sur la méthode HAS de DPC de la FPTLV Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs Alternance d'exposés théoriques courts, d'études de cas, d'analyses de pratiques .... Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Diététicien
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L’ALIMENTATION CHEZ LA PERSONNE AGEE
DPC
 Identifier les facteurs qui influencent le comportement alimentaire de la personne âgée  Appréhender les enjeux des refus alimentaires et connaitre les habitudes des patients et résidents pour mieux répondre à leurs besoins  Comprendre le rôle du repas dans la globalité de la prise en charge soignante  Recenser les outils de dépistage et d’évaluation de la dénutrition  Identifier et évaluer les risques nutritionnels chez la personne âgée  Comprendre les processus de vieillissement et leurs impacts sur la fonction alimentaire 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations :  social-sante.gouv.fr – Recueil d’actions pour l’amélioration de l’alimentation en EHPAD – Février 2014  GEM-RCN – Recommandations relatives à la nutrition avec une fiche technique spécifique relative à la nutrition des personnes âgées – Juillet 2015  Programme National Nutrition Santé 2011-2015  ANESM - Lettre de cadrage – Repérage des risques de perte d’autonomie ou de son aggravation pour les personnes âgées – Octobre 2014  ANAP – Dans le cadre du projet pilote PAERPA : « Construire un parcours de santé pour les personnes âgées » - 2013  HAS – PPS : Plan Personnalisé de Santé – Juillet 2013  ARS Ile de France – Prévention de la dénutrition et Qualité de la nutrition en EHPAD – Mars 2011  SFGG - Kit Mobiqual « Nutrition & dénutrition de la personne âgée » : o Fiches pratiques o Outils d’évaluation & de suivi o Vidéos flash o Témoignages.  ANAP - Les repas dans les établissements de santé et médico sociaux : les textures modifiées, mode d’emploi, sous la direction de Dominique Talandier – 2011  HAS : Critère 19.b du manuel de certification V2010  DGS – DGAS – SFGG : Les bonnes pratiques de soins en EHPAD – Octobre 2007  HAS : Stratégie de prise en charge de la dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée – Avril 2007  PNNS – Livret d’accompagnement destiné aux professionnels de santé – Septembre 2006  PNNS - Guide pour la nutrition des personnes âgées de plus de 55 ans destiné aux professionnels de santé et guide spécifique pour les aidants des personnes âgées – 2006  CNA - Les besoins alimentaires des personnes âgées et leurs contraintes spécifiques, n°53 – 2005  ANAES - Soins et surveillance des abords digestifs pour l’alimentation entérale chez l’adulte en hospitalisation et à domicile – Recommandations – 2000  CIQUAL - Table de composition nutritionnelle des aliments Textes réglementaires :  Recueil d’actions pour l’amélioration de l’alimentation en EHPAD – Février 2014  HCSP - Rapport “Pour une politique nutritionnelle de santé publique en France” – Juin 2000  En 2005, le Conseil national de l’alimentation (CNA) formulait des recommandations à destination des établissements pour personnes âgées, notamment l’intégration dans les conventions tripartites d’un plan de dépistage de la dénutrition.  Guide ANGELIQUE (Application Nationale pour Guider une Évaluation Labellisée Interne de Qualité pour les Usagers des Établissements).  Circulaire interministérielle n° DGAS/DSS/2008/54 du 15 février 2008 relative à la campagne budgétaire pour l’année 2008 dans les établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées et des personnes handicapées.  Arrêté du 30 mai 2008, paru le 4 mai 2008 et applicable depuis le 1er août 2008 : il établit une liste de dispositifs médicaux directement financés par les EHPAD ou les maisons de retraite et pour lesquels ils perçoivent un budget spécifique. Font partie de ces dispositifs les compléments nutritionnels oraux dont l’utilisation a été rationalisée par ce nouvel arrêté (distribution, indications) et le pèse-personne.  Programme national pour l’alimentation 2010 du ministère de l’agriculture.  Le Guide d’élaboration du schéma médico-social (CNSA/DGCS) à l’attention des ARS Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Infirmier
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SOINS, ACCOMPAGNEMENT ET ANIMATION DES PERSONNES AGEES : Ateliers d'animation pour les personnes âgées
DPC
• Proposer et mettre en œuvre des ateliers d'animation auprès des personnes âgées en lien avec l'animateur ou le projet de service • Situer la place de l'animation dans le projet institutionnel, dans le projet de vie individualisé • Identifier le rôle de l'animateur et celui des professionnels participant à la mise en oeuvre du projet d'animation • Appréhender les différents types d'ateliers • Proposer de nouvelles thématiques d'ateliers 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Afin de répondre aux exigences de DPC des professionnels concernés par cette action, nous vous proposons une action qui s’appuie sur la méthode HAS de DPC de la FPTLV Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs Alternance d'exposés théoriques courts, d’exercices, d'analyses de pratiques Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 8 autres
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PRISE EN CHARGE DES ADOLESCENTS EN DIFFICULTES
DPC
 Définir le développement somatique et psychologique de l’adolescent.  Définir les troubles de l’adolescent (dépression, tentative de suicide, agressivité…)  Connaître et reconnaître un adolescent en difficulté.  Identifier le rôle des soignants dans la prise en charge des adolescents.  Définir les règles de fonctionnement au sein d’une unité d’adolescent pour une prise en charge adaptée.  Acquérir les techniques de communication adaptées aux adolescents. 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Méthode HAS : GAP (Groupe d’analyse des pratiques°  Présentation du référentiel sous-jacent au programme DPC  Remplissage d’un outil d’évaluation proposé par notre intervenant  Choix d’un cas clinique  Identification des problèmes posés  Choix des pratiques à améliorer Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Infirmier
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MALADIE D'ALZHEIMER OU TROUBLES APPARENTES : prise en soin et accompagnement
DPC
 Intégrer ce que sont les pathologies de type dégénérescence et démence, définition et classement diagnostic différentiel, démence/dépression/vieillissement.  Accompagner la personne âgée au quotidien de manière individuelle : comment entrer en relation selon les stades de la désorientation au quotidien institutionnellement ; comment faire face à la déambulation, à l'animation, à l'aménagement quotidien du temps.  Construire des activités simples, redonner du plaisir au résident en sollicitant ses capacités restantes (distraire sans infantiliser), relation de soutien équipe/famille. 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides et recommandations  Fondation Médéric Alzheimer – La lettre de l’observatoire des dispositifs de prise en charge et d’accompagnement de la maladie d’Alzheimer - A - N°43-44 - Septembre 2016 - État des lieux 2015 des dispositifs  Alzheimer Europe - Dilemmes éthiques rencontrés par les professionnels impliqués dans le soin et l’accompagnement des personnes ayant des troubles cognitifs en maison de retraite et à l’hôpital - Un support pour la formation continue des professionnels – Août 2016  Fondation Médéric Alzheimer - La lettre de l’observatoire des dispositifs de prise en charge et d’accompagnement de la maladie d’Alzheimer – Décembre 2015 - n°39  Plan Maladies neuro-dégénératives 2014-2019 – Novembre 2014  ALCOVE - Coopération européenne sur la Maladie d’Alzheimer - Recommandations - 2013  Plan Alzheimer 2008-2012  Kit Mobiqual « Maladie d’Alzheimer » - Version 2012  Recommandations & travaux de l’HAS : o « Maladie d'Alzheimer et maladies apparentées : diagnostic et prise en charge de l'apathie » – Juillet 2014 o Note de cadrage – « Maladie d’Alzheimer et maladies apparentées : diagnostic et prise en charge de l’apathie » - 2013 o HAS / ANESM - « Maladie d’Alzheimer et maladies apparentées : dispositif d’annonce du diagnostic et d’accompagnement » - 2012 o « Maladie d’Alzheimer et maladies apparentées : diagnostic et prise en charge » - 2011 o Le programme AMI Alzheimer - 2010 o « Maladie d’Alzheimer et autres démences » - 2009  ANESM : L’accompagnement des personnes atteintes d’une maladie d’Alzheimer ou apparentée en établissement médico-social – 2009  DGS – Recommandations « Alzheimer : l’éthique en question » - 2007  INPES – Dossier de presse « Maladie d’Alzheimer : Un outil d’éducation pour la santé du patient » - 2005 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès