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Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

ACCOMPAGNER LES TROUBLES GERONTO-PSYCHIATRIQUES

DPC

Objectifs de formation : 1 Connaitre et comprendre les psychopathologies du grand âge 2. Disposer de repères pratiques pour accompagner concrètement les sujets âgés qui présentent de tels troubles 3. Contribuer à un projet individualisé d’accompagnement qui intègre l’entourage familial et l’équipe pluridisciplinaire 4. S’inscrire dans une démarche de prévention des maltraitances et de promotion de la bientraitance à l’égard de sujets âgés Au cours de la formation seront abordés les thèmes suivants : • Les psychopathologies du grand âge • Les troubles du comportement dans la vieillesse • Comment réagir et se situer en équipe • La démarche de projet personnalisé d’accompagnement • Analyses de cas concrets et mises en situation pratique 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides et recommandations nationales HAS - Sortie du monde hospitalier et retour au domicile d’une personne adulte évoluant vers la dépendance motrice ou psychique - Dossier de presse – 2005 HAS – Recommandation de bonnes pratiques « Modalités de prise de décision concernant l’indication en urgence d’une hospitalisation sans consentement d’une personne présentant des troubles mentaux » - 2005 HAS – Communiqué de presses – « Dangerosité psychiatrique : repérer les signes d’alerte pour prévenir les actes de violence » 2011 HAS – Guide ALD « Prise en charge et suivi des patients atteints de troubles bipolaires » 2009 … Textes et réglementation Circulaire du 14 mars 1990 relative aux orientations de la politique de santé mentale Loi n°90-527 du 27 juin 1990 relative aux droits et à la protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux et à leurs conditions d’hospitalisation Circulaire n°90-8 du 28 juin 1990 relative aux modalités d’application de la loi relative aux droits et à la protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux et à leurs conditions d’hospitalisation Arrêté du 30 mars 1992 relatif à l’attribution du diplôme d’Etat d’infirmier aux personnes titulaires du diplôme d’infirmier de secteur psychiatrique Circulaire n°39-92 du 30 juillet 1992 relative à la prise en charge des urgences psychiatriques Circulaire DGS/DH n°70 du 11 décembre 1992 relative aux orientations de la politique de santé mentale en faveur des enfants et adolescents Circulaire n°95-22 du 6 mai 1995 relative aux droits des patients hospitalisés et comportant une Charte du patient hospitalisé Loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées Circulaire DGS/SD6 C n°2005-88 du 14 février 2005 relative à la commission départementale des hospitalisations psychiatriques (CDHP) Circulaire DGAS-3B n° 2005-418 du 29 août 2005 relative aux modalités de conventionnement et de financement DGS – Rapport – « Missions et organisation de la santé mentale et de la psychiatrie » - 2009 Loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge DGS - Psychiatrie et santé mentale. Innovations dans le système de soins et de prise en charge - 2004 Circulaire DGAS-3B n° 2005-418 du 29 août 2005 relative aux modalités de conventionnement et de financement des groupes d’entraide mutuelle pour personnes souffrant de troubles psychiques Loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge DGS – Mars 2012 - Plan psychiatrie et santé mentale 2011-2015 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant


En présentiel

ETRE AIDE SOIGNANT AU SEIN D’UNE EQUIPE PLURIDISCIPLINAIRE

DPC

Aborder la réglementation qui s’applique à la formation conduisant à la formation conduisant au diplôme d’aide-soignant et aux compétences associées / Analyser les pratiques professionnelles / Définir la place de l’AS dans les services de soins et son positionnement au sein d’une équipe plurisdiciplinaire / Distinguer les champs de compétences spécifiques de l’aide-soignant / Discerner les diverses responsabilités engagées / Identifier les problématiques possibles au niveau des pratiques entre le binôme AS/IDE / Connaitre le rôle de l’encadrement de proximité au sein des services / Savoir reconnaître une détresse vitale chez les personnes prises en charge, les sécuriser, savoir prendre les différents paramètres de façon fiable et savoir transmettre l'information à l'IDE ou au médecin et par écrit / Susciter le questionnement des AS sur les personnes qu’elles prennent en charge / Identifier les missions de l’AS dans l’aide à la prise médicamenteuse / Identifier les missions de l’AS dans la prévention de la dénutrition des patients/usagers / Développer les capacités de communication au sein des équipes / Comprendre les moyens de valorisation de la fonction d’AS / Apprendre à transmettre les informations utiles à la prise en charge des patients / Analyser et comprendre ses attitudes et ses comportements dans la relation à l’autre / Développer les capacités de communication auprès des usagers et de familles / : Comprendre l’importance de l’accueil dans la prise en charge globale de l’usager et de son entourage / Développer les capacités de communication auprès des usagers et de familles / Savoir écouter le patient et adapter son comportement / Savoir créer une alliance thérapeutique avec le patient / Identifier les situations difficiles ou agressives rencontrées / Savoir prévenir et gérer les situations difficiles / Gérer les situations conflictuelles, désamorcer les tensions avec les usagers, entre collègues / Participer à l’élaboration des projets de vie / projets de soins 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Décret de compétences AS  Arrêté du 21 mai 2014 modifiant l'arrêté du 22 octobre 2005 relatif à la formation conduisant au diplôme d'Etat d'aide-soignant  Arrêté du 15 mars 2010 modifiant l'arrêté du 22 octobre 2005 relatif à la formation conduisant au diplôme d'Etat d'aide-soignant  Arrêté du 30 novembre 2009  Décret n° 2007-1301 du 31 août 2007 relatif aux diplômes d'aide-soignant, d'auxiliaire de puériculture et d'ambulancier et modifiant le code de la santé publique.  Circulaire DGS/SD 2C n° 2007-71 du 19 février 2007 relative à la mise en œuvre de la réforme des études conduisant au diplôme professionnel d’aide-soignant.  Arrêté du 22 octobre 2005 relatif au diplôme professionnel d’aide-soignant  Circulaire n° 99-320 du 4 juin 1999 et Avis n° 363221 du Conseil d’Etat du 9 mars 1999.  Loi du 22 juillet 1994  Articles L. 4391-1 à L. 4391-5 du Code de la santé publique Fiche ROME  Fiche ROME – Aide-soignant : Dispenser, en collaboration avec l’infirmier, des soins de prévention, de maintien, de relation, et d’éducation à la santé pour préserver et restaurer la continuité de la vie, le bien-être et l’autonomie de la personne  La notion de référentiel métier infirmier et aide-soignant : notion de savoir, savoir-faire et savoir-faire relationnel, de responsabilité pour chaque diplôme Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 7 autres


En présentiel

PRISE EN CHARGE DE LA SANTE BUCCO-DENTAIRE DES PERSONNES FRAGILISEES OU DEPENDANTES

DPC

 Connaître et maîtriser les techniques d’hygiène bucco-dentaire de manière à assurer une prise en charge conforme aux bonnes pratiques,  Identifier les besoins spécifiques en hygiène bucco-dentaire (handicap, dépendance, troubles cognitifs, maladies chroniques, soins palliatifs…). 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…). Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

LA BIENTRAITANCE EN PSYCHIATRIE

DPC

OBJECTIF GENERAL :  Développer une culture et une dynamique de la bientraitance dans les pratiques de soins psychiatriques OBJECTIFS SPECIFIQUES :  Cerner la problématique de la bientraitance en psychiatrie (concept de bientraitance, le prendre soin en psychiatrie)  Connaitre les courants de pensée qui fondent la pratique soignante  Outiller la promotion de la bientraitance (attitudes, communication au sein de l’équipe) 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations  HCSP - Rapport « Évaluation du plan psychiatrie et santé mentale 2011-2015 » - Avril 2016  HAS FORAP – Note de cadrage « Construire le partenariat entre les usagers et les professionnels sur la bientraitance » - 2015  HAS - Note d’orientation - Programme pluriannuel relatif à la psychiatrie et à la santé mentale – 2013-2018  Plan Psychiatrie et santé mentale 2011-2015  Institut Montaigne – Etude « Prévention des maladies psychiatriques : pour en finir avec le retard français » - Octobre 2014  Outils & guides HAS/FORAP – 2012  FHP – Actes du colloque « Bientraitance et psychiatrie : une grande claque aux idées reçues ! » - 22 Mai 2011  Rapport de la mission ministérielle : « Promouvoir la bientraitance dans les établissements de santé » - 2011  HAS : « La maltraitance ordinaire dans les établissements de santé » - Compagnon C., Ghadi V. – 2010  ANESM : « La bientraitance : définition et repère pour mise en œuvre » - 2008  FHF : Guide pratique bientraitance/ maltraitance à usage des établissements et institutions. que faire face à la révélation d'une situation de maltraitance – 2007 Page 8 sur 40 Textes réglementaires  Circulaire N° DGCS/SD2A/2014/58 du 20 février 2014 relative au renforcement de la lutte contre la maltraitance et au développement de la bientraitance des personnes âgées et des personnes handicapées dans les établissements et services médico-sociaux relevant de la compétence des ARS.  Loi n° 2013-869 du 27 septembre 2013 modifiant certaines dispositions issues de la loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge  Décret n° 2013-16 du 7 janvier 2013 portant création du Comité national pour la bientraitance et les droits des personnes âgées et des personnes handicapées  Loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge  Circulaire du 23 Juillet 2010 relatif au renforcement de la lutte contre la maltraitance des personnes âgées et des personnes handicapées  Instruction Ministérielle N° DGAS /2a/2007/112 du 22 Mars 2007 Relative au développement de la bientraitance et au renforcement de la politique de lutte contre la maltraitance  Circulaire DGS/SD6 C n°2005-88 du 14 février 2005 relative à la commission départementale des hospitalisations psychiatriques (CDHP)  Circulaire n°95-22 du 6 mai 1995 relative aux droits des patients hospitalisés et comportant une Charte du patient hospitalisé  Loi n°90-527 du 27 juin 1990 relative aux droits et à la protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux et à leurs conditions d’hospitalisation Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 7 autres


En présentiel

DEVELOPPER LA GESTION DES RISQUES ASSOCIES AUX SOINS

DPC

 Définir la notion de risque, repérer la perception du risque par les professionnels ;  Définir et identifier un évènement indésirable, en mesurer la criticité ;  Déclarer l’évènement objectivement selon la charte et la procédure interne ;  Connaître les outils d’analyse à partir d’un cas concret ;  Planifier un plan d’actions en définissant le rôle des acteurs ;  Distinguer l’erreur de la faute ;  Connaître la procédure d’Information du résident en cas de dommage ;  Porter un regard positif sur l’évènement indésirable, le traiter comme une opportunité d’amélioration des pratiques. 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations  OMS - PNSP - Guide pédagogique pour la sécurité des patients : édition multiprofessionnelle – Novembre 2015  PNSP – Support « Favoriser le dialogue entre représentants des usagers et professionnels de santé à propos de la sécurité des patients » - Novembre 2015  HAS – Dossier de presse - SECURITE DU PATIENT : LA HAS SE MOBILISE POUR REDUIRE LES RISQUES ASSOCIES AUX SOINS – Mai 2015  Retour d’expérience en santé (REX) : HAS - Comprendre et mettre en œuvre - 2014  DGOS – DGS – HAS - Programme National Sécurité des Patients 2013-2017  HAS - Manuel de certification V2010 – Janvier 2014  HAS – Guide « Mettre en œuvre la gestion des risques associés aux soins en établissement de santé » – Mars 2012  – Enquête DREES / CCECQA Evénements indésirables graves (EIG) associés aux soins observés en milieu hospitalier – 2004 puis 2009  Panorama SHAM - Octobre 2008 pour l’année 2007 Textes réglementaires  Arrêté du 20 Février 2015 présentant la liste des 19 indicateurs de qualité et sécurité des soins obligatoires (suite) pour 2015  Instruction n° DGOS/PF2/2014/216 du 10 juillet 2014 relative à l’organisation de la semaine de la sécurité des patients 2014  Instruction DGOS du 28/09/12  Circulaire n° DGOS/PF2/2011/416 du 18 novembre 2011  Arrêté du 6 avril 2011 relatif au management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse et aux médicaments dans les établissements de santé  Décret du 12 novembre 2010 relatif à la lutte contre les événements indésirables associés aux soins dans les » établissements de santé  Loi n° 1730 du 8 Juin 2009 dite loi H.P.S.T  Loi du 4 mars 2002 Relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 7 autres


En présentiel

LE DIABETE : PHYSIOPATHOLOGIE ET EDUCATION THERAPEUTIQUE

DPC

Définir les indicateurs d’amélioration des pratiques Identifier le référentiel sous-jacent au programme DPC Analyser les pratiques professionnelles Faire un rappel sur les connaissances liées au diabète Placer l’éducation thérapeutique dans la prise en charge du patient diabétique Apporter aux patients des réponses adaptées en vue d’une meilleure prise en charge dans un objectif d’éducation thérapeutique Elaborer son plan d’actions d’amélioration 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  HAS : Guide Parcours de soins - Diabète type 2 de l’adulte - Mars 2014  HAS : Recommandations : Diabète de type 2 - Janvier 2013  HAS : Auto-évaluation annuelle d’un programme d’éducation thérapeutique du patient - format2clics - Mars 2012  HAS : Guide méthodologique. Structuration d’un programme d’éducation thérapeutique du patient dans le champ de la maladie chronique - Juin 2007 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 9 autres


En présentiel

MISE EN PLACE ET TRAITEMENT DES FICHES D’EVENEMENTS INDESIRABLES AU SEIN DE L’ETABLISSEMENT

DPC

 Envisager le champ des événements indésirables (menaces pour la santé/la sécurité, ou le bien être des usagers)  Définition d'une fiche adaptée à l'ensemble des événements indésirables susceptibles de se produire  Définition d'un cadre pour le traitement de la situation  Produire une procédure et un guide pour le signalement et le traitement des événements indésirables 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : - La gestion des risques à travers des textes o Bases réglementaires, évolutions récentes, éléments d’actualité, certification HAS, enquête ENEIS … o Appui sur des textes de référence, le guide HAS « Mettre en œuvre la gestion des risques associés aux soins en établissement de santé » – mars 2012, « le Programme National Sécurité des Patients 2013-2017 » o Appui de la littérature : bilans, Programmes, études de risques issus du Ministère - DGOS, DGS-, de la HAS -certification des établissements de santé, accréditation des médecins-, de l’ARS, des structures régionales d’appui, des fédérations d’établissement, des sociétés savantes). Présentation avec en fil conducteur le texte du 5 novembre 2001 décret 2001-1016 : évaluer les risques pour la sécurité et la santé au travail et parallèle avec les risques patients et les risques liés aux soins Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Médecin Généraliste, Infirmier


En présentiel

INFORMATION DU PATIENT EN CAS DE SURVENUE D’UN EVENEMENT INDESIRABLE GRAVE : Signalement des évènements indésirables associés aux soins (EIAS)

DPC

 Identifier un évènement indésirable grave  Connaitre la réglementation applicable en la matière  Connaître et maîtriser les différentes étapes et processus d’annonce  Communiquer avec le patient et (ou) son entourage suite à un dommage  Reconnaitre et gérer ses propres émotions 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : recommandations de bonnes pratiques de l'HAS de mars 2011 - Guide HAS « Mettre en œuvre la gestion des risques associés aux soins » en établissement de santé mars 2012. Référence aux textes réglementaires, fondements de la démarche d'information du patient : Référence à loi du 4 mars 2002, à la Charte du patient ; Article L.1111-6 CSP ; Article 35 du code de la santé publique ; Article L. 1112-1 du Code de la santé publique met l’accent sur l’information du patient… Références : Article L.1142-4 du CSP, Article 35 du code de déontologie médicale, Critère 11c du manuel de certification… Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Diététicien, Ergothérapeute, Masseur-Kinésithérapeute, + 4 autres


En présentiel

AUTISME ET TROUBLES APPARENTES : comprendre pour mieux agir

DPC

• Définir les étiologies de l’autisme sur la base de données scientifiques reconnues et validées par la HAS • Repérer les signes cliniques de l’autisme • Comprendre les spécificités de fonctionnement des personnes avec autisme en matière de communication et d’interaction sociale et dans les domaines cognitifs, sensoriels, moteurs. • Connaître les différents outils d’évaluation du fonctionnement de la personne autiste et leurs finalités • Définir et mettre en œuvre un accompagnement personnalisé de la personne autiste dans sa vie quotidienne 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  3e plan autisme 2013-2017  Loi N°2002-2 du 02 Janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale : Conseil de vie sociale, contrat de séjour, projet individualisé, livret d’accueil  Loi N°2005-102 du 12 Février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées (dite « Loi Handicap ») • 2016, un projet de recommandations de l’ANESM : « Autisme et autres TED : interventions chez l’adulte » • HAS / ANESM - Note de cadrage : « Autisme et autres troubles du développement, les interventions et le projet personnalisé chez l’adulte » - Janvier 2015 • HAS - Autisme et autres troubles envahissants du développement : interventions éducatives et thérapeutiques coordonnées chez l’enfant et l’adolescent - Méthode Recommandations par consensus formalisé – Mars 2012 • HAS - Autisme et autres troubles envahissants du développement : diagnostic et évaluation chez l’adulte - Méthode « Recommandations pour la pratique clinique » - Juillet 2011 • HAS - Accès aux soins des personnes en situation de handicap - Rapport de la commission d'audition publique – Juillet 2009 • ANAP - Secteur médico-social - Comprendre pour agir mieux - Juillet 2013 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

LA DOULEUR SOMATIQUE ET PSYCHIQUE EN PSYCHIATRIE

DPC

 Connaitre les mécanismes de la douleur physique et psychique  Comprendre les besoins spécifiques exprimés par le patient en psychiatrie  Faire le lien entre les demandes récurrentes d’antalgiques et le réel besoin exprimé  Savoir apporter une réponse adaptée 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations  HAS - Note d’orientation - Programme pluriannuel relatif à la psychiatrie et à la santé mentale – 2013-2018  Plan psychiatrie et santé mentale 2011-2015  Institut Montaigne – Etude « Prévention des maladies psychiatriques : pour en finir avec le retard français » - Octobre 2014  HAS - Manuel de certification des établissements de santé V2010, la prise en charge de la douleur critère 12-a.  Travaux & outils de l’UPSA o Périodique - Lettre d’information destinée aux professionnels de la santé - Douleur et Santé Mentale o Enquête - La douleur en santé mentale : première enquête nationale auprès des PH chefs de service de psychiatrie générale et de pharmacie – 2007 o Fiche entretien - « Douleur en Santé mentale » o Livret - « Douleur en Psychiatrie »  HAS – Recommandations - Douleur chronique : reconnaître le syndrome douloureux chronique, l'évaluer et orienter le patient – 2009  Sante.gouv.fr - Plan d’amélioration de la prise en charge de la douleur 2006-2010 Textes réglementaires  Loi n° 2013-869 du 27 septembre 2013 modifiant certaines dispositions issues de la loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge  Loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge  Décret de compétences de la profession d’infirmier du 29 juillet 2004 : « … participer à la prévention, à l’évaluation et au soulagement de la douleur et de la détresse physique et psychiques des personnes … » Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès