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PRÉVENTION DE LA MALTRAITANCE ET PRISE EN CHARGE BIENTRAITANTE PAR LA CONNAISSANCE DE L'INTIMITE ET SEXUALITE CHEZ LES PERSONNES AGEES

DPC

 Appréhender les différentes dimensions de la sexualité  Connaître les caractéristiques de la sexualité des personnes âgées  Identifier les impacts de certaines pathologies - Maladie d'Alzheimer et troubles apparentés notamment -  Identifier les conséquences d'une sexualité non assouvie  Intégrer le thème de la sexualité dans le projet d'établissement  Adopter une démarche pédagogique vis à vis des personnes âgées et des familles  Mettre en place une organisation propice au développement de liens affectifs harmonieux 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  Des méthodes d’APP préconisées par l’HAS.  Un référentiel d’analyse basé sur les indicateurs nationaux de bonnes pratiques. Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 7 autres


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LES SOINS PALLIATIFS ET LA DEMARCHE PALLIATIVE

DPC

 Approfondir ses connaissances sur la démarche palliative, dans le domaine des sciences biomédicales et des sciences humaines pour développer une approche globale centrée sur la personne en fin de vie  Acquérir des compétences cliniques, thérapeutiques, relationnelles et éthiques pour assurer à la personne en fin de vie la qualité des soins et une meilleure qualité de vie jusqu'à la mort  Collaborer efficacement avec les autres intervenants de l'équipe et du réseau pour une prise en charge globale en institution et/ou au domicile et s'impliquer dans les différents projets de soins palliatifs 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  Contexte réglementaire : loi de 2002, loi Léonetti de 2005, Circulaire de mars 2008, Loi Léonetti-Claeys Janvier 2016,  Focus sur la loi n°2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des personnes en fin de vie  Les textes et outils de référence pour cadrer la démarche palliative  Définition et historique des soins palliatifs  Interdisciplinarité et réponse aux besoins du patient en soins palliatifs Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 7 autres


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COORDONNER UN PROGRAMME d’EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT

DPC

 Constituer une équipe transversale autour d’une démarche d’ETP  Organiser et conduire une démarche d’ETP  Animer et coordonner les acteurs d’ETP ; suivre le déroulement de la démarche  Evaluer et faire évoluer la démarche et les pratiques d’ETP 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations :  HAS : Démarche centrée sur le patient : Information, conseil, éducation thérapeutique, suivi – Mai 2015  HAS : Évaluation quadriennale d’un programme d’éducation thérapeutique du patient : une démarche d’auto-évaluation - Mai 2014  HAS : Manuel de certification des établissements de santé. Critère 23 a.  INPES – Référentiels de compétences - Juin 2013 : o Référentiel de compétences pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient dans le cadre d’un programme. (Document complémentaire à l’annexe no 1 de l’arrêté du 31 mai 2013 relatif aux compétences requises pour dispenser ou coordonner l’éducation thérapeutique du patient) o Référentiel de compétences pour coordonner l’éducation thérapeutique (Document complémentaire à l’annexe no 2 de l’arrêté du 31 mai 2013 relatif aux compétences requises pour dispenser ou coordonner l’éducation thérapeutique du patient)  HAS : Auto-évaluation annuelle d’un programme d’ETP – 2012 : o Guide pour les coordonnateurs et les équipes - Aide à la rédaction d'un rapport synthétique d'auto-évaluation, Recommandations format2clics, Questions – Réponses  ARS – HAS : ETP - Grille aide évaluation autorisation programme  HAS : Elaboration document d'information des patients – 2008 : Recommandations, Guide méthodologique, Critères évaluation  HAS : Recommandations Education thérapeutique – 2007 o Guide méthodologique INPES - Structuration d’un programme d’éducation thérapeutique du patient dans le champ de la maladie chronique o Recommandations - Définitions, finalités et organisation o Recommandations - Comment la proposer et la réaliser ? o Principales rubriques du dossier patient. o Recommandations - Comment élaborer un programme spécifique d’une maladie chronique ? o Critères de qualité d'une ETP Pathologies spécifiques  HAS : Recommandations : Diabète de type 2 - Janvier 2013  SOFMER / SFNV - Eléments pour l’élaboration d’un programme d’éducation thérapeutique spécifique au patient après AVC - « Troubles de la déglutition » - 2011  HAS : Mieux vivre avec votre asthme - L’éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien - 2008 Textes & recommandations  Arrêté du 14 janvier 2015 relatif au cahier des charges des programmes d’éducation thérapeutique et aux compétences requises pour dispenser et coordonner l’éducation thérapeutique.  Code de la Santé Publique : Art L.1161-1, Art L.1161-3, Art L.1161-5  Arrêté du 31 mai 2013 modifiant l’arrêté du 2 août 2010 relatif aux compétences requises pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient  Décret n° 2010-904 du 2 août 2010 relatif aux conditions d’autorisation des programmes d’éducation thérapeutique du patient.  Arrêté du 2 août 2010 relatif au cahier des charges des programmes d’éducation thérapeutique du patient et à la composition du dossier de demande de leur autorisation  Décret n° 2010-906 du 2 août 2010 relatif aux compétences requises pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient  Loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009. Article 84 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Diététicien, Masseur-Kinésithérapeute, Infirmier


En présentiel

EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT

DPC

 Définir les contours précis de l’éducation thérapeutique à partir d’une approche systémique  Conduire une réflexion en équipe sur les niveaux d’intervention en éducation thérapeutique par les différents acteurs de santé sans le sens de la construction d’un projet collectif  Concevoir un programme d’activités en éducation thérapeutique en tenant compte des différentes modalités et composantes  Optimiser l’interaction et les relations au sein de l’équipe pluridisciplinaire  Objectiver l’acquisition de compétences nouvelles et spécifiques  Evaluer les actions de changement dans la pratique quotidienne 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations  HCSP : Avis relatif à la mise en œuvre de l’éducation thérapeutique du patient depuis la loi n°2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST).  HAS : Démarche centrée sur le patient : Information, conseil, éducation thérapeutique, suivi – Mai 2015  HAS : Évaluation quadriennale d’un programme d’éducation thérapeutique du patient : une démarche d’auto-évaluation - Mai 2014  HAS : Manuel de certification des établissements de santé. Critère 23 a.  INPES – Référentiels de compétences - Juin 2013 : o Référentiel de compétences pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient dans le cadre d’un programme. (Document complémentaire à l’annexe no 1 de l’arrêté du 31 mai 2013 relatif aux compétences requises pour dispenser ou coordonner l’éducation thérapeutique du patient) o Référentiel de compétences pour coordonner l’éducation thérapeutique (Document complémentaire à l’annexe no 2 de l’arrêté du 31 mai 2013 relatif aux compétences requises pour dispenser ou coordonner l’éducation thérapeutique du patient)  HAS : Auto-évaluation annuelle d’un programme d’ETP – 2012 : o Guide pour les coordonnateurs et les équipes - Aide à la rédaction d'un rapport synthétique d'auto-évaluation, Recommandations format2clics, Questions – Réponses  ARS – HAS : ETP - Grille aide évaluation autorisation programme  HAS : Elaboration document d'information des patients – 2008 : Recommandations, Guide méthodologique, Critères évaluation  HAS : Recommandations Education thérapeutique – 2007 o Guide méthodologique INPES - Structuration d’un programme d’éducation thérapeutique du patient dans le champ de la maladie chronique o Recommandations - Définitions, finalités et organisation o Recommandations - Comment la proposer et la réaliser ? o Principales rubriques du dossier patient. o Recommandations - Comment élaborer un programme spécifique d’une maladie chronique ? o Critères de qualité d'une ETP Pathologies spécifiques  HAS : Recommandations : Diabète de type 2 - Janvier 2013  SOFMER / SFNV - Eléments pour l’élaboration d’un programme d’éducation thérapeutique spécifique au patient après AVC - « Troubles de la déglutition » - 2011  HAS : Mieux vivre avec votre asthme - L’éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien - 2008 Textes & recommandations  Arrêté du 14 janvier 2015 relatif au cahier des charges des programmes d’éducation thérapeutique et aux compétences requises pour dispenser et coordonner l’éducation thérapeutique  Code de la Santé Publique : Art L.1161-1, Art L.1161-3, Art L.1161-5  Arrêté du 31 mai 2013 modifiant l’arrêté du 2 août 2010 relatif aux compétences requises pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient  Décret n° 2010-904 du 2 août 2010 relatif aux conditions d’autorisation des programmes d’éducation thérapeutique du patient.  Arrêté du 2 août 2010 relatif au cahier des charges des programmes d’éducation thérapeutique du patient et à la composition du dossier de demande de leur autorisation  Décret n° 2010-906 du 2 août 2010 relatif aux compétences requises pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient  Loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009. Article 84. Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Préparateur en pharmacie, + 2 autres


En présentiel

SECURISATION DU CIRCUIT DU MEDICAMENT

DPC

OBJECTIFS GENERAUX  Connaître le circuit du médicament de la prescription à l’administration.  Améliorer la sécurisation du circuit du médicament auprès d’un public de personnes âgées en déterminant des objectifs spécifiques.  Connaître la réglementation, la responsabilité de chaque professionnel et des différents acteurs.  Identifier les risques liés à l’administration  Sécuriser la délivrance et la dispensation des médicaments auprès des personnes âgées OBJECTIFS SPECIFIQUES  Clarifier la réglementation relative au circuit du médicament et les rôles des différents acteurs.  Maîtriser le processus « circuit des médicaments » et en assurer la traçabilité.  Réfléchir à la mise en place d'un document « type bonnes pratiques » décrivant le processus « circuit du médicament » 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Rapports & recommandations  HAS – Kit d’outils : Interruptions de tâche lors de l’administration des médicaments : Outils de sécurisation et d’auto-évaluation de l’administration des médicaments : film pédagogique, guide et support audits – Janvier 2016  DGOS/OMS – Guide pédagogique pour la sécurité des patients – Module 11 « Améliorer la sécurité des médicaments »  UNPF – Livre blanc sur le circuit des médicaments en EHPAD – Juin 2015  HAS – Comment améliorer la qualité et la sécurité des prescriptions de médicaments chez la personne âgée ? - Septembre 2014 • Fiche points clés • Note méthodologique  Ordre des Pharmaciens - Programme d’accompagnement qualité - 2014  HAS : Critères 8.i, 20.a, 20.b du manuel de certification V2010  ARS Rhône-Alpes – Sécurisation du circuit du médicament dans les EHPAD – Mars 2012  DGOS : Guide « Qualité de la prise en charge médicamenteuse - Outils pour les établissements de santé » – 2012  HAS : Guide « Outils de sécurisation et d’auto-évaluation de l’administration des médicaments « - Juillet 2011  SFPC – Référentiel de pharmacie hospitalière - 2010 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Infirmier


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Soins infirmiers en Santé Mentale - Diagnostic précoce des personnes à risque suicidaire élevé et prévention et prise en charge du suicide

DPC

Développer son expertise de soignant dans l’évaluation et la surveillance de la crise et de la conduite suicidaire avec le risque de récidive Dégager les objectifs, les étapes et les outils de la démarche thérapeutique auprès des personnes présentant un comportement suicidaire Identifier les données épidémiologiques Repérer les éléments sémiologiques Évaluer le risque suicidaire et sa surveillance Proposer une démarche de prévention et de gestion des conduites suicidaires Déduire des modalités de prise en charge en hospitalisation et lors des suivis en extra-hospitalier (services d’urgences, CMP, unité d’hospitalisation…) 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations HAS - Note d’orientation - Programme pluriannuel relatif à la psychiatrie et à la santé mentale – 2013-2018 DGS – Bilan du Programme national d’actions contre le suicide 2011-2014 – Juin 2015 ONS – Premier rapport – Suicide « Etat des connaissances et perspectives de recherche » - Novembre 2014 Sante.gouv.fr - Programme national d’actions contre le suicide 2011-2014 Institut Montaigne – Etude « Prévention des maladies psychiatriques : pour en finir avec le retard français » - Octobre 2014 HAS : Troubles bipolaires : repérage et diagnostic en premier recours - Note de cadrage - Avril 2014 HAS : Épisode dépressif caractérisé de l’adulte : prise en charge en premier recours - Note de cadrage - Mars 2014 HAS – Note de cadrage – « Dépression de l’adolescent : repérage, diagnostic et prise en charge initiale » - Juillet 2011 Guide HAS – « Affections psychiatriques de longue durée - Troubles dépressifs récurrents ou persistants de l’adulte » - Février 2009 HAS - Référentiel d’auto-évaluation des pratiques en psychiatrie : « Prise en charge d’un épisode dépressif isolé de l’adulte en ambulatoire » – Juin 2005 Fédération Française de Psychiatrie, « Conférence de consensus : la crise suicidaire : reconnaitre et prendre en charge (19 et 20 octobre 2000) » Guide HAS : «Prise en charge hospitalière des adolescents après une tentative de suicide » - Novembre 1998 Textes réglementaires Circulaire DGS/SD6C n° 355-2003 du 16 juillet 2003 relative à la stratégie nationale d’actions face aux suicides 2000-2005 : actions à mettre en œuvre par les services déconcentrés pour 2003. Bulletin Officiel 2003 ; Circulaire DGS/SD6C n° 2002-271 du 29 avril 2002 relative à la stratégie nationale d’actions face aux suicides 2000-2005 : actions prioritaires pour 2002. Bulletin Officiel 2002 ; 25. Circulaire DGS/SD6C n° 2001-318 du 5 juillet 2001 relative à la stratégie nationale d’actions face aux suicides 2000-2005 : actions prioritaires pour 2001. Bulletin Officiel 2001 ; 32. L’information du patient : loi du 4 mars 2002 La profession IDE : décret du 29 juillet 2004 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Auxiliaire de puériculture, Technicien de laboratoire médical, Pharmacien, Infirmier


En présentiel

SOINS PALLIATIFS DE L’ENFANT

DPC

Identifier les spécificités de la fin de vie chez l'enfant et comprendre le vécu de l'enfant Mieux accompagner l'enfant et ses parents tout au long de la maladie Évaluer et traiter la douleur chez l'enfant Analyser le vécu des soignants Développer ses capacités d'empathie Adapter ses comportements et sa communication et déterminer les réponses à apporter aux besoins des enfants et des familles Mettre en place une organisation adéquate pour accompagner les enfants et les familles 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Pharmacien, Infirmier


En présentiel

Juste prescription des médicaments et prévention de la iatrogénie médicamenteuse : réactualisation des connaissances en pharmacologie psychiatrique

DPC

Réactualiser et apporter des connaissances nécessaires au bon exercice professionnel dans les axes liés au médicament  Réactualiser les connaissances en pharmacologie psychiatrique (classes médicamenteuses, indications, mode d'action, précautions d'emploi, effets indésirables)  Connaître les évolutions récentes en pharmacologie psychiatrique  Connaître de manière précise le rôle de l'infirmier et le rôle du préparateur en pharmacie afin d'améliorer son travail d'une part et d'autre part, connaitre le rôle de l'autre pour pouvoir collaborer de manière optimale  Connaitre les règles de bonnes conduites face aux médicaments  Connaître les ressources documentaires disponibles  Connaitre la législation concernant les médicaments (axes nécessaires pour les infirmiers et préparateurs en pharmacie) 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  DGOS/OMS – Guide pédagogique pour la sécurité des patients – Module 11 « Améliorer la sécurité des médicaments »  ANAP – Rapport d’évaluation 2014 de l’outil Interdiag Médicaments © établissements de santé - 2015  Ordre des Pharmaciens - Programme d’accompagnement qualité - 2014  HAS : Critères 8.i, 20.a, 20.b du manuel de certification V2010  AFSSAPS : Guide de bonnes pratiques de Pharmacovigilance – 2011  ANSM : Règlementation et nouvelles directives européennes – Juin 2012  Inspection Générale des Affaires Sociales : Rapport sur la pharmacovigilance et la gouvernance de la chaine du médicament – 2011  HAS : Guide « Outils de sécurisation et d’auto-évaluation de l’administration des médicaments « - Juillet 2011  HAS : Recommandation n°55 de bonnes pratiques relatif à la téléprescription – 2009 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Technicien de laboratoire médical, + 3 autres


En présentiel

LUTTE CONTRE LES INFECTIONS LIEES AUX SOINS : MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX ET ENTRETIEN EN ENDOSCOPIE

DPC

L’action de DPC proposée doit permettre à chacun de :  De savoir restituer le problème de l’entretien des endoscopes dans son contexte  D’acquérir et/ou développer les connaissances et les outils pour maîtriser le risque infectieux lié aux différents matériels d’endoscopie  De connaître les procédures validées et comprendre l’importance de leur respect  D’évaluer les pratiques concernant l’entretien des endoscopes  De comprendre l’importance de la mise en place de la traçabilité  De connaître la ou les différentes conduites à tenir en cas de dysfonctionnement du matériel et de son entretien 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Présentation des références scientifiques et réglementaires qui constituent la base du référentiel d’analyse des pratiques et des apports didactiques : Circulaires, DGOS, Comité Technique des Infections Nosocomiales et des Infections Liées aux Soins Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

ETRE TUTEUR DE STAGE D’ETUDIANTS PARAMEDICAUX

DPC

• Maitriser les concepts et les enjeux du référentiel de formation • Mobiliser les fondamentaux de la pédagogie par les compétences. • Utiliser les méthodes appliquées à l’apprentissage et au tutorat. • Développer les pratiques en évaluation des compétences. • Identifier le projet de l’étudiant et sa progression d’apprentissage. • Accompagner la réalisation d’un projet en lien avec les objectifs définis. • Faire pratiquer une démarche réflexive dans un contexte de pluridisciplinarité. • Utiliser les outils du tuteur de stage en connaissant le rôle de chaque intervenant. • Se positionner en tant que tuteur : acquérir une posture de tuteur et créer une dynamique de groupe. 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : La construction d’une base commune pour mener à bien ses missions d’encadrement semble essentielle : langage commun, compétences communes, posture professionnelle commune et un savoir commun en développant l’intelligence pratique des individus. La formation proposée est conforme au cahier des charges nationales de la DGOS du 4 novembre 2016 (INSTRUCTION N° DGOS/RH1/2016/330) Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès