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Infirmier
En présentiel
L’ENTRETIEN INFIRMIER
DPC
Identifier le référentiel sous-jacent au programme DPC Analyser les pratiques professionnelles La dimension relationnelle du soin Analyse du contexte relationnel et du vécu des usagers et du personnel La communication interpersonnelle et la relation avec les personnes prises en charge La relation d’aide : ses grands principes, les outils de la relation Perfectionnement à la conduite d’entretien par l’étude de situations concrètes Formalisation de la pratique Infirmière : Transmettre et transcrire les éléments essentiels de l’entretien 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations  HAS - Note d’orientation - Programme pluriannuel relatif à la psychiatrie et à la santé mentale – 2013-2018  Plan psychiatrie et santé mentale 2011-2015  Institut Montaigne – Etude « Prévention des maladies psychiatriques : pour en finir avec le retard français » - Octobre 2014  Ordre National des infirmiers – Rapport de synthèse « Psychiatrie et santé mentale - Enjeux et perspectives pour les pratiques infirmières » - Mars 2010 Textes réglementaires  Loi n° 2013-869 du 27 septembre 2013 modifiant certaines dispositions issues de la loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge  Loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Ergothérapeute, Psychomotricien, Infirmier
En présentiel
PREVENIR ET GERER LES SITUATIONS DIFFICILES DES ADOLESCENTS HOSPITALISES EN PSYCHIATRIE
DPC
 Actualiser ses connaissances théoriques dans le domaine de la psychologie de l’adolescent et du jeune adulte notamment à travers les comportements à risque avec hétéro et /ou auto agressivité, la sexualité, les rites de passage…  Connaître le cadre juridique relatif à la prise en charge des adolescents  Analyser à partir de situations concrètes, apportées par les participants, « le prendre soin et le suivi » des adolescents présentant des troubles agressifs, passage à l’acte envers lui-même ou autrui, des conduites addictives …  Faire le point sur les outils institutionnels en place, leurs sens dans les situations d’agressivité et de violence…, réfléchir aux réponses possibles et adaptées.  Savoir identifier une « relation à risque » dans la relation entre les parents et l’adolescent.  Prendre en compte la souffrance des familles et de l’entourage pour les soutenir et obtenir une alliance thérapeutique.  Déterminer une prise en charge et un accompagnement qui permettent de réguler les troubles graves du comportement (cadre institutionnel, prise en compte des particularités, espaces diversifiés…).  Place de l’isolement et de la contention dans les situations de violence et/ou d’agitation. 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  HAS - Enjeux et spécificités de la prise en charge des enfants et des adolescents en établissement de santé - Certification V2010 – 2011  La circulaire du 1 août 1983 ; la charte du mineur hospitalisé et la charte européenne  ANESM - Conduites violentes dans les établissements accueillant des adolescents : Prévention et réponses - Juillet 2008  ONVS - Bilan 2013 de l’observatoire national des violences en milieu de santé – 2014  DGOS - Fiches réflexes ONVS / Guide victimes  Travaux de l’ANESM en cours sur « L’accompagnement/la prise en charge des mineurs avec difficultés psychiques perturbant le processus de socialisation, « mineurs en refus d’autorité / en refus de tout projet d’accompagnement » (parution prévue 2016).  Ministère des affaires sociales et de la santé - Échelle de gravité des évènements de violence en milieu de santé / Les bonnes pratiques contre les violences en milieu de santé - Mai 2013 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 7 autres
En présentiel
PRISE EN CHARGE PALLIATIVE DES PATIENTS EN FIN DE VIE ET ACCOMPAGNEMENT DES PROCHES
DPC
 Identifier le cadre réglementaire et la loi Léonetti,  Actualiser ses connaissances et ses pratiques en soins palliatifs,  Prendre en compte les réalités professionnelles,  Savoir accompagner les proches,  Définir le rôle d'une équipe pluridisciplinaire,  Accepter ses propres limites et savoir se ressourcer… 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Textes réglementaires, dont les « nouveautés » 2016 :  Décret n° 2016-5 du 5 janvier 2016 portant création du Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie  Loi Léonetti-Claeys du 2 Février 2016  Décret n°2016-1066 du 3 août 2016 modifiant le code de déontologie médicale et relatif aux procédures collégiales et au recours à la sédation profonde et continue jusqu’au décès  Décret n° 2016-1067 du 3 août 2016 relatif aux directives anticipées  Arrêté du 3 août 2016 relatif au modèle de directives anticipées prévu à l’article L. 1111-11 du code de la santé publique Actions des pouvoirs publics, dont les « nouveautés » 2016 :  Plan national 2015 – 2018 pour le développement des soins palliatifs et l’accompagnement en fin de vie Guides & recommandations, dont les « nouveautés » 2016 :  HAS – Juin 2016 : O Fiche points clés « Comment améliorer la sortie de l'hôpital des patients adultes relevant de soins palliatifs ? » O Synthèse – Organisation des parcours « Sortie de l’hôpital des patients adultes relevant de soins palliatifs » O Fiche points clés « Comment favoriser le maintien à domicile des patients adultes relevant de soins palliatifs ? » O Synthèse – Organisation des parcours « Comment favoriser le maintien à domicile des patients adultes relevant de soins palliatifs ? » O Note méthodologique et de synthèse documentaire « Comment améliorer la sortie de l'hôpital et favoriser le maintien à domicile des patients adultes relevant de soins palliatifs ? »  Espace éthique de la FHF - Avis sur les contraintes éthiques des directives anticipées contraignantes concernant une personne atteinte d’une maladie grave – Février 2016 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant
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PRÉVENIR ET ACCOMPAGNER LES SITUATIONS DE VIOLENCE ET D'AGRESSIVITÉ
DPC
Objectifs de formation : • Amener les agents à identifier ce qui fait qu’une situation d’agressivité devient une situation de violence, pour repérer et comprendre les situations à risque. • Apporter des références théoriques pour comprendre la fonction de l’agressivité et du passage à la violence, aborder les attitudes facilitantes ou aggravantes face à la personne agressive. • Apporter des références pratiques leur permettant de conserver (savoir-être) ou de reprendre le contrôle de ces situations (sécuriser un patient agité). • Amener les agents à réfléchir sur l’« après violence », et la dimension réparatrice qu’elle suppose du côté du patient et du côté de l’agent: plainte, place de l’administrateur de garde…). Objectifs spécifiques : • Permettre à chaque agent d’identifier ses ressources et ses limites pour mesurer et ajuster les réponses à apporter. • Permettre à chaque agent d’identifier les ressources mobilisables pour prévenir ces situations en fonction de son contexte de travail. • Analyser ses propres ressources et prendre conscience de son mode de réaction. Eléments du contenu : Au cours de la formation nous souhaitons que soient abordés les thèmes suivants : • L’écoute et la reformulation, • La définition des mots et des concepts, • La communication verbale et non verbale, • La gestion du stress en situation difficile, • Le repérage des mécanismes individuels et collectifs en jeu dans cette relation, • Les éléments sociologiques : les nouveaux phénomènes de violence, • Les éléments psychopathologiques, • Les éléments anthropologiques, • Les éléments juridiques 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  FICHES REFLEXES de l’ONVS sur la conduite à tenir dans les situations de VIOLENCEen établissements publics, sanitaire et médico-social - Février 2012  Cadre réglementaire : Loi du 4 mars 2002 / Circulaire DHOS/E1/DGS/2006/90 du 2 mars 2006 / Code de la santé publique – Article L.1113-1 / Code de procédure pénale Articles 40-4 et 53-1…Code du travail :articles L.122-46 à 48 articles L.122-34, L.123-6, L.236-2article L.230-2I. Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Infirmier
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ANNONCE D’UNE MALADIE GRAVE
DPC
Objectif global :  S’approprier les repères de la recommandation HAS annonce d’une mauvaise nouvelle  Développer une éthique de l’annonce Objectifs spécifiques :  Comprendre les mécanismes de défense du patient et du soignant  Identifier les repères (temps, écoute, lieu, mot …) facilitant la réception de l’annonce par les patient et leur entourage.  Spécificité de l’annonce en cancérologie 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  Le Plan Cancer 2009-2013 et le bilan du Plan 2003-2007  Le plan Cancer 2014-2018 et ses mesures phares  Loi du 4 mars 2002 sur le droit des malades  Articles L.1111-2 et L1111-7 du Code de la Santé publique  HAS - Guide parcours de soins - Annonce et accompagnement du diagnostic d’un patient ayant une maladie chronique – Février 2014  HAS : Annoncer une mauvaise nouvelle – Synthèse – 2008  INC - Mettre en place le dispositif d’annonce - expériences et conseils - 2006 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Diététicien, Ergothérapeute, + 3 autres
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SAVOIR RÉAGIR ET PRENDRE EN CHARGE LA DOULEUR
DPC
- Repérer les manifestations de la douleur ou souffrance chez la personne présentant des troubles de la communication - Développer une prise en charge soignante efficace face à la douleur et la souffrance en gériatrie et dans les situations de handicap - Développer des outils de prise en charge dans le cadre des équipes pluridisciplinaires 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) :  Instruction n° DGOS/PF2/2013/380 du 15 novembre 2013 relative à l'actualisation de l'annuaire national des structures d'étude et de traitement de la douleur chronique et au recueil de leurs données d'activité 2013. NOR : AFSH1328201J  Instruction N°DGOS/PF2/2011/188 du 19 mai 2011 relative à l'identification et au cahier des charges 2011 des structures d'étude et de traitement de la douleur chronique  Circulaire N°DGOS/PF2/R1/2010/463 du 27 décembre 2010 relative au financement par le fonds pour la modernisation des établissements de santé publics et privés (FMESPP) du programme national d'amélioration de la prise en charge de la douleur 2006-2010  Instruction DGOS/PF2 du 14 mai 2010 relative à l'enquête 2009 sur les structures de prise en charge de la douleur chronique  … Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Infirmier
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ANNONCE DU DIAGNOSTIC D’UNE MALADIE GRAVE : Rôle de l’infirmier dans le dispositif d’annonce du cancer
DPC
 Prendre en charge de manière globale les patients atteints de cancer.  Savoir proposer un parcours de soins adapté aux besoins de chaque patient pris en charge 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations  INCA – Rapport « Les cancers en France » - Edition 2015  Contrat d’objectif & de performance 2015-2018 entre l’Institut National du Cancer & l’Etat  Plan Cancer 2014-2019 & bilan des plans antérieurs (2003-2007 et 2009-2013) – Mesure 40  HAS : PPS (Plan Personnalisé de Soins) – Février 2012  HAS : Guides ALD n° 30 – 2010 à 2012  HAS : Annoncer une mauvaise nouvelle – Synthèse – 2008  INC : Dispositif d’annonce en cancérologie - 2006 Textes réglementaires  Instruction n°SG/DSSIS/INCa/2016/109 du 5 avril 2016 relative à l’actualisation pour 2017 de la cible du système d’information du dossier communicant de cancérologie (DCC)  Décret du 13 juin 2008 relatif à l'Institut National du Cancer  Circulaire N° DHOS/SDO/2005/101 du 22 février 2005 relative à l’organisation des soins en cancérologie Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Infirmier
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PRÉVENTION DES INFECTIONS NOSOCOMIALES
DPC
 Définir les infections associées aux soins  Identifier les facteurs de risques liés aux patients et à l'environnement  Identifier le rôle de chacun : tutelles, CLIN, de l'équipe opérationnelle d'hygiène, correspondant en hygiène, soignants  Maîtriser les bonnes pratiques de préventions des infections liés aux soins et leurs contre-indications (précautions standard, précautions complémentaires, antiseptiques, , hygiène des mains, hygiène des locaux, risque AES)  Maîtriser les recommandations de bonnes pratiques lors d'activités à haut risque infectieux (intervention chirurgicale, pose de voie veineuse périphérique, pose de sonde urinaire,...) 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations  DGOS - Rapport national 2014 du tableau de bord des infections nosocomiales  DGOS/OMS – Guide pédagogique pour la sécurité des patients – Module 9 « Contrôle & prévention des infections »  HCSP - Recommandations pour la prévention de la transmission croisée des bactéries hautement résistantes aux antibiotiques émergents, Juillet 2013  SFGG / CNSA - Mobiqual – Outil de sensibilisation / formation / aide à la pratique « La gestion du risques infectieux dans les établissements sociaux et médico-sociaux pour personnes âgées » - 2013  Programme national de prévention des infections nosocomiales - 2009/2013  ENP - Enquête Nationale de Prévalence des infections nosocomiales et des traitements anti-infectieux en établissement de santé – Chiffres clés – 2012  Réseau des CClin - Maîtrise du risque infectieux en Ehpad - Décembre 2011  HAS : Critères 7.d, 8.a, 8.b, 8.f et 8.g du manuel de certification V2010  SF2H - Prévention des infections en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, Hygiènes, volume XVIII, n° 1 – Février 2010  Ministère de la Santé et des sports – Dossier de presse - Infections nosocomiales : nouvelles mesures de lutte et classement des établissements de santé & Mise en place des indicateurs de sécurité du patient et de qualité des soins – 2009  SF2H - Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires de contact, Société française d’hygiène hospitalière - 2009.  SFTG : Programme National Pluri Annuel de lutte contre les infections nosocomiales (2005-2008)  Plan stratégique national de prévention des infections associées aux soins - 2009/2013  OMS : Guide pratique Prévention des infections nosocomiales - 2008  HAS : Recommandation n°31 de bonne pratique - Juin 2007  ANAES : Principes méthodologiques de la gestion des risques -2003 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 6 autres
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ACCOMPAGNER LES PATIENTS EN FIN DE VIE
DPC
Analyser l'évolution de la mort et du deuil à travers l'histoire et les différentes cultures Connaître le processus du vieillissement Identifier la mort dans le contexte institutionnel Exprimer ses difficultés de soignant face à la mort Analyser le vécu des malades en phase terminale Mieux communiquer avec le patient Analyser le vécu des soignants et leurs besoins psychologiques Identifier les modalités de décision concernant le choix des soins palliatifs : la démarche éthique 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Textes réglementaires Circulaire Laroque DGS/3D du 26 août 1986  Loi n° 99-477 du 9 juin 1999 visant à garantir le droit à l'accès aux soins palliatifs  Loi Kouchner sur le droit des malades et la qualité du système de santé  Loi Léonetti-Claeys relative aux droits des malades et à la fin de vie du 2 Février 2016. 3 textes : 2 décrets et 1 arrêté ont été 05 aout 2016  Décret du 5 janvier 2016 portant création du Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie  Loi créant une allocation journalière d’accompagnement d’une personne en fin de vie (2010)  Décret relatif aux conditions de mise en œuvre des décisions de limitation ou d’arrêt de traitement (2010)  Code de la santé publique  Code de déontologie médicale Guides & recommandations  Décret n° 2016-1164 du 26 août 2016 relatif aux conditions techniques minimales d'organisation et de fonctionnement des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes  ANESM – Lettre de cadrage - Accompagner la fin de vie des personnes âgées au domicile ou en établissement médico-social – Janvier 2016  Évaluation et prise en charge thérapeutique de la douleur chez les personnes âgées ayant des troubles de la communication verbale (2010)  La sédation pour détresse en phase terminale et dans des situations spécifiques et complexes, recommandations chez l’adulte et spécificités au domicile et en gériatrie – SFAP en lien avec la HAS (2009)  Modalités de prise en charge de l'adulte nécessitant des soins palliatifs (2002)  Conférence de consensus ANAES/SFAP sur l’accompagnement des personnes en fin de vie et de leurs proches (2004)  Certification V2014 des établissements de santé  Guide de bonnes pratiques d'une démarche palliative en établissements (2004)  EREMA - Maladie d’Alzheimer et maladies apparentées, approches en fin de vie (2013)  Guide de l'INPES « Soins palliatifs et accompagnement », à destination du grand public (2009)  DGS, DGAS, SFGG - Les bonnes pratiques de soins en EHPAD  SFGG, CNPG – Guide PAPA  ANESM : L'évaluation interne : repère pour les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendante / axe 5 : accompagnement de la fin de vie – 2012 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès
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BIENTRAITANCE
DPC
 Renforcer les connaissances théoriques : bientraitance, maltraitance, maltraitance ordinaire  Identifier les différentes formes de maltraitance, les facteurs de risques  Identifier les formes de bientraitance, la bientraitance dans les soins  Améliorer les prises en charge des patients, en intégrant les apports de la formation 1. Un temps d’analyse des pratiques au démarrage du programme Sur la base d’outils d’auto-évaluation proposés par nos soins, une analyse des pratiques professionnelles est réalisée. Elle est réalisée en référence à des indicateurs nationaux de bonnes pratiques et poursuit un double objectif : réaliser un autodiagnostic des pratiques professionnelles et préciser les attentes et besoins en matière d’apports cognitifs.  Identification de « l’activité réalisée » sur la base d’indicateurs nationaux de bonnes pratiques 2. Des apports didactiques et méthodes adaptées Nos apports didactiques et les supports pédagogiques associés reposent sur des références actualisées (scientifiques, réglementaires, éthiques…) : Guides & recommandations  HAS FORAP – Note de cadrage « Construire le partenariat entre les usagers et les professionnels sur la bientraitance » - 2015  Outils & guides HAS/FORAP – 2012 : o Outils « Regards croisés sur la bientraitance » : Questionnaire, évaluation, affiche,… o Outils « Déploiement de la bientraitance » : Guides, charte,… o Grille CEPPRAL o Outils CCECQA,….  Rapport de la mission ministérielle : « Promouvoir la bientraitance dans les établissements de santé » - 2011  MOBIQUAL : Outils MOBIQUAL – Bientraitance – 2010  HAS : « La maltraitance ordinaire dans les établissements de santé » - Compagnon C., Ghadi V. – 2010  Sante.gouv.fr : Recommandations de bonnes pratiques de soins en EHPAD - Fiches 22 à 25 : Bientraitance - Ministère de la Santé - 2009  ANESM : Mission du responsable d’établissement et rôle de l’encadrement dans la prévention et le traitement de la maltraitance – 2008  ANESM : « La bientraitance : définition et repère pour mise en œuvre » - 2008  FHF : Guide pratique bientraitance/ maltraitance à usage des établissements et institutions. que faire face à la révélation d'une situation de maltraitance – 2007 Autres outils ou documents utiles  Médiateur de la République – Dossier « Maltraitance dans les établissements de santé » - 2009/2010  ANAES-FHF – Conférence de consensus - Liberté d’aller et venir dans les établissements sanitaires et médico-sociaux, et obligation de soins et de sécurité - 2004 Textes & réglementation  Circulaire N° DGCS/SD2A/2014/58 du 20 février 2014 relative au renforcement de la lutte contre la maltraitance et au développement de la bientraitance des personnes âgées et des personnes handicapées dans les établissements et services médico-sociaux relevant de la compétence des ARS.  Legifrance.gouv.fr : Décret n° 2013-16 du 7 janvier 2013 portant création du Comité national pour la bientraitance et les droits des personnes âgées et des personnes handicapées - Janvier 2013  Legifrance.gouv.fr : Circulaire du 23 Juillet 2010 relatif au renforcement de la lutte contre la maltraitance des personnes âgées et des personnes handicapées - Juillet 2010  DGAS : Instruction Ministérielle - N° DGAS /2a/2007/112 du 22 Mars 2007 Relative au développement de la bientraitance et au renforcement de la politique de lutte contre la maltraitance - Mars 2007 Notre intervenant prend en compte la réalité professionnelle des participants (identification des difficultés rencontrées, des risques ou dysfonctionnements, ...) et favorise leurs questionnements respectifs. Les apports de connaissances sont donc articulés d'une part autour des questions issues de la pratique professionnelle, et d'autre part sur la base des recommandations de bonnes pratiques existantes.  Acquisition ou perfectionnement de connaissances : « l’activité souhaitée » 3. Elaboration d’un plan d’actions d’amélioration en fin de programme La dernière séquence est dédiée à l’identification pour chacun des objectifs d’amélioration et à l’élaboration d’un plan de progrès avec indicateurs et modalités de suivi  Mesure d’écart entre le réalisé et le souhaité : Plan de progrès